Ne m’parlez pas « d’environnement »
Quand vous pensez tout bas « Argent »
Montage : Abbeville Créations — Chanson : Nicolas Liénart
On troque le chemin préféré des enfants
Pour le profit banal d’un élu égoïste
C’est qu’il faut suivre le Grenelle de l’Argent
Et tant pis pour le bruit, les opposants, les risques…
On vend le paysage au plus offrant
Au motif d’un budget sans en avoir parlé
On n’se promènera plus jamais comme avant
Dans le vacarme de mon village défiguré
Un vent de colère souffle sur les plaines
Ne m’parlez pas « d’environnement »
Quand vous pensez tout bas « Argent »
C’est pas le Président ni le maire, c’est personne
Aucun n’assume être le Robin des vents
Mais tous complices ils partagent la couronne
Et l’avn’ir des enfants servi en argument
Trois branches se balancent sur les arbres gris
De votre bois mensonge qui s’étend en forêt
Pour seules feuilles mortes quelques chauves-souris
Sous des lames assassines négociées en secret
Un vent de colère monte sur les plaines
Contre la vue, les hurlements
Les insomnies et les truands…
Nous défendons un immense pot de terre
Qui a nourrit le monde, vu tomber ses armées
Des promoteurs bétonnent leurs pots de fer
Sous la bénédiction d’obéissants préfets…
Nous n’avons pas d’autre arme que nos mains
Pendant qu’ils nous facturent chaque mois un peu plus
Les grues en silence s’approchent des jardins
Pour les faire taire, faut-il que l’on nous tue ?
Un vent de colère gronde sur les plaines
Ce n’est pas ce que veulent les gens
A qui profitent-elles vraiment ?
A qui profitent-elles vraiment ?
Pour le profit banal d’un élu égoïste
C’est qu’il faut suivre le Grenelle de l’Argent
Et tant pis pour le bruit, les opposants, les risques…
On vend le paysage au plus offrant
Au motif d’un budget sans en avoir parlé
On n’se promènera plus jamais comme avant
Dans le vacarme de mon village défiguré
Un vent de colère souffle sur les plaines
Ne m’parlez pas « d’environnement »
Quand vous pensez tout bas « Argent »
C’est pas le Président ni le maire, c’est personne
Aucun n’assume être le Robin des vents
Mais tous complices ils partagent la couronne
Et l’avn’ir des enfants servi en argument
Trois branches se balancent sur les arbres gris
De votre bois mensonge qui s’étend en forêt
Pour seules feuilles mortes quelques chauves-souris
Sous des lames assassines négociées en secret
Un vent de colère monte sur les plaines
Contre la vue, les hurlements
Les insomnies et les truands…
Nous défendons un immense pot de terre
Qui a nourrit le monde, vu tomber ses armées
Des promoteurs bétonnent leurs pots de fer
Sous la bénédiction d’obéissants préfets…
Nous n’avons pas d’autre arme que nos mains
Pendant qu’ils nous facturent chaque mois un peu plus
Les grues en silence s’approchent des jardins
Pour les faire taire, faut-il que l’on nous tue ?
Un vent de colère gronde sur les plaines
Ce n’est pas ce que veulent les gens
A qui profitent-elles vraiment ?
A qui profitent-elles vraiment ?