Je m’appelle Marie et j’habite en Loire Atlantique, sur le secteur de Rouans-Sainte Pazanne. Mon fils de 8 ans est actuellement en rémission. Comme 20 de ses camarades du secteur, il a vaillamment lutté contre la maladie. Certains n’ont pas eu sa chance, et 5 d’entre eux sont aujourd’hui décédés, la plus jeune n’avait pas 4 ans.
Si je souhaite prendre la parole aujourd’hui c’est pour appeler à l’aide, et demander grâce. Lorsqu’on lutte pour la survie de son enfant, on a déjà un genou à terre. Lorsqu’on tente de comprendre pourquoi il y a autant de malades sur un même secteur, on dépose le second genou, et on courbe l’échine parce que toutes les portes se ferment autour de nous. Plus nous cherchons la vérité, et plus les barrières se dressent sur notre chemin. La santé des enfants passe bien après l’appât du gain, ce n’est un secret pour personne.
Et voilà qu’aujourd’hui un projet éolien doit être érigé au plus près de nos habitations. Dans les maisons alentours, il y a des enfants déjà malades. Autour de Sainte-Pazanne, la boucle des aérogénérateurs se referme, et ce n’est pas le principe de précaution qui arrête les promoteurs.
L’enquête publique du projet de Rouans s’achève dans deux jours. S’il vous plaît, aidez-nous à protéger nos enfants, arrêtons le massacre.
Donnez votre avis en écrivant au commissaire enquêteur :
enquete.parc.eolien.rouans@gmail.com
Je remercie infiniment toutes les personnes qui contribueront à nous aider.
Et voilà qu’aujourd’hui un projet éolien doit être érigé au plus près de nos habitations. Dans les maisons alentours, il y a des enfants déjà malades. Autour de Sainte-Pazanne, la boucle des aérogénérateurs se referme, et ce n’est pas le principe de précaution qui arrête les promoteurs.
L’enquête publique du projet de Rouans s’achève dans deux jours. S’il vous plaît, aidez-nous à protéger nos enfants, arrêtons le massacre.
Donnez votre avis en écrivant au commissaire enquêteur :
enquete.parc.eolien.rouans@gmail.com
Je remercie infiniment toutes les personnes qui contribueront à nous aider.
Témoignage recueilli par sioux berger
Le 23 juillet 2020
