France
✦ Deux-Sèvres : Brûlain : École, tarifs, éoliennes au conseil
Extrait : Éoliennes. La commune est, depuis quelques années, régulièrement sollicitée pour l’installation d’éoliennes sur son territoire et certains propriétaires ont déjà fait l’objet de démarchages directs. Le maire propose au conseil municipal qu’une réflexion ait lieu sur le sujet de l’éolien concernant le territoire de Brûlain et qu’une réunion des conseillers soit organisée à cet effet.
✦ Maine-et-Loire : Protéger la vallée de l’Anglin
Extrait : Des éoliennes à Ingrandes, Mérigny, Concremiers et Saint-Aigny, ainsi que des aménagements sur les bords de l’Anglin, inquiètent une association.
Des éoliennes prévues autour d’IngrandesJean-Claude Fillaud explique : « L’APVA a été fortement et agréablement surprise par les réserves posées à l’issue de cette enquête. Le combat pour conserver seuils et barrages de nos rivières étant de chaque jour. Deux problèmes sont apparus, majeurs : premièrement, le projet par des promoteurs d’installation d’éoliennes sur le territoire des communes de Concremiers, Ingrandes, Mérigny et Saint-Aigny ; deuxièmement, le projet d’aménagement de l’Anglin par le SMABCAC, un syndicat de rivières qui intervient sur les milieux aquatiques des bassins versants de la Creuse, de l’Anglin et de la Claise, avec notamment la destruction des écluses de Mérigny et de La Roche-Bellusson, propriétés de la commune de Mérigny. Cela a provoqué une levée de boucliers. Notre association a vu ses membres passer de vingt à cinq cents adhérents. Nous savons que le combat va continuer, nous sommes solidaires au sujet de l’éolien des communes qui nous sont voisines. La continuité écologique n’a de sens que dans le sein d’une politique de développement durable ». Cependant, l’association s’inquiète quant à la position de la municipalité et du SMABCAC concernant les deux seuils de Mérigny, près du pont et la Roche-Bellusson, menacés à ce jour d’abaissement (pour cause de pollution, notamment). Seuils, moulins, biefs, et ouvrages de génie civil comme ponts sont des patrimoines interdépendants, toucher les uns peut provoquer la fragilisation des autres.
APVA, courriel : apvabrenne@orange.fr
APVA, courriel : apvabrenne@orange.fr
Offshore
✦ Loire-Atlantique : Les Chantiers de l’Atlantique ont parié très tôt sur les sous-stations (article complet réservé aux abonnés)
Extrait : On l’ignore, mais les Chantiers de l’Atlantique sont à la fois un pionnier et l'un des piliers de la nouvelle filière industrielle française pour l’éolien en mer. A Saint-Nazaire, ils ont investi 20 millions d’euros dès 2014.
✦⛔Côtes d'Armor : Les grands dossiers qui vont marquer 2021 à Saint-Brieuc
Extrait : Parc éolien : premières installations d’éoliennes en mer
C’est le serpent de mer de la baie de Saint-Brieuc : l’implantation d’un parc éolien marin, porté par Ailes marines, ayant obtenu le feu vert du gouvernement en 2012 et étant constitué de 62 éoliennes offshore de 150 mètres de haut, pour une puissance de 496 mégawatts. Depuis quelques mois pourtant, le dossier s’accélère. Fin septembre 2020, la construction des supports a commencé à Brest. Les résultats des études d’impact ont été dévoilés début décembre. Et c’est en 2021, au printemps plus précisément, que le projet devrait amorcer sa concrétisation avec l’installation des premières éoliennes. Alors même que la fronde grandit de plus en plus contre cette implantation. Son évolution sera, elle aussi, à suivre en 2021. Le parc éolien, lui, est censé être opérationnel en 2023.
C’est le serpent de mer de la baie de Saint-Brieuc : l’implantation d’un parc éolien marin, porté par Ailes marines, ayant obtenu le feu vert du gouvernement en 2012 et étant constitué de 62 éoliennes offshore de 150 mètres de haut, pour une puissance de 496 mégawatts. Depuis quelques mois pourtant, le dossier s’accélère. Fin septembre 2020, la construction des supports a commencé à Brest. Les résultats des études d’impact ont été dévoilés début décembre. Et c’est en 2021, au printemps plus précisément, que le projet devrait amorcer sa concrétisation avec l’installation des premières éoliennes. Alors même que la fronde grandit de plus en plus contre cette implantation. Son évolution sera, elle aussi, à suivre en 2021. Le parc éolien, lui, est censé être opérationnel en 2023.
✦ L'Europe mise (presque) tout sur l'éolien offshore (article complet réservé aux abonnés)
Extrait : Bonne nouvelle pour les trois usines françaises de turbines et pales d’éoliennes en mer de GE Renewable Energy et Siemens Gamesa. Leur avenir ne dépendra pas que des 5,2 à 6,2 gigawatts (GW) que prévoit d’installer la France d’ici à 2028 dans sa nouvelle feuille de route énergie, la PPE.
RTE
✦ Production d'électricité par filière : 01/01/2021
✦ Belgique
➾ NASSOGNE : Une commission «éoliennes» (article complet réservé aux abonnés)
Extrait : Depuis 2019, plusieurs projets éoliens ont été introduits sur l’entité de Nassogne. La Commune a créé une commission éoliennes.
✦ BRUIT : la recherche ouvre la voie au changement de la réglementation des émissions sonores des éoliennes
Extrait : Un certain nombre d'articles ont été publiés en 2020 qui aident à faire progresser les connaissances sur l'impact environnemental des émissions sonores des éoliennes et soulignent la nécessité d'un examen et d'un changement de la réglementation en Ontario, ainsi que de l'application de tous les règlements. Alors que le personnel du ministère de l'Environnement, de la Conservation et des Parcs insiste sur le fait qu'il suit et évolue avec la recherche actuelle, les conclusions tirées du nouveau travail montrent que ce n'est clairement pas vrai.De plus, un travail important est effectué par des chercheurs indépendants - des gens qui savent qu'il y a un grave problème d'émissions sonores des éoliennes et qui font ce qu'ils peuvent pour savoir pourquoi… et ce qu'il faut faire.
Réclamations des résidents prouvées par les données
Au début de l'année, le chercheur indépendant William Palmer P. Eng a publié « Confirming Tonality at Residences Influenced by Wind Turbines » dans le Journal of Energy Conservation . L'article est basé sur la recherche de l'auteur sur les plaintes des résidents concernant la qualité tonale du bruit perçu par les turbines d'une installation éolienne de 140 turbines en Ontario. La recherche est basée sur plus de 200 échantillons de données provenant de deux familles. Voici la chose: les données de Palmer ont confirmé une corrélation entre les mesures de tonalité de 5 dB à plus de 20 dB dans plus de 84% du temps. En d'autres termes, les plaintes des résidents concernant la qualité tonale du bruit ont été confirmées par des mesures réelles.
Cette corrélation, a écrit Palmer, et le fait qu'aucun des échantillons que les résidents ont dit qu'il n'était pas tonal n'a pas été démontré comme étant tonale «donne un degré élevé de confiance que lorsque les résidents ont identifié l'existence de la tonalité (ce qu'ils avaient fait depuis l'arrivée des turbines mise en service en 2015) était en effet une description précise.
Palmer a discuté d'un certain nombre de problèmes avec le protocole de conformité actuel et les procédures de mesure du bruit prescrits par la réglementation ontarienne, y compris l'utilisation de niveaux de bruit pondérés A, qui a été critiquée dans d'autres travaux, y compris des rapports de l'Organisation mondiale de la santé et du Conseil des académies canadiennes. . En Ontario, dit Palmer, «le principal critère d'acceptabilité du son reçu par les résidents des éoliennes a été basé sur le niveau de bruit pondéré A, la présence tonale ne nécessitant qu'un petit ajustement». Cependant, ajoute Palmer, il ne trouve aucun exemple de son application.
Un autre défaut spécifique, note-t-il, est que le protocole de conformité pour le bruit des éoliennes consiste à surveiller les conditions des vents à environ 45 degrés de la turbine qui a le plus grand impact sonore prévu. Dans le cas des maisons utilisées dans ses recherches, cela signifiait que pour une maison, il était présumé qu'il y avait «peu de bruit ou de bruit» lorsque le vent soufflait de l'ouest ou pas d'impact lorsque le vent venait de l'est. En fait, les occasions où les vents venaient de ces directions représentaient en fait 74 des 111 enregistrements de bruit irritant ou dérangeant, soit environ 67% du temps.
Au début de l'année, le chercheur indépendant William Palmer P. Eng a publié « Confirming Tonality at Residences Influenced by Wind Turbines » dans le Journal of Energy Conservation . L'article est basé sur la recherche de l'auteur sur les plaintes des résidents concernant la qualité tonale du bruit perçu par les turbines d'une installation éolienne de 140 turbines en Ontario. La recherche est basée sur plus de 200 échantillons de données provenant de deux familles. Voici la chose: les données de Palmer ont confirmé une corrélation entre les mesures de tonalité de 5 dB à plus de 20 dB dans plus de 84% du temps. En d'autres termes, les plaintes des résidents concernant la qualité tonale du bruit ont été confirmées par des mesures réelles.
Cette corrélation, a écrit Palmer, et le fait qu'aucun des échantillons que les résidents ont dit qu'il n'était pas tonal n'a pas été démontré comme étant tonale «donne un degré élevé de confiance que lorsque les résidents ont identifié l'existence de la tonalité (ce qu'ils avaient fait depuis l'arrivée des turbines mise en service en 2015) était en effet une description précise.
Palmer a discuté d'un certain nombre de problèmes avec le protocole de conformité actuel et les procédures de mesure du bruit prescrits par la réglementation ontarienne, y compris l'utilisation de niveaux de bruit pondérés A, qui a été critiquée dans d'autres travaux, y compris des rapports de l'Organisation mondiale de la santé et du Conseil des académies canadiennes. . En Ontario, dit Palmer, «le principal critère d'acceptabilité du son reçu par les résidents des éoliennes a été basé sur le niveau de bruit pondéré A, la présence tonale ne nécessitant qu'un petit ajustement». Cependant, ajoute Palmer, il ne trouve aucun exemple de son application.
Un autre défaut spécifique, note-t-il, est que le protocole de conformité pour le bruit des éoliennes consiste à surveiller les conditions des vents à environ 45 degrés de la turbine qui a le plus grand impact sonore prévu. Dans le cas des maisons utilisées dans ses recherches, cela signifiait que pour une maison, il était présumé qu'il y avait «peu de bruit ou de bruit» lorsque le vent soufflait de l'ouest ou pas d'impact lorsque le vent venait de l'est. En fait, les occasions où les vents venaient de ces directions représentaient en fait 74 des 111 enregistrements de bruit irritant ou dérangeant, soit environ 67% du temps.
✦ Un examen des expériences vécues après les appels des installations éoliennes à l'échelle industrielle de l'Ontario
Extrait : Cet article est un examen des rapports d'expériences vécues par des résidents des régions rurales / petites villes de l'Ontario, au Canada, et une comparaison avec les préoccupations soulevées lors des appels parrainés par les citoyens concernant les approbations de projets d'énergie éolienne à l'échelle industrielle.✦ Confirmer la tonalité dans les résidences influencées par les éoliennes
Extrait : Depuis 5 ans, depuis le démarrage d'un réseau de 140 éoliennes, les résidents ont déposé des plaintes auprès du ministère de l'Environnement de l'Ontario (l'organisme de réglementation) et de K2 Wind (l'exploitant). Les résidents se sont plaints du fait que les turbines produisent un son tonal et que l'irritation que cela a produit a eu un impact sur leur sommeil, leur santé et la jouissance de leur propriété. Pour confirmer la tonalité des éoliennes, cette recherche a examiné plus de 200 exemples de données provenant de deux familles.https://openaccesspub.org/jec/article/1359
Divers
https://www.revolution-energetique.com/pourquoi-ce-barrage-hydroelectrique-alsacien-ninteresse-personne/
✦ D’où vient la chaleur de la terre ?
✦ Vosges : Pourquoi ce barrage hydroélectrique alsacien n’intéresse personne ?
Extrait : À l’abandon, le vieux barrage du lac Noir en Alsace attend depuis près de 20 ans sa renaissance. Alors qu’il permettrait de stocker de l’électricité renouvelable, aucun énergéticien ne souhaite le rénover ni l’exploiter. Une situation surprenante à l’ère de la transition écologique.✦ La fusion nucléaire est-elle la solution face à l'urgence climatique ?
Extrait : Sparc, c'est le nom de ce réacteur compact à fusion nucléaire, ressemblant étrangement au nom du réacteur créé dans la saga Iron Man de l'univers Marvel. Pas de science-fiction, les récentes études à ce sujet sont prometteuses sur sa capacité à produire de l'électricité d'ici la fin de la décennie.Sur les réseaux sociaux
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