Bonne lecture !
V&TAlain SUGUENOT : « L’alerte donnée sur l’éolien est le rôle de l’Association. Ce patrimoine intéresse le monde entier. Nous avons adopté une délibération du Conseil communautaire pour s’opposer au projet en l’état, notamment en raison des problèmes de co-visibilité et du manque de concertation de la société RES. »
Denis THOMAS : « Le Département de Côte-d’Or a adopté une résolution allant également dans ce sens. »
Le Préfet Fabien SUDRY : « J’ai naturellement bien perçu ces alertes. J’entends l’avis des collectivités concernées, qui pèse dans la procédure. Au moment du choix, j’aurais bien en tête cet enjeu de respect de la VUE. »
Le vent signifie alors que les éoliennes ensemble produisent parfois beaucoup plus d'électricité que ce dont les consommateurs ont besoin. Si la puissance excédentaire n'est pas déplacée ailleurs, comme dans de grandes zones industrielles du sud de l'Allemagne, en bref, une surchauffe problématique se produira dans les câbles ici au Danemark.
Le problème est si regrettable que l'Allemagne ne dispose pas d'un réseau électrique capable de transporter les grandes quantités d'électricité du nord de l'Allemagne vers l'industrie du sud de l'Allemagne. Par conséquent, paradoxalement, il est nécessaire d'éteindre certaines des éoliennes au Danemark. Cependant, les Allemands ne sont pas très disposés à arrêter leurs propres usines, car dans ce cas, ils recevront un droit punitif.
Par conséquent, il est plus avantageux pour les Allemands de donner aux autres un sac d'argent pour fermer leurs usines. En 2018, 190 millions de DKK ont été versés à eux seuls aux propriétaires d'éoliennes dans l'ouest du Danemark uniquement.
Extrait : C'est une demande de deux citoyens qui nous a mis sur la piste d'une histoire sur un marché de l'énergie où les propriétaires d'éoliennes sont payés pour éteindre les éoliennes.
Dans le cadre des plans visant à promouvoir les énergies renouvelables, les responsables mettent l’accent sur la production d’énergie éolienne en mer, avec l’objectif de produire jusqu’à 45 gigawatts dans les prochaines décennies.
« Ce but éolien est de produire plus pour consommer plus, alors qu’il serait raisonnable de commencer à penser à produire moins, mais mieux ». Se sentant très concernée par le projet d’éoliennes offshore au large de Groix, la Névézienne Marie-Christine Bernard, par ailleurs membre de l’association des PLUmés de Névez, a personnellement assisté à toutes les réunions à Lorient, ainsi qu’aux diverses visioconférences sur le sujet. Elle a aussi adressé un avis de sept pages à la Commission nationale du débat public (CNDP). Pour elle, la population n’a pas été réellement informée des données techniques de ce projet.
➤ Aux armes citoyens !
Pétition : Pour que les lois de la République s’appliquent aussi aux promoteurs éoliens !Suite à vos 1300 signatures de soutien face au drame que nous vivons à Echauffour (Orne) depuis plus de 490 jours et 491 nuits, nous avons envoyé la pétition à Madame la Préfète de l'Orne dans l'espoir de faire entendre nos demandes et nos droits :
- Mise à l'arrêt complet des 5 aérogénérateurs d'Echauffour dans l'attente du rapport d'étude acoustique de Voltalia (conforme aux demandes formulées par préfecture lors de la réunion du 15 juin 2020, c.a.d. un bridage au maximum pendant la nuit -98,5 dB- des cinq éoliennes).
- Analyse critique du rapport qui sera présenté par Voltalia par un expert indépendant de l'exploitant et ayant autorité auprès des tribunaux.
- Démontage complet des aérogénérateurs qui doivent être mis à l'arrêt pour revenir à des seuils d'émergences sonores légaux.
En bref, et pour résumer la situation, Voltalia, et son employé Venatech, s'étant aperçu que les émergences sonores produites par leurs 5 éoliennes dépassaient dangereusement les seuils légaux (même bridées au maximum - mode 98,5 dB- comme l'avait exigée la préfecture de l'Orne le 15 juin 2020), ils ont donc décidé de :
- Modifier d'eux-mêmes ce protocole : désormais, ils entendent poursuivre leurs mesures en mettant 2 éoliennes sur 5 à l'arrêt complet.
- Jeter à la poubelle les mesures précédentes (celles demandées précisément par la préfecture le 15 juin dernier) et ne pas en tenir compte dans leur rapport.
- Ne pas respecter le délai imposé par la préfecture dans son arrêté de mise en demeure (3 mois du 2/09 au 2/12/2020) et prolonger la campagne de mesure de 3 mois supplémentaires.
Plus c'est gros, plus ça passe, dit-on, mais là : C'en est trop! Nous refusons de nous laisser manipuler et d’en subir plus! Nous disons non!
Et oui, voilà! Aujourd’hui : « on est mal! », mais ce sont à nouveau les riverains de la zone éolienne que l'on méprise et qui doivent en assumer les conséquences.
Ce 11 décembre, nous avons reçu un simple courrier de Monsieur Charles Barbier, Secrétaire Général de la préfecture, nous informant que Madame la Préfète de l'Orne imposait désormais aux riverains de la zone éolienne d’Echauffour, la décision de Voltalia de poursuivre sa campagne de mesures nocturnes durant trois nouveaux mois, selon un nouveau protocole établi par l’exploitant et de ne pas prendre en compte les résultats de la précédente étude acoustique effectuée aux dates et selon le protocole exigés lors de la réunion en mairie d’Echauffour le 15 juin dernier, avant de faire l’objet d’un arrêté préfectoral de mise en demeure de l’exploitant, le 2 septembre 2020...
Aujourd’hui, Echauffour est donc devenu une zone de non-droit pour ses habitants!
Aujourd’hui, au pied des éoliennes installées au milieu du village d’Echauffour, il ne nous reste plus qu’un seul droit, naturel et imprescriptible celui-là, celui de résister à l’oppression que nous subissons.
Aujourd'hui, ce que nous vivons à Echauffour devient emblématique d'un combat qui doit nous mobiliser et nous unir à l'échelle nationale. Nous sommes désormais tous touchés et tous concernés par la même gangrène qui nous menace. Car, pour reprendre les mots de Serge Bernard dans les témoignages de notre pétition : « Le rural est devenu la variable d'ajustement des politiques publiques. Paris et les métropoles sont à l'abri des conséquences de leur gaspillage et mode de vie dispendieux. Le rural, lui, souffre : banalisation des paysages, dépoétisation du monde, nuisances de toutes sortes... Les ruraux, qui vivent dans la sobriété, ne se reconnaissent plus dans ce monde là, ces décideurs là, cette obsession technologique là... Ils font sécession... ATTENTION ! »
Merci de votre soutien! Nous continuons notre combat car nous n'avons pas d'autre choix.
Pour en savoir plus et pour signer, c'est ici :
https://www.change.org/
Collectif des riverains de la zone éolienne d'Echauffour (Orne)
Ils vous promettent des parcs, vous n'aurez que des zones.
Que se passerait-il si les 300 passagers d’un Airbus découvraient en vol que leurs pilotes n’ont aucun diplôme de pilotage et qu’ils ne vont donc pas savoir poser l’avion ? C’est exactement la situation des Français avec le nucléaire, car les équilibres énergétiques et la quantité de CO2 (gaz carbonique) ne relèvent pas du domaine des opinions mais du domaine de la science. Nous avons, en France, les meilleurs ingénieurs du monde, et nous confions le pilotage de l’énergie à des saltimbanques comme Hulot, à des béotiens, voire à une parfaite incompétente. Or, l’énergie nucléaire zéro fumée, zéro CO2, c’est l’énergie qui a fait le moins de morts dans l’Histoire de l’humanité. On peut dire que les anti-nucléaires nous ont bien bourré le crâne, mais ils mènent toute l’humanité à la catastrophe.
➤ Dans l’électricité, il y a beaucoup de nuances de vert
Extrait : Les fournisseurs multiplient les « offres vertes » censées fournir de l’électricité produite à partir d’énergies renouvelables. Mais ce n’est pas toujours le cas. La Commission de régulation de l’énergie réclame plus de transparence.