Parmi les signataires, des pêcheurs et marins mais aussi d'autres acteurs de la filière, usqu'aux conserveries. / © Damien Raveleau |
Sur le site Change.org, près de 7 000 personnes soutiennent déjà leur action. Le collectif "Touche pas à mes îles" trouve son écho sur le littoral vendéen en s'opposant à la construction d'un parc éolien à 15 kilomètres des côtes.
Le projet, porté par la société EMYN, attend encore les conclusions de l'enquête publique pour obtenir son autorisation d'implantation. Le calendrier prévisionnel prévoit une mise en service en 2021.
"On va quand même perdre 70 % de la zone de travail, c'est pas une paille", souligne Sylvain Gallais, pêcheur à Noirmoutier. "On va venir massacrer l'écosystème et la sardine va disparaître, tout simplement", craint de son côté Philippe Gendreau, directeur de la Conserverie Gendreau.
Le collectif "Touche pas à mes îles" s'intéresse de son côté à de potentielles alternatives : des éoliennes plus au large (environ 50 km) et sur des blocs flottants. "Pourquoi ne pas utiliser cette alternative innovante et française ? Et pourquoi mettre en place une technologie totalement obsolètes au détriment de deux îles Natura 2000 ?", se questionne Fabien Bougié, le porte parole du collectif.
Reportage d'Élodie Soulard et Damien Raveleaud, avec comme interlocuteurs :
Sylvain Gallais, patron pêcheur de l'Entêté
Philippe Gendreau, directeur de la Conserverie Gendreau
Fabien Bougié, porte-parole du collectif "Touche pas à nos îles"
Le projet, porté par la société EMYN, attend encore les conclusions de l'enquête publique pour obtenir son autorisation d'implantation. Le calendrier prévisionnel prévoit une mise en service en 2021.
"On va quand même perdre 70 % de la zone de travail, c'est pas une paille", souligne Sylvain Gallais, pêcheur à Noirmoutier. "On va venir massacrer l'écosystème et la sardine va disparaître, tout simplement", craint de son côté Philippe Gendreau, directeur de la Conserverie Gendreau.
Le collectif "Touche pas à mes îles" s'intéresse de son côté à de potentielles alternatives : des éoliennes plus au large (environ 50 km) et sur des blocs flottants. "Pourquoi ne pas utiliser cette alternative innovante et française ? Et pourquoi mettre en place une technologie totalement obsolètes au détriment de deux îles Natura 2000 ?", se questionne Fabien Bougié, le porte parole du collectif.
Reportage d'Élodie Soulard et Damien Raveleaud, avec comme interlocuteurs :
Sylvain Gallais, patron pêcheur de l'Entêté
Philippe Gendreau, directeur de la Conserverie Gendreau
Fabien Bougié, porte-parole du collectif "Touche pas à nos îles"