Communiqué de la Fédération Environnement Durable
Aujourd’hui, en France, certains promoteurs éoliens tentent d’imposer leurs projets par la force, contraignant les riverains à créer des zones à défendre (ZAD) afin de préserver leur qualité de vie et d’empêcher le saccage industriel d’une nature rurale encore préservée.
Depuis plus de 6 mois, dans plusieurs régions, des habitants de villages ruraux résistent aux forces de l’ordre envoyées par les autorités pour faire passer des convois acheminant des éoliennes par des petites routes de montagne ou de campagne, des chemins vicinaux, qu'il faut détruire, élargir, goudronner.
Ces citoyens tentent d’empêcher des bulldozers de détruire des haies, d’arracher des arbres, de saccager des sites naturels. Ils refusent que des pelleteuses creusent de gigantesques cavités où seront déversés des milliers de tonnes de béton armé.
Depuis plusieurs mois certains de ces résistants sont trainés devant les tribunaux comme des coupables de droit commun, alors que ces initiatives de désespoir sont le résultat de l’immense mépris des responsables du gouvernement et de l’indifférence du Ministre de l’Environnement Nicolas Hulot.
Deux exemples emblématiques font la une des médias régionaux, deux collectifs anti-éoliens qui luttent jour et nuit depuis des mois :
- Le collectif des riverains de Bouriège qui résistent sur le pont du REC dans l'Aude
- L’Amassada de l’Aveyron qui refuse les 1000 éoliennes programmées, et le méga-transformateur d'EDF à Saint Victor de Melvieu.
La Fédération Environnement Durable regroupe un millier d’associations de toutes les régions de France. Elle n’utilise que des moyens légaux pour lutter contre l’envahissement de l’habitat rural par l’éolien industriel.
Elle approuve le bien fondé du refus des projets éoliens concernés et lance une alerte : à terme, ces conflits risquent de conduire à des affrontements désespérés de plus en plus violents.
La Fédération Environnement Durable estime que le gouvernement en portera l'entière responsabilité en voulant imposer le développement de l’éolien industriel par la force, et par des mesures de régression du droit de l’environnement par l’effet de la simplification des procédures juridiques.
Contact Presse
Jean-Louis Butré
contact@environnementdurable.net
Depuis plus de 6 mois, dans plusieurs régions, des habitants de villages ruraux résistent aux forces de l’ordre envoyées par les autorités pour faire passer des convois acheminant des éoliennes par des petites routes de montagne ou de campagne, des chemins vicinaux, qu'il faut détruire, élargir, goudronner.
Ces citoyens tentent d’empêcher des bulldozers de détruire des haies, d’arracher des arbres, de saccager des sites naturels. Ils refusent que des pelleteuses creusent de gigantesques cavités où seront déversés des milliers de tonnes de béton armé.
Depuis plusieurs mois certains de ces résistants sont trainés devant les tribunaux comme des coupables de droit commun, alors que ces initiatives de désespoir sont le résultat de l’immense mépris des responsables du gouvernement et de l’indifférence du Ministre de l’Environnement Nicolas Hulot.
Deux exemples emblématiques font la une des médias régionaux, deux collectifs anti-éoliens qui luttent jour et nuit depuis des mois :
- L’Amassada de l’Aveyron qui refuse les 1000 éoliennes programmées, et le méga-transformateur d'EDF à Saint Victor de Melvieu.
Elle approuve le bien fondé du refus des projets éoliens concernés et lance une alerte : à terme, ces conflits risquent de conduire à des affrontements désespérés de plus en plus violents.
La Fédération Environnement Durable estime que le gouvernement en portera l'entière responsabilité en voulant imposer le développement de l’éolien industriel par la force, et par des mesures de régression du droit de l’environnement par l’effet de la simplification des procédures juridiques.
Contact Presse
Jean-Louis Butré
contact@environnementdurable.net