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| Cantal |
https://www.lardennais.fr/id402689/article/2022-08-29/le-mat-de-mesure-pour-les-eoliennes-terre-chagny
https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/soudan-44110/pres-de-chateaubriant-decouvrez-l-un-des-premiers-parcs-eoliens-de-loire-atlantique-382cd1aa-26cd-11ed-8cae-e3adf90350f9
https://www.lemondedelenergie.com/pour-que-aventure-eolien-en-mer-soit-succes-national/2022/08/29/
Extrait : Le Danemark va augmenter la capacité de son parc éolien offshore prévu sur l’île de Bornholm pour atteindre 3 GW, afin de pouvoir injecter le surplus de production vers le réseau électrique allemand.
https://www.enerzine.com/demarrage-du-plus-grand-parc-eolien-offshore-decosse-et-le-plus-profond-du-monde/40709-2022-08
Extrait : Dans les derniers jours de janvier, un travailleur livrant des engrais à une ferme dans les collines du comté de Sherman a trouvé des boulons cassés de taille industrielle sur le sol près de l'une des imposantes éoliennes de Portland General Electric.
Il était perplexe car il allait de soi que les boulons étaient tombés de la machine.
Personne ne l'a vu. Personne ne l'a entendu.
La pale, aussi haute qu'un immeuble de 11 étages et pesant plus de quatre Toyota Camry, s'élevait sur toute la longueur d'un terrain de football. Elle a creusé un sillon de 4 pieds de profondeur dans le chaume de blé où elle a finalement atterri.
Des boulons robustes qui maintenaient autrefois la pale attachée à la tour dispersés autour de la base de la turbine comme des éclats d'obus, certains pénétrant profondément dans le sol.
https://www.transitionsenergies.com/hydroelectricite-une-production-historiquement-faible/
Merci de transmettre cette information à tous vos contacts médias, aux élus de votre département et de la relayer à vos connaissances. Il s'agit d'une information critique
(Le texte de ce CP et la lettre FED adressée au Ministre de l'Intérieur sont attachés à ce communiqué)
Absence de plan de sécurité du territoire en cas de black-out
La France risque de connaitre des black-out cet hiver si les réacteurs nucléaires actuellement à l’arrêt ne sont pas remis en route immédiatement. La capacité actuelle de la filière n’est plus que de 22.000 MW soit 30.000 MW de moins que durant les périodes de froid de janvier 2017 et février 2018 ou le réseau a failli disjoncter.
Étant donné qu'une pénurie générale d’électricité se confirme en Europe, une telle quantité d’électricité risque d’être introuvable sur le marché spot même au prix astronomique prévu de 1000€ le MWh, chaque pays privilégiant en premier sa sécurité d’approvisionnement.
La Fédération Environnement Durable qui a pour objet de lutter contre toute atteinte à la sécurité ou à la santé des personnes exposées aux énergies renouvelables, constate que le gouvernement se focalise sur un développement de ces énergies renouvelables au détriment de l’essentiel c’est-à-dire des besoins réels de la population et d'un prochain hiver sans black-out.
La Fédération Environnement Durable demande que des mesures exceptionnelles soient prises en urgence pour que les toutes les centrales de production d’électricité à l’arrêt soient remises en fonctionnement dans les plus bref délais en donnant les moyens techniques et financiers à EDF pour y parvenir, et par une lettre du 25 août 2022 adressée au Ministre de l'Intérieur d'établir un plan de sécurité civile « ORSEC Black-out » et de le communiquer à l’ensemble de la population, ce qui ne semble pas cas actuellement.
Lettre au Ministre de l'intérieur concernant la sécurité du territoire (ci-jointe)
Depuis plusieurs semaines le gouvernement Suisse alerte la population et prend des mesures de sécurité dans l’éventualité de pannes générales d’électricité (Black-out) cet hiver. Dans un scénario apocalyptique décrivant les conséquences de cette éventualité, les médias suisses évoquent des risques de pillages et mentionnent que la Suisse se prépare à des actions extrêmes en cas de pénurie.
Bien que la France soit en principe hors de danger selon les déclarations récentes de Mme Borne Premier ministre, de Mme Pannier-Runacher Ministre de la Transition énergétique et des responsables du Réseau de transport d’électricité, Il n’en reste pas moins que les moyens de production de la France se trouvent actuellement en sérieuses difficultés suite aux conséquences de la sécheresse sur les réserves d’eau des barrages et du fait de l’état du parc nucléaire français, une trentaine de réacteurs sur 56 étant à l'arrêt fin juillet.
https://www.tdg.ch/la-suisse-
Jean-Louis Butré
PrésidentFédération Environnement Durable
http://environnementdurable.
contact@environnementdurable.
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Estimation du risque de black-out cet hiver
Les graphiques de RTE montrent la situation de la production actuelle de l'électricité et celle de janvier 2017 et de février 2018 durant les vagues de froid moyennes ( -5 à-10 degrés) qui s'étaient abattues sur la France. RTE avait annoncé durant ces périodes que la consommation pouvait dépasser 100.000 MW et que 1 degré en moins de température extérieure correspondait à 2.400 MW en plus à trouver.
Le nucléaire pouvait assurer autour de 53.000 MW en fonction des 3 ou 4 réacteurs
à l'arrêt pour maintenance
Si l'hiver prochain le froid s'installe au même niveau et si les 32 réacteurs ne repartent pas immédiatement, la filière nucléaire ne fournira plus que 23.000 MW au réseau ce qui représente un déficit de 30.000 MW par rapport à son fonctionnement en 2017 et 2018.
Importer une telle quantité sur le marché parait impossible même au prix prévu de 1000€ le MWh ce qui correspondrait à un deficit de 5 milliards d'euros par semaine pour la France.
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Le 26 août 2022 8h 45 le total de la production et des importations d’électricité a atteint 51.815 MW. Le nucléaire a contribué à hauteur de 22.735 MW et pour faire face à la consommation la France a importé 10.059 MW (à 585€ le MWh)
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Le 20 janvier 2017 à 8h 45 le total de production+ importation d’électricité a atteint
94.167 MW.Le nucléaire a contribué à hauteur de 55.819 MW et les importations de
4.656 MW 
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Le 26 février 2018 à 19h 15 le total de production+ importation d’électricité a atteint 91.248 MW. Le nucléaire a contribué à hauteur de 51.729 MW et les importations de 1.911 MW
Absence de plan de sécurité du territoire en cas de black-out
En écoutant les sirènes des médias, on pourrait croire le contraire.
Mais la France est un bon élève pour la protection de l’environnement.
La France est le grand pays industrialisé le moins émetteur de CO2 avec 4,6 tonnes de CO2/hab.
C’est également le 4ème pays le plus écologique au monde, derrière l’Islande, le Danemark et la Norvège.
La raison est que notre pays a mis l’accent sur des technologies de pointe en matière de production d’électricité décarbonée.
Grâce au nucléaire (73% de notre électricité) et aux énergies renouvelables (17%) principalement l’hydroélectricité, elle arrive sur le peloton de tête.
Aujourd’hui, 90% de notre électricité est décarbonée. Un record en Europe !
L’électricité n’est pas la seule source d’énergie.
Mais la production d’électricité reste une source secondaire d’approvisionnement énergétique.
En effet, l’électricité n’est que 25% de notre consommation énergétique !
La majorité (65%) vient des énergies fossiles comme le pétrole et le gaz.
Cela est nécessaire pour les transports (42% des gaz à effet de serre), le chauffage résidentiel (22,8%) et les industries (environ 30%).
La solution est donc de faire passer massivement ces secteurs à l’électrique, nettement moins producteur de gaz à effet de serre.
L’enjeu actuel est donc :
De transférer la consommation d’énergie fossile vers l’électricité.
D’augmenter la production d’électricité décarbonée pour répondre à cette demande.
Moins d’idéologie et plus de réalisme.
Cela fait des années qu’en France on parle de supprimer le nucléaire.
Rappelez-vous, François Hollande et même Emmanuel Macron au début de sa présidence parlaient de réduire drastiquement cette production.
Mais il est utopique de voir un remplacement 100% renouvelable réaliste aujourd’hui.
Il faut 55 km2 de panneaux pour compenser la production d’une centrale nucléaire.
…ou plus de 7.000 éoliennes pour compenser une centrale d’ancienne génération comme celle de Fessenheim.
Et c’est sans tenir compte :
du renouvellement des panneaux ou des éoliennes, chaque 15-25 ans.
que cette énergie est intermittente (fluctuante)
qu’elle produit de l’énergie grise lors de la production des panneaux/éoliennes et pour le recyclage des anciens panneaux/pales.
qu’il faut aussi stocker cette énergie intermittente pour la dépenser aux heures de pointe et en hiver.
Les énergies renouvelables sont en constante amélioration mais sont encore très loin de pouvoir être autre chose qu’un complément à la production nationale.
C'est encore une fois, une démonstration des réalistes.
Malheureusement, les utopiques font beaucoup plus de bruit que les réalistes.
Les anti-nucléaires sont surtout des idéalistes qui ignorent la réalité.
Le réchauffement climatique est sans doute l’un des plus grands défis du 21e siècle.
Et si nous voulons éviter la catastrophe, il faudra augmenter notre production électrique.
Les français ne sont pas tous déconnectés de la réalité.
Nous sommes conscients de l’importance de l’utilisation de technologie moderne de production électrique comme le nucléaire.
Cette fierté technologique française devrait être mise en avant et promue.
C’est pourquoi, il faut qu’un plan d’action clair et rapide soit mis en place pour soutenir la production électrique nucléaire de notre pays et de l’Union Européenne.
Lien: Pétition - Les Lignes Bougent.
Pour notre part l'Association "LES GARDIENS DU LARGE" affirme que l'éolien n'est pas une "énergie propre", contrairement à ce que l'on croit: Intermittente, irrégulière, non prédictible, non pilotable et non stockable. L'électricité éolienne n'est vraiment produite que par grand vent. En effet, ce n'est pas parce qu'une éolienne tourne, qu'elle produit: elle n'atteint jamais sa puissance annoncée et sa production est nulle ou dérisoire la plupart du temps (quand le vent mollit de moitié, l'éolienne produit 8 fois moins). De plus, quand le vent manque, les 2/3 du temps, l'électricité éolienne nécessite le démarrage de centrales brûlant du charbon ou du gaz pour éviter les coupures. D'où la création de la centrale à gaz de Landivisiau, nous concernant.
L'éolien est donc de l'électricité qui aggrave le bilan carbone.
A quantité d'électricité produite égale, les usines éoliennes coûtent beaucoup plus cher que le nucléaire, tout cela pour une électricité peu fiable, incapable de nous alimenter sans être mixée avec celle des centrales polluantes et en aucun cas capable d'assurer notre indépendance énergétique.
Soutenues artificiellement à coups de dizaines de milliards d'€uros par nous, les contribuables et consommateurs, les usines éoliennes ne font qu'enrichir les multinationales de l'énergie tout en dégradant: environnement, paysages et climat...
L'éolien ne crée pas d'emploi espéré, il en détruit même.
Les machines sont le plus souvent fabriquées et installées par de grands groupes étrangers. Leur entretien ne nécessite que quelques employés.
L'éolien détruit notre économie locale traditionnelle. D'immenses étendues parmi les plus poissonneuses seront interdites à la pêche, mais aussi à la navigation.
La surface de la zone retenue pour le parc éolien en Bretagne Sud, dans le Morbihan, au large de: Belle-Île en Mer, Groix, Quiberon... est de: 130 km2, c'est une fois et demi la surface de Belle-Île qui représente 86 km2.
Notre tourisme est prospère parce que nous lui offrons la nature intacte que nous avons su préserver. Nos côtes sont classées et protégées, nos sites sont remarquables et enviés, nos paysages sont uniques. Ne les laissons pas être saccagés !
L'éolien en mer, c'est aussi la certitude de dégâts environnementaux que nous ne savons pas encore mesurer :
Aucune étude scientifique actuelle n'est en mesure de prévoir les conséquences désastreuses de cette industrialisation inédite de la mer sur les écosystèmes, la biodiversité et même sur le climat local.
Laisserez-vous détruire nos paysages emblématiques pour finalement dégrader le climat et enrichir les multinationales ?
Aucun projet n'est inéluctable.
Soyons déterminés à transmettre à nos générations futures, la nature intacte que nos aînés ont su préserver.
Rejoignez-nous, regroupons-nous, adhérez !
Tous ensemble, nous pouvons mettre un terme à ces projets d'implantation de premières usines d'éoliennes flottantes (62) de 260 m de hauteur, entre 15 et 22 km de la côte sauvage de Belle-Île.
Merci pour votre soutien !
Association LES GARDIENS DU LARGE
Après 6 années de parutions quotidiennes, une pause s'impose.
Merci pour vos échanges, pour vos participations, vos encouragements.
Merci pour votre fidélité tout au long de ces années.
V & T
