Stop à l'éolien industriel

Stop à l'éolien industriel
Un fléau d'une ampleur internationale s'abat, depuis quelques années, sur notre pays. Aidés par nos élus, les promoteurs éoliens se sont accaparés nos territoires et nos vies. Devant le massacre de notre patrimoine, un vent de colère s'élève partout sur l'hexagone. Il est grand temps de dire "STOP" à ce carnage.

samedi 30 juin 2018

Pyrénées-Orientales : Le collectif « Le vent tourne » souhaite saisir l'opinion - Réquisitoire contre les éoliennes en Pays Catalan

https://www.la-clau.net/info/11936/requisitoire-contre-les-eoliennes-en-pays-catalan-11936

La multiplication des parcs éoliens dans les Pyrénées-Orientales n'est pas du goût du collectif « Le vent tourne », qui lance le slogan « Touche pas à mon Canigou » pour dénoncer les projets en cours.


En Pays Catalan, l'implantation d'éoliennes développe des oppositions, désormais consignées sur un dossier complet. Ce document de 53 pages, conçu par le collectif « Le vent tourne 66 », a été communiqué le 28 juin. Il contient plus une quarantaine de documents, rappels de prises de position, afin de rappeler à l'opinion la chronologie de la fronde. Cet important travail d'investigation aborde les réalisations en fonctionnement et fournit des images virtuelles de paysages souillés, depuis le prieuré de Serrabonne, la commune de Passa, le pied du massif des Corbières et celui du Canigou. La liste des institutions engagées ou rétives envers les projets éoliens, particulièrement les mairies et intercommunalités des Pyrénées-Orientales, est également dressée. Cette analyse exhaustive sanctuarise le territoire, envisagé comme destination touristique dépourvue d'activités industrielles.

Dénonciation du « Parc éolien catalan »
Ce dossier à charge dénonce l'actuel Parc éolien catalan, mis en place par EDF sur demande de la métropole Perpignan Méditerranée. Cet ensemble productif précède une autre réalisation, nommée « zone industrielle éolienne » par les opposants. Ce dispositif d'autonomie énergétique doit comporter des appareils de 130 à 150 mètres de hauteur, soit « 170 mètres au dessus du niveau de la mer », indique le collectif. Ce rapport, adressé aux élus des Pyrénées-Orientales, aux parlementaires et à la presse parisienne, est téléchargeable sur le lien suivant.