Stop à l'éolien industriel

Stop à l'éolien industriel
Un fléau d'une ampleur internationale s'abat, depuis quelques années, sur notre pays. Aidés par nos élus, les promoteurs éoliens se sont accaparés nos territoires et nos vies. Devant le massacre de notre patrimoine, un vent de colère s'élève partout sur l'hexagone. Il est grand temps de dire "STOP" à ce carnage.

vendredi 2 décembre 2016

Eté 2016 : RÉSISTANCE CITOYENNE ALTER-ÉOLIENNE AU ROC DE PEYREMAUX PARC NATUREL RÉGIONAL DU HAUT-LANGUEDOC

TARN
https://blackfionproduction.wordpress.com/



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  • Par Fabrice Valery, 
  • publié le 



    FACE AU VENT RÉSISTANCE CITOYENNE ALTER-ÉOLIENNE AU ROC DE PEYREMAUX PARC NATUREL RÉGIONAL DU HAUT-LANGUEDOC





    Récit à plusieurs yeux de la marche alter-éolienne et des actes de désobéissance pacifique qui l’ont accompagnée, les 11 et 12 juillet 2016, sur le site du chantier du parc éolien d’Albine (Tarn). Lorsque les habitants et les collectifs alter-éoliens de la montagne Noire apprennent le début des travaux d’extension du parc éolien d’Albine, ils décident d’organiser un forum, pour informer les habitants de l’impact de l’industrie éolienne, et de la construction prochaine sur leur montagne, de 8 nouvelles géantes blanches. Mais une semaine avant la date choisie, les travaux de terrassement commencent, à l’endroit même où devait s’organiser la rencontre. La résistance s’organise. Habitants et zadistes décident, sans attendre, d’occuper le site et de bloquer les travaux. Le jeudi 7 juillet, un premier blocage est effectué. Elles/ Ils sont une poignée mais parviennent à négocier le retrait des engins jusqu’à la fin de la semaine. A l’issue du forum, décision est prise de reconduire l’action de blocage.


    Une participante raconte ce lundi 11 juillet 2016 : " Une marche lente est prévue pour ralentir l’arrivée des engins qui finissent de préparer l’accès au site éolien. Dès 7h du matin, nous rencontrons la gendarmerie locale qui nous explique l’illégalité de notre présence sur cet axe. Désobéissance mais non violente et légitime. Le scénario « marche lente » fonctionne. En fin de matinée, une partie des engins empruntent une autre piste pour accéder au chantier. La quarantaine d’opposants alors présents et déterminés se divisent en deux groupes. Le premier blocage se stabilise à 2km, le second… à 300 mètres environ du point névralgique. En début d’après-midi, une trentaine de gendarmes arrivent en renfort. Nous devons adopter une nouvelle stratégie. Nous nous asseyons, bras et jambes liés. Les forces de l’ordre nous délogent assez violemment, au vue de notre attitude, certes claire et convaincue, mais résolument non-violente. Désenchaînés, nous reprenons à plusieurs reprises la formation. Après une heure, ce ne sont plus les gendarmes mais nos corps souffrant des « désenchaînements » musclés qui commencent à nous rappeler à l’ordre… La pelle finit par toucher son objectif, mais l’heure tardive, la fatigue de tous et l’arrivée des journalistes ne permettront pas la reprise du travail. Pour nous, une journée de gagné ! Forte en émotions de par la violence subie, mais surtout par la résistance aboutie et vécue dans une solidarité rare et belle. Elle n’est que le préambule d’une lutte qui se révèlera longue. La mobilisation du plus grand nombre, dans cet état d’esprit reste le premier atout de notre lutte. Nobles oiseaux attentifs à leurs territoires, nous n’aurons de cesse de le survoler et de le défendre."

    https://blackfionproduction.wordpress.com/2016/07/17/un-appel-aux-consciences/
    UN APPEL AUX CONSCIENCES
    BLACKFION PRODUCTION
    PRÉSENTE : FACE AU VENT
    Résistance citoyenne alter-éolienne au Roc de Peyremaux

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    Après Sivens, une nouvelle ZAD dans le Tarn contre les éoliennes d'Albine ( Parc Naturel Régional)

    Des opposants au projet de 8 éoliennes à Albine, dans la Montagne Noire, ont décidé de s'opposer par tous les moyens au projet et empêchent le début des travaux. Un dossier qui n'est pas sans rappeler la Zone A Défendre (ZAD) de Sivens. 
    • Par Fabrice Valery
    • Publié le 11 juillet 2016 
    © S. Duchampt / France 3 Forces de l'ordre et opposants face à face à Albine

    "ZAD partout" clamaient les manifestants anti-barrage de Sivens au plus fort de la contestation, souhaitant implanter des "zones à défendre" partout où les projets d'aménagement ne recueillent pas l'accord des riverains ou des protecteurs de l'environnement.

    C'est un peu avec ce refrain que depuis une semaine, une cinquantaine de personnes s'opposent au démarrage des travaux du parc éolien d'Albine à l'extrême-sud du département du Tarn, créant sur place une nouvelle ZAD, plus d'un an après l'évacuation de celle de Sivens.

    © S. Duchampt / France 3 Des scènes qui rappellent Sivens

    Huit éoliennes doivent être implantées sur ce site de la Montagne Noire et encore ce lundi les opposants ont empêché le travail des machines. Parmi ces opposants on trouve d'ailleurs des anciens de la ZAD de Sivens et aussi des habitants de la commune et des villages voisins qui ne souhaitent pas ce projet. Face à face, les opposants et des gendarmes venus protéger le chantier. Des scènes qui rappellent celles vues à Sivens.
    © S. Duchampt / France 3 Les opposants se mobilisent

    Valorem, qui développe ce projet, a pourtant tenté de jouer l'apaisement en proposant aux habitants de la commune d'Albine d'investir eux-mêmes dans ces éoliennes. Mais cela ne semble pas satisfaire tout le monde.

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    https://iaata.info/Zad-d-Albine-Appel-a-soutien-1454.html
    Publié le 16 juillet 2016
    Dans la montagne Noire, la ZAD d’Albine contre les éoliennes

    Citoyen-ne-s contre les éoliennes industrielles. Dans la montagne Noire, à Albine, au dessus de Caunes-Minervois, le parc du Haut-Languedoc abrite forêts de hêtres, de chataigniers ainsi qu’une flore et faune très diversifiée. Niché à 900 metre d’altitude, Valorem, 4ème groupe mondial « d’opérateur en énergie vertex » décide de créer un énième parc éolien au centre d’un écosystème naturel et sauvage. (cf. Saint-Victor en Aveyron).

    Ceci n’est certainement pas une un projet écologique, ni une transition énergétique mais bien une transaction économique d’un nouveau capitalisme vert, qui est le nouvel eldorado financier pour Vinci, EDF, Areva, GDF Suez et bien d’autre.
    Les derniers recours administratifs épuisés, le chantier vient de commencer.
    La lutte s’organise. En soutien à la mobilisation locale une nouvelle zad a vu le jour depuis quelques semaines.

    Ceci est le témoignage d’une journée de lutte.
    Résistance ce lundi 11 juillet 2016 dans la Montagne Noire, au Roc de Peyremaux


    « A qui la faute ? Aux habitant-e-s ? Aux zadiste-e-s ? Non ! Huit fois non ! Elle incombe entièrement aux éoliennes industrielles. « Comment ça ?! » Alors que certain-e -s les imaginent comme de grands oiseaux blancs annonciateurs de la sortie du nucléaire, d’autres, qui les connaissent très bien, savent que ce sont des charognardes de la finance déguisées en colombes. Lorsque les habitant-e-s apprennent l’implantation de huit nouvelles éoliennes,elles / ils se proposent d’organiser un forum au Roc de Peyremaux afin d’informer les gens sur la supercherie. Mais une semaine avant la date prévue, pris de court (le vent, c’est d’ l’argent !), ils/elles constatent la réalisation des pistes d’atterrissage pour ces monstres ailés. Habitant-e-s et zadistes décident d’intervenir. Le jeudi 7 juillet, un premier blocage est effectué.Elles/ Ils sont une poignée mais parviennent à négocier le retrait des engins jusqu’à la fin de la semaine. A l’issue du forum, décision est prise de reconduire l’action de blocage. Une participante raconte ce lundi 11 : « Une marche lente est prévue pour ralentir l’arrivée des engins qui finissent de préparer l’accès au site éolien. Dès 7h00 du matin, nous rencontrons la gendarmerie locale qui nous explique l’illégalité de notre présence sur cet axe. Désobéissance mais non violente et légitime. Le scénario « marche lente » fonctionne. En fin de matinée, une partie des engins empruntent une autre piste pour accéder au chantier. La quarantaine d’opposant-e-s alors présent-e-s et déterminé-e-s se divisent en deux groupes. Le premier blocage se stabilise à 2 km, le second… à 300 mètres environ du point névralgique. En début d’après-midi, une trentaine de gendarmes arrivent sur place. Nous devons adopter une nouvelle stratégie. Nous nous asseyons, bras et jambes liés. Les forces de l’ordre nous délogent assez violemment, au vue de notre attitude, certes claire et convaincue, mais résolument non-violente. Désenchaînés, nous reprenons à plusieurs reprises la formation. Après une heure, ce ne sont plus les forces de l’ordre mais nos corps souffrant des « désenchaînements » musclés qui commencent à nous rappeler à l’ordre… La pelle finit par toucher son objectif, mais l’heure tardive, la fatigue de toutes et tous, et l’arrivée des journalistes ne permettront pas la reprise du travail. Pour nous, une journée de gagnée ! Forte émotionnellement de part la violence subie mais surtout par la résistance aboutie et vécue dans une solidarité rare et belle, elle n’est que le préambule d’une lutte qui se révèle âpre. La mobilisation du plus grand nombre dans cet état d’esprit de reste le premier atout de notre lutte. Nobles oiseaux attentifs à leurs territoires, nous n’aurons de cesse de les survoler et les défendre. »

    Complément d'info
    30 juillet
    Perquisition vendredi 29 juillet sur le campement d’occupation de la zad d’Albine (le campement quand à lui est situé sur la commune de Lespinassière, dans l’Aude). Suite à quelques échauffourées sans conséquences, et après lui avoir mis la pression, le préfet de l’Aude a obtenu du maire de Lespinassière un arrêté municipal lui permettant d’aller chercher des noises aux zadistes. En pure perte, les pandores sont repartis bredouilles.
    Depuis une bonne semaine, que la tension monte et que les actions se multiplient, Valorem a engagé une milice conséquente pour faire face à l’opposition déterminée à l’avancement du chantier, huit vigiles visiblement tous étrangers (dont certains armés) équipés de deux chiens d’attaque m’ont interdit toute possibilité d’évaluer l’avancement des travaux.
    Valorem n’a de toute évidence pas peur d’une éventuelle bavure, le préfet du Tarn n’a pas retenu les leçons de Sivens, il souhaite sûrement ajouter une deuxième tache sur le peu d’honneur qu’on lui suppose encore.
    Attention, désormais tout véhicule motorisé non autorisé circulant ou stationnant entre le col de Salette et la ZAD est passible de 135 euros d’amende.
    Approche encore possible du campement par la piste de Lafage, direction Castan à partir de Lespinassière.

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    Sylvie Ferré

    Opposés au projet éolien, des zadistes investissent la commune d'Albine

    Il fallait s'y attendre, le mouvement des zadistes (pour «zone à défendre») entamé le lundi 11 juillet n'allait pas en rester là. Hier, dès 9 heures, une cinquantaine d'opposants (des zadistes et des riverains) au parc constitué de 8 éoliennes en cours de réalisation au cœur du Parc régional du Haut Languedoc, au pied du roc de Peyremaux, ont investi le village d'Albine. Une action de résistance «non violente contre l'exploitation et la destruction du patrimoine naturel commun», avaient-ils annoncé.
    Parmi eux, Vincent, «de la montagne» : «On prend un peu de notre temps pour défendre des causes qui sont importantes. Si on laisse faire les politiques, on va détruire les territoires.» Ginette et Etienne, du Banquet, la soixantaine, sont venus soutenir la cause : «Nous sommes antiéoliens et solidaires avec les habitants d'Albine. On n'est pas touchés directement mais il va y avoir des éoliennes partout, elles vont gâcher la vue et de toute façon, elles ne servent à rien !»
    Au cœur du village, un pont sépare le regroupement des zadistes à celui d'une trentaine de militaires de la compagnie de gendarmerie de Castres, placés sous les ordres du commandant Garrigue. Les premiers filtrent le trafic routier, stoppant net les camions concernés par le chantier. Deux-trois mots aux chauffeurs. Les seconds sont prêts à intervenir au moindre incident. La tension est palpable. Mais ça passe.

    Un dialogue stérile

    Dans le camp des opposants au projet, les arguments vont bon train : «Moi, je suis là dans le cadre du Club alpin, dont la charte montagne s'appuie sur la protection du milieu naturel, explique Didier.Les responsables de ces projets sont des inconséquents sur la valeur de notre patrimoine sur les hauteurs !» Agriculteur sur le plateau de Salles depuis 1980, Gilles Montois est dépité : «6 éoliennes sont déjà en place, ce chantier en amène 8 de plus et la commune de Sauveterre veut en ajouter 4. Les pelles sont là depuis début juillet alors on va gêner le bon déroulement du chantier, pour servir d'exemple ! Il faut interpeller la population, on veut rencontrer le maire de cette commune, bien investie dans ce projet. On s'est toujours foutu de notre gueule, on essaye de faire disparaître des gens qui vivent et travaillent dans la Montagne Noire. Nous on n'y fait pas du fric et c'est ça qui nous révolte ! Quand nous nous sommes installés là, c'était le choix de notre vie. Si c'est pour se retrouver sous des éoliennes, ça le fait pas!»
    Très attendu, Philippe Barthès est enfin allé à la rencontre des opposants dans la matinée, devant sa mairie. Mais il n'y eut point de dialogue : «Je suis venu pour vous écouter... A quoi bon défendre mes positions!» L'insistance des antiéoliens a été vaine. «On se bat par rapport à la manière dont le projet se déroule, regrette Michèle. Evidemment, on n'est pas contre les énergies renouvelables, mais pourquoi ne décentralise-t-on pas sur une commune pour son énergie propre? Nous, c'est l'éolien industriel qui nous gêne!»

    Des jugements défavorables aux opposants

    Sorti de la pression matinale des opposants au parc de Soulanes de Nore, le maire Philippe Barthès, hier après-midi, a toutefois tenu à resituer le contexte, saluant la réactivité des représentants de l'ordre public : «Un permis de construire a fait l'objet d'une procédure d'instruction et a été délivré par le préfet du Tarn. Ce permis a été contesté.
    Les jugements de première instance et d'appel ont tous été défavorables aux opposants. Ces opposants qui sont tous extérieurs à la commune avaient la possibilité d'engager une procédure devant le Conseil d'Etat de manière tout à fait légale mais n'ont pas souhaité le faire.
    À l'heure actuelle, ici comme ailleurs, nous sommes face à un phénomène de société, avec des individus qui remettent en cause par tous les moyens des décisions de justice. Ils empêchent des entreprises locales avec des salariés de travailler et s'opposent de manière illégale, sans que l'Etat ne soit capable parfois d'apporter une réponse à ce type de phénomène. Nous sommes dans une situation où l'ordre et le respect sont bafoués.»
    Depuis une dizaine de jours, des zadistes sont installés à proximité du chantier, en vue de le retarder, voire l'interrompre...

    L'étonnement chez Valorem

    L'implantation d'une ZAD sur le site sud tarnais a créé la surprise chez Valorem SAS, producteur d'énergies vertes, qui intervient à Albine. «Notre première réaction est un grand étonnement, déclare Camille Girard, responsable de la communication. D'habitude, on se sent plutôt proches de ces gens, qui ne sont peut-être pas bien informés quant à l'éolien. On pensait que les zadistes sont contre les centrales nucléaires et les aéroports. Ce type d'opposants là est clairement nouveau. Depuis le début du projet, quelques familles sont contre. Mais nous ne sommes pas dans le cadre d'un projet comme celui de Notre-Dame des Landes. Là, il y a eu un temps de développement et de discussions, deux recours en justice qui n'ont pas été validés. Aujourd'hui, le chantier a démarré mais la situation est surtout inquiétante pour la sécurité de tout le monde. Des interventions sur le chantier, avec les engins et les salariés, seraient dangereuses. C'est pour cela que la préfecture et les gendarmes sont mobilisés…»
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    20 juillet 2016
    Albine (Tarn): Le vent tourne contre les éoliennes industrielles

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    27 juillet 2016 
    http://www.letarnlibre.com/2016/07/27/4584-albine-anti-eolien-font-monter-pression.html

    Albine, les anti-éolien font monter la pression


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    8 septembre 2016
    Les opposants aux éoliennes d'Albine sont partis
    Les opposants au projet d'éoliennes d'Albine dans la Montagne Noire ont quitté le terrain qu'ils occupaient depuis juillet. Ils campaient sur un site audois proche des futures éoliennes (huit au total construites par la société Valorem).
    Ces anti-éoliennes envisagaient de monter une ZAD (zone à défendre). Il y a quelques jours, le tribunal de Carcassonne avait prononcé un arrêté d'expulsion contre eux.