Stop à l'éolien industriel

Stop à l'éolien industriel
Un fléau d'une ampleur internationale s'abat, depuis quelques années, sur notre pays. Aidés par nos élus, les promoteurs éoliens se sont accaparés nos territoires et nos vies. Devant le massacre de notre patrimoine, un vent de colère s'élève partout sur l'hexagone. Il est grand temps de dire "STOP" à ce carnage.

samedi 7 janvier 2017

Éoliennes et élevages de moutons en Australie


http://fr.friends-against-wind.org/testimonies/eoliennes-et-elevages-de-moutons-en-australie


Sénat australien, 30 mars 2015,Victoria


"Le troupeau le plus proche des éoliennes avait agnelé avec un taux de seulement 37 pour cent, alors qu’ordinairement nous avions une moyenne de 85 pour cent pour nos mérinos."
"On a eu la même expérience. Dans l’enclos des nôtres, qui est à 90 m d’une éolienne, où on avait toujours des taux de naissances de 85 %, nous avons eu entre 5 et 7 pour cent la première année d’exploitation des éoliennes. Inutile de dire qu’on ne fait plus agneler dans cet enclos !"
Les extraits de témoignages traduits ci-dessous ont été déposés par des citoyens le 30 mars 2015, face à la commission du sénat australien qui enquêtait sur la gestion réglementaire et l’impact économique des éoliennes industrielle.

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Traduit de l’anglais par Friends Against Wind

Témoignage de M. Rogerson :

Bon après-midi, à Monsieur le Sénateur Madigan et aux membres de la commission d’enquête.

Ma femme et moi, sommes des fermiers de troisième génération et nous vivons près des 32 éoliennes du parc éolien d’Oaklands Hill à Glenthompson, Victoria, exploité par AGL. Notre maison est à 2,5 km et le hangar de nos moutons à laine à 1,7 km de l’éolienne la plus proche, dans une zone considérée comme à haut risque d’incendie à cause de sa situation à proximité du parc national des Grampians. Le parc éolien d’Oacklands Hill, qui est situé sur la ligne de crête d’un terrain accidenté dans un secteur salin que l’érosion creuse de galeries, sur un volcan éteint, a commencé à fonctionner en août 2011.

En septembre 2011, l’un de nos chiens de berger a été très malade. Peu après, nous deux avons commencé à ressentir un changement dans notre forme physique. J’ai commencé à me réveiller subitement la nuit avec des palpitations cardiaques, et ma femme a commencé à souffrir de bourdonnements et de vibrations dans les oreilles et à se réveiller souvent la nuit. Nous l’avons signalé à AGL, et ils ont réalisé des mesures de bruit à la bergerie et à notre domicile. AGL identifia ce qu’ils appelèrent un problème de tonalité lors des vents de trois à cinq mètres par seconde. Ils ont construit de nouveaux chenils près de la maison (afin d'éloigner les chiens des éoliennes - ils étaient auparavant à côté de la bergerie - note du traducteur). À partir du 14 mars 2012, neuf éoliennes à l’ouest de la route Caramut-Glenthompson ont été arrêtées la nuit de 8 heures du soir à 7 heures du matin, heure de l’est de l’Australie. En avril 2012, nous avons trouvé des agneaux malformés, ce que nous n’avions jamais vu auparavant pendant toutes nos années d’élevage. Lors de la commercialisation, nous avons remarqué que le troupeau le plus proche des éoliennes avait agnelé avec un taux de seulement 37 pour cent, alors qu’ordinairement nous avions une moyenne de 85 pour cent pour nos mérinos.

AGL nous a dit : « Nous allons mettre des amortisseurs sur les boîtes de vitesse des éoliennes pour arranger le problème de tonalité et remettre en route à pleine capacité en novembre 2013. » Quoi qu’il en soit, ça ne s’est pas fait. Mais vendredi dernier, le 25 mars 2015, les éoliennes ont toutes été remises en activité la nuit, après trois ans d’arrêt. Tant que les éoliennes ont été arrêtées la nuit, nous avons été capables de survivre et de travailler dans notre ferme. Même si les problèmes d’oreilles de ma femme et mes palpitations ont subsisté. Nos chiens de troupeau n’ont pas non plus complètement récupéré, leur personnalité et leur aptitude au travail sont restées nettement altérées. Et malgré tous les efforts que nous avons faits pour réduire les effets, en éloignant nos brebis pleines du parc éolien, il y a encore d’évidentes malformations.

Il y a un énorme problème entre les parcs éoliens et la vie. Les effets sont débilitants. L’Agence nationale de Santé doit enquêter dans nos exploitations et faire quelque chose au sujet des nuisances que nous devons endurer. En effet, il y a un réel besoin que, dans toute l’Australie, les éoliennes soient arrêtées la nuit pour assurer l’essentiel de la vie : le sommeil. Les recommandations courantes sur les parcs éoliens sont basées sur des critères dépassés et inappropriés, avec des mesures inexistantes pour les infrasons, les bruits de basse fréquence et les vibrations. On peut difficilement admettre qu’on construise des parcs éoliens là où ils génèrent des effets négatifs sur les humains et les animaux, et ont des impacts géologiques et environnementaux (y compris des risques d’incendie), et que dangereusement, on considère cela comme ayant malgré tout un bilan positif.
Merci.


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Questions des sénateurs à M. Rogerson et Mme Gardner :

Sénateur Canavan : M. Rogerson, avez-vous eu d’autres discussions avec AGL ? C’est bien la compagnie qui vous impacte ?

M. Rogerson : Oui. Ils ont fait des vidéos de l’agneau.

Sénateur Canavan : Avez-vous abordé la question des compensations pour l’impact sur votre activité ?

M. Rogerson : Non.

Sénateur Canavan : Vous n’avez pas du tout eu de discussions à ce sujet ? Ils n’acceptent pas qu’il y ait un lien direct entre les éoliennes et le pourcentage d’agnelage ?

M. Rogerson : Non, ils ne l’acceptent pas. Mais ils ont encore la vidéo, c’est eux qui l’ont prise.

Sénateur Canavan : Une vidéo de quoi ?

M. Rogerson
: Des agneaux malformés.

Sénateur Canavan : Je veux juste mettre cela au clair : à votre avis, il y a un impact tant sur le pourcentage que sur les malformations ?

M. Rogerson : Oui

Sénateur Canavan : Est-ce que vous pouvez donner un chiffre approximatif du pourcentage ? Est-ce que ce pourcentage ne comprend que les naissances, ou est-ce qu’il tient compte des malformations ?

M. Rogerson : C’est sans tenir compte des malformations.

Sénateur Canavan : Est-ce que ça s’est réduit ? Et après que vous ayez déduit ce pourcentage, il y a aussi l’impact sur les agneaux qui sont incapables de vivre.

M. Rogerson : Nous faisons nos pourcentages quand nous marquons nos agneaux.

Sénateur Back : Et ce sont des enclos que vous avez utilisés pendant des années.

M. Rogerson : Oui, c’est ça.

Sénateur Back : Vous n’avez pas changé tout à coup et mis le troupeau des brebis pleines sous les éoliennes ?

M. Rogerson : Non, pas du tout. Ce qu’on doit faire maintenant, c’est éloigner notre troupeau, nos brebis reproductrices, de ce secteur et les mettre dans une autre partie de la propriété. Et c’est ce qu’on a essayé de faire.

Sénateur Canavan : Et chez vous, Mme Gardner, c’est la même chose ?

Mme Gardner : On a eu la même expérience. Dans l’enclos des nôtres, qui est à 90 m d’une éolienne, où on avait toujours des taux de naissances de 85 %, nous avons eu entre 5 et 7 pour cent la première année d’exploitation des éoliennes. Inutile de dire qu’on ne fait plus agneler dans cet enclos !

Sénateur Back : C’est descendu de cinq à sept pour cent ?

Mme Gardner : Non, non, seulement cinq pour cent.

Sénateur Back : D’agneaux marqués ?

Mme Gardner : Tout à fait. J’ai parlé à un voisin qui est de l’autre côté du parc éolien, et il a dit : « Eh bien, j’ai eu exactement la même chose ! » Il avait moins de 10 %. Mais bien entendu, il n’y a pas de contrôle. On ne va pas continuer à faire agneler dans cet enclos, parce que c’était une telle perte financière que nous avons tout simplement abandonné l’enclos.

Sénateur Canavan
: Si je comprends bien, vous avez déménagé votre site d’agnelage.

Mme Gardner : Oui.
[...]
Mme Gardner : … Je ne peux même pas rentrer dans cet enclos ; le bruit, la vibration – juste le vrombissement.


Ce texte est un extrait traduit en français des pages 45, 46, 58 et 59 de la version intégrale en anglais disponible dans le procès verbal suivant : http://fr.friends-against-wind.org/doc/Senate%20Select%20Committee%20on%20Wind%20Turbines_2015_03_30_3357_Official.pdf

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Autres Articles :
Les éoliennes font-elles chuter la production des vaches laitières ?

  • Par Thierry Bonte, 
  • publié le 
Un éleveur de la Somme porte plainte contre un opérateur éolien qu'il accuse d'être responsable de la baisse de rendement de ses vaches laitières. L'implantation récente d'un parc éolien à proximité de son exploitation serait à l'origine de la dégradation de la santé de son cheptel.
Un éleveur de la Somme accuse les éoliennes d'être à l'origine de la dégradation de la santé de son troupeau de vaches laitières.
Yann Joly n'avait a priori rien d'un anti-éolien. L'éleveur qui possède un troupeau de 250 vaches laitières au Boisle (80) a toutefois commencé à s'inquiéter lorsque ses bêtes ont cessé de s'abreuver régulièrement. Ses craintes ont été renforcées quand il s'est aperçu que le rendement laitier des ruminantes était en chute libre. "En 2011, après l'installation des douze premières éoliennes, la production est passé de 10 000 litres par vache à l'année à 7000 litres. La situation s'est aggravée après le doublement du nombre de mâts en 2013 et on est alors tombé à 5000 litres."
Une catastrophe pour cet exploitant qui fait alors procéder aux analyses vétérinaires qui cependant ne décèlent rien. Il fait alors venir un géobiologue qui intervient sur le terrain sans parvenir à trouver une solution. En procédant par élimination, il se forge un conviction. Ce sont les 24 éoliennes situées à 1,8 km de son élevage qui sont la cause de la dégradation de la santé de son cheptel. Yann Joly a finalement décidé de porter plainte contre la société qui a implanté les éoliennes et réclame 265 000 euros de dommages et intérêts.

COMMUNIQUÉ DE PRESSE, 7 juin 2014
1 600 fausses couches dans un élevage de visons proche d’éoliennes
Danemark: 1 600 animaux sont nés prématurément ce mois ci dans une « ferme à fourrures ». Beaucoup avaient des difformités, et la plupart étaient mort-­nés. L’absence de globes oculaires était la malformation la plus fréquente. Les vétérinaires excluent la nourriture et les virus comme causes possibles. La seule chose qui a changé à la ferme depuis l’année dernière a été l’installation de quatre grandes éoliennes à une distance de 328 mètres.

Le parc éolien est composé de quatre turbines de 3 MW, Vestas modèle V112, atteignant les 140 mètres de haut à l’extrémité des pales. Quand il est entré en fonction l’automne dernier, un premier incident a été signalé par l’éleveur de visons, qui a été entendu à ce sujet par une commission parlementaire sur les parcs éoliens en janvier de cette année (1). Le Conseil mondial pour la nature (WCFN) avait signalé l’incident: « Au Danemark, qui est le premier éleveur de visons de l’Union européenne, des millions de couronnes danoises ont été perdues en peaux endommagées lorsque des éoliennes ont commencé à fonctionner à proximité d’une ferme à visons. Les animaux sont devenus agressifs, s’attaquant les uns les autres, et il y eut de nombreux morts « (2).
Les deux incidents sont alarmants, car ils constituent une preuve concluante que les éoliennes sont nuisibles à la santé des animaux vivant dans leur voisinage. Et ils ne sont pas les seuls. Dans la lettre mentionnée ci­dessus, WCFN a cité plusieurs d’entre eux, menant tous à la conclusion que les vibrations à basse fréquence émises par les éoliennes peuvent avoir des effets graves sur la santé, y compris une modification du comportement, des malformations, des fausses couches et des naissances prématurées (2).
Il va sans dire que les humains sont exposés aux mêmes risques. Compte tenu de ce nouvel élément de preuve, mentir au public en prétendant que les éoliennes sont sans danger pour la santé est un acte criminel. Les politiciens et les complices de l’industrie éolienne qui, comme les souvent cités Mike Barnard ou Simon Chapman, nient les risques pour la santé, sont désormais susceptibles d’être poursuivis en justice avec succès par les victimes de parcs éoliens. Il en est de même pour les gouvernements, qui refusent toujours de mesurer les infrasons émis par les éoliennes modernes.
Il est en effet criminel de nier les risques pour la santé lorsqu’il y a tant de preuves, à commencer par les études officielles publiées dans les années 1980, qui ont été rangées au fond d’un tiroir afin de protéger l’industrie éolienne (3). Dr Sarah Laurie, directrice générale de la Fondation Waubra, a écrit: « Dr Kelley et ses collègues à l’Institut de recherche en énergie solaire aux USA, qui est étroitement lié avec le ministère de l’Énergie des États­Unis et la NASA, ont identifié en 1985 que la source de la gêne pour les résidents vivant à proximité d’une éolienne expérimentale à pales sous le vent, étaient « les infrasons pulsés et les sons de basse fréquence, qui résonnent dans les structures des habitations » « (4).
L’industrie éolienne, leurs amis au gouvernement, et les professionnels soucieux de leurs propres intérêts liés aux énormes subventions, tous se sont employés à nier les problèmes de santé causés par les éoliennes. Mais il y a maintenant des preuves suffisantes pour justifier:
1. Un moratoire sur les parcs éoliens,
2. Des études épidémiologiques complètes,
3. La quantification des vibrations émises par les éoliennes, telles que mesurées à l’intérieur des maisons des riverains, la nuit quand il y a du vent, englobant toutes les fréquences jusqu’à 0,1 Hz.
Si des mesures de protection pour la santé des riverains ne sont pas prises, les gouvernements seront susceptibles d’être poursuivis pour dommages et intérêts, et des accusations criminelles pourraient être portées contre les décideurs.
Le Conseil mondial pour la nature espère que la classe politique s’attaquera à ce problème de santé publique sérieusement, plus qu’il ne l’a fait pour la conservation de la faune ailée, par exemple. Nous avons dénoncé auparavant, sans succès, le fait que les gouvernements sacrifient chaque année plus de 100 millions d’oiseaux et de chauves-­souris sur l’autel de cette énergie coûteuse, intermittente, et de valeur pratique douteuse (5). Nous ne pouvons donc que prier pour que la santé humaine reçoive davantage de considération de la part de nos dirigeants.
Contact presse : Mark Duchamp

References:
(1) – www.maskinbladet.dk/artikel/tidligere-miljominister-vil-aendre-vindmollebekendtgorelse
– Autre article sur le premier incident, avec sa traduction, + video en danois; et rapport du vétérinaire, avec sa traduction, sur le deuxième incident, celui des fausses-couches (mai 2014): DOCUMENTS (en danois et anglais)
(2) – wcfn.org/2014/03/31/windfarms-vertebrates-and-reproduction
(3) – Kelley, N et al, 1985 “Acoustic Noise associated with Mod 1 Turbine; its source, impact and control”
waubrafoundation.org.au/resources/kelley-et-al-1985-acoustic-noise-associated-with-mod-1-wind…
Kelley, N 1987 “A Proposed Metric for Assessing the Potential of Community Annoyance from Wind Turbine Low-Frequency Noise Emissions”
waubrafoundation.org.au/resources/1987-problem-with-low-frequency-noise-from-wind-turbines…
Hubbard, H 1982 “Noise Induced House Vibrations and Human Perception” (1982) 19:2 Noise Control Engineering Journal 49
waubrafoundation.org.au/resources/hubbard-h-1982-noise-induced-house-vibrations-human-perception
(4) – waubrafoundation.org.au/resources/laurie-s-wind-turbine-noise-adverse-health-effects-and…
(5) – wcfn.org/2014/05/21/bullet-news-3

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Vent debout face aux éoliennes
Publié par JEAN-PHILIPPE ARNAUD le 12/09/14


Deux éleveurs de Puceul et de Saffré subissent dans leurs élevages des nuisances qui seraient causées par des éoliennes voisines.
Des problèmes en rafale
À l’instar de Don Quichotte et de Sancho Panza qui combattaient les moulins à vent, deux agriculteurs du canton de Nozay, Didier Potiron et Céline Bouvet, sont en lutte contre les éoliennes. Enfin, pas exactement contre les éoliennes, qu’ils ont volontiers acceptées sur leurs terrains, mais plutôt contre leurs effets non désirés.
Tout a débuté en octobre 2012. À l’époque, le projet du parc éolien des Quatre Seigneurs, validé par le préfet quelques mois auparavant, en est aux fondations. « C’est à partir de là que nous avons connu les premiers soucis dans l’élevage », révèle Didier Potiron. « Mais nous ne nous sommes rendu compte, bien après, que cela pouvait en être la cause ». Baisse de production, montée du nombre de cellules, problèmes comportementaux des animaux deviennent alors récurrents. En juin 2013, les éoliennes entrent en service… et les difficultés s’accentuent. « Nous avons rencontré de manière inexpliquée des difficultés de vêlage avec des vaches pas dilatées, des non-délivrances, mais aussi des problèmes cardiaques ou respiratoires ». Chez Céline Bouvet, les effets sont différents mais tout aussi graves : mammites en série, vaches refusant d’entrer dans les bâtiments ou dans la salle de traite, …
Contre vents et marées
Les deux éleveurs commencent à soupçonner les éoliennes durant l’été 2013, après qu’un vétérinaire ait évoqué l’éventualité de nuisances électriques. Le vent n’aurait-il pas seulement pour effet d’écorner les bœufs ? Interpellée, la société qui exploite l’ouvrage mandate alors des géobiologues. Le géobiologue exerce un métier méconnu et non reconnu, qui consiste à expertiser les lieux probables de perturbations électromagnétiques et à mettre en œuvre des solutions adaptées. En se rendant sur le site, Luc Leroy et Philippe Dugast pensent qu’ils doivent employer les grands moyens. « Nous devons élargir la zone de recherche pour trouver l’origine du problème car les éoliennes ne sont sans doute qu’un élément déclencheur », analysent-ils. Selon eux, « décaler de quelques mètres l’implantation de certaines éoliennes du parc aurait certainement permis d’éviter des conséquences aussi fâcheuses ». Car le nœud du problème semble être le réseau de failles d’eau, très développé dans le secteur. Sans véritables fondements scientifiques, ces pratiques restent confidentielles, même si les deux géobiologues affirment « avoir beaucoup de travail ».
N’en déplaise aux sceptiques, Didier Potiron et Céline Bouvet veulent pourtant y croire. Ils espèrent d’ailleurs que des règles de construction plus draconiennes soient prises à l’avenir pour autoriser de tels ouvrages. Saisis par les deux éleveurs, la FNSEA 44, JA 44 et la chambre d’agriculture ont décidé d’analyser la problématique, en recensant notamment des cas similaires dans le département. Les personnes concernées sont invitées à se faire connaître auprès de la chambre d’agriculture au 02 53 46 60 01.



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Eoliennes et chevaux :


http://www.turn180.ie/2013/03/23/can-wind-turbines-cause-developmental-deformities-in-horses/ (Voici un article concernant les différents effets des éoliennes sur les chevaux. Etude faite par l'Université de Lisbonne au Portugal donc faite de manière scientifique.)
« J’habite à environ 10 km d’éoliennes, je pensais être à l’abri, je me trompais. »
« S’il vous plaît, prenez le cas des infrasons au sérieux lors de la révision des directives européennes sur la pollution sonore. »
"...Je mène des recherches sur les effets des infrasons sur les animaux ici en Finlande.
J’ai reçu des appels d’agriculteurs et il semble que les éoliennes causent de nombreuses fausses couches et avortements chez les vaches et les visons. Il y a une augmentation des cas de mort subite chez les porcs. Des poulains naissent avec des malformations. Les vaches, les chiens et les visons n’ont plus de chaleurs, ils n’ont plus d’attirance sexuelle, ce qui signifie que moins d’animaux naîtront dans les fermes dans un futur proche..."