BELGIQUE
Voir les articles précédents sur "Belgique" (I) et (II)
Voir les articles suivants sur "Belgique" (IV)
29/06/19 : Le permis des deux éoliennes d’Ophain est annulé
Après trois ans, les riverains opposants au projet ont gagné devant le Conseil d’Etat
La saga des éoliennes d’Ophain, qui avait connu quelques épisodes à rebondissements en 2015 et 2016, se poursuit. Ou se termine, si les espoirs des riverains opposés au projet du promoteur éolien Aspiravi se confirment. Le permis accordé en recours par le ministre Carlo Di Antonio vient en effet d’être annulé par le Conseil d’Etat.
On se souviendra qu’en 2015, malgré une opposition marquée des habitants dès les premières réunions d’information, Aspiravi avait introduit une demande pour implanter deux éoliennes de 150 mètres de haut à proximité de l’échangeur entre l’autoroute E19 et le Ring 0.
Une pétition contre le projet avait réuni des centaines de signatures durant l’enquête publique et des avis négatifs avaient été remis par les collèges communaux de Braine-l’Alleud, de Nivelles, de Braine-le-Château et de Waterloo. La question de la visibilité depuis la butte du Lion se posait, et la Commission royale des monuments, sites et fouilles s’était également prononcée défavorablement.
Finalement, les fonctionnaires délégué et technique avaient refusé le permis en mars 2016. Le promoteur était allé en appel auprès du ministre et à la surprise générale, en août 2016, le ministre Carlo Di Antonio avait accordé le permis.
D’où un recours au Conseil d’Etat des riverains. C’est cette procédure qui vient de se clôturer il y a quelques jours, avec une annulation du permis octroyé par le ministre, pour des motifs assez techniques mais qui, comme on le devine, réjouissent les opposants.
Ceux-ci soulignent notamment la mobilisation efficace des riverains et le rôle de la commune, qui a soutenu le recours qu’ils avaient introduit au Conseil d’Etat.
https://www.dhnet.be/regions/brabant/waterloo-braine/le-permis-des-deux-eoliennes-d-ophain-est-annule-5d163e9b9978e215c70b88d8
28/06/19 : La pénurie d'électricité belge plus importante que prévu
Une nouvelle étude du gestionnaire du réseau de transport d’électricité Elia relance le débat sur la fermeture des centrales nucléaires en Belgique. Il est urgent de trouver une solution. Des ruptures d’approvisionnement sont à craindre dès 2023.
Depuis quelques années, avec la régularité d’une horloge atomique, l’approche de l’hiver est marquée par des communiqués alarmistes nous annonçant une pénurie d’électricité imminente, des black-out et des coupures de courant dans de grandes parties du pays.
L’hiver dernier, la mise en œuvre d’un plan de délestage semblait même inévitable lorsque six des sept centrales nucléaires belges ont été mises à l’arrêt en raison de problèmes de béton et de fuites dans certaines conduites. Pour faire face à la situation, il a fallu rouvrir temporairement de vieilles centrales au gaz et recourir à des générateurs fonctionnant au diesel. Engie Electrabel a même envisagé de mettre en service des bateaux à vapeur.
28/06/19 : La pénurie d'électricité belge plus importante que prévu
Une nouvelle étude du gestionnaire du réseau de transport d’électricité Elia relance le débat sur la fermeture des centrales nucléaires en Belgique. Il est urgent de trouver une solution. Des ruptures d’approvisionnement sont à craindre dès 2023.
Depuis quelques années, avec la régularité d’une horloge atomique, l’approche de l’hiver est marquée par des communiqués alarmistes nous annonçant une pénurie d’électricité imminente, des black-out et des coupures de courant dans de grandes parties du pays.
L’hiver dernier, la mise en œuvre d’un plan de délestage semblait même inévitable lorsque six des sept centrales nucléaires belges ont été mises à l’arrêt en raison de problèmes de béton et de fuites dans certaines conduites. Pour faire face à la situation, il a fallu rouvrir temporairement de vieilles centrales au gaz et recourir à des générateurs fonctionnant au diesel. Engie Electrabel a même envisagé de mettre en service des bateaux à vapeur.
3.900 MÉGAWATTS
D'après Elia, notre pays aura besoin, à l’horizon de 2025, de 3.900 mégawatts de capacité supplémentaire pour remplacer les centrales nucléaires, ce qui correspondent à cinq à dix nouvelles centrales au gaz.
Inutilement alarmiste
Le week-end dernier, le communiqué salutaire est enfin arrivé: "Le parc nucléaire d’Electrabel est de nouveau en ordre de marche." L’organisme fédéral de surveillance du secteur de l’énergie, la Creg, a publié le lendemain une étude tout aussi rassurante. Ce rapport concluait que, cet hiver, la Belgique n’avait jamais été exposée réellement au risque de se retrouver dans le noir. Même avec six centrales nucléaires aux "raccordés absents", notre pays disposait encore d’une capacité de réserve de 3.700 mégawatts, l’équivalent de près de quatre centrales nucléaires.
Ce n’était pas la première fois qu’on criait au loup. Après coup, les avertissements se sont toujours avérés inutilement alarmistes. La lumière ne s’est jamais éteinte et nous avons toujours réussi à trouver quelque part une centrale à faire fonctionner plus longtemps que prévu.
D'après Elia, notre pays aura besoin, à l’horizon de 2025, de 3.900 mégawatts de capacité supplémentaire pour remplacer les centrales nucléaires, ce qui correspondent à cinq à dix nouvelles centrales au gaz.
Inutilement alarmiste
Le week-end dernier, le communiqué salutaire est enfin arrivé: "Le parc nucléaire d’Electrabel est de nouveau en ordre de marche." L’organisme fédéral de surveillance du secteur de l’énergie, la Creg, a publié le lendemain une étude tout aussi rassurante. Ce rapport concluait que, cet hiver, la Belgique n’avait jamais été exposée réellement au risque de se retrouver dans le noir. Même avec six centrales nucléaires aux "raccordés absents", notre pays disposait encore d’une capacité de réserve de 3.700 mégawatts, l’équivalent de près de quatre centrales nucléaires.
Ce n’était pas la première fois qu’on criait au loup. Après coup, les avertissements se sont toujours avérés inutilement alarmistes. La lumière ne s’est jamais éteinte et nous avons toujours réussi à trouver quelque part une centrale à faire fonctionner plus longtemps que prévu.
"Nous serons prêts" (Marghem)
Interrogée ce matin sur La Première, la ministre fédérale de l'Énergie veut relativiser: "On peut toujours s'inquiéter, tout le monde s'inquiète. Vous savez, c'est une posture. Il faut rester raisonnable. Elia sait très bien, la CREG (Commission de Régulation de l'Électricité et du Gaz, ndlr) aussi, mon administration, mon cabinet et tous ceux qui travaillent dans le comité de suivi 'mécanique de rémunération de la capacité' que si nous continuons à travailler comme nous le faisons maintenant, nous serons prêts pour lancer les premiers marchés publics en 2021, c'est le but".
Interrogée ce matin sur La Première, la ministre fédérale de l'Énergie veut relativiser: "On peut toujours s'inquiéter, tout le monde s'inquiète. Vous savez, c'est une posture. Il faut rester raisonnable. Elia sait très bien, la CREG (Commission de Régulation de l'Électricité et du Gaz, ndlr) aussi, mon administration, mon cabinet et tous ceux qui travaillent dans le comité de suivi 'mécanique de rémunération de la capacité' que si nous continuons à travailler comme nous le faisons maintenant, nous serons prêts pour lancer les premiers marchés publics en 2021, c'est le but".
Dans les années qui viennent, cette situation pourrait cependant changer fondamentalement. Si la loi sur la sortie du nucléaire prescrit la fermeture, d’ici à la fin de 2025, de la dernière des centrales nucléaires belges, notre pays n’est pas encore prêt, et de loin, à combler le trou.
Le temps presse
Le gestionnaire du réseau à haute tension Elia publie ce vendredi une étude longtemps attendue qui montre que notre pays aura besoin, à l’horizon de 2025, de 3.900 mégawatts de capacité supplémentaire pour remplacer les centrales nucléaires. La Belgique ne dispose plus que de cinq ans pour assurer un surcroît de production équivalant à quatre centrales nucléaires.
Le temps presse alors que les besoins en capacité supplémentaire sont plus importants que prévu. Il y a trois ans, Elia les avait chiffrés à 3.600 mégawatts pour combler le vide laissé par la fermeture de toutes nos centrales nucléaires. Mais, entre-temps, nos pays voisins vont également mettre à l’arrêt des installations atomiques.
La Belgique devra donc compter davantage sur elle-même durant les froides journées d’hiver. L’Allemagne fermera ses dernières centrales nucléaires en 2022 et accélère le démantèlement de ses centrales au charbon. En fin de compte, notre grand voisin oriental devra importer plus de courant électrique qu’il n’en exportera.
La France suit le même chemin. Au moment des pics de consommation, quand les risques de pénurie sont les plus élevés, nous ne pourrons donc plus nous approvisionner autant qu’avant en Europe de l’Ouest.
Le temps presse
Le gestionnaire du réseau à haute tension Elia publie ce vendredi une étude longtemps attendue qui montre que notre pays aura besoin, à l’horizon de 2025, de 3.900 mégawatts de capacité supplémentaire pour remplacer les centrales nucléaires. La Belgique ne dispose plus que de cinq ans pour assurer un surcroît de production équivalant à quatre centrales nucléaires.
Le temps presse alors que les besoins en capacité supplémentaire sont plus importants que prévu. Il y a trois ans, Elia les avait chiffrés à 3.600 mégawatts pour combler le vide laissé par la fermeture de toutes nos centrales nucléaires. Mais, entre-temps, nos pays voisins vont également mettre à l’arrêt des installations atomiques.
La Belgique devra donc compter davantage sur elle-même durant les froides journées d’hiver. L’Allemagne fermera ses dernières centrales nucléaires en 2022 et accélère le démantèlement de ses centrales au charbon. En fin de compte, notre grand voisin oriental devra importer plus de courant électrique qu’il n’en exportera.
La France suit le même chemin. Au moment des pics de consommation, quand les risques de pénurie sont les plus élevés, nous ne pourrons donc plus nous approvisionner autant qu’avant en Europe de l’Ouest.
D’ici à 2023, le nouveau dispositif de soutien mis en place par le gouvernement Michel n’aura pas encore permis de construire une nouvelle capacité de production d’électricité.
Situation critique
L’étude d’Elia révèle aussi que la Belgique sera sans doute confrontée à des problèmes plus tôt que prévu. En octobre 2022, Doel 3 sera la premièrecentrale à être mise à l’arrêt. Tihange 2 suivra en février 2023. La fermeture des deux "centrales à fissures" est acquise. Nous serons donc privés à coup sûr de 2.000 mégawatts, soit un tiers du parc nucléaire. La situation risque de devenir critique puisque d’importantes centrales chez nos voisins fermeront au même moment.
Qui plus est, d’ici à 2023, le nouveau dispositif de soutien mis en place par le gouvernement Michel n’aura pas encore permis de construire une nouvelle capacité de production d’électricité. La fermeture des cinq centrales nucléaires restantes en 2025 exige de prévoir une capacité de remplacement suffisante. Le mécanisme d’aide du gouvernement vise à encourager des investisseurs à fournir ces nouvelles installations de production. À cet égard, on pense surtout à la construction de centrales au gaz modernes.
Les 3.900 mégawatts nécessaires, selon Elia, correspondent à cinq à dix nouvelles centrales au gaz, en fonction de leur taille. Elles ne doivent pas nécessairement sortir de terre. D’anciennes centrales peuvent être modernisées. Et des solutions alternatives créatives sont envisagées. Par exemple, la modulation de la demande. Ce dispositif consiste à indemniser les grands consommateurs industriels d’électricité qui acceptent d’arrêter temporairement leur production. Cela pourrait constituer une partie de la solution.
Situation critique
L’étude d’Elia révèle aussi que la Belgique sera sans doute confrontée à des problèmes plus tôt que prévu. En octobre 2022, Doel 3 sera la premièrecentrale à être mise à l’arrêt. Tihange 2 suivra en février 2023. La fermeture des deux "centrales à fissures" est acquise. Nous serons donc privés à coup sûr de 2.000 mégawatts, soit un tiers du parc nucléaire. La situation risque de devenir critique puisque d’importantes centrales chez nos voisins fermeront au même moment.
Qui plus est, d’ici à 2023, le nouveau dispositif de soutien mis en place par le gouvernement Michel n’aura pas encore permis de construire une nouvelle capacité de production d’électricité. La fermeture des cinq centrales nucléaires restantes en 2025 exige de prévoir une capacité de remplacement suffisante. Le mécanisme d’aide du gouvernement vise à encourager des investisseurs à fournir ces nouvelles installations de production. À cet égard, on pense surtout à la construction de centrales au gaz modernes.
Les 3.900 mégawatts nécessaires, selon Elia, correspondent à cinq à dix nouvelles centrales au gaz, en fonction de leur taille. Elles ne doivent pas nécessairement sortir de terre. D’anciennes centrales peuvent être modernisées. Et des solutions alternatives créatives sont envisagées. Par exemple, la modulation de la demande. Ce dispositif consiste à indemniser les grands consommateurs industriels d’électricité qui acceptent d’arrêter temporairement leur production. Cela pourrait constituer une partie de la solution.
Dans le passé, la Creg a réfuté dans plusieurs études les mises en garde d’Elia en estimant que le gestionnaire du réseau se montrait beaucoup trop prudent dans ses calculs.
Enchères en 2021 seulement
Les premières enchères destinées à octroyer une aide pour créer de nouvelles capacités n’auront lieu qu’au début de 2021. Il faut d’abord en fixer les modalités. Et l’Europe doit encore donner son feu vert au mécanisme de rémunération de capacité (MRC). Différents opérateurs ont déjà déclaré leur ambition de construire des centrales au gaz. Mais si les premières enchères ne sont organisées qu’en 2021, ces investisseurs devront cravacher pour être prêts en 2025. Comme la pénurie menace dès 2023, différents opérateurs énergétiques plaident en faveur d’une accélération de l’aide afin que notre pays soit prêt au moment de la sortie totale du nucléaire.
Creg moins inquiète qu'Elia
Tout le monde n’est pourtant pas convaincu de l’ampleur du problème. Dans le passé, la Creg a réfuté dans plusieurs études les mises en garde d’Elia en estimant que le gestionnaire du réseau se montrait beaucoup trop prudent dans ses calculs. Dans son rôle d’exploitant du réseau à haute tension, Elia a intérêt à ce que la capacité soit plus que suffisante. Mais la Creg estime qu’un excès de capacité a un coût. L’organisme de régulation estime ainsi que l’approvisionnement ne serait pas mis en péril avec une capacité moindre.
Lorsqu’Elia avait déclaré, il y a trois ans, que 3.600 mégawatts seraient nécessaires en termes de nouvelle capacité, la Creg avait qualifié ce chiffre de surestimation. Certains spécialistes de l’énergie abondent dans ce sens en faisant remarquer que le pays n’a jamais connu de problème sérieux l’hiver dernier alors même que nous ne pouvions compter que sur une centrale nucléaire en état de marche. C’est le signe, selon eux, que la sortie du nucléaire sera moins difficile qu’annoncé.
Une autre question importante reste à régler: pendant combien d’heures par an une capacité supplémentaire serait-elle nécessaire? Il serait insensé de construire des centrales au gaz pour ne servir d’appoints que quelques heures par an, pendant des journées d’hiver exceptionnellement froides, quand la consommation atteint un pic. En revanche, si ces centrales au gaz s’avèrent très concurrentielles et peuvent fournir de l’électricité à l’étranger, leur rentabilité peut être assurée.
Enchères en 2021 seulement
Les premières enchères destinées à octroyer une aide pour créer de nouvelles capacités n’auront lieu qu’au début de 2021. Il faut d’abord en fixer les modalités. Et l’Europe doit encore donner son feu vert au mécanisme de rémunération de capacité (MRC). Différents opérateurs ont déjà déclaré leur ambition de construire des centrales au gaz. Mais si les premières enchères ne sont organisées qu’en 2021, ces investisseurs devront cravacher pour être prêts en 2025. Comme la pénurie menace dès 2023, différents opérateurs énergétiques plaident en faveur d’une accélération de l’aide afin que notre pays soit prêt au moment de la sortie totale du nucléaire.
Creg moins inquiète qu'Elia
Tout le monde n’est pourtant pas convaincu de l’ampleur du problème. Dans le passé, la Creg a réfuté dans plusieurs études les mises en garde d’Elia en estimant que le gestionnaire du réseau se montrait beaucoup trop prudent dans ses calculs. Dans son rôle d’exploitant du réseau à haute tension, Elia a intérêt à ce que la capacité soit plus que suffisante. Mais la Creg estime qu’un excès de capacité a un coût. L’organisme de régulation estime ainsi que l’approvisionnement ne serait pas mis en péril avec une capacité moindre.
Lorsqu’Elia avait déclaré, il y a trois ans, que 3.600 mégawatts seraient nécessaires en termes de nouvelle capacité, la Creg avait qualifié ce chiffre de surestimation. Certains spécialistes de l’énergie abondent dans ce sens en faisant remarquer que le pays n’a jamais connu de problème sérieux l’hiver dernier alors même que nous ne pouvions compter que sur une centrale nucléaire en état de marche. C’est le signe, selon eux, que la sortie du nucléaire sera moins difficile qu’annoncé.
Une autre question importante reste à régler: pendant combien d’heures par an une capacité supplémentaire serait-elle nécessaire? Il serait insensé de construire des centrales au gaz pour ne servir d’appoints que quelques heures par an, pendant des journées d’hiver exceptionnellement froides, quand la consommation atteint un pic. En revanche, si ces centrales au gaz s’avèrent très concurrentielles et peuvent fournir de l’électricité à l’étranger, leur rentabilité peut être assurée.
Il serait insensé de construire des centrales au gaz pour ne servir d’appoints que quelques heures par an (...). En revanche, si ces centrales au gaz s’avèrent très concurrentielles et peuvent fournir de l’électricité à l’étranger, leur rentabilité peut être assurée.
Plus question de tergiverser
Certains tirent de l’étude d’Elia la conclusion que la prolongation d’une ou de deux centrales nucléaires sera inévitable. D’autres estiment que notre pays a encore le temps de se préparer à la sortie du nucléaire sans risquer de plonger ses habitants dans le noir et/ou le froid. Mais tout le monde s’accorde à dire qu’il n’est plus question de tergiverser. "Nous en sommes toujours au même point qu’il y a trois ans , regrette un proche du dossier. Entre-temps, nous nous rapprochons toujours plus du jour où nous fermerons toutes les centrales nucléaires et les solutions alternatives ne sont pas prêtes."
Plus question de tergiverser
Certains tirent de l’étude d’Elia la conclusion que la prolongation d’une ou de deux centrales nucléaires sera inévitable. D’autres estiment que notre pays a encore le temps de se préparer à la sortie du nucléaire sans risquer de plonger ses habitants dans le noir et/ou le froid. Mais tout le monde s’accorde à dire qu’il n’est plus question de tergiverser. "Nous en sommes toujours au même point qu’il y a trois ans , regrette un proche du dossier. Entre-temps, nous nous rapprochons toujours plus du jour où nous fermerons toutes les centrales nucléaires et les solutions alternatives ne sont pas prêtes."
28/06/19 : Le permis unique des deux éoliennes d'Ophain annulé par le Conseil d'Etat
Le permis unique octroyé en recours par le gouvernement wallon pour construire deux éoliennes à Ophain (Braine-l'Alleud), vient d'être annulé par le Conseil d'Etat.
Les riverains qui se sont opposés au projet ont obtenu gain de cause, alors que le promoteur éolien Aspiravi comptait installer deux éoliennes de 150 mètres de hauteur à proximité de l'échangeur entre l'autoroute E19 et le ring 0. La commune de Braine-l'Alleud et d'autres collèges communaux avaient rendu un avis négatif, suivi par les fonctionnaires technique et délégué, mais le permis avait été octroyé en août 2016.
Aspiravi avait déposé une demande de permis unique pour ces deux éoliennes en 2015, et avait dû faire face à une importante opposition durant l'enquête publique. En plus des centaines de signatures sur la pétition initiée par certains riverains, les collèges communaux de Braine-l'Alleud, Nivelles, Waterloo et Braine-le-Château avaient tous rendu un avis défavorable. Tout comme la Commission royale des monuments, sites et fouilles, les deux éoliennes étant visibles depuis le champ de bataille de Waterloo et se trouvant à proximité d'autres sites classés.
Le ministre régional compétent avait cependant, à la surprise des opposants et des communes, octroyé sur recours le permis unique sollicité par le promoteur éolien. Les opposants avaient introduit un recours au Conseil d'Etat et la commune de Braine-l'Alleud est intervenue dans la procédure.
La plus haute juridiction administrative a suivi un des arguments techniques des opposants, concernant l'impact d'une éolienne sur les habitations les plus proches et l'arrêt rendu cette semaine annule l'arrêté régional octroyant le permis unique à Aspiravi.
https://www.lalibre.be/regions/brabant/le-permis-unique-des-deux-eoliennes-d-ophain-annule-par-le-conseil-d-etat-5d1643ba9978e215c70bfb40
26/06/19 : Explosion contrôlée d'une bombe de 1000 kilos en mer du Nord
Mission accomplie pour les marines belge et néerlandaise. Elles ont fait exploser une bombe de 1000 kilos au large des côtes, une bombe datant de la deuxième guerre mondiale. "Cette bombe a été découverte quand un navire a perdu à peu près 400 de ces containers lors d’une tempête", explique le commandant Olivier Vogels. "Pour les récupérer, les Pays-Bas ont loué un navire de sondage et c’est comme cela que toute une série de bombes et de torpilles ont été repérées. […] La bombe se trouvait tout près d’un câble et pour éviter les dégâts au câble, les plongeurs, à l’aide d’un ballon, l’ont déplacée hier un peu plus loin". Cette bombe se trouvait tout près du port d’Anvers. Selon le commandant en second Arnaud, la munition représentait un danger même s’il n’était pas immédiat. " Après autant d’années, les systèmes d’enclenchement ne peuvent plus être activés donc ça ne peut plus directement impacter un navire qui passerait au-dessus d’elle. En revanche, c’est un danger lorsque l’on vient installer des éoliennes ou des câbles".
Sécurisation d’un endroit de passage
Cette action de déminage commune n’est pas une première. Les deux pays collaborent déjà depuis longtemps pour assurer un accès sécurisé aux ports de Gand et d’Anvers. De nombreux explosifs des deux guerres se trouvent encore dans la mer or l’endroit est très fréquenté. La Manche et la mer du Nord enregistrent quotidiennement plus de 1000 mouvements de navire, ce qui en fait l’une des routes maritimes les plus fréquentées au monde. 85% de toutes les marchandises qui arrivent en Belgique sont transportées par voie maritime. Un passage stratégique !
26/06/19 : Explosion contrôlée d'une bombe de 1000 kilos en mer du Nord
Mission accomplie pour les marines belge et néerlandaise. Elles ont fait exploser une bombe de 1000 kilos au large des côtes, une bombe datant de la deuxième guerre mondiale. "Cette bombe a été découverte quand un navire a perdu à peu près 400 de ces containers lors d’une tempête", explique le commandant Olivier Vogels. "Pour les récupérer, les Pays-Bas ont loué un navire de sondage et c’est comme cela que toute une série de bombes et de torpilles ont été repérées. […] La bombe se trouvait tout près d’un câble et pour éviter les dégâts au câble, les plongeurs, à l’aide d’un ballon, l’ont déplacée hier un peu plus loin". Cette bombe se trouvait tout près du port d’Anvers. Selon le commandant en second Arnaud, la munition représentait un danger même s’il n’était pas immédiat. " Après autant d’années, les systèmes d’enclenchement ne peuvent plus être activés donc ça ne peut plus directement impacter un navire qui passerait au-dessus d’elle. En revanche, c’est un danger lorsque l’on vient installer des éoliennes ou des câbles".
Sécurisation d’un endroit de passage
Cette action de déminage commune n’est pas une première. Les deux pays collaborent déjà depuis longtemps pour assurer un accès sécurisé aux ports de Gand et d’Anvers. De nombreux explosifs des deux guerres se trouvent encore dans la mer or l’endroit est très fréquenté. La Manche et la mer du Nord enregistrent quotidiennement plus de 1000 mouvements de navire, ce qui en fait l’une des routes maritimes les plus fréquentées au monde. 85% de toutes les marchandises qui arrivent en Belgique sont transportées par voie maritime. Un passage stratégique !
https://www.rtbf.be/info/societe/detail_explosion-controlee-d-une-bombe-de-1000-kilos-en-mer-du-nord?id=10256274
25/06/19 : Une 5e éolienne en projet sur le site du futur parc éolien de Grandrieu
Alors que le chantier des quatre premières éoliennes de Grandrieu (Sivry-Rance) n’est même pas encore terminé, un projet d’extension pour une 5e éolienne est à l’étude. Les habitants de Sivry-Rance auront jusqu’au 9 juillet pour se prononcer sur cette extension.
25/06/19 : Une 5e éolienne en projet sur le site du futur parc éolien de Grandrieu
Alors que le chantier des quatre premières éoliennes de Grandrieu (Sivry-Rance) n’est même pas encore terminé, un projet d’extension pour une 5e éolienne est à l’étude. Les habitants de Sivry-Rance auront jusqu’au 9 juillet pour se prononcer sur cette extension.
À peine les travaux lancés pour le grand projet de construction d’éoliennes sur les hauteurs de Grandrieu (Sivry-Rance) qu’une extension est déjà en projet. Un agrandissement du futur parc éolien qui verra notamment l’ajout d’une cinquième éolienne aux quatre en cours d’installation.
Une grande présentation du projet a eu lieu ce lundi. « C’est le début officiel de l’étude d’incidence environnementale », avoue Marie Claret, chef de projet.
Un nouveau mât qui permettrait la production de maximum 3,6 MW supplémentaires aux 10 MW déjà prévus pour les quatre premières éoliennes.
►Les habitants peuvent déposer leurs avis à l’administration communale
A l’heure actuelle, le projet des quatre premières éoliennes est en pause en raison des problèmes financiers de la société chargée de la livraison des éoliennes.
►Un crowdlending est envisagé mais rien n’est encore concret
► Le développement de l’éolien est inscrit dans la politique communale
Une grande présentation du projet a eu lieu ce lundi. « C’est le début officiel de l’étude d’incidence environnementale », avoue Marie Claret, chef de projet.
Un nouveau mât qui permettrait la production de maximum 3,6 MW supplémentaires aux 10 MW déjà prévus pour les quatre premières éoliennes.
►Les habitants peuvent déposer leurs avis à l’administration communale
A l’heure actuelle, le projet des quatre premières éoliennes est en pause en raison des problèmes financiers de la société chargée de la livraison des éoliennes.
►Un crowdlending est envisagé mais rien n’est encore concret
► Le développement de l’éolien est inscrit dans la politique communale
https://www.sudinfo.be/id126753/article/2019-06-25/une-5e-eolienne-en-projet-sur-le-site-du-futur-parc-eolien-de-grandrieu
22/06/19 : Silly : Motion et pétition contre une ligne à haute tension !
La cité du Slow Food s’oppose au projet d’Elia.
À l’unanimité et sur proposition de la majorité LB, le conseil vient d’adopter une motion contre l’implémentation sur le territoire de Silly d’une ligne à très haute tension visant à acheminer l’électricité de l’éolien offshore.
En fonction du tracé retenu, celle-ci traverserait une bonne partie du Hainaut entre Avelgem et Courcelles. Ce projet de création d’une nouvelle liaison aérienne en courant alternatif 380 kV, laquelle devrait être opérationnelle à l’horizon 2026-2028, émane de la société Elia, gestionnaire du réseau de transport d’électricité en Belgique.
"Nous sommes opposés à ce projet, mais pas bêtement contre, car nous proposons un autre tracé" , indique le bourgmestre Christian Leclercq (LB).
Les responsables politiques de la cité du Slow Food s’opposent au tracé actuel. Cette ligne à haute tension passerait notamment par la zone résidentielle du Mauvinage. De surcroît, ce hameau se situe sur une ligne de crête. "Nous défendons aussi l’intérêt paysager et patrimonial, dont les châteaux de Thoricourt et de Morval. De plus, le tracé proposé est proche d’une zone Natura 2000", poursuit le maïeur.
Par ailleurs , ce projet apparaît en totale contradiction avec la vocation d’une commune Slow Food qui prône le bien-vivre ainsi que les diverses productions locales, lesquelles seraient inévitablement impactées ! "Des alternatives existent. Nous proposons prioritairement qu’Elia utilise la ligne à haute tension (70 kV) qui passe à 4 kilomètres de l’actuel tracé vers le parc Pairi Daiza", ajoute encore le bourgmestre.
Selon Laurent Vrijdaghs (LB), certaines études tendent à démontrer que les champs magnétiques dégagés par une ligne de 380 kV peuvent être nuisibles à une distance de 380 mètres. Le projet " Boucle du Hainaut" provoque de fortes tensions bien au-delà des frontières de Silly. Une pétition mise en ligne voici quelques jours a déjà recueilli plus de 200 signatures.
22/06/19 : Silly : Motion et pétition contre une ligne à haute tension !
La cité du Slow Food s’oppose au projet d’Elia.
À l’unanimité et sur proposition de la majorité LB, le conseil vient d’adopter une motion contre l’implémentation sur le territoire de Silly d’une ligne à très haute tension visant à acheminer l’électricité de l’éolien offshore.
En fonction du tracé retenu, celle-ci traverserait une bonne partie du Hainaut entre Avelgem et Courcelles. Ce projet de création d’une nouvelle liaison aérienne en courant alternatif 380 kV, laquelle devrait être opérationnelle à l’horizon 2026-2028, émane de la société Elia, gestionnaire du réseau de transport d’électricité en Belgique.
"Nous sommes opposés à ce projet, mais pas bêtement contre, car nous proposons un autre tracé" , indique le bourgmestre Christian Leclercq (LB).
Les responsables politiques de la cité du Slow Food s’opposent au tracé actuel. Cette ligne à haute tension passerait notamment par la zone résidentielle du Mauvinage. De surcroît, ce hameau se situe sur une ligne de crête. "Nous défendons aussi l’intérêt paysager et patrimonial, dont les châteaux de Thoricourt et de Morval. De plus, le tracé proposé est proche d’une zone Natura 2000", poursuit le maïeur.
Par ailleurs , ce projet apparaît en totale contradiction avec la vocation d’une commune Slow Food qui prône le bien-vivre ainsi que les diverses productions locales, lesquelles seraient inévitablement impactées ! "Des alternatives existent. Nous proposons prioritairement qu’Elia utilise la ligne à haute tension (70 kV) qui passe à 4 kilomètres de l’actuel tracé vers le parc Pairi Daiza", ajoute encore le bourgmestre.
Selon Laurent Vrijdaghs (LB), certaines études tendent à démontrer que les champs magnétiques dégagés par une ligne de 380 kV peuvent être nuisibles à une distance de 380 mètres. Le projet " Boucle du Hainaut" provoque de fortes tensions bien au-delà des frontières de Silly. Une pétition mise en ligne voici quelques jours a déjà recueilli plus de 200 signatures.
https://www.dhnet.be/regions/tournai-ath-mouscron/pays-vert/silly-motion-et-petition-contre-une-ligne-a-haute-tension-5d0d32069978e277965db745
22/06/19 : Éoliennes à Mabompré: la position de Bastogne
Paru dans notre édition d’hier, les grandes lignes des deux projets éoliens de Mabompré.
22/06/19 : Éoliennes à Mabompré: la position de Bastogne
Paru dans notre édition d’hier, les grandes lignes des deux projets éoliens de Mabompré.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190621_01350073/eoliennes-a-mabompre-la-position-de-bastogne
21/06/19 : Quid de la commune de Houffalize ?
L’éolien sur la commune de Houffalize fait débat depuis plusieurs semaines, majorité et minorité n’étant pas d’accord au conseil communal.
21/06/19 : Quid de la commune de Houffalize ?
L’éolien sur la commune de Houffalize fait débat depuis plusieurs semaines, majorité et minorité n’étant pas d’accord au conseil communal.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190620_01349660/quid-de-la-commune-de-houffalize
21/06/19 : HOUFFALIZE : Deux projets éoliens sur Mabompré
21/06/19 : HOUFFALIZE : Deux projets éoliens sur Mabompré
Deux projets éoliens pourraient voir le jour à Mabompré, sur les communes de Houffalize et Bastogne, un total de dix mâts.https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190620_01349661/deux-projets-eoliens-sur-mabompre
21/06/19 : FLORENVILLE : 873 pétitions écrites contre les éoliennes
Une dizaine d’opposants au projet éolien de Muno ont remis au collège près de 900 pétitions écrites.
21/06/19 : FLORENVILLE : 873 pétitions écrites contre les éoliennes
Une dizaine d’opposants au projet éolien de Muno ont remis au collège près de 900 pétitions écrites.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190620_01349633/873-petitions-ecrites-contre-les-eoliennes?fbclid=IwAR0UwNZcGIt5asKIfYz6oF_FssRQEtbuwwARNsMgIgVWL5mt-WKsEtmqczc
21/06/19 : Sept nouvelles éoliennes entre Walhain et Gembloux? L’enquête débute
L’enquête publique pour l’implantation de sept nouvelles éoliennes à cheval sur Walhain et Ernage débutera ce mardi 25 juin.https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190620_01349668/sept-nouvelles-eoliennes-l-enquete-debute
20/06/19 : WALLONIE PICARDE : L’éolien citoyen, toujours aussi rentable 😏
Malgré une année 2018 moins venteuse, les citoyens ayant investi dans la coopérative Clef percevront 3% de dividende.
21/06/19 : Sept nouvelles éoliennes entre Walhain et Gembloux? L’enquête débute
L’enquête publique pour l’implantation de sept nouvelles éoliennes à cheval sur Walhain et Ernage débutera ce mardi 25 juin.https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190620_01349668/sept-nouvelles-eoliennes-l-enquete-debute
20/06/19 : WALLONIE PICARDE : L’éolien citoyen, toujours aussi rentable 😏
Malgré une année 2018 moins venteuse, les citoyens ayant investi dans la coopérative Clef percevront 3% de dividende.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190619_01349172/l-eolien-citoyen-toujours-aussi-rentable
19/06/19 : Feu vert wallon pour les six éoliennes de Pessoux
Le gouvernement wallon vient en effet de confirmer le permis unique qui avait été octroyé déjà en 2009. Un recours avait été introduit contre ce permis.
19/06/19 : Feu vert wallon pour les six éoliennes de Pessoux
Le gouvernement wallon vient en effet de confirmer le permis unique qui avait été octroyé déjà en 2009. Un recours avait été introduit contre ce permis.
Il reste une dernière option pour les opposants à ce projet : le conseil d'Etat, mais il faudra le saisir dans les 60 jours.
Si vous souhaitez consulter la décision wallonne, c'est possible à l'Hôtel de Ville de Ciney jusqu'au 17 juillet.
Si vous souhaitez consulter la décision wallonne, c'est possible à l'Hôtel de Ville de Ciney jusqu'au 17 juillet.
https://www.rtbf.be/info/regions/detail_feu-vert-wallon-pour-les-six-eoliennes-de-pessoux?id=10249960
19/06/19 : CINEY : Éoliennes de Pessoux : le permis est accordé
Le gouvernement wallon a finalement accordé le permis unique à Air Energy pour ses six éoliennes, installées à Pesesse.
19/06/19 : CINEY : Éoliennes de Pessoux : le permis est accordé
Le gouvernement wallon a finalement accordé le permis unique à Air Energy pour ses six éoliennes, installées à Pesesse.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190618_01348852/eoliennes-de-pessoux-le-permis-est-accorde
18/06/19 : Éolienne d’Écaussinnes : enfin une campagne pour mesurer le bruit, les riverains soulagés
Un mois après leur appel à l’aide dans nos colonnes, les riverains de la rue de la Croisette vont enfin pouvoir bénéficier d’une campagne d’étude du bruit que cause l’éolienne située sur le site de la SWDE.
18/06/19 : Éolienne d’Écaussinnes : enfin une campagne pour mesurer le bruit, les riverains soulagés
Un mois après leur appel à l’aide dans nos colonnes, les riverains de la rue de la Croisette vont enfin pouvoir bénéficier d’une campagne d’étude du bruit que cause l’éolienne située sur le site de la SWDE.
Il y a du neuf dans le dossier de l’éolienne située sur le site de la SWDE à Écaussinnes. Et en l’occurrence, il s’agit d’une bonne nouvelle puisque l’appel des riverains de la rue de la Croisette a enfin été entendu. L’éolienne en question cause énormément de nuisances point de vue du bruit pour les habitants des entourages.
Une campagne de détection du bruit menée par l’Univertsité de Liège va être menée prochainement.
Une campagne de détection du bruit menée par l’Univertsité de Liège va être menée prochainement.
https://www.sudinfo.be/id125552/article/2019-06-18/eolienne-decaussinnes-enfin-une-campagne-pour-mesurer-le-bruit-les-riverains
18/06/19 : LIERNEUX : Le parc éolien officiellement inauguré
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190617_01348516/le-parc-eolien-officiellement-inaugure
15/06/19 : Onhaye : Premiers tours de pales en 2022 ?
Luminus espère voir fonctionner ses éoliennes en 2022.Le dossier devra cependant surmonter plusieurs écueils.
14/06/19 : Les riverains ne veulent pas des six éoliennes qui pourraient s’ériger à Brasmenil: «On a l’impression qu’on se moque de nous»
Six éoliennes pourraient s’ériger dans le paysage de Brasmenil et Bury. Pour les riverains, ce nouveau parc est inadmissible…
18/06/19 : LIERNEUX : Le parc éolien officiellement inauguré
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190617_01348516/le-parc-eolien-officiellement-inaugure
15/06/19 : Onhaye : Premiers tours de pales en 2022 ?
Luminus espère voir fonctionner ses éoliennes en 2022.Le dossier devra cependant surmonter plusieurs écueils.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190614_01347348/premiers-tours-de-pales-en-2022
15/06/19 : ONHAYE-HASTIERE : Sept éoliennes près de la base aérienne
Verra-t-on un jour un champ d’éoliennes à proximité de la base aérienne de Florennes ? Les avis sont partagés.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190614_01347347/sept-eoliennes-pres-de-la-base-aerienne
14/06/19 : Parc éolien de Cronchamps : avis favorable, mais conditionné pour Stavelot
La Ville de Stavelot va émettre un avis favorable, mais conditionné, dans le cadre de la demande de permis pour le projet de parc éolien à Cronchamps.
15/06/19 : ONHAYE-HASTIERE : Sept éoliennes près de la base aérienne
Verra-t-on un jour un champ d’éoliennes à proximité de la base aérienne de Florennes ? Les avis sont partagés.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190614_01347347/sept-eoliennes-pres-de-la-base-aerienne
14/06/19 : Parc éolien de Cronchamps : avis favorable, mais conditionné pour Stavelot
La Ville de Stavelot va émettre un avis favorable, mais conditionné, dans le cadre de la demande de permis pour le projet de parc éolien à Cronchamps.
Un projet d'implantation de 11 éoliennes, en bordure d'autoroute. Mais 11 éoliennes, c'est trop, pour le collège communal, qui demande de réduire la voilure à 7 éoliennes. Avec compensations importantes, déjà négociées avec le promoteur. Un conseil communal extraordinaire, et marathon - plus de 4 heures de débat - a entériné les points de vue de chacun dans ce dossier qui suscite de nombreuses réactions. Pour les riverains, en tout cas, la position est toujours la même: non à ces éoliennes de 200m de haut. La balle est maintenant dans le camp de la Région wallonne qui devra trancher.
14/06/19 : Les riverains ne veulent pas des six éoliennes qui pourraient s’ériger à Brasmenil: «On a l’impression qu’on se moque de nous»
Six éoliennes pourraient s’ériger dans le paysage de Brasmenil et Bury. Pour les riverains, ce nouveau parc est inadmissible…
« Nuisances sonores, stroboscopiques et visuelles, voilà ce que devront endurer entre 700 et 800 personnes au quotidien », martèle Thérèse Faux, l’une des riveraines du futur projet des Moulins du Buissenet qui vise à implanter six éoliennes à la limite entre Bury et Brasmenil.
Un projet pour lequel l’enquête publique est toujours en cours, mais qui a déjà déclenché la fronde des riverains. « C’est très simple, quand on voit le projet, on a l’impression que tout est fait et qu’on se moque de nous ».
► Le principal reproche : l’absence de prise en considération des habitants.
► Les seuils sonores autorisés seront dépassés.
► La riveraine estime qu’on tient davantage compte des nuisances auprès des animaux que des humains.
Un projet pour lequel l’enquête publique est toujours en cours, mais qui a déjà déclenché la fronde des riverains. « C’est très simple, quand on voit le projet, on a l’impression que tout est fait et qu’on se moque de nous ».
► Le principal reproche : l’absence de prise en considération des habitants.
► Les seuils sonores autorisés seront dépassés.
► La riveraine estime qu’on tient davantage compte des nuisances auprès des animaux que des humains.
https://www.sudinfo.be/id124796/article/2019-06-14/les-riverains-ne-veulent-pas-des-six-eoliennes-qui-pourraient-seriger-brasmenil
14/06/19 : Nassogne - Éoliennes: les citoyens ont la parole
Les trois projets éoliens présentés récemment au conseil inquiètent certains citoyens. Ils ont déballé leurs arguments pour contrer ceux-ci.
14/06/19 : Nassogne - Éoliennes: les citoyens ont la parole
Les trois projets éoliens présentés récemment au conseil inquiètent certains citoyens. Ils ont déballé leurs arguments pour contrer ceux-ci.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190613_01346835/eoliennes-les-citoyens-ont-la-parole
13/06/19 : Brasmenil : «Ce nouveau parc éolien est d’une monstruosité»
Six éoliennes pourraient s’ériger dans le paysage de Brasmenil et Bury, c’est en tout cas le projet dits des Moulins du Buissenet, lancé par l’intercommunale Ipalle et la Coopérative Clef. Pour les riverains, ce nouveau parc est inadmissible...https://www.nordeclair.be/400413/article/2019-06-13/brasmenil-ce-nouveau-parc-eolien-est-dune-monstruosite
13/06/19 : Lierneux fête le vent... et son nouveau parc éolien !
Ce samedi 15 juin à l'occasion de la journée mondiale du vent
À l’occasion de la Journée mondiale du vent, Luminus inaugurera son nouveau parc éolien de Lierneux, ce samedi 15 juin, de midi à 19heures. Les habitants de l'entité son invités à participer à l'événement.
Pour rappel, ce parc éolien est aussi le premier du pays à se se situer exclusivement en zone d'exploitation forestière. Il compte 6 éoliennes de 3,2 MW et de 180 m de haut, implantées sur des terrains communaux de Lierneux. Sa production annuelle de 40 GWh permettra de fournir de l’énergie verte à 9.200 ménages et d’éviter l’émission d’environ 16.000 tonnes de CO2 par rapport à une centrale thermique classique. Pour rappel, l'entité de Lierneux compte moins de 4.000 habitants.
"Luminus est fière de la relation de confiance qu’elle a pu établir avec les autorités locales et avec les habitants de l’entité de Lierneux ainsi qu’avec le DNF (département nature et forêts), lors de la conception et de la construction de ce parc éolien", a indiqué la direction de Luminus... pour "remercier" tous les acteurs de ce dossier, l'institution organise donc cette fête et invite les élèves de l'entité à découvrir les éoliennes. "Des professionnels répondront aux questions des citoyens en matière d’énergies renouvelables et leur feront visiter l’intérieur d’une éolienne. Ce sera l’occasion de se familiariser avec l’énergie éolienne, les machines, leurs caractéristiques techniques et la production d’électricité verte". Au menu de cette journée par ailleurs : calèches, animations pour les enfants, petite restauration et dégustation de bières locales, piste de pétanque, etc. Les visiteurs auront également tout loisir d’aller se promener le long du tout nouveau parcours de randonnée mis en place par l'entreprise...
Le fait d'être implanté exclusivement en zone forestière est donc la particularité de ce parc... Grégoire Dallemagne, CEO de Luminus, précise à cet égard que cela n'est pas contradictoire avec l'objectif qui est de créer une énergie verte : "Ce dernier [NDLR : parc éolien] présente la particularité d’avoir été implanté sur un site de faible valeur biologique en raison de son affectation à la production de bois résineux et de sa localisation, à proximité d’une ligne haute tension. Luminus a souhaité prendre des mesures visant à préserver les milieux tourbeux, qui constituent de précieux puits de carbone, et à accroître la biodiversité. De plus, la création de zones ouvertes au pied des éoliennes revêt un intérêt biologique, ne fût-ce que par le micro-habitat qu’elle crée, et par la régénération naturelle qu’elle permet. La fonction écologique de cet espace boisé en sera dès lors améliorée. »
De son côté, André Samray, Bourgmestre de Lierneux, a aussi exprimé sa satisfaction à l'égard de ce dossier : "Les membres du Collège et du Conseil communal de Lierneux sont très heureux de s’associer à la société Luminus pour inviter la population lierneusienne à l’inauguration du parc éolien érigé sur des terrains communaux à Lambiester Odrimont [...] Je voudrais remercier toutes les personnes qui ont œuvré à la réalisation de ces six éoliennes qui produisent aujourd’hui une énergie verte pour plus de 9000 familles".
13/06/19 : Brasmenil : «Ce nouveau parc éolien est d’une monstruosité»
Six éoliennes pourraient s’ériger dans le paysage de Brasmenil et Bury, c’est en tout cas le projet dits des Moulins du Buissenet, lancé par l’intercommunale Ipalle et la Coopérative Clef. Pour les riverains, ce nouveau parc est inadmissible...https://www.nordeclair.be/400413/article/2019-06-13/brasmenil-ce-nouveau-parc-eolien-est-dune-monstruosite
13/06/19 : Lierneux fête le vent... et son nouveau parc éolien !
Ce samedi 15 juin à l'occasion de la journée mondiale du vent
À l’occasion de la Journée mondiale du vent, Luminus inaugurera son nouveau parc éolien de Lierneux, ce samedi 15 juin, de midi à 19heures. Les habitants de l'entité son invités à participer à l'événement.
Pour rappel, ce parc éolien est aussi le premier du pays à se se situer exclusivement en zone d'exploitation forestière. Il compte 6 éoliennes de 3,2 MW et de 180 m de haut, implantées sur des terrains communaux de Lierneux. Sa production annuelle de 40 GWh permettra de fournir de l’énergie verte à 9.200 ménages et d’éviter l’émission d’environ 16.000 tonnes de CO2 par rapport à une centrale thermique classique. Pour rappel, l'entité de Lierneux compte moins de 4.000 habitants.
"Luminus est fière de la relation de confiance qu’elle a pu établir avec les autorités locales et avec les habitants de l’entité de Lierneux ainsi qu’avec le DNF (département nature et forêts), lors de la conception et de la construction de ce parc éolien", a indiqué la direction de Luminus... pour "remercier" tous les acteurs de ce dossier, l'institution organise donc cette fête et invite les élèves de l'entité à découvrir les éoliennes. "Des professionnels répondront aux questions des citoyens en matière d’énergies renouvelables et leur feront visiter l’intérieur d’une éolienne. Ce sera l’occasion de se familiariser avec l’énergie éolienne, les machines, leurs caractéristiques techniques et la production d’électricité verte". Au menu de cette journée par ailleurs : calèches, animations pour les enfants, petite restauration et dégustation de bières locales, piste de pétanque, etc. Les visiteurs auront également tout loisir d’aller se promener le long du tout nouveau parcours de randonnée mis en place par l'entreprise...
Le fait d'être implanté exclusivement en zone forestière est donc la particularité de ce parc... Grégoire Dallemagne, CEO de Luminus, précise à cet égard que cela n'est pas contradictoire avec l'objectif qui est de créer une énergie verte : "Ce dernier [NDLR : parc éolien] présente la particularité d’avoir été implanté sur un site de faible valeur biologique en raison de son affectation à la production de bois résineux et de sa localisation, à proximité d’une ligne haute tension. Luminus a souhaité prendre des mesures visant à préserver les milieux tourbeux, qui constituent de précieux puits de carbone, et à accroître la biodiversité. De plus, la création de zones ouvertes au pied des éoliennes revêt un intérêt biologique, ne fût-ce que par le micro-habitat qu’elle crée, et par la régénération naturelle qu’elle permet. La fonction écologique de cet espace boisé en sera dès lors améliorée. »
De son côté, André Samray, Bourgmestre de Lierneux, a aussi exprimé sa satisfaction à l'égard de ce dossier : "Les membres du Collège et du Conseil communal de Lierneux sont très heureux de s’associer à la société Luminus pour inviter la population lierneusienne à l’inauguration du parc éolien érigé sur des terrains communaux à Lambiester Odrimont [...] Je voudrais remercier toutes les personnes qui ont œuvré à la réalisation de ces six éoliennes qui produisent aujourd’hui une énergie verte pour plus de 9000 familles".
https://www.dhnet.be/regions/liege/verviers/lierneux-fete-le-vent-et-son-nouveau-parc-eolien-5d020e6c9978e277963be33b
10/06/19 : Controversé, le cadre éolien à Houffalize
Luxembourg : La minorité relève des contradictions par rapport aux lignes de conduite de 2013.
Contacté par plusieurs promoteurs de parcs éoliens, le collège communal de Houffalize a établi un cahier des charges. L’objectif est double : faire bénéficier les citoyens des retombées économiques et cadenasser les implantations afin d’en limiter l’impact. Ces nouveaux critères ont fait réagir la minorité au récent conseil communal.
"Nous avons relevé bon nombre de contradictions par rapport aux lignes de conduite approuvée en novembre 2013", a indiqué Bernard Deumer. "En effet, alors qu’il avait été convenu d’éviter un effet de mitage du paysage, vous autorisez, à présent, huit éoliennes à Mabompré, dix sur Les Tailles et plus, peut-être, avec le projet Aspiravi-Storm qui porte sur dix mâts en plus à Mabompré. Ainsi, il pourrait y en avoir 26 au total dans notre commune."
La distance par rapport aux zones d’habitat et la limitation aux parcelles publiques ont également été contestées. "Vous aviez fixé une distance supérieure à celle inscrite dans le cadre éolien afin de garantir une bonne qualité de vie sur le territoire du parc naturel : vous n’en tenez plus compte", a déploré Bernard Deumer. "Si vous respectez vos propres recommandations de 2013, à savoir 1 000 mètres minimum des habitations et 1 000 mètres minimum entre éoliennes, il est impossible d’en placer huit à Mabompré et dix en Cedrogne."
L’échevin Philippe Cara a répondu point par point précisant d’abord, sur le nombre de mâts, qu’à l’heure actuelle, il est impossible de le déterminer avec précision, mais qu’en tout état de cause le cahier des charges n’en prévoit pas plus de huit à Mabompré et de dix à Les Tailles. Il a rappelé, par ailleurs, que, quelle que soit la position communale, des éoliennes, il y en aura en raison de la configuration des lieux.
"Si les parcelles publiques sont privilégiées, c’est précisément en raison des rentrées financières qu’elles généreront pour tous les citoyens", a-t-il conclu. "Notre massif forestier se prête à l’implantation d’éoliennes car il est fracturé par une autoroute. On se montre proactif en établissant un cahier des charges."
Au vote : majorité contre opposition.
https://www.dhnet.be/regions/luxembourg/controverse-le-cadre-eolien-a-houffalize-5cfe9de59978e277962ddbbe
10/06/19 : Un projet de sept éoliennes à Onhaye et Hastière
Dinant-Ciney : Elles devraient être implantées le long de la N97. Le projet sera présenté le 13 juin.
Les communes d'Onhaye et d'Hastière vont-elle accueillir sur leur territoire un total de sept éoliennes, le long de la N97 ? C'est en tout cas le projet que vont présenter Luminus et Kyoto Technologies 1, le 13 juin prochain à la population. "La puissance nominale par machine devrait être comprise entre 3 et 4,2MW. La production estimée est de 49.000.000 kWh/an, soit l'équivalent de 12.250 ménages. Cela permettra d'éviter l'émission de 22.000 tonnes de CO² par an. La hauteur maximale des éoliennes sera de 150m", explique Brecht Snoeks de Luminus.
Ce projet n'est pas neuf. Il y a quelques années déjà, en 2011, il avait été présenté avant la demande de permis unique. Mais celui-ci avait été refusé en raison de la proximité avec la base aérienne de Florennes. "Ce parc éolien se trouvait dans un rayon qui posait problème à la défense. Il y avait un souci avec leur radar et puis, j'imagine qu'en fonction de la hauteur des éoliennes, ça peut modifier les vols des avions. Ce projet prévoit d'implanter ces éoliennes entre Gérin et Anthée. A Hastière, cela concernera deux machines à proximité de Maurenne", explique le bourgmestre d'Onhaye Christophe Bastin.
Depuis, les deux sociétés ont revu le projet. Des adaptations ont été effectuées tandis que la base aérienne de Florennes semble s'être équipée d'un nouveau radar. Toutes les nouveautés seront donc présentées lors d'une séance publique d'information à la Salle Su-l'Wez à Gérin (13/06 à 19h00) notamment dans le but de permettre au public de s'informer et d'émettre ses observations et suggestions concernant le projet. Tout cela avant le lancement de l'étude d'incidence et la demande de permis unique qui portera sur l'implantation d'un parc de sept éoliennes, d'une cabine de tête, de chemins d'accès, d'aires de montage et la pose de câbles électriques.
"Ce sont eux qui lancent les demandes et qui organisent le déroulement du projet. Mais, à ce stade, il n'y a encore rien de fait. On est à la première page du livre. Les Collèges communaux des deux communes devront donner leur avis. Et si on s'y oppose, ils auront des recours à disposition. A ce stade, il est encore tôt pour se prononcer", précise Christophe Bastin qui évoque la possibilité de contre-parties pour les communes.
Ce projet s'inscrit dans le cadre de la politique européenne, nationale et régionale de réduction des émissions de gaz à effet de serre.
10/06/19 : Controversé, le cadre éolien à Houffalize
Luxembourg : La minorité relève des contradictions par rapport aux lignes de conduite de 2013.
Contacté par plusieurs promoteurs de parcs éoliens, le collège communal de Houffalize a établi un cahier des charges. L’objectif est double : faire bénéficier les citoyens des retombées économiques et cadenasser les implantations afin d’en limiter l’impact. Ces nouveaux critères ont fait réagir la minorité au récent conseil communal.
"Nous avons relevé bon nombre de contradictions par rapport aux lignes de conduite approuvée en novembre 2013", a indiqué Bernard Deumer. "En effet, alors qu’il avait été convenu d’éviter un effet de mitage du paysage, vous autorisez, à présent, huit éoliennes à Mabompré, dix sur Les Tailles et plus, peut-être, avec le projet Aspiravi-Storm qui porte sur dix mâts en plus à Mabompré. Ainsi, il pourrait y en avoir 26 au total dans notre commune."
La distance par rapport aux zones d’habitat et la limitation aux parcelles publiques ont également été contestées. "Vous aviez fixé une distance supérieure à celle inscrite dans le cadre éolien afin de garantir une bonne qualité de vie sur le territoire du parc naturel : vous n’en tenez plus compte", a déploré Bernard Deumer. "Si vous respectez vos propres recommandations de 2013, à savoir 1 000 mètres minimum des habitations et 1 000 mètres minimum entre éoliennes, il est impossible d’en placer huit à Mabompré et dix en Cedrogne."
L’échevin Philippe Cara a répondu point par point précisant d’abord, sur le nombre de mâts, qu’à l’heure actuelle, il est impossible de le déterminer avec précision, mais qu’en tout état de cause le cahier des charges n’en prévoit pas plus de huit à Mabompré et de dix à Les Tailles. Il a rappelé, par ailleurs, que, quelle que soit la position communale, des éoliennes, il y en aura en raison de la configuration des lieux.
"Si les parcelles publiques sont privilégiées, c’est précisément en raison des rentrées financières qu’elles généreront pour tous les citoyens", a-t-il conclu. "Notre massif forestier se prête à l’implantation d’éoliennes car il est fracturé par une autoroute. On se montre proactif en établissant un cahier des charges."
Au vote : majorité contre opposition.
https://www.dhnet.be/regions/luxembourg/controverse-le-cadre-eolien-a-houffalize-5cfe9de59978e277962ddbbe
10/06/19 : Un projet de sept éoliennes à Onhaye et Hastière
Dinant-Ciney : Elles devraient être implantées le long de la N97. Le projet sera présenté le 13 juin.
Les communes d'Onhaye et d'Hastière vont-elle accueillir sur leur territoire un total de sept éoliennes, le long de la N97 ? C'est en tout cas le projet que vont présenter Luminus et Kyoto Technologies 1, le 13 juin prochain à la population. "La puissance nominale par machine devrait être comprise entre 3 et 4,2MW. La production estimée est de 49.000.000 kWh/an, soit l'équivalent de 12.250 ménages. Cela permettra d'éviter l'émission de 22.000 tonnes de CO² par an. La hauteur maximale des éoliennes sera de 150m", explique Brecht Snoeks de Luminus.
Ce projet n'est pas neuf. Il y a quelques années déjà, en 2011, il avait été présenté avant la demande de permis unique. Mais celui-ci avait été refusé en raison de la proximité avec la base aérienne de Florennes. "Ce parc éolien se trouvait dans un rayon qui posait problème à la défense. Il y avait un souci avec leur radar et puis, j'imagine qu'en fonction de la hauteur des éoliennes, ça peut modifier les vols des avions. Ce projet prévoit d'implanter ces éoliennes entre Gérin et Anthée. A Hastière, cela concernera deux machines à proximité de Maurenne", explique le bourgmestre d'Onhaye Christophe Bastin.
Depuis, les deux sociétés ont revu le projet. Des adaptations ont été effectuées tandis que la base aérienne de Florennes semble s'être équipée d'un nouveau radar. Toutes les nouveautés seront donc présentées lors d'une séance publique d'information à la Salle Su-l'Wez à Gérin (13/06 à 19h00) notamment dans le but de permettre au public de s'informer et d'émettre ses observations et suggestions concernant le projet. Tout cela avant le lancement de l'étude d'incidence et la demande de permis unique qui portera sur l'implantation d'un parc de sept éoliennes, d'une cabine de tête, de chemins d'accès, d'aires de montage et la pose de câbles électriques.
"Ce sont eux qui lancent les demandes et qui organisent le déroulement du projet. Mais, à ce stade, il n'y a encore rien de fait. On est à la première page du livre. Les Collèges communaux des deux communes devront donner leur avis. Et si on s'y oppose, ils auront des recours à disposition. A ce stade, il est encore tôt pour se prononcer", précise Christophe Bastin qui évoque la possibilité de contre-parties pour les communes.
Ce projet s'inscrit dans le cadre de la politique européenne, nationale et régionale de réduction des émissions de gaz à effet de serre.
https://www.dhnet.be/regions/namur/dinant-ciney/un-projet-de-sept-eoliennes-a-onhaye-et-hastiere-5cfe2318d8ad580bf03acb4e
08/06/19 : Tenneville : Des retombées locales ?
Eneco vient-il s’en mettre plein les poches en s’implantant dans nos régions? C’est une question posée aux promoteurs de ce genre de projets qui rétorquent: «Eneco est prêt à ouvrir à hauteur de 20% la participation dans le projet, que ce soit à travers une coopérative citoyenne ou via les Communes les plus proches du dossier.
08/06/19 : Tenneville : Des retombées locales ?
Eneco vient-il s’en mettre plein les poches en s’implantant dans nos régions? C’est une question posée aux promoteurs de ce genre de projets qui rétorquent: «Eneco est prêt à ouvrir à hauteur de 20% la participation dans le projet, que ce soit à travers une coopérative citoyenne ou via les Communes les plus proches du dossier.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190607_01344966/des-retombees-locales
08/06/19 : Les craintes des citoyens
Venus de Tenneville, La Roche, Nassogne et de Rendeux, les citoyens ont fait part de leurs craintes. Si on ne sait pas quels villages seront impactés par l’installation des éoliennes, les tailles des mâts inquiètent.
08/06/19 : Les craintes des citoyens
Venus de Tenneville, La Roche, Nassogne et de Rendeux, les citoyens ont fait part de leurs craintes. Si on ne sait pas quels villages seront impactés par l’installation des éoliennes, les tailles des mâts inquiètent.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190607_01344967/les-craintes-des-citoyens
08/06/19 : TENNEVILLE : Dix éoliennes dans le bois de Journal
Un projet éolien de dix mâts pourrait voir le jour dans le bois de Journal, entre les communes de Tenneville, Nassogne et La Roche.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190607_01344969/dix-eoliennes-dans-le-bois-de-journal
07/06/19 : MUNO : 300 personnes pour tacler les éoliennes
08/06/19 : TENNEVILLE : Dix éoliennes dans le bois de Journal
Un projet éolien de dix mâts pourrait voir le jour dans le bois de Journal, entre les communes de Tenneville, Nassogne et La Roche.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190607_01344969/dix-eoliennes-dans-le-bois-de-journal
07/06/19 : MUNO : 300 personnes pour tacler les éoliennes
Près de 300 personnes au Centre sportif de Muno pour dire non au projet de six éoliennes à Pérensart, entre Sainte-Cécile et Muno.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190606_01344573/300-personnes-pour-tacler-les-eoliennes
07/06/19 : Le projet du parc éolien de Pérensart
Le projet d’Elicio comporte six éoliennes de type tripale d’une puissance de 2,5 à 5,6 MW et d’une hauteur totale de 200 m maximum (diamètre rotor compris entre 126 et 150 m).
07/06/19 : Le projet du parc éolien de Pérensart
Le projet d’Elicio comporte six éoliennes de type tripale d’une puissance de 2,5 à 5,6 MW et d’une hauteur totale de 200 m maximum (diamètre rotor compris entre 126 et 150 m).
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190606_01344578/le-projet-du-parc-eolien-de-perensart
06/06/19 : "Il n’y a pas de copinage avec la commune"
06/06/19 : "Il n’y a pas de copinage avec la commune"
Une fois n’est pas coutume, parole est donnée à un promoteur éolien de la région.
Encore un projet éolien mais cette fois, la donne est peut-être différente. Il s’agit en effet d’un promoteur local, répondant au nom d’Alternative Green SA. Cette société basée à Léglise a déjà quelques projets éoliens à son actif (notamment à Bastogne). Pourquoi ne pourrait-elle pas y arriver… chez elle ?
"Nous avons lancé une demande de permis unique pour construction et exploitation de quatre éoliennes d’une puissance nominale maximale de 3.6 MW, de quatre cabines électriques, l’aménagement d’aires de manutention, de chemins d’accès et la pose de câbles électriques sur le territoire communal de Léglise. Le bien concerné est situé à proximité de l’autoroute E25/E411 (proche des villages de Mellier et Thibessart). L’enquête publique démarre ce mercredi 5 juin", explique Luc Vanmarcke, le responsable d’Alternative Green SA qui s’allie à EDF Luminus sur ce coup. L’homme connaît bien la zone pour y habiter depuis plus de vingt ans.
"C’est un endroit que je vois tous les jours. Les éoliennes ne dérangeront pas. En plus, l’enquête d’incidence a aussi confirmé que l’espèce Milan Royal n’est pas en danger", dit-il encore.
Est-ce plus facile de porter un projet éolien lorsqu’on habite à proximité de la zone sélectionnée ? C’est (parfois) un petit avantage, surtout au point de vue humain. "Il n’y a pas de copinage avec les autorités communales. On n’a pas spécialement plus facile. Je comprends d’ailleurs que la commune, qui a reçu beaucoup de projets éoliens ces derniers mois, a un réflexe d’autodéfense (NdlR : notamment en mettant en place un SOL). C’est normal. Comme dit précédemment, je connais très bien la région et les personnes. Mes collaborateurs sont aussi du coin. Et je suis toujours ouvert à tous ceux qui ont des questions concernant ce projet. En ce sens, on peut dire que c’est plus ‘humain’ de porter un tel dossier et d’en parler."
De là à dire que ce projet sera plus facilement mis en place, on en est encore très loin… "Si on est optimiste, on peut espérer avoir quatre éoliennes en fin d’année 2020. Dans le pire des cas, les différents recours (le dernier étant le Conseil d’État) pourraient nous envoyer dans plusieurs années ", conclut-il.
Encore un projet éolien mais cette fois, la donne est peut-être différente. Il s’agit en effet d’un promoteur local, répondant au nom d’Alternative Green SA. Cette société basée à Léglise a déjà quelques projets éoliens à son actif (notamment à Bastogne). Pourquoi ne pourrait-elle pas y arriver… chez elle ?
"Nous avons lancé une demande de permis unique pour construction et exploitation de quatre éoliennes d’une puissance nominale maximale de 3.6 MW, de quatre cabines électriques, l’aménagement d’aires de manutention, de chemins d’accès et la pose de câbles électriques sur le territoire communal de Léglise. Le bien concerné est situé à proximité de l’autoroute E25/E411 (proche des villages de Mellier et Thibessart). L’enquête publique démarre ce mercredi 5 juin", explique Luc Vanmarcke, le responsable d’Alternative Green SA qui s’allie à EDF Luminus sur ce coup. L’homme connaît bien la zone pour y habiter depuis plus de vingt ans.
"C’est un endroit que je vois tous les jours. Les éoliennes ne dérangeront pas. En plus, l’enquête d’incidence a aussi confirmé que l’espèce Milan Royal n’est pas en danger", dit-il encore.
Est-ce plus facile de porter un projet éolien lorsqu’on habite à proximité de la zone sélectionnée ? C’est (parfois) un petit avantage, surtout au point de vue humain. "Il n’y a pas de copinage avec les autorités communales. On n’a pas spécialement plus facile. Je comprends d’ailleurs que la commune, qui a reçu beaucoup de projets éoliens ces derniers mois, a un réflexe d’autodéfense (NdlR : notamment en mettant en place un SOL). C’est normal. Comme dit précédemment, je connais très bien la région et les personnes. Mes collaborateurs sont aussi du coin. Et je suis toujours ouvert à tous ceux qui ont des questions concernant ce projet. En ce sens, on peut dire que c’est plus ‘humain’ de porter un tel dossier et d’en parler."
De là à dire que ce projet sera plus facilement mis en place, on en est encore très loin… "Si on est optimiste, on peut espérer avoir quatre éoliennes en fin d’année 2020. Dans le pire des cas, les différents recours (le dernier étant le Conseil d’État) pourraient nous envoyer dans plusieurs années ", conclut-il.
https://www.dhnet.be/regions/luxembourg/il-n-y-a-pas-de-copinage-avec-la-commune-5cf9299c9978e27796e694db
06/06/19 : Les "non au projet éolien entre Ste-Cécile et Muno" se mobilisent
Une réunion d’information s’est tenue hier soir et une pétition va être lancée ce vendredi.
Les opposants au projet éolien se sont fait entendre hier soir, lors de la traditionnelle séance d’information. Ils ne veulent pas des six éoliennes présentées par le société Elicio (Ostende). « La salle surchauffée était pleine à craquer. Des gens debout sur les côtés, dans le hall d'entrée, venus de partout…de Sainte-Cécile, Muno, Fontenoille, Florenville et de bien plus loin.
On ose le chiffre de 250 personnes. Al'extérieur du bâtiment, l’orage grondait. Jusqu’à ce qu'il éclate et se joigne à la tempête des "NON" (en majuscule) qui s'est abattue rapidement sur les représentants de la société Elicio. On a vite compris que la salle entière était opposée au projet. On note d’ailleurs qu’aucune intervention « pour l’éolien » n’a étésignalée durant les débats. Des premières pétitions « non au projet » ont été signées par dizaines », se félicitent ce matin une majorité de riverains présents hier soir. L’action se poursuit ce vendredi avec encore cette pétition. « Rendez-vous dans ce même complexe sportif de Muno ce vendredi 07 juin à 19h30.
Venez faire connaître officiellement vos arguments « contre. » Il faut très rapidement déposer un dossier à la Commune de Florenville », concluent les membres de ce collectif « non au projet éolien entre Ste-Cécile et Muno. »
06/06/19 : Les "non au projet éolien entre Ste-Cécile et Muno" se mobilisent
Une réunion d’information s’est tenue hier soir et une pétition va être lancée ce vendredi.
Les opposants au projet éolien se sont fait entendre hier soir, lors de la traditionnelle séance d’information. Ils ne veulent pas des six éoliennes présentées par le société Elicio (Ostende). « La salle surchauffée était pleine à craquer. Des gens debout sur les côtés, dans le hall d'entrée, venus de partout…de Sainte-Cécile, Muno, Fontenoille, Florenville et de bien plus loin.
On ose le chiffre de 250 personnes. Al'extérieur du bâtiment, l’orage grondait. Jusqu’à ce qu'il éclate et se joigne à la tempête des "NON" (en majuscule) qui s'est abattue rapidement sur les représentants de la société Elicio. On a vite compris que la salle entière était opposée au projet. On note d’ailleurs qu’aucune intervention « pour l’éolien » n’a étésignalée durant les débats. Des premières pétitions « non au projet » ont été signées par dizaines », se félicitent ce matin une majorité de riverains présents hier soir. L’action se poursuit ce vendredi avec encore cette pétition. « Rendez-vous dans ce même complexe sportif de Muno ce vendredi 07 juin à 19h30.
Venez faire connaître officiellement vos arguments « contre. » Il faut très rapidement déposer un dossier à la Commune de Florenville », concluent les membres de ce collectif « non au projet éolien entre Ste-Cécile et Muno. »
https://www.dhnet.be/regions/luxembourg/les-non-au-projet-eolien-entre-ste-cecile-et-muno-se-mobilisent-5cf8cf0b9978e27796e4205b
05/06/19 : Cerfontaine : la foudre frappe des éoliennes
Si la nuit dernière a été stressante pour pas mal de monde, d'autres ont saisi l'occasion pour immortaliser cet événement pour le moins impressionnant.
C'est le cas de William Verheyden, un jeune habitant de Senzeilles, fasciné par les orages. Il a publié ses vidéos et après trois heures seulement, elles avaient déjà été vues plus de 6000 fois. Il faut dire que c'est en effet assez impressionnant de voir les éclairs frapper à de multiples reprises les éoliennes immobiles.
05/06/19 : Cerfontaine : la foudre frappe des éoliennes
Si la nuit dernière a été stressante pour pas mal de monde, d'autres ont saisi l'occasion pour immortaliser cet événement pour le moins impressionnant.
C'est le cas de William Verheyden, un jeune habitant de Senzeilles, fasciné par les orages. Il a publié ses vidéos et après trois heures seulement, elles avaient déjà été vues plus de 6000 fois. Il faut dire que c'est en effet assez impressionnant de voir les éclairs frapper à de multiples reprises les éoliennes immobiles.
https://www.dhnet.be/regions/namur/cerfontaine-la-foudre-frappe-des-eoliennes-5cf7ad0dd8ad580bf03ac7a1
05/06/19 : Senzeilles: les images impressionnantes de la foudre sur les éoliennes
05/06/19 : Senzeilles: les images impressionnantes de la foudre sur les éoliennes
Les images sont très impressionnantes. Elles sont tournées à Senzeilles en Province de Namur, à côté de Philippeville. Elles ont été tournées par William Verheyden qui habite en bordure du parc éolien. Il explique que ce n'est pas la première fois que la foudre s'abat sur ces éoliennes. "En cas d'orage, elles sont mises à l'arrêt. Mais une fois l'orage passé, neuf fois sur dix, elles redémarrent. C'est rare qu'il y ait un problème et qu'elles soient immobilisées", précise cet habitant qui nous a fait parvenir ces images. Et de fait, aujourd'hui, ces éoliennes tournent normalement, en attendant le prochain orage.
https://www.rtbf.be/info/regions/detail_senzeille-les-images-impressionnantes-de-la-foudre-sur-les-eoliennes?id=10239100
05/06/19 : Sivry: le parc éolien de Grandrieu avance
Depuis début février 2019, les travaux du parc éolien situé au nord de Grandrieu avancent. Les premières étapes de terrassements et de création des accès ont été faites, et le raccordement inter-éolien est en cours de finalisation.
A la suite d’un aléa de chantier, la livraison des éoliennes sur site est décalée de quelques mois (durée pas encore déterminée) en raison d’un retard de fabrication des éoliennes par le constructeur. Le chantier va être fermé pendant ce temps et reprendra dès que le calendrier sera établi. https://www.telesambre.be/sivry-le-parc-eolien-de-grandrieu-prend-forme
05/06/19 : Présentation ce soir d'un projet de six éoliennes entre Muno et Sainte-Cécile
Direction Florenville où un projet éolien sera présenté ce mercredi soir au public. Six éoliennes au total réparties entre Muno et Sainte-Cécile. Un comité de riverains s’est déjà constitué pour dénoncer l’impact environnemental de cette implantation potentielle. Parmi les opposants, l’auteur de bande dessinée Jean-Claude Servais qui s’est fendu d’une lettre ouverte. Il y explique les conséquences que ces éoliennes de la filiale de Nethys, Elicio, auraient sur les paysages qui l’inspirent. Nicolas Lefèvre l’a rencontré...
05/06/19 : Sivry: le parc éolien de Grandrieu avance
Depuis début février 2019, les travaux du parc éolien situé au nord de Grandrieu avancent. Les premières étapes de terrassements et de création des accès ont été faites, et le raccordement inter-éolien est en cours de finalisation.
A la suite d’un aléa de chantier, la livraison des éoliennes sur site est décalée de quelques mois (durée pas encore déterminée) en raison d’un retard de fabrication des éoliennes par le constructeur. Le chantier va être fermé pendant ce temps et reprendra dès que le calendrier sera établi. https://www.telesambre.be/sivry-le-parc-eolien-de-grandrieu-prend-forme
05/06/19 : Présentation ce soir d'un projet de six éoliennes entre Muno et Sainte-Cécile
Direction Florenville où un projet éolien sera présenté ce mercredi soir au public. Six éoliennes au total réparties entre Muno et Sainte-Cécile. Un comité de riverains s’est déjà constitué pour dénoncer l’impact environnemental de cette implantation potentielle. Parmi les opposants, l’auteur de bande dessinée Jean-Claude Servais qui s’est fendu d’une lettre ouverte. Il y explique les conséquences que ces éoliennes de la filiale de Nethys, Elicio, auraient sur les paysages qui l’inspirent. Nicolas Lefèvre l’a rencontré...
https://www.rtbf.be/info/regions/luxembourg/detail_presentation-ce-soir-d-un-projet-de-six-eoliennes-entre-muno-et-sainte-cecile?id=10238690
04/06/19 : Le gouvernement demande votre avis sur la transition écologique
Seriez-vous prêt à opter pour une voiture moins polluante et à diminuer votre consommation d’énergie ? Voulez-vous plus d’éoliennes à la côte ? Le gouvernement fédéral sortant lance une consultation publique ce mardi.
Seriez-vous prêt à opter pour une voiture moins polluante et à diminuer votre consommation d’énergie ? Voulez-vous plus d’éoliennes à la côte ? Le gouvernement fédéral sortant lance une consultation publique ce mardi. L’idée est d’évaluer ce que chacun est prêt à faire à son niveau pour la transition énergétique. Est-ce finalement bien utile ? Nicolas Van Nuffel, président de la Coalition Climat, était l’invité de Jour Première ce mardi.
Demander l’avis des citoyens pour amorcer la transition écologique est-il une bonne idée ? "Je pense qu’il nous faut un grand débat sur le climat, confirme Nicolas Van Nuffel. Mais comment mène-t-on ce débat ? Le questionnaire est sorti ce matin et on n’y a pas eu accès à l’avance, donc je n’ai pas encore vu la liste complète des questions, mais notre impression est qu’il y a une série de questions assez fermées qui posent des questions plus individuelles. Or on doit aborder la question du climat de façon globale. C’est donc très bien de faire un questionnaire en ligne pour consulter la population, mais je pense qu’il va nous falloir un débat beaucoup plus large", déplore-t-il.
Faut-il y déceler une réponse aux marches pour le climat ? Certainement pas. Il s’agirait en fait d’une exigence de la Commission européenne. "Tous les États membres de l’Union européenne doivent établir leur plan climat, et dans ce cadre-là, on leur demande de consulter leur population. Ce n’est donc pas une initiative qui est prise par nos ministres. Mais peu importe d’où ça vient, c’est quand même intéressant qu’on puisse lancer ce débat."
Cette consultation des citoyens européens devrait durer jusqu’au 15 juillet. Entre les déclarations fiscales, les examens et les départs en vacances, le délai peut sembler assez court. "Mais ça ne nous empêche pas de penser qu’il faut que nous participions, insiste Nicolas Van Nuffel. C’est une possibilité pour chacun d’entre nous de donner de la voix, de faire entendre le message, au-delà des questions précises qui sont posées, qu’on a voulu faire entendre dans la rue, qui est de dire que le climat n’est pas un sujet de débat. Aujourd’hui, les scientifiques nous disent très clairement que le réchauffement ne doit pas dépasser 1,5 degré et que pour ça il faut que l’Union européenne rehausse ses ambitions et que la Belgique rehausse ses ambitions. C’est l’occasion de dire clairement qu’on veut une vision politique à long terme. On ne peut pas séparer l’économique, le social et l’environnemental aujourd’hui", poursuit-il.
Scores inquiétants au nord du pays
En ce qui concerne les résultats des élections du 26 mai dernier, Nicolas Van Nuffel se montre naturellement inquiet : "La N-VA, parti qui a freiné les ambitions climatiques pendant les cinq dernières années, fait partie des grands perdants de cette élection, mais elle se sert de l’extrême droite comme un marchepied pour se rendre incontournable en Flandre. On doit donc tenir compte de ce contexte-là, met-il en garde. Ça ne doit en tout cas pas empêcher, au moins au niveau des Régions bruxelloise et wallonne, d’avoir une réelle ambition et de se préparer".
Quelle que soit l’issue des négociations, il est certain qu’une grande partie des mesures environnementales relèveront de compétences régionales. Nicolas Van Nuffel rappelle en outre que les lignes de conduite seront définies par l’Union européenne. Pour lui, le jour viendra où des décisions "vont s’imposer quoi qu’il arrive", prévient-il.
Le WWF pas convaincu par le timing pour la consultation publique
"On regrette le manque de sollicitation de la société civile et des experts", nous explique-t-on au WWF. "Le gouvernement fédéral a tardé à lancer cette consultation. Il devait le faire au premier trimestre 2019. Il a donc 3 mois de retard par rapport au calendrier fixé par la Commission européenne. Nous regrettons des propositions vagues, un manque de coordination entre le fédéral et les régions et une quasi-absence de communication autour de ce questionnaire". L’organisation de protection de l’environnement espère malgré tout que les citoyens seront très nombreux à participer à la consultation. "Certaines questions nous semblent pertinentes. C’est le cas de la question sur les incitants à la mobilité douce et à l’isolation des logements. En revanche, d’autres nous apparaissent simples voire simplistes. Demander aux Belges s’ils trient leurs déchets permettra-t-il d’adopter des mesures fortes pour réduire les émissions de C02 d’ici 2030 ? Nous en doutons", conclut Jessica Nibelle, la porte-parole du WWF Belgique.
"Une méthode digne du 19e siècle"
La manière fait l’objet de critiques également. Le mode de "consultation publique en ligne" tel qu’il est utilisé dans ce cas-ci fait réagir Cédric Chevalier, économiste de l’environnement. "Ce Plan Energie-Climat est de la plus haute importance pour la prospérité des Belges, et il est notoirement en dessous de ce qu’on est en droit d’attendre d’un gouvernement sérieux. L’énergie sous-tend tout notre mode de vie, toute notre économie. La 'méthode de consultation' est scandaleuse car elle prive les Belges d’un débat de société existentiel et urgentissime : quelle énergie compatible avec la Terre, son climat et la prospérité humaine ? C’est affligeant car la connaissance moyenne de l’enjeu technique et social de l’énergie est trop faible : un débat sérieux aurait pu éclairer les gens pour prendre les décisions qui s’imposent."
Pour ce fonctionnaire de l’environnement qui se sent par ailleurs à titre privé tout à fait concerné par l’enjeu, le gouvernement aurait pu opter pour un autre mode de consultation. "Je pense qu’au XXIe siècle, on peut bénéficier d’au moins 25 ans d’expérience citoyenne et politique en démocratie participative, et des tas d’outils techniques et méthodes de participation large pour faire émerger l’opinion citoyenne éclairée, même sur les enjeux les plus complexes. Ici, on fait de la 'consultation' à la mode XIXe siècle. C’est le minimum légal sur l’échelle de la participation. C’est presque criminel vu l’enjeu climatique car on va avoir besoin d’une mobilisation inédite de la société pour réduire les émissions de 55% en dix ans". Et ce citoyen engagé de conclure : "Ce n’est pas comme ça qu’on va éclairer et mobiliser les citoyens". Le taux de participation et la compilation des réponses nous diront s’il avait raison.
►►► Répondez au questionnaire public sur la transition écologique
04/06/19 : Le gouvernement demande votre avis sur la transition écologique
Seriez-vous prêt à opter pour une voiture moins polluante et à diminuer votre consommation d’énergie ? Voulez-vous plus d’éoliennes à la côte ? Le gouvernement fédéral sortant lance une consultation publique ce mardi.
Seriez-vous prêt à opter pour une voiture moins polluante et à diminuer votre consommation d’énergie ? Voulez-vous plus d’éoliennes à la côte ? Le gouvernement fédéral sortant lance une consultation publique ce mardi. L’idée est d’évaluer ce que chacun est prêt à faire à son niveau pour la transition énergétique. Est-ce finalement bien utile ? Nicolas Van Nuffel, président de la Coalition Climat, était l’invité de Jour Première ce mardi.
Demander l’avis des citoyens pour amorcer la transition écologique est-il une bonne idée ? "Je pense qu’il nous faut un grand débat sur le climat, confirme Nicolas Van Nuffel. Mais comment mène-t-on ce débat ? Le questionnaire est sorti ce matin et on n’y a pas eu accès à l’avance, donc je n’ai pas encore vu la liste complète des questions, mais notre impression est qu’il y a une série de questions assez fermées qui posent des questions plus individuelles. Or on doit aborder la question du climat de façon globale. C’est donc très bien de faire un questionnaire en ligne pour consulter la population, mais je pense qu’il va nous falloir un débat beaucoup plus large", déplore-t-il.
Faut-il y déceler une réponse aux marches pour le climat ? Certainement pas. Il s’agirait en fait d’une exigence de la Commission européenne. "Tous les États membres de l’Union européenne doivent établir leur plan climat, et dans ce cadre-là, on leur demande de consulter leur population. Ce n’est donc pas une initiative qui est prise par nos ministres. Mais peu importe d’où ça vient, c’est quand même intéressant qu’on puisse lancer ce débat."
Cette consultation des citoyens européens devrait durer jusqu’au 15 juillet. Entre les déclarations fiscales, les examens et les départs en vacances, le délai peut sembler assez court. "Mais ça ne nous empêche pas de penser qu’il faut que nous participions, insiste Nicolas Van Nuffel. C’est une possibilité pour chacun d’entre nous de donner de la voix, de faire entendre le message, au-delà des questions précises qui sont posées, qu’on a voulu faire entendre dans la rue, qui est de dire que le climat n’est pas un sujet de débat. Aujourd’hui, les scientifiques nous disent très clairement que le réchauffement ne doit pas dépasser 1,5 degré et que pour ça il faut que l’Union européenne rehausse ses ambitions et que la Belgique rehausse ses ambitions. C’est l’occasion de dire clairement qu’on veut une vision politique à long terme. On ne peut pas séparer l’économique, le social et l’environnemental aujourd’hui", poursuit-il.
Scores inquiétants au nord du pays
En ce qui concerne les résultats des élections du 26 mai dernier, Nicolas Van Nuffel se montre naturellement inquiet : "La N-VA, parti qui a freiné les ambitions climatiques pendant les cinq dernières années, fait partie des grands perdants de cette élection, mais elle se sert de l’extrême droite comme un marchepied pour se rendre incontournable en Flandre. On doit donc tenir compte de ce contexte-là, met-il en garde. Ça ne doit en tout cas pas empêcher, au moins au niveau des Régions bruxelloise et wallonne, d’avoir une réelle ambition et de se préparer".
Quelle que soit l’issue des négociations, il est certain qu’une grande partie des mesures environnementales relèveront de compétences régionales. Nicolas Van Nuffel rappelle en outre que les lignes de conduite seront définies par l’Union européenne. Pour lui, le jour viendra où des décisions "vont s’imposer quoi qu’il arrive", prévient-il.
Le WWF pas convaincu par le timing pour la consultation publique
"On regrette le manque de sollicitation de la société civile et des experts", nous explique-t-on au WWF. "Le gouvernement fédéral a tardé à lancer cette consultation. Il devait le faire au premier trimestre 2019. Il a donc 3 mois de retard par rapport au calendrier fixé par la Commission européenne. Nous regrettons des propositions vagues, un manque de coordination entre le fédéral et les régions et une quasi-absence de communication autour de ce questionnaire". L’organisation de protection de l’environnement espère malgré tout que les citoyens seront très nombreux à participer à la consultation. "Certaines questions nous semblent pertinentes. C’est le cas de la question sur les incitants à la mobilité douce et à l’isolation des logements. En revanche, d’autres nous apparaissent simples voire simplistes. Demander aux Belges s’ils trient leurs déchets permettra-t-il d’adopter des mesures fortes pour réduire les émissions de C02 d’ici 2030 ? Nous en doutons", conclut Jessica Nibelle, la porte-parole du WWF Belgique.
"Une méthode digne du 19e siècle"
La manière fait l’objet de critiques également. Le mode de "consultation publique en ligne" tel qu’il est utilisé dans ce cas-ci fait réagir Cédric Chevalier, économiste de l’environnement. "Ce Plan Energie-Climat est de la plus haute importance pour la prospérité des Belges, et il est notoirement en dessous de ce qu’on est en droit d’attendre d’un gouvernement sérieux. L’énergie sous-tend tout notre mode de vie, toute notre économie. La 'méthode de consultation' est scandaleuse car elle prive les Belges d’un débat de société existentiel et urgentissime : quelle énergie compatible avec la Terre, son climat et la prospérité humaine ? C’est affligeant car la connaissance moyenne de l’enjeu technique et social de l’énergie est trop faible : un débat sérieux aurait pu éclairer les gens pour prendre les décisions qui s’imposent."
Pour ce fonctionnaire de l’environnement qui se sent par ailleurs à titre privé tout à fait concerné par l’enjeu, le gouvernement aurait pu opter pour un autre mode de consultation. "Je pense qu’au XXIe siècle, on peut bénéficier d’au moins 25 ans d’expérience citoyenne et politique en démocratie participative, et des tas d’outils techniques et méthodes de participation large pour faire émerger l’opinion citoyenne éclairée, même sur les enjeux les plus complexes. Ici, on fait de la 'consultation' à la mode XIXe siècle. C’est le minimum légal sur l’échelle de la participation. C’est presque criminel vu l’enjeu climatique car on va avoir besoin d’une mobilisation inédite de la société pour réduire les émissions de 55% en dix ans". Et ce citoyen engagé de conclure : "Ce n’est pas comme ça qu’on va éclairer et mobiliser les citoyens". Le taux de participation et la compilation des réponses nous diront s’il avait raison.
►►► Répondez au questionnaire public sur la transition écologique
http://www.vivreici.be/article/detail_le-gouvernement-demande-votre-avis-sur-la-transition-ecologique?id=293371
04/06/19 : Un vent d'opposition aux éoliennes entre Sainte-Cécile et Muno
04/06/19 : Un vent d'opposition aux éoliennes entre Sainte-Cécile et Muno
Dans la commune de Florenville, des habitants et l'auteur de bande dessinée Jean-Claude Servais tentent de mobiliser la population contre l’implantation de six éoliennes à proximité de Muno. Un comité de riverains a été créé pour dénoncer l’impact environnemental de ce projet de la filiale de Nethys, Elicio.
Une réunion publique pour la présentation du projet est prévue ce mercredi 5 juin à 19h au hall sportif de Muno.
Une réunion publique pour la présentation du projet est prévue ce mercredi 5 juin à 19h au hall sportif de Muno.
https://www.tvlux.be/video/culture/societe/un-vent-d-opposition-aux-eoliennes-entre-sainte-cecile-et-muno_32008.html
04/06/19 : Le conseil de l'environnement s'oppose aux onze éoliennes de Ster
Les autorités communales doivent à présent se prononcer, avant de transmettre le dossier à l’administration régionale, pour décision.
04/06/19 : Le conseil de l'environnement s'oppose aux onze éoliennes de Ster
Ce lundi, l’enquête publique à propos des éoliennes de GreenTech a été officiellement clôturée. La demande de permis pour planter onze mâts en bordure d’autoroute, dans une zone forestière, le long de l’aire de repos de Cronchamps, a suscité de nombreuses réactions d’habitants, une centaine à Stavelot, une trentaine à Jalhay. Pour la plupart, des remarques négatives, voire des oppositions farouches. Parallèlement, une pétition circule en faveur d’une participation citoyenne au projet, sous la forme d’une coopérative sociale.
L’élément le plus neuf, c’est que le conseil wallon de l’environnement vient de publier son avis. Il est défavorable. Les experts reconnaissent le haut potentiel venteux de l’endroit retenu par le promoteur, une société filiale du groupe tournaisien Ventis. Mais l’implantation est jugée inopportune, précisément en fonction du positionnement sommital du site. Sommital ? En clair, c’est un "piédestal", ce qui pourrait poser des problèmes pour la navigation aérienne, mais qui, surtout, accentuerait l’impact visuel sur le paysage. Et le rapport note que, si l’autorisation devait être accordée, il n’y aurait plus de raison d’interdire ce type d’infrastructure là où c’est actuellement exclu, comme sur le plateau des Hautes Fagnes, par exemple.Les autorités communales doivent à présent se prononcer, avant de transmettre le dossier à l’administration régionale, pour décision.
https://www.rtbf.be/info/regions/liege/detail_le-conseil-de-l-environnement-s-oppose-aux-onze-eoliennes-de-ster?id=10237825
04/06/19 : Faits divers : Villers-le-Bouillet : Un vol de tôles d’éoliennes sur un chantier
Un vol de tôles destinées à la construction d’éoliennes a été constaté sur un chantier de Villers-le-Bouillet, ce matin.
Un vol de métaux a été relevé par la zone de police Meuse-Hesbaye, ce matin, aux environs de 9 h 30. Il s’agit de tôles destinées à la construction d’éoliennes, dérobées directement sur un chantier de Villers-le-Bouillet. «C’est le responsable du chantier qui, une fois arrivé sur place, a constaté qu’il manquait des tôles en acier. Il n’a pas tardé à nous en avertir», informe un agent de la zone de police. Un vol sans doute bien organisé au vu du poids mais aussi de la taille de ce type de matériel. «Les conséquences sont importantes d’un point de vue financier puisqu’il s’agit tout de même d’une trentaine de tôles, ce qui représente un certain coût.» Une plainte sera déposée et l’enquête permettra peut-être de retrouver les marauds.
04/06/19 : Faits divers : Villers-le-Bouillet : Un vol de tôles d’éoliennes sur un chantier
Un vol de tôles destinées à la construction d’éoliennes a été constaté sur un chantier de Villers-le-Bouillet, ce matin.
Un vol de métaux a été relevé par la zone de police Meuse-Hesbaye, ce matin, aux environs de 9 h 30. Il s’agit de tôles destinées à la construction d’éoliennes, dérobées directement sur un chantier de Villers-le-Bouillet. «C’est le responsable du chantier qui, une fois arrivé sur place, a constaté qu’il manquait des tôles en acier. Il n’a pas tardé à nous en avertir», informe un agent de la zone de police. Un vol sans doute bien organisé au vu du poids mais aussi de la taille de ce type de matériel. «Les conséquences sont importantes d’un point de vue financier puisqu’il s’agit tout de même d’une trentaine de tôles, ce qui représente un certain coût.» Une plainte sera déposée et l’enquête permettra peut-être de retrouver les marauds.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190603_01343200/un-vol-de-toles-d-eoliennes-sur-un-chantier
01/06/19 : Trois nouvelles éoliennes à Ronquières, deux autres à Feluy
01/06/19 : Trois nouvelles éoliennes à Ronquières, deux autres à Feluy
Les deux projets sont sur le point d'aboutir.
Le vent est favorable actuellement pour la construction d'éoliennes dans la région de Braine-le-Comte, Seneffe et Ecaussinnes. De nombreux mâts ont fleuri ces dernières années. Il y en aura encore d'autres. A commencer par ceux de deux projets actuellement en cours de finition. Le premier est prévu dans le zoning de Feluy. Il prévoit la construction de deux éoliennes sur le site de l'usine Xtratherm. Une enquête publique est actuellement en cours (du 27 mai au 26 juin 2019).
La demande de permis unique concerne deux éoliennes Engie Electrabel d'une puissance unitaire de maximum de 3,6 MW et de tous leurs auxiliaires sur le territoire de la commune de Seneffe avec création d’aires de travail, pose de câbles électriques et construction d’une cabine de tête. Le dossier complet peut être consulté auprès des sdministrations communales de Seneffe, Ecaussinnes, Manage, La Louvière et Le Roeulx.
Un autre dossier est également en cours. Il est question d'un parc de trois éoliennes le long du canal Bruxelles-Charleroi, au sud de Ronquières et à l’est d’Henripont. C'est la société Aspiravi, active dans la production d'énergie renouvelable, qui est à la base de ce projet. Les trois éoliennes auront une puissance totale de 9 à 12 MW. La demande de permis fera l’objet d’une étude d’incidences sur l’environnement et d’une réunion d’information du public à laquelle chacun est invité à assister. Elle se tiendra ce mardi 4 juin (19h) à l'ancienne gare de Ronquières.
Le vent est favorable actuellement pour la construction d'éoliennes dans la région de Braine-le-Comte, Seneffe et Ecaussinnes. De nombreux mâts ont fleuri ces dernières années. Il y en aura encore d'autres. A commencer par ceux de deux projets actuellement en cours de finition. Le premier est prévu dans le zoning de Feluy. Il prévoit la construction de deux éoliennes sur le site de l'usine Xtratherm. Une enquête publique est actuellement en cours (du 27 mai au 26 juin 2019).
La demande de permis unique concerne deux éoliennes Engie Electrabel d'une puissance unitaire de maximum de 3,6 MW et de tous leurs auxiliaires sur le territoire de la commune de Seneffe avec création d’aires de travail, pose de câbles électriques et construction d’une cabine de tête. Le dossier complet peut être consulté auprès des sdministrations communales de Seneffe, Ecaussinnes, Manage, La Louvière et Le Roeulx.
Un autre dossier est également en cours. Il est question d'un parc de trois éoliennes le long du canal Bruxelles-Charleroi, au sud de Ronquières et à l’est d’Henripont. C'est la société Aspiravi, active dans la production d'énergie renouvelable, qui est à la base de ce projet. Les trois éoliennes auront une puissance totale de 9 à 12 MW. La demande de permis fera l’objet d’une étude d’incidences sur l’environnement et d’une réunion d’information du public à laquelle chacun est invité à assister. Elle se tiendra ce mardi 4 juin (19h) à l'ancienne gare de Ronquières.
https://www.dhnet.be/regions/centre/trois-nouvelles-eoliennes-a-ronquieres-deux-autres-a-feluy-5cf12f28d8ad580bf0345883
01/06/19 : Les Belges peuvent désormais investir dans l’éolien en mer
Pour la première fois, des citoyens pourront investir dans l’éolien en mer. L’intercommunale limbourgeoise Nuhma propose désormais de consacrer son argent aux énergies vertes, plus particulièrement via la coopérative Eco2050, rapportent samedi L’Echo, Het Belang van Limburg et De Tijd. Depuis vendredi, les familles et les organisations peuvent souscrire aux actions de la coopérative, d’une valeur de 50 euros.
01/06/19 : Les Belges peuvent désormais investir dans l’éolien en mer
Pour la première fois, des citoyens pourront investir dans l’éolien en mer. L’intercommunale limbourgeoise Nuhma propose désormais de consacrer son argent aux énergies vertes, plus particulièrement via la coopérative Eco2050, rapportent samedi L’Echo, Het Belang van Limburg et De Tijd. Depuis vendredi, les familles et les organisations peuvent souscrire aux actions de la coopérative, d’une valeur de 50 euros.
Nuhma, détenu depuis longtemps par les communes limbourgeoises, souhaite aujourd’hui ouvrir son capital aux citoyens. « Nous voulons les impliquer directement dans la transition énergétique et leur proposer un investissement intéressant assorti d’un dividende », explique le CEO Ludo Kelchtermans. Une participation ouverte à tous en Belgique, même si les formalités se font pour l’instant seulement en néerlandais.
La coopérative investira via un emprunt subordonné dans Z-Kracht, la division de Nuhma active dans le parc éolien belge en mer du Nord. L’intérêt versé sur cet emprunt sera variable. Pendant la phase de construction – plus risquée – ECO2050 percevra un intérêt de 6 %. Lorsque le projet sera lancé, le taux oscillera entre 4 et 6 %, selon la quantité d’énergie produite. Par conséquent, après une année très venteuse, ECO2050 réalisera davantage de bénéfices et distribuera un dividende plus élevé que lors des années où il y aura moins de vent.
La coopérative investira via un emprunt subordonné dans Z-Kracht, la division de Nuhma active dans le parc éolien belge en mer du Nord. L’intérêt versé sur cet emprunt sera variable. Pendant la phase de construction – plus risquée – ECO2050 percevra un intérêt de 6 %. Lorsque le projet sera lancé, le taux oscillera entre 4 et 6 %, selon la quantité d’énergie produite. Par conséquent, après une année très venteuse, ECO2050 réalisera davantage de bénéfices et distribuera un dividende plus élevé que lors des années où il y aura moins de vent.
https://www.sudinfo.be/id122539/article/2019-06-01/les-belges-peuvent-desormais-investir-dans-leolien-en-mer
31/05/19 : Sommethonne : Éoliennes: les réflexions citoyennes fusent
31/05/19 : Sommethonne : Éoliennes: les réflexions citoyennes fusent
L’avis général n’est pas opposé par principe à une production d’énergie durable. 39 personnes proposent leurs réflexions.
31/05/19 : Gouvy - L’éolien s’invite au conseil
Le dossier sur un parc éolien à Houffalize, qui touche des terrains communaux de Gouvy, a fait débat.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190530_01341689/l-eolien-s-invite-au-conseil
29/05/19 : Le gouvernement lancera une consultation publique sur le plan climat belge mardi
Le texte définitif du Plan national Énergie Climat doit être soumis à la Commission européenne fin 2019. Sur la base des plans nationaux, celle-ci suivra les progrès réalisés en vue d’atteindre les objectifs en matière de climat et d’énergie pour 2030 et évaluera la nécessité de formuler des recommandations pouvant déboucher sur des mesures supplémentaires à adopter.
31/05/19 : Gouvy - L’éolien s’invite au conseil
Le dossier sur un parc éolien à Houffalize, qui touche des terrains communaux de Gouvy, a fait débat.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190530_01341689/l-eolien-s-invite-au-conseil
29/05/19 : Le gouvernement lancera une consultation publique sur le plan climat belge mardi
Le gouvernement en affaires courantes lancera le mardi 4 juin une consultation publique en ligne sur le Plan National Energie Climat (PNEC), a confirmé mercredi le cabinet de la ministre fédérale de l’Énergie, Marie Christine Marghem. Le questionnaire donne aux citoyens la possibilité de s’exprimer sur les engagements pris par les différentes autorités du pays dans le PNEC. Les questions seront publiées sur le site web de la Direction générale de l’énergie du SPF Economie et resteront en ligne durant six semaines, indique le cabinet.
Les questions en tant que telles ne sont pas encore connues. Le journal De Morgen évoquait mercredi une série de quinze questions, telles que « voulez-vous plus d’éoliennes offshore à la Côte? » ou « comment pouvez-vous réduire votre consommation d’énergie? « . En parallèle à ces questions, des commentaires pourront être ajoutés.
Les questions en tant que telles ne sont pas encore connues. Le journal De Morgen évoquait mercredi une série de quinze questions, telles que « voulez-vous plus d’éoliennes offshore à la Côte? » ou « comment pouvez-vous réduire votre consommation d’énergie? « . En parallèle à ces questions, des commentaires pourront être ajoutés.
La consultation fait suite à une requête de la Commission européenne, qui a demandé à tous les États membres d’interroger leur population sur leur plan climat respectif. La Belgique avait donc indiqué dans le PNEC qu’une consultation publique aurait lieu « au cours du premier trimestre de 2019 ». Le léger retard s’explique en partie par le fait que les niveaux de pouvoir (l’Etat fédéral et les trois Régions) ont dû être coordonnés.
Les citoyens seront informés de cette consultation entre autres via Internet, Twitter et la presse, assure le cabinet de Marie Christine Marghem.
Pour le WWF, cité dans De Morgen, « tout indique que le gouvernement préfère que le moins de personnes possible se penchent sur ce plan climat », selon sa porte-parole, Julie Vandenberghe. « L’Europe s’attend à une large consultation publique, mais qu’obtenons-nous? Un simple questionnaire qui sera publié sur un site web pendant l’été, sans aucune publicité », estime-t-elle.Les citoyens seront informés de cette consultation entre autres via Internet, Twitter et la presse, assure le cabinet de Marie Christine Marghem.
Le texte définitif du Plan national Énergie Climat doit être soumis à la Commission européenne fin 2019. Sur la base des plans nationaux, celle-ci suivra les progrès réalisés en vue d’atteindre les objectifs en matière de climat et d’énergie pour 2030 et évaluera la nécessité de formuler des recommandations pouvant déboucher sur des mesures supplémentaires à adopter.
https://fr.metrotime.be/2019/05/29/news/le-gouvernement-lancera-une-consultation-publique-sur-le-plan-climat-belge-mardi/
29/05/19 : L’ombre de six éoliennes plane sur le village de Muno : Jean-Claude Servais part en guerre
L’auteur de BD gaumais Jean-Claude Servais part en guerre contre un projet de six éoliennes de 200 m de haut entre Muno et Sainte-Cécile.https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190529_01341465/l-ombre-de-six-eoliennes-plane-sur-le-village-de-muno
28/05/19 : Péruwelz : Le projet des "Moulins du Buissenet" inquiète les riverains
A Brasménil hier soir se tenait une soirée d'information pour un nouveau projet éolien. Présenté en avril 2018, ce projet est mené par l'intercommunale Ipalle et la coopérative citoyenne CLEF. Ils ont dévoilé hier le résultat de l'étude d'incidence menée pendant un an aux riverains. Ceux-ci n'ont pas été particulièrement rassurés par la présentation et conservent de nombreuses inquiétudes.
29/05/19 : L’ombre de six éoliennes plane sur le village de Muno : Jean-Claude Servais part en guerre
L’auteur de BD gaumais Jean-Claude Servais part en guerre contre un projet de six éoliennes de 200 m de haut entre Muno et Sainte-Cécile.https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190529_01341465/l-ombre-de-six-eoliennes-plane-sur-le-village-de-muno
28/05/19 : Péruwelz : Le projet des "Moulins du Buissenet" inquiète les riverains
A Brasménil hier soir se tenait une soirée d'information pour un nouveau projet éolien. Présenté en avril 2018, ce projet est mené par l'intercommunale Ipalle et la coopérative citoyenne CLEF. Ils ont dévoilé hier le résultat de l'étude d'incidence menée pendant un an aux riverains. Ceux-ci n'ont pas été particulièrement rassurés par la présentation et conservent de nombreuses inquiétudes.
https://www.notele.be/it9-media65343-le-projet-des-moulins-du-buissenet-inquiete-les-riverains.html
28/05/19 : Belœil défend sa petite Suisse
28/05/19 : Belœil défend sa petite Suisse
BELOEIL - PÉRUWELZ - LEUZE
La commune de Belœil refusera tout projet dans cette zone d’intérêt paysager.
Reinold Leplat, directeur du parc naturel des plaines de l’Escauta présenté aux élus belœillois un outil conçu par le parc en matière d’éolien.
Il s’agit d’un document qui propose à la fois une ligne de conduite adaptée au territoire pour les promoteurs et une aide à la décision pour les autorités compétentes dans l’optique de l’octroi des permis uniques à traiter.
L’outil du PNPE vise à ce que les sept communes du parc adoptent une ligne de conduite identique. "En adhérant à ce document, la commune garde son autonomie et les procédures, avec étude d’incidences et enquête publique, restent les mêmes. Maintenant, avoir un même outil pour mener les dossiers amène plus de cohérence", a répondu Reinold Leplat à une question de Michel Dubois (Bel’Elan).
Le document a été voté par le conseil communal mais le bourgmestre, Luc Vansaingèle (PS), a ouvert le débat en demandant pourquoi la zone de la Petite Suisse à Ellignies-Sainte-Anne était restée en blanc sur la carte projetée alors qu’elle revêt un grand intérêt paysager.
"Je ne suis pas d’accord avec cette classification. Nous avons déjà deux parcs éoliens à un kilomètre à peine de distance à vol d’oiseau. Et comment voulez-vous avoir la paix si on nous déclare la guerre ? Il faut maintenir le paysage de nos villages ruraux", avance Luc Vansaingèle.
Le bourgmestre a fait savoir que la commune s’opposerait à toute demande d’implantation d’un parc éolien sur cette zone située entre Ellignies, Wadelincourt et Basècles. "Les projets éoliens doivent avoir un impact sur la facture d’électricité et nous plaidons aussi pour que les pouvoirs publics prennent en charge les projets, comme les intercommunales Ipalle et Ideta, afin que les bénéfices ne partent pas vers les paradis fiscaux. On laisse encore beaucoup trop la main aux privés", selon Luc Vansaingèle.
Tout en rappelant au passage que des tentatives avaient déjà eu lieu pour implanter des éoliennes au niveau de la Petite Suisse, Bastien Marlot (Pour l’avenir), par ailleurs vice-président d’Ipalle, a souligné que "les projets que nous encourageons se situent près des voies autoroutières et c’est plutôt dans cette direction que les futurs projets devront se développer."
Reinold Leplat, directeur du parc naturel des plaines de l’Escauta présenté aux élus belœillois un outil conçu par le parc en matière d’éolien.
Il s’agit d’un document qui propose à la fois une ligne de conduite adaptée au territoire pour les promoteurs et une aide à la décision pour les autorités compétentes dans l’optique de l’octroi des permis uniques à traiter.
L’outil du PNPE vise à ce que les sept communes du parc adoptent une ligne de conduite identique. "En adhérant à ce document, la commune garde son autonomie et les procédures, avec étude d’incidences et enquête publique, restent les mêmes. Maintenant, avoir un même outil pour mener les dossiers amène plus de cohérence", a répondu Reinold Leplat à une question de Michel Dubois (Bel’Elan).
Le document a été voté par le conseil communal mais le bourgmestre, Luc Vansaingèle (PS), a ouvert le débat en demandant pourquoi la zone de la Petite Suisse à Ellignies-Sainte-Anne était restée en blanc sur la carte projetée alors qu’elle revêt un grand intérêt paysager.
"Je ne suis pas d’accord avec cette classification. Nous avons déjà deux parcs éoliens à un kilomètre à peine de distance à vol d’oiseau. Et comment voulez-vous avoir la paix si on nous déclare la guerre ? Il faut maintenir le paysage de nos villages ruraux", avance Luc Vansaingèle.
Le bourgmestre a fait savoir que la commune s’opposerait à toute demande d’implantation d’un parc éolien sur cette zone située entre Ellignies, Wadelincourt et Basècles. "Les projets éoliens doivent avoir un impact sur la facture d’électricité et nous plaidons aussi pour que les pouvoirs publics prennent en charge les projets, comme les intercommunales Ipalle et Ideta, afin que les bénéfices ne partent pas vers les paradis fiscaux. On laisse encore beaucoup trop la main aux privés", selon Luc Vansaingèle.
Tout en rappelant au passage que des tentatives avaient déjà eu lieu pour implanter des éoliennes au niveau de la Petite Suisse, Bastien Marlot (Pour l’avenir), par ailleurs vice-président d’Ipalle, a souligné que "les projets que nous encourageons se situent près des voies autoroutières et c’est plutôt dans cette direction que les futurs projets devront se développer."
https://www.dhnet.be/regions/tournai-ath-mouscron/beloeil-peruwelz-leuze/belil-defend-sa-petite-suisse-5cea9fa29978e223b1ebf8e9
La cause de leur grogne: le parc de six nouvelles éoliennes que l’intercommunale Ipalle et la coopérative CLEF veulent installer de part et d’autre de l’autoroute et à proximité du Moulin Berlo. « Nous sommes des voisins de ce moulin qui risque de ne plus persister longtemps », clame une habitante.
25/05/19 : Éoliennes Sommethonne : Montmédy aussi grimpe au mât
Le président de l’Office de tourisme de Montmédy dit que le projet éolien belge «ne respecte pas le patrimoine architectural» français.
Le président de l’Office de tourisme de Montmédy dit que le projet éolien belge «ne respecte pas le patrimoine architectural» français.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190524_01339552/montmedy-aussi-grimpe-au-mat
24/05/19 : Une manif contre les six nouvelles éoliennes de Brasménil
Jeudi soir, devant la salle du Pavillon à Péruwelz, quelques habitants de Brasménil ont manifesté leur mécontentement et profité du conseil communal pour se faire entendre.24/05/19 : Une manif contre les six nouvelles éoliennes de Brasménil
La cause de leur grogne: le parc de six nouvelles éoliennes que l’intercommunale Ipalle et la coopérative CLEF veulent installer de part et d’autre de l’autoroute et à proximité du Moulin Berlo. « Nous sommes des voisins de ce moulin qui risque de ne plus persister longtemps », clame une habitante.
https://www.nordeclair.be/392834/article/2019-05-24/une-manif-contre-les-six-nouvelles-eoliennes-de-brasmenil
24/05/19 : La construction de neuf éoliennes à Boneffe devrait reprendre prochainement
Le chantier avait été suspendu à plusieurs reprises. Cette fois, c'était parce que la zone concernée était utilisée par l'armée qui y larguait des para-commandos. L'armée qui annonce donc qu'elle libère ce terrain. La construction va reprendre mais le permis de bâtir est lui toujours contesté ?
La réponse est « oui » ; et c'est souvent le cas avec les éoliennes : les riverains proches sont rarement ravis de savoir que leur paysage pourrait être largement transformé.
Le promoteur du chantier nous confiait que seuls 3 à 4% de ses projets se déroulaient sans opposition de riverains. Ici, en l'occurrence, on est en déjà au cinquième permis. Le premier date encore de la législature du précédent ministre de l'Energie Jean-Marc Nollet. Un permis qui fait donc l'objet d'un recours au conseil d'Etat en ce moment. Mais seule sa forme est révisée, le fond – lui – a déjà été validé par les instances compétentes.
Le chantier sera donc repris, ce sera vers la fin du mois d'août d'après le promoteur. Si tout se passe bien les éoliennes devraient être érigées au début de l'année 2021.
Les retards occasionnés auront un impact sur l'efficience des éoliennes. Car la technologie éolienne est en constante évolution. Et donc, plus on retarde un chantier, plus on met sur pied des machines qui sont dépassées. Ici, cela fait tout de même 11 ans que le projet est sur la table. Les éoliennes qui vont être construites seulement maintenant auraient donc pu bénéficier de technologies bien plus avancées. Et produire ainsi beaucoup plus d'énergie.https://www.rtbf.be/info/regions/detail_la-construction-de-neuf-eoliennes-a-boneffe-devrait-reprendre-prochainement?id=10229182
24/05/19 : Six éoliennes de plus du côté de Bury: lundi, un atelier d’information attend les riverains concernés
Le projet de parc éolien, à la fois public et citoyen, Moulins du Buissenet a fait l’objet de quelques modifications depuis sa première mouture, présentée en avril 2018. À l’époque, il avait motivé deux pétitions et la réaction de 210 riverains.
24/05/19 : La construction de neuf éoliennes à Boneffe devrait reprendre prochainement
Le chantier avait été suspendu à plusieurs reprises. Cette fois, c'était parce que la zone concernée était utilisée par l'armée qui y larguait des para-commandos. L'armée qui annonce donc qu'elle libère ce terrain. La construction va reprendre mais le permis de bâtir est lui toujours contesté ?
La réponse est « oui » ; et c'est souvent le cas avec les éoliennes : les riverains proches sont rarement ravis de savoir que leur paysage pourrait être largement transformé.
Le promoteur du chantier nous confiait que seuls 3 à 4% de ses projets se déroulaient sans opposition de riverains. Ici, en l'occurrence, on est en déjà au cinquième permis. Le premier date encore de la législature du précédent ministre de l'Energie Jean-Marc Nollet. Un permis qui fait donc l'objet d'un recours au conseil d'Etat en ce moment. Mais seule sa forme est révisée, le fond – lui – a déjà été validé par les instances compétentes.
Le chantier sera donc repris, ce sera vers la fin du mois d'août d'après le promoteur. Si tout se passe bien les éoliennes devraient être érigées au début de l'année 2021.
Les retards occasionnés auront un impact sur l'efficience des éoliennes. Car la technologie éolienne est en constante évolution. Et donc, plus on retarde un chantier, plus on met sur pied des machines qui sont dépassées. Ici, cela fait tout de même 11 ans que le projet est sur la table. Les éoliennes qui vont être construites seulement maintenant auraient donc pu bénéficier de technologies bien plus avancées. Et produire ainsi beaucoup plus d'énergie.https://www.rtbf.be/info/regions/detail_la-construction-de-neuf-eoliennes-a-boneffe-devrait-reprendre-prochainement?id=10229182
24/05/19 : Six éoliennes de plus du côté de Bury: lundi, un atelier d’information attend les riverains concernés
Le projet de parc éolien, à la fois public et citoyen, Moulins du Buissenet a fait l’objet de quelques modifications depuis sa première mouture, présentée en avril 2018. À l’époque, il avait motivé deux pétitions et la réaction de 210 riverains.
Mené à la fois par l’intercommunale Ipalle (à 75 %) et la coopérative citoyenne CLEF (à 25 %), le projet de parc éolien des « Moulins du Buissenet » entend ériger six éoliennes à cheval sur les villages de Brasménil, Bury, Braffe et Briffœil. « Il s’agit de mâts de 150 mètres de haut et d’une puissance individuelle nominale de 3,6 MW », précise Louise Demasure, ingénieur projet chez Ipalle.
►► Ce nouveau parc installé de part et d’autre de l’E42 devrait permettre d’alimenter l’équivalent de 9.500 ménages wallons.
►► L’enquête publique est en cours jusqu’au 24 juin.
►► Ce nouveau parc installé de part et d’autre de l’E42 devrait permettre d’alimenter l’équivalent de 9.500 ménages wallons.
►► L’enquête publique est en cours jusqu’au 24 juin.
https://www.sudinfo.be/id120858/article/2019-05-24/six-eoliennes-de-plus-du-cote-de-bury-lundi-un-atelier-dinformation-attend-les
23/05/19 : Six éoliennes de plus du côté de Bury
Le projet de parc éolien, à la fois public et citoyen, Moulins du Buissenet a fait l’objet de quelques modifications depuis sa première mouture, présentée en avril 2018. À l’époque, il avait motivé deux pétitions et la réaction de 210 riverains. Reculé d’une centaine de mètres, il est à nouveau présenté lundi, lors d’un atelier participatif, organisé au réfectoire de Brasménil.
23/05/19 : Péruwelz : Une délégation de riverains inquiets
Une poignée d'habitants de Wasmes-Audemetz-Briffoeil attendait le collège et les conseillers à l'entrée de la salle du conseil communal. Ces riverains voient avec inquiétude les projets de parcs éoliens se multiplier autour de leur village et dans les campagnes environnantes. Munis d'une caricature de Serdu, une éolienne les yeux bandés qui court à l' aveuglette et le Moulin Berlo, un vestige du village lancer un SOS , ils souhaitent que les élus restent vigilants et ne laissent pas les promoteurs implanter de façon anarchique de nouveaux parcs. L'intercommunale IPALLE et la coopérative citoyenne CLEF souhaitent en effet implanter six éoliennes sous l' appellation "Moulin du Buissenet" entre les villages de Brasmenil et Roucourt , de part et d'autre de l'autoroute E42 et sur l'aire de Nandy Genotte. Ces six éoliennes produiraient de l'électricité permettant d'alimenter plus de 9.500 ménages wallons en énergie renouvelable. Un atelier d'information se tiendra au réfectoire de l'école communale de Brasménil le lundi 27 mai, de 16h à 20h : les riverains sont invités à venir à tout moment entre l'heure de début et l'heure de fin.
23/05/19 : Six éoliennes de plus du côté de Bury
Le projet de parc éolien, à la fois public et citoyen, Moulins du Buissenet a fait l’objet de quelques modifications depuis sa première mouture, présentée en avril 2018. À l’époque, il avait motivé deux pétitions et la réaction de 210 riverains. Reculé d’une centaine de mètres, il est à nouveau présenté lundi, lors d’un atelier participatif, organisé au réfectoire de Brasménil.
23/05/19 : Péruwelz : Une délégation de riverains inquiets
Une poignée d'habitants de Wasmes-Audemetz-Briffoeil attendait le collège et les conseillers à l'entrée de la salle du conseil communal. Ces riverains voient avec inquiétude les projets de parcs éoliens se multiplier autour de leur village et dans les campagnes environnantes. Munis d'une caricature de Serdu, une éolienne les yeux bandés qui court à l' aveuglette et le Moulin Berlo, un vestige du village lancer un SOS , ils souhaitent que les élus restent vigilants et ne laissent pas les promoteurs implanter de façon anarchique de nouveaux parcs. L'intercommunale IPALLE et la coopérative citoyenne CLEF souhaitent en effet implanter six éoliennes sous l' appellation "Moulin du Buissenet" entre les villages de Brasmenil et Roucourt , de part et d'autre de l'autoroute E42 et sur l'aire de Nandy Genotte. Ces six éoliennes produiraient de l'électricité permettant d'alimenter plus de 9.500 ménages wallons en énergie renouvelable. Un atelier d'information se tiendra au réfectoire de l'école communale de Brasménil le lundi 27 mai, de 16h à 20h : les riverains sont invités à venir à tout moment entre l'heure de début et l'heure de fin.
https://www.notele.be/it9-media65258-une-delegation-de-riverains-inquiets.html
23/05/19 : La Wallonie doit-elle cesser d'investir dans les éoliennes ?
Vous êtes près de 900 à avoir répondu à notre sondage sur lalibre.be.
Pour une majorité d’entre vous (62 %), la Wallonie doit cesser d’investir dans les éoliennes. En cause : défiguration du paysage et rendement aléatoire. Vous êtes 38 % à souhaiter le développement de l’éolien en Wallonie, principalement pour soutenir la transition énergétique et alléger le poids des émissions carbone et du nucléaire.
23/05/19 : La Défense prend des mesures pour favoriser l'éolien
L'armée libèrera "à court terme" des sites pour la construction d'éoliennes supplémentaires en Wallonie afin de produire de l'électricité renouvelable pour tous, a annoncé jeudi le ministre de la Défense, Didier Reynders. La Défense libèrera ainsi une zone de largage pour parachutistes et des éoliennes pourront être construites dans une zone d'entraînement d'hélicoptères. À proximité des aéroports militaires, les éoliennes pourront par ailleurs désormais atteindre une hauteur de 150 mètres - contre 122 actuellement -, a précisé M. Reynders (MR) dans un communiqué.
Ces décisions ont été prises après consultation entre les représentants du secteur de l'énergie éolienne, du ministre de la Défense et du ministre wallon de l'Energie, Jean-Luc Crucke (MR).
23/05/19 : La Wallonie doit-elle cesser d'investir dans les éoliennes ?
Tous les jeudis, "La Libre" fait le point sur un thème phare de la campagne électorale. Cette semaine, focus sur le défi que pose l’éolien à la Région wallonne. Un secteur où la communication joue un rôle primordial. Exemple à la clé.
Nimby, pour not in my garden, soit, en français : pas dans mon jardin. Dit autrement : il est facile d’être favorable aux éoliennes… quand elles se trouvent loin de chez soi. Convaincre les nimby du bien-fondé de l’énergie éolienne, c’est peut-être le plus gros défi qui attend le futur gouvernement wallon en vue d’atteindre les objectifs européens d’ici à 2030. Et pour cause : en moyenne, neuf projets sur dix avortent purement et simplement, selon le ministre wallon de l’Énergie Jean-Luc Crucke (MR). Une donnée qu’ont prise en compte la grande majorité des partis francophones (lire ci-contre) : favorables à ce que la Wallonie continue d’investir dans l’éolien onshore (sur terre), la plupart prennent cependant le soin d’insister sur l’importance de la consultation citoyenne afin de préserver la tranquilité des riverains.
Nimby, pour not in my garden, soit, en français : pas dans mon jardin. Dit autrement : il est facile d’être favorable aux éoliennes… quand elles se trouvent loin de chez soi. Convaincre les nimby du bien-fondé de l’énergie éolienne, c’est peut-être le plus gros défi qui attend le futur gouvernement wallon en vue d’atteindre les objectifs européens d’ici à 2030. Et pour cause : en moyenne, neuf projets sur dix avortent purement et simplement, selon le ministre wallon de l’Énergie Jean-Luc Crucke (MR). Une donnée qu’ont prise en compte la grande majorité des partis francophones (lire ci-contre) : favorables à ce que la Wallonie continue d’investir dans l’éolien onshore (sur terre), la plupart prennent cependant le soin d’insister sur l’importance de la consultation citoyenne afin de préserver la tranquilité des riverains.
Cela tombe bien : le gouvernement wallon a justement annoncé des mesures pour encourager la participation des citoyens au travers de coopératives ou de projets communaux. De quoi donner un élan bienvenu au futur gouvernement ? À voir…
Chassez ces éoliennes…
"Je n’avais aucun a priori favorable ou défavorable sur les éoliennes", explique Alain Jamar de Bolsée, habitant de Stoumont qui s’oppose, avec trois cents autres riverains, à l’implantation par Engie de six éoliennes sur les hauteurs de la commune de Trois-Ponts, le long de la Via Nova (la route des crêtes). "Dès que nous avons eu vent du projet (sic) , nous avons créé un petit comité local parce que beaucoup de personnes étaient sensibilisées par le problème. On nous proposait d’installer six éoliennes non pas groupées comme le code éolien le prévoit mais en alignement sur plus de trois kilomètres, en crête, le long du parc naturel des sources." À l’époque, le groupement citoyen se veut confiant quant à l’abandon du projet, d’autant que le Conseil wallon de l’environnement pour le développement durable (Cwed, désormais rattaché au pôle environnement du conseil économique, social et environnemental de Wallonie), émet un avis réservé. " La loi prévoit l’avis de deux fonctionnaires, un directeur général de l’environnement et l’autre de l’urbanisme et tous les deux avaient donné un avis négatif , poursuit Alain Jamar de Bolsée. Le DNF (anciennes Eaux et Forêts) également. Les Monuments et Sites de même, car il y a plusieurs monuments classés dans le paysage. Notamment à Trois-Ponts. Mais malgré tous ces avis négatifs, le ministre a donné l’autorisation à Engie d’installer les éoliennes."
Il n’en fallait pas plus pour que Natagora entre à son tour dans le jeu - l’endroit étant également un lieu de migration d’espèces qui pourraient être perturbées par les éoliennes. Ce front commun d’opposants a donc déposé à son tour un recours au Conseil d’État et, depuis, la situation est tout simplement bloquée.
Manque de communication
Pourtant, le projet d’Engie se voulait justement participatif, puisqu’il s’agit d’un codéveloppement avec la coopérative citoyenne Courant d’Air, dont l’objectif est de favoriser l’accès des citoyens aux énergies renouvelables. "C’est vraiment une guerre de tranchée", déplore Mario Heuckeumes, en charge du projet pour Courant d’Air. "On s’est mis derrière Engie et la commune en termes de communication", déplore ce dernier, qui admet qu’une rencontre avec les habitants de Stoumont aurait pu faciliter les choses. L’amélioration de la communication entre les différents acteurs, clé de voûte du futur de l’éolien en Wallonie ? C’est bien possible, à entendre Alain Jamar de Boslée : "On n’a eu aucun contact avec Engie avant le recours. Ce n’est qu’une fois qu’ils ont obtenu l’autorisation de la Région wallonne qu’ils m’ont contacté pour expliquer ce qu’ils voulaient faire. ‘Pour que vous n’alliez pas en recours, ça va vous coûter très cher’. Depuis, nous n’avons plus que des contacts par avocats interposés."
Ce qu'en pensent les partis
Lors de l'élaboration de notre test électoral (en collaboration avec la RTBF, la VRT, De Standaard, l'UCLouvain et l'Université d'Anvers), nous avons demandé aux sept principaux partis francophones de se positionner comme "D'accord" ou "Pas d'accord" sur des centaines d'affirmations.
Parmi celles-ci, figurait : "La Wallonie doit arrêter de soutenir l'installation d'éoliennes". Voici leurs réponses....
Vos réactions sur lalibre.beChassez ces éoliennes…
"Je n’avais aucun a priori favorable ou défavorable sur les éoliennes", explique Alain Jamar de Bolsée, habitant de Stoumont qui s’oppose, avec trois cents autres riverains, à l’implantation par Engie de six éoliennes sur les hauteurs de la commune de Trois-Ponts, le long de la Via Nova (la route des crêtes). "Dès que nous avons eu vent du projet (sic) , nous avons créé un petit comité local parce que beaucoup de personnes étaient sensibilisées par le problème. On nous proposait d’installer six éoliennes non pas groupées comme le code éolien le prévoit mais en alignement sur plus de trois kilomètres, en crête, le long du parc naturel des sources." À l’époque, le groupement citoyen se veut confiant quant à l’abandon du projet, d’autant que le Conseil wallon de l’environnement pour le développement durable (Cwed, désormais rattaché au pôle environnement du conseil économique, social et environnemental de Wallonie), émet un avis réservé. " La loi prévoit l’avis de deux fonctionnaires, un directeur général de l’environnement et l’autre de l’urbanisme et tous les deux avaient donné un avis négatif , poursuit Alain Jamar de Bolsée. Le DNF (anciennes Eaux et Forêts) également. Les Monuments et Sites de même, car il y a plusieurs monuments classés dans le paysage. Notamment à Trois-Ponts. Mais malgré tous ces avis négatifs, le ministre a donné l’autorisation à Engie d’installer les éoliennes."
Il n’en fallait pas plus pour que Natagora entre à son tour dans le jeu - l’endroit étant également un lieu de migration d’espèces qui pourraient être perturbées par les éoliennes. Ce front commun d’opposants a donc déposé à son tour un recours au Conseil d’État et, depuis, la situation est tout simplement bloquée.
Manque de communication
Pourtant, le projet d’Engie se voulait justement participatif, puisqu’il s’agit d’un codéveloppement avec la coopérative citoyenne Courant d’Air, dont l’objectif est de favoriser l’accès des citoyens aux énergies renouvelables. "C’est vraiment une guerre de tranchée", déplore Mario Heuckeumes, en charge du projet pour Courant d’Air. "On s’est mis derrière Engie et la commune en termes de communication", déplore ce dernier, qui admet qu’une rencontre avec les habitants de Stoumont aurait pu faciliter les choses. L’amélioration de la communication entre les différents acteurs, clé de voûte du futur de l’éolien en Wallonie ? C’est bien possible, à entendre Alain Jamar de Boslée : "On n’a eu aucun contact avec Engie avant le recours. Ce n’est qu’une fois qu’ils ont obtenu l’autorisation de la Région wallonne qu’ils m’ont contacté pour expliquer ce qu’ils voulaient faire. ‘Pour que vous n’alliez pas en recours, ça va vous coûter très cher’. Depuis, nous n’avons plus que des contacts par avocats interposés."
Ce qu'en pensent les partis
Lors de l'élaboration de notre test électoral (en collaboration avec la RTBF, la VRT, De Standaard, l'UCLouvain et l'Université d'Anvers), nous avons demandé aux sept principaux partis francophones de se positionner comme "D'accord" ou "Pas d'accord" sur des centaines d'affirmations.
Parmi celles-ci, figurait : "La Wallonie doit arrêter de soutenir l'installation d'éoliennes". Voici leurs réponses....
Vous êtes près de 900 à avoir répondu à notre sondage sur lalibre.be.
Pour une majorité d’entre vous (62 %), la Wallonie doit cesser d’investir dans les éoliennes. En cause : défiguration du paysage et rendement aléatoire. Vous êtes 38 % à souhaiter le développement de l’éolien en Wallonie, principalement pour soutenir la transition énergétique et alléger le poids des émissions carbone et du nucléaire.
23/05/19 : La Défense prend des mesures pour favoriser l'éolien
L'armée libèrera "à court terme" des sites pour la construction d'éoliennes supplémentaires en Wallonie afin de produire de l'électricité renouvelable pour tous, a annoncé jeudi le ministre de la Défense, Didier Reynders. La Défense libèrera ainsi une zone de largage pour parachutistes et des éoliennes pourront être construites dans une zone d'entraînement d'hélicoptères. À proximité des aéroports militaires, les éoliennes pourront par ailleurs désormais atteindre une hauteur de 150 mètres - contre 122 actuellement -, a précisé M. Reynders (MR) dans un communiqué.
Ces décisions ont été prises après consultation entre les représentants du secteur de l'énergie éolienne, du ministre de la Défense et du ministre wallon de l'Energie, Jean-Luc Crucke (MR).
L'objectif est de pouvoir produire davantage d'énergie renouvelable, ont précisé les deux ministres.
La zone de largage militaire située près de Boneffe (province de Namur) sera "libérée" et "relocalisée". La Défense adaptera également sa zone d'entraînement d'hélicoptères afin de permettre la construction d'éoliennes, a ajouté M. Reynders.
De plus, les éoliennes situées à proximité des aéroports militaires pourront désormais être plus hautes: 150 mètres au lieu de 122 mètres, à l'exception des zones les plus proches ou dans l'axe de la piste.
Le déménagement des activités militaires de la base de Coxyde à Ostende, prévu en 2023, pourrait également offrir de nouvelles possibilités au secteur de l'énergie éolienne dans cette région, en tenant compte des plans de développement de l'autorité locale et de la province, a souligné le vice-Premier ministre et ministre de la Défense (ainsi que des Affaires étrangères).
L'armée avait jusqu'ici comme politique d'interdire totalement l'installation d'éoliennes autour des bases aériennes de Coxyde et Florennes, en invoquant des raisons de sécurité pour le trafic aérien militaire.
Selon M. Reynders, le secteur éolien pourra également consulter une nouvelle carte de la Défense reprenant l'ensemble des contraintes militaires.
Enfin, la Défense travaillera également à une adaptation législative afin de créer des "servitudes". L'intention est de donner une base légale aux servitudes sur les terrains où se déroulent des entraînements de la Défense ou sur les terrains environnants. "Nous examinerons également s'il est possible de conclure des accords avec des propriétaires afin d'effectuer des entraînements militaires sur leurs terrains", a souligné le ministre.
Selon M. Crucke, le Plan wallon énergie climat prévoit, pour 2020, un objectif de production d'énergie renouvelable de 2.437 GWh pour le secteur éolien (environ 480 éoliennes).
"Afin de rencontrer nos objectifs, il est impératif de combiner les différentes possibilités d'implantation d'éoliennes. De plus, afin d'inscrire une dynamique positive et durable de production d'énergie renouvelable en faveur de la transition énergétique en Wallonie, le gouvernement wallon a identifié 15 mesures pour favoriser le développement de la filière éolienne en vue de la conclusion d'une +Pax Eolienica+. Ces sites de la Défense disponibles pour l'installation d'éoliennes répondent à une des 15 mesures de la Pax. C'est une avancée concrète pour le secteur éolien", a souligné le ministre wallon, cité dans le communiqué.
La zone de largage militaire située près de Boneffe (province de Namur) sera "libérée" et "relocalisée". La Défense adaptera également sa zone d'entraînement d'hélicoptères afin de permettre la construction d'éoliennes, a ajouté M. Reynders.
De plus, les éoliennes situées à proximité des aéroports militaires pourront désormais être plus hautes: 150 mètres au lieu de 122 mètres, à l'exception des zones les plus proches ou dans l'axe de la piste.
Le déménagement des activités militaires de la base de Coxyde à Ostende, prévu en 2023, pourrait également offrir de nouvelles possibilités au secteur de l'énergie éolienne dans cette région, en tenant compte des plans de développement de l'autorité locale et de la province, a souligné le vice-Premier ministre et ministre de la Défense (ainsi que des Affaires étrangères).
L'armée avait jusqu'ici comme politique d'interdire totalement l'installation d'éoliennes autour des bases aériennes de Coxyde et Florennes, en invoquant des raisons de sécurité pour le trafic aérien militaire.
Selon M. Reynders, le secteur éolien pourra également consulter une nouvelle carte de la Défense reprenant l'ensemble des contraintes militaires.
Enfin, la Défense travaillera également à une adaptation législative afin de créer des "servitudes". L'intention est de donner une base légale aux servitudes sur les terrains où se déroulent des entraînements de la Défense ou sur les terrains environnants. "Nous examinerons également s'il est possible de conclure des accords avec des propriétaires afin d'effectuer des entraînements militaires sur leurs terrains", a souligné le ministre.
Selon M. Crucke, le Plan wallon énergie climat prévoit, pour 2020, un objectif de production d'énergie renouvelable de 2.437 GWh pour le secteur éolien (environ 480 éoliennes).
"Afin de rencontrer nos objectifs, il est impératif de combiner les différentes possibilités d'implantation d'éoliennes. De plus, afin d'inscrire une dynamique positive et durable de production d'énergie renouvelable en faveur de la transition énergétique en Wallonie, le gouvernement wallon a identifié 15 mesures pour favoriser le développement de la filière éolienne en vue de la conclusion d'une +Pax Eolienica+. Ces sites de la Défense disponibles pour l'installation d'éoliennes répondent à une des 15 mesures de la Pax. C'est une avancée concrète pour le secteur éolien", a souligné le ministre wallon, cité dans le communiqué.
https://www.lalibre.be/actu/planete/la-defense-prend-des-mesures-pour-favoriser-l-eolien-5ce6628b9978e223b1b37940
22/05/19 : Hainaut : Éoliennes à Péruwelz : les citoyens ont leur mot à dire
21/05/19 : Eoliennes : de l'admiration à la diabolisation
L'éolien a beau être une énergie renouvelable dont on ne pourrait plus se passer, il est pourtant de plus en plus rejeté par les riverains.
22/05/19 : Hainaut : Éoliennes à Péruwelz : les citoyens ont leur mot à dire
Une enquête publique relative à l’implantation de six éoliennes sur l’entité de Péruwelz va débuter ce mercredi 22 mai pour s’achever le 24 juin.
Dit Moulins de Buissenet, ce projet de parc éolien est rentré par Ipalle et la SCRL Clef, une coopérative citoyenne. Portant sur une demande de permis unique de classe 1, il vise la construction et l’exploitation de six éoliennes d’une puissance nominale maximale de 3,6 MW.
Dit Moulins de Buissenet, ce projet de parc éolien est rentré par Ipalle et la SCRL Clef, une coopérative citoyenne. Portant sur une demande de permis unique de classe 1, il vise la construction et l’exploitation de six éoliennes d’une puissance nominale maximale de 3,6 MW.
Il est question ici d’un regroupement de deux projets. "La Sofico avait lancé un appel à projets pour développer de l’éolien au niveau des aires d’autoroute et nous avions obtenu une éolienne au niveau de l’aire Nandy Genotte à Bury, confie Lionel Delchambre, développeur de projet pour Clef. Comme Ipalle projetait aussi la construction d’éoliennes non loin de là, nous avons estimé que nous pouvions nous associer. Sur le projet global de six éoliennes, la coopérative gérera l’éolienne prévue dans le projet Genotte ainsi qu’une autre demi-éolienne."
Les six mâts, d’une hauteur de 150 mètres chacun, seraient implantés entre les villages de Brasménil, Wasmes-AB, Braffe, Bury et Roucourt, de part et d’autre de l’autoroute E42 et au nord du canal Nimy-Blaton.
Un atelier d’information au public lundi 27 mai
Clef a été mandatée par un consortium de coopératives et le projet Moulins du Buissenet réunit donc une intercommunale et des citoyens. Il y a un an, comme le veut la procédure, une réunion publique d’information s’est tenue. La localisation de plusieurs éoliennes a été modifiée ensuite de manière très limitée afin d’établir une distance minimale de 600 mètres par rapport aux zones d’habitat.
Les promoteurs souhaitaient informer les riverains à nouveau et c’est la raison pour laquelle un atelier d’information au public se tiendra ce lundi 27 mai de 16 heures à 20 heures dans le réfectoire de l’école de Brasménil. "Cette séance n’est pas obligatoire mais nous tenions à être disponibles pour répondre aux questions des riverains, assure Lionel Delchambre. On pourra voir ensemble le résultat de l’étude d’incidences." C’est au bureau CSD qu’a été confiée celle-ci.
>>> Le dossier peut être consulté au service cadre de vie de Péruwelz, rue des Chaufours. Infos au 069.67.26. 53.
Les six mâts, d’une hauteur de 150 mètres chacun, seraient implantés entre les villages de Brasménil, Wasmes-AB, Braffe, Bury et Roucourt, de part et d’autre de l’autoroute E42 et au nord du canal Nimy-Blaton.
Un atelier d’information au public lundi 27 mai
Clef a été mandatée par un consortium de coopératives et le projet Moulins du Buissenet réunit donc une intercommunale et des citoyens. Il y a un an, comme le veut la procédure, une réunion publique d’information s’est tenue. La localisation de plusieurs éoliennes a été modifiée ensuite de manière très limitée afin d’établir une distance minimale de 600 mètres par rapport aux zones d’habitat.
Les promoteurs souhaitaient informer les riverains à nouveau et c’est la raison pour laquelle un atelier d’information au public se tiendra ce lundi 27 mai de 16 heures à 20 heures dans le réfectoire de l’école de Brasménil. "Cette séance n’est pas obligatoire mais nous tenions à être disponibles pour répondre aux questions des riverains, assure Lionel Delchambre. On pourra voir ensemble le résultat de l’étude d’incidences." C’est au bureau CSD qu’a été confiée celle-ci.
>>> Le dossier peut être consulté au service cadre de vie de Péruwelz, rue des Chaufours. Infos au 069.67.26. 53.
21/05/19 : Eoliennes : de l'admiration à la diabolisation
L'éolien a beau être une énergie renouvelable dont on ne pourrait plus se passer, il est pourtant de plus en plus rejeté par les riverains.
Dans un passé pas si lointain, les toutes premières éoliennes du pays étaient source de fierté et d'émerveillement pour les citoyens qui les voyaient s'ériger au fond de leur jardin. Aujourd'hui, alors que nous avons urgemment besoin des énergies renouvelables pour lutter contre le réchauffement de la planète, ces moulins à vent des temps modernes sont de plus en plus mis au pilori.
Les effets positifs de l'énergie éolienne sont pourtant multiples. Cette énergie renouvelable a l'avantage d'être captée directement sur le site de production et son exploitation n'induit aucune pollution atmosphérique. A contrario, de plus en plus de riverains de parcs éoliens se plaignent des nuisances sonores causées par les infrasons et les champs électromagnétiques que les éoliennes émettent. Ils craignent aussi l'impact sur le paysage, l'ombre portée, la possible dévalorisation de leur bien immobilier situé à seulement une dizaine de mètres de ces monstres de béton et d'acier. Les défenseurs de la nature regrettent, de leur côté, les contraintes pour certaines espèces d'oiseaux migrateurs.
Sans parler du fait qu'aucune véritable disposition n'a pour le moment été prise par les pouvoirs publics pour mettre en place une filière dédiée au recyclage des éoliennes de première génération lors de leur démantèlement prévu après une vingtaine d'années de service (la première éolienne historique a été démantelée en 2017 à Perwez). Une éolienne est constituée à 90 % d'acier et de béton, deux matières facilement recyclables. Cependant, les 10 % restants proviennent des pales, constituées de matières composites, essentiellement du plastique. Aujourd'hui, elles ne sont pas recyclables, ou alors à des coûts très élevés.
"Une réunion surréaliste"
Tous ces éléments interpellent et inquiètent les riverains des projets éoliens existants ou futurs. Tout récemment encore, dans l'entité de Sommethonne, en province de Luxembourg, une réunion d'information a réuni de nombreux citoyens inquiets par le projet d'érection de 7 éoliennes par la société privée Vortex Energy sur le territoire communal.
A Racour, dans la province de Liège, c'est le projet Greensky porté par Engie Electrabel (50 %), Infrabel (10 %), Saint-Trond (23 %), ainsi que l'intercommunale bruxelloise pour l'électricité (IBE, 17 %) qui rassemblait début mai les habitants proches d'une dizaine d'éoliennes construites le long de l'autoroute E40 entre Liège et Bruxelles.
Souci: les 9 éoliennes sont au coeur d'un imbroglio juridique atypique. A la suite d'un recours introduit par des riverains, le tribunal de première instance de Bruxelles a jugé qu'elles ne disposaient pas des permis nécessaires. Traduction : elles brassent du vent en toute illégalité depuis 3 ans. Au début du mois de mai, une cinquantaine de riverains ont assisté à une réunion préalable à l'étude d'incidence environnementale du parc éolien (qui est donc déjà en fonctionnement) afin d'introduire un éventuel nouveau permis. Au cours de cette séance d'information qualifiée par certains de "surréaliste", de nombreuses questions ont fusé, souvent sans réponse satisfaisante de la part des porteurs du projet, eux-mêmes sur la défensive.
Les riverains se sont interrogés sur les aspects juridiques très flous de ce dossier bien spécifique. Ils se sont aussi dits inquiets de la possible dévalorisation de leur bien immobilier, des effets sur leur santé des champs électromagnétiques, des infrasons et autres effets acoustiques. Une des riveraines évoque "le bruit permanent d'une turbine dans toute sa maison l'empêchant de fermer l'oeil la nuit."Un autre déplore "cette balafre" dans le paysage et se dit perturbé par le mouvement incessant des pales blanches visibles de son salon. De nombreuses personnes présentes évoquent un "malaise inqualifiable" de vivre si proche de ces immenses moulins à vent, allant même jusqu'à parler de dépression. Les personnes les plus sensibles à ces nuisances envisagent de déménager tant elles leur sont insupportables au quotidien.
En 2017, l'Académie nationale de médecine française s'est intéressée aux nuisances sanitaires des éoliennes terrestres. Dans un rapport, elle reconnaît des nuisances sonores - la principale doléance des riverains - et visuelles, mais elle affirme "qu'aucune maladie organique spécifique ne peut être imputée à ces installations." L'Académie nationale de médecine reconnaît toutefois un risque de traumatisme sonore en fonction de la distance entre les éoliennes et les habitations. Elle ajoute cependant "qu'aucune preuve scientifique ne permet de faire un lien entre ces turbines et l'apparition de maladies physiologiques".
Lire aussi : Les infrasons émis par les éoliennes ont-ils un impact sur notre santé ?
S'ajoutent aux doléances des citoyens, des inquiétudes concernant la biodiversité. Diverses études internationales ont montré que les parcs éoliens peuvent perturber les oiseaux, comme les grues ou les oies. L'effet épouvantail les désoriente tandis que d'autres oiseaux sont carrément décapités par les pales.
"Not in my backyard"
Une des solutions à ces désagréments sur la population serait de développer davantage le parc éolien offshore, situé le long des côtés belges, loin des yeux et des oreilles. Les éoliennes en mer du Nord produisent en effet 50% d'énergie en plus que toutes les éoliennes en Wallonie et en Flandre confondues et ont l'avantage de ne pas déranger les citoyens.
Mais là aussi, les promoteurs de projets éoliens se heurtent à des levées de boucliers. C'est le cas notamment dans le cadre du projet "Ventilus" qui doit raccorder l'énergie éolienne produite en mer du Nord à une nouvelle "autoroute électrique" en Flandre occidentale, rapporte De Morgen. Le réseau à haute tension de cette province doit être adapté à cette nouvelle fonction, car les capacités actuelles ne sont pas suffisantes. Pour ce faire, le gestionnaire de réseau Elia doit établir une liaison haute tension 380kV d'une capacité de transport de 6 GW, nous explique dans les détails Jean Fassiaux le porte-parole d'Elia.
"Ce n'est pas son seul objectif. Le projet Ventilus permettra également de soutenir la grande activité économique de cette zone et des zones voisines et de contribuer à assurer la sécurité d'approvisionnement (fiabilisation du réseau) en anticipant l'accroissement des développements futurs des productions en mer et sur terre",ajoute-t-il.
A la question de savoir si la ligne à haute tension aérienne était la seule solution, le porte-parole d'Elia répond : "Sur base de différents critères d'évaluation, différentes technologies applicables à la réalisation de la liaison 'Ventilus' ont été comparées. Cette technologie répond aux besoins du réseau, et ce, à un prix abordable".
Dans ce contexte, les promoteurs sont également confrontés au syndrome NIMBY (pour "not in my backyard, "pas dans mon jardin"). La ligne à haute tension qui doit être érigée suscite de nombreuses inquiétudes des résidents locaux. Le projet se heurte aux actions de nombreux comités de riverains de la province qui tentent tous les recours possibles pour faire capoter le projet ou au minimum de le retarder (sa finalisation est prévue pour 2026).
Lire aussi : La transition énergétique - aussi dans notre jardin !
"Les abeilles resteront à l'écart. Elles ne supportent pas les radiations. Alors, dites-moi, qui va fertiliser mes courgettes ?", s'inquiète, par exemple, un agriculteur de Lichtervelde dans le quotidien flamand De Morgen. Mais ce n'est pas seulement la bonne santé de ses plantations qui le turlupine mais surtout celle de ses enfants. Sa ferme est en effet située dans la zone ou la "nouvelle autoroute de l'énergie" devrait être établie.
Les conséquences sanitaires des champs électromagnétiques des lignes à haute tension sont encore à l'étude. À l'heure actuelle, il n'existe aucune preuve scientifique que le fait de vivre sous ou à proximité de ce type d'infrastructure est nocif, peut-on lire sur le site du Groupe Belge de Bioélectromagnétique (BBEMG), un projet mené par trois universités (Liège, Gand et Bruxelles) et financé par... Elia elle-même.
Toutefois, d'après le BBEMG, un lien statistique a été établi dans les enquêtes démographiques entre le fait de vivre à proximité d'une ligne à haute tension et l'incidence accrue de leucémie infantile sans pour autant démontrer scientifiquement que les champs magnétiques en sont la cause. Leucémie, mais aussi maux de tête - surtout par temps de pluie, car il y aurait alors plus de radiations - ou insomnies sont les autres désagréments cités par les personnes résidant à proximité d'une ligne à haute tension. La maladie d'Alzheimer serait aussi également plus fréquente dans ces zones.
Selon Elia, "en 40 ans de recherches biomédicales en laboratoire et de recherches épidémiologiques sur des populations réelles, aucun lien de causalité entre l'exposition aux champs électriques et magnétiques générés par les lignes à haute tension et des effets néfastes sur la santé n'a été établi."
Lire aussi : Leucémie : est-il dangereux de vivre à proximité d'une ligne à haute tension ?
Le gestionnaire de réseau dit comprendre les préoccupations des citoyens lors des séances d'information données à la population sur le projet 'Ventilus' ces dernières semaines. "Nous prenons très au sérieux cette thématique, et ce, aussi bien au niveau de chaque projet réalisé sur le réseau électrique qu'au niveau des études scientifiques qui alimentent les connaissances en la matière." Mais pour de nombreux observateurs, la bataille s'apparente à celle livrée entre David et Goliath.
Une capacité doublée en mer du Nord
Car, il est indéniable qu'à l'heure actuelle, le transport de l'électricité produite par l'éolien est une nécessité pour assurer la transition énergétique de l'énergie fossile vers l'énergie durable. D'ici 2030, 18 % de notre consommation d'énergie devra provenir de sources renouvelables, et d'ici 2050, la Flandre veut atteindre un équilibre énergétique durable, détaille De Morgen. On attend une croissance importante de l'énergie éolienne onshore de l'ordre de 50 MW/an pour 2020-2030 selon le Plan Energie du Gouvernement flamand. Selon Elia, dans les prochaines années, la capacité de production dans la partie belge de la mer du Nord doublera pour atteindre une capacité installée d'environ 4 GW.
De plus en plus d'éoliennes seront donc érigées dans les années à venir sans que les citoyens ne puissent être en force de les bloquer. Un sacré dilemme pour le spécialiste de l'énergie Luc Barbé qui s'exprime dans les colonnes du Morgen:"Dans cette histoire, d'une part, vous avez le souci de l'environnement et du climat et, d'autre part, vous devez faire attention au droit à un environnement de vie sain".
"Construire des éoliennes terrestres supplémentaires est aussi impérativement nécessaire. La partie belge de la mer du Nord est très petite. On peut encore y ajouter beaucoup d'éoliennes, mais pas suffisamment. De plus, une éolienne terrestre offre une production supérieure à celle de 20 000 panneaux solaires, et ce, non seulement par temps clair, mais aussi le soir, la nuit et au coeur de l'hiver. Nous avons besoin d'elles et elles viendront s'ajouter. Alors, accueillons-les au mieux dans nos jardins ! ", surenchérit Sam Hamels, collaborateur scientifique à l'Université de Gand et membre invité du centre de réflexion Itinera. L'éolien, primordial à la transition énergétique, n'a certainement pas fini de faire parler de lui, que ce soit en bien, ou en mal.
Les effets positifs de l'énergie éolienne sont pourtant multiples. Cette énergie renouvelable a l'avantage d'être captée directement sur le site de production et son exploitation n'induit aucune pollution atmosphérique. A contrario, de plus en plus de riverains de parcs éoliens se plaignent des nuisances sonores causées par les infrasons et les champs électromagnétiques que les éoliennes émettent. Ils craignent aussi l'impact sur le paysage, l'ombre portée, la possible dévalorisation de leur bien immobilier situé à seulement une dizaine de mètres de ces monstres de béton et d'acier. Les défenseurs de la nature regrettent, de leur côté, les contraintes pour certaines espèces d'oiseaux migrateurs.
Sans parler du fait qu'aucune véritable disposition n'a pour le moment été prise par les pouvoirs publics pour mettre en place une filière dédiée au recyclage des éoliennes de première génération lors de leur démantèlement prévu après une vingtaine d'années de service (la première éolienne historique a été démantelée en 2017 à Perwez). Une éolienne est constituée à 90 % d'acier et de béton, deux matières facilement recyclables. Cependant, les 10 % restants proviennent des pales, constituées de matières composites, essentiellement du plastique. Aujourd'hui, elles ne sont pas recyclables, ou alors à des coûts très élevés.
"Une réunion surréaliste"
Tous ces éléments interpellent et inquiètent les riverains des projets éoliens existants ou futurs. Tout récemment encore, dans l'entité de Sommethonne, en province de Luxembourg, une réunion d'information a réuni de nombreux citoyens inquiets par le projet d'érection de 7 éoliennes par la société privée Vortex Energy sur le territoire communal.
A Racour, dans la province de Liège, c'est le projet Greensky porté par Engie Electrabel (50 %), Infrabel (10 %), Saint-Trond (23 %), ainsi que l'intercommunale bruxelloise pour l'électricité (IBE, 17 %) qui rassemblait début mai les habitants proches d'une dizaine d'éoliennes construites le long de l'autoroute E40 entre Liège et Bruxelles.
Souci: les 9 éoliennes sont au coeur d'un imbroglio juridique atypique. A la suite d'un recours introduit par des riverains, le tribunal de première instance de Bruxelles a jugé qu'elles ne disposaient pas des permis nécessaires. Traduction : elles brassent du vent en toute illégalité depuis 3 ans. Au début du mois de mai, une cinquantaine de riverains ont assisté à une réunion préalable à l'étude d'incidence environnementale du parc éolien (qui est donc déjà en fonctionnement) afin d'introduire un éventuel nouveau permis. Au cours de cette séance d'information qualifiée par certains de "surréaliste", de nombreuses questions ont fusé, souvent sans réponse satisfaisante de la part des porteurs du projet, eux-mêmes sur la défensive.
Les riverains se sont interrogés sur les aspects juridiques très flous de ce dossier bien spécifique. Ils se sont aussi dits inquiets de la possible dévalorisation de leur bien immobilier, des effets sur leur santé des champs électromagnétiques, des infrasons et autres effets acoustiques. Une des riveraines évoque "le bruit permanent d'une turbine dans toute sa maison l'empêchant de fermer l'oeil la nuit."Un autre déplore "cette balafre" dans le paysage et se dit perturbé par le mouvement incessant des pales blanches visibles de son salon. De nombreuses personnes présentes évoquent un "malaise inqualifiable" de vivre si proche de ces immenses moulins à vent, allant même jusqu'à parler de dépression. Les personnes les plus sensibles à ces nuisances envisagent de déménager tant elles leur sont insupportables au quotidien.
En 2017, l'Académie nationale de médecine française s'est intéressée aux nuisances sanitaires des éoliennes terrestres. Dans un rapport, elle reconnaît des nuisances sonores - la principale doléance des riverains - et visuelles, mais elle affirme "qu'aucune maladie organique spécifique ne peut être imputée à ces installations." L'Académie nationale de médecine reconnaît toutefois un risque de traumatisme sonore en fonction de la distance entre les éoliennes et les habitations. Elle ajoute cependant "qu'aucune preuve scientifique ne permet de faire un lien entre ces turbines et l'apparition de maladies physiologiques".
Lire aussi : Les infrasons émis par les éoliennes ont-ils un impact sur notre santé ?
S'ajoutent aux doléances des citoyens, des inquiétudes concernant la biodiversité. Diverses études internationales ont montré que les parcs éoliens peuvent perturber les oiseaux, comme les grues ou les oies. L'effet épouvantail les désoriente tandis que d'autres oiseaux sont carrément décapités par les pales.
"Not in my backyard"
Une des solutions à ces désagréments sur la population serait de développer davantage le parc éolien offshore, situé le long des côtés belges, loin des yeux et des oreilles. Les éoliennes en mer du Nord produisent en effet 50% d'énergie en plus que toutes les éoliennes en Wallonie et en Flandre confondues et ont l'avantage de ne pas déranger les citoyens.
Mais là aussi, les promoteurs de projets éoliens se heurtent à des levées de boucliers. C'est le cas notamment dans le cadre du projet "Ventilus" qui doit raccorder l'énergie éolienne produite en mer du Nord à une nouvelle "autoroute électrique" en Flandre occidentale, rapporte De Morgen. Le réseau à haute tension de cette province doit être adapté à cette nouvelle fonction, car les capacités actuelles ne sont pas suffisantes. Pour ce faire, le gestionnaire de réseau Elia doit établir une liaison haute tension 380kV d'une capacité de transport de 6 GW, nous explique dans les détails Jean Fassiaux le porte-parole d'Elia.
"Ce n'est pas son seul objectif. Le projet Ventilus permettra également de soutenir la grande activité économique de cette zone et des zones voisines et de contribuer à assurer la sécurité d'approvisionnement (fiabilisation du réseau) en anticipant l'accroissement des développements futurs des productions en mer et sur terre",ajoute-t-il.
A la question de savoir si la ligne à haute tension aérienne était la seule solution, le porte-parole d'Elia répond : "Sur base de différents critères d'évaluation, différentes technologies applicables à la réalisation de la liaison 'Ventilus' ont été comparées. Cette technologie répond aux besoins du réseau, et ce, à un prix abordable".
Dans ce contexte, les promoteurs sont également confrontés au syndrome NIMBY (pour "not in my backyard, "pas dans mon jardin"). La ligne à haute tension qui doit être érigée suscite de nombreuses inquiétudes des résidents locaux. Le projet se heurte aux actions de nombreux comités de riverains de la province qui tentent tous les recours possibles pour faire capoter le projet ou au minimum de le retarder (sa finalisation est prévue pour 2026).
Lire aussi : La transition énergétique - aussi dans notre jardin !
"Les abeilles resteront à l'écart. Elles ne supportent pas les radiations. Alors, dites-moi, qui va fertiliser mes courgettes ?", s'inquiète, par exemple, un agriculteur de Lichtervelde dans le quotidien flamand De Morgen. Mais ce n'est pas seulement la bonne santé de ses plantations qui le turlupine mais surtout celle de ses enfants. Sa ferme est en effet située dans la zone ou la "nouvelle autoroute de l'énergie" devrait être établie.
Les conséquences sanitaires des champs électromagnétiques des lignes à haute tension sont encore à l'étude. À l'heure actuelle, il n'existe aucune preuve scientifique que le fait de vivre sous ou à proximité de ce type d'infrastructure est nocif, peut-on lire sur le site du Groupe Belge de Bioélectromagnétique (BBEMG), un projet mené par trois universités (Liège, Gand et Bruxelles) et financé par... Elia elle-même.
Toutefois, d'après le BBEMG, un lien statistique a été établi dans les enquêtes démographiques entre le fait de vivre à proximité d'une ligne à haute tension et l'incidence accrue de leucémie infantile sans pour autant démontrer scientifiquement que les champs magnétiques en sont la cause. Leucémie, mais aussi maux de tête - surtout par temps de pluie, car il y aurait alors plus de radiations - ou insomnies sont les autres désagréments cités par les personnes résidant à proximité d'une ligne à haute tension. La maladie d'Alzheimer serait aussi également plus fréquente dans ces zones.
Selon Elia, "en 40 ans de recherches biomédicales en laboratoire et de recherches épidémiologiques sur des populations réelles, aucun lien de causalité entre l'exposition aux champs électriques et magnétiques générés par les lignes à haute tension et des effets néfastes sur la santé n'a été établi."
Lire aussi : Leucémie : est-il dangereux de vivre à proximité d'une ligne à haute tension ?
Le gestionnaire de réseau dit comprendre les préoccupations des citoyens lors des séances d'information données à la population sur le projet 'Ventilus' ces dernières semaines. "Nous prenons très au sérieux cette thématique, et ce, aussi bien au niveau de chaque projet réalisé sur le réseau électrique qu'au niveau des études scientifiques qui alimentent les connaissances en la matière." Mais pour de nombreux observateurs, la bataille s'apparente à celle livrée entre David et Goliath.
Une capacité doublée en mer du Nord
Car, il est indéniable qu'à l'heure actuelle, le transport de l'électricité produite par l'éolien est une nécessité pour assurer la transition énergétique de l'énergie fossile vers l'énergie durable. D'ici 2030, 18 % de notre consommation d'énergie devra provenir de sources renouvelables, et d'ici 2050, la Flandre veut atteindre un équilibre énergétique durable, détaille De Morgen. On attend une croissance importante de l'énergie éolienne onshore de l'ordre de 50 MW/an pour 2020-2030 selon le Plan Energie du Gouvernement flamand. Selon Elia, dans les prochaines années, la capacité de production dans la partie belge de la mer du Nord doublera pour atteindre une capacité installée d'environ 4 GW.
De plus en plus d'éoliennes seront donc érigées dans les années à venir sans que les citoyens ne puissent être en force de les bloquer. Un sacré dilemme pour le spécialiste de l'énergie Luc Barbé qui s'exprime dans les colonnes du Morgen:"Dans cette histoire, d'une part, vous avez le souci de l'environnement et du climat et, d'autre part, vous devez faire attention au droit à un environnement de vie sain".
"Construire des éoliennes terrestres supplémentaires est aussi impérativement nécessaire. La partie belge de la mer du Nord est très petite. On peut encore y ajouter beaucoup d'éoliennes, mais pas suffisamment. De plus, une éolienne terrestre offre une production supérieure à celle de 20 000 panneaux solaires, et ce, non seulement par temps clair, mais aussi le soir, la nuit et au coeur de l'hiver. Nous avons besoin d'elles et elles viendront s'ajouter. Alors, accueillons-les au mieux dans nos jardins ! ", surenchérit Sam Hamels, collaborateur scientifique à l'Université de Gand et membre invité du centre de réflexion Itinera. L'éolien, primordial à la transition énergétique, n'a certainement pas fini de faire parler de lui, que ce soit en bien, ou en mal.
https://www.levif.be/actualite/belgique/eoliennes-de-l-admiration-a-la-diabolisation/article-normal-1141495.html?cookie_check=1558450111
21/05/19 : Évoluer vers le nucléaire de 4e génération
21/05/19 : Évoluer vers le nucléaire de 4e génération
1. La Belgique ne peut atteindre ces objectifs sans le nucléaire. Il n’émet pas de CO2. On a besoin du nucléaire mais il faut évoluer vers des centrales de 4e génération qui récupèrent une partie des déchets dans la production.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190520_01337876/evoluer-vers-le-nucleaire-de-4e-generation
21/05/19 : Appel à témoignages : la Wallonie doit-elle arrêter de soutenir l'installation d'éoliennes ?
Sondage
21/05/19 : Appel à témoignages : la Wallonie doit-elle arrêter de soutenir l'installation d'éoliennes ?
Sondage
https://www.lalibre.be/debats/ripostes/appel-a-temoignages-la-wallonie-doit-elle-arreter-de-soutenir-l-installation-d-eoliennes-5ce27f099978e26db051cf22
21/05/19 : Péruwelz : Un atelier d’information pour les six éoliennes
21/05/19 : Péruwelz : Un atelier d’information pour les six éoliennes
L’intercommunale Ipalle et la coopérative citoyenne Clef invitent les riverains à un atelier d’information consacré au projet Moulins du Buissenet, à savoir l’implantation de six éoliennes sur le territoire de Péruwelz, et plus précisément entre les villages de Brasmenil et Roucourt, de part et d’autre de l’autoroute E42 et sur l’aire de Nandy Genotte. Ces six éoliennes produiront de l’électricité permettant d’alimenter plus de 9 500 ménages wallons en énergie renouvelable. L’atelier d’information se tiendra au réfectoire de l’école communale de Brasménil, le lundi 27 mai, de 16 h à 20 h. Cette soirée permettra, notamment via des panneaux didactiques, de prendre connaissance des résultats de l’étude d’incidences sur l’environnement et d’interroger les chefs de projet ainsi que le bureau d’études CSD. L’enquête publique prendra cours ce 22 mai pour se clôturer le 24 juin prochain.https://www.dhnet.be/regions/tournai-ath-mouscron/beloeil-peruwelz-leuze/peruwelz-un-atelier-d-information-pour-les-six-eoliennes-5ce300e87b50a624f366cdfe
20/05/19 : Ces éoliennes en région verviétoise tournent au ralenti: elles sont pourtant toutes neuves
Alors qu’elles ont été inaugurées fin janvier, les éoliennes de Lierneux ne tournent toujours pas à plein régime.
20/05/19 : Ces éoliennes en région verviétoise tournent au ralenti: elles sont pourtant toutes neuves
Alors qu’elles ont été inaugurées fin janvier, les éoliennes de Lierneux ne tournent toujours pas à plein régime.
En janvier, on inaugurait les premières éoliennes situées en forêt de Belgique. Hautes de plus de 200 m, les six engins sont censés fournir 9.200 ménages en électricité.
Quelques mois plus tard, il s’avère que ces éoliennes ne tournent pas encore à plein régime. Alors qu’elles ont une puissance de 19 mégawatts, elles n’en produisent actuellement que 12.
Quelques mois plus tard, il s’avère que ces éoliennes ne tournent pas encore à plein régime. Alors qu’elles ont une puissance de 19 mégawatts, elles n’en produisent actuellement que 12.
https://www.sudinfo.be/id119990/article/2019-05-20/ces-eoliennes-en-region-vervietoise-tournent-au-ralenti-elles-sont-pourtant
18/05/19 : Les nuisances sonores de l’éolienne d’Ecaussinnes dénoncées par ses riverains
L’énergie durable c’est bien mais la tranquillité du voisinage c’est mieux. C’est en gros le message que veulent faire passer les riverains de la rue des Croisettes qui se plaignent du bruit produit par l’éolienne placée il y a un an non loin de chez eux.
18/05/19 : Les nuisances sonores de l’éolienne d’Ecaussinnes dénoncées par ses riverains
L’énergie durable c’est bien mais la tranquillité du voisinage c’est mieux. C’est en gros le message que veulent faire passer les riverains de la rue des Croisettes qui se plaignent du bruit produit par l’éolienne placée il y a un an non loin de chez eux.
Il y a un an quasiment jour pour jour, la SWDE érigeait une éolienne sur son site situé à la rue des Croisettes à Ecaussinnes. L’éolienne s’est rapidement muée en une source de cauchemar au sens propre comme au figuré pour tout le voisinage.
18/05/19 : PLOMBIÈRES : Une éolienne fâche le cimetière américain
Le projet d’éolienne privée d’un agriculteur basé à Vogelsang irrite le cimetière américain de Henri-Chapelle. La Justice s’en mêle.
Le projet d’éolienne privée d’un agriculteur basé à Vogelsang irrite le cimetière américain de Henri-Chapelle. La Justice s’en mêle.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190517_01336454/une-eolienne-fache-le-cimetiere-americain
18/05/19 : Meix-devant-Virton : Les Français n’en veulent pas
Présents à cette soirée d’information jeudi soir à Meix, Edith Lhuire, maire d’Avioth, et Thierry Leclère, maire de Thonne-la-Long, ont exprimé de nettes réserves par rapport au projet d’éoliennes sur les hauteurs de Sommethonne.
18/05/19 : Meix-devant-Virton : Les Français n’en veulent pas
Présents à cette soirée d’information jeudi soir à Meix, Edith Lhuire, maire d’Avioth, et Thierry Leclère, maire de Thonne-la-Long, ont exprimé de nettes réserves par rapport au projet d’éoliennes sur les hauteurs de Sommethonne.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190517_01336486/les-francais-n-en-veulent-pas
18/05/19 : Meix-devant-Virton : 7 éoliennes inquiètent à Sommethonne
Beaucoup de monde à Meix, pour la réunion d’information sur le projet d’installation de 7 éoliennes à Sommethonne.
18/05/19 : Meix-devant-Virton : 7 éoliennes inquiètent à Sommethonne
Beaucoup de monde à Meix, pour la réunion d’information sur le projet d’installation de 7 éoliennes à Sommethonne.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190517_01336485/7-eoliennes-inquietent-a-sommethonne
17/05/19 : Meix-devant-Virton : 7 éoliennes prochainement?
Dans la commune de Meix-devant-Virton, sept éoliennes pourraient prochainement surplomber le village de Sommethonne. Un projet de Vortex Energy, un opérateur actif dans les énergies renouvelables et exploitant de plusieurs parcs.
Une soirée d'informations a eu lieu ce jeudi en présence des habitants.
17/05/19 : Meix-devant-Virton : 7 éoliennes prochainement?
Dans la commune de Meix-devant-Virton, sept éoliennes pourraient prochainement surplomber le village de Sommethonne. Un projet de Vortex Energy, un opérateur actif dans les énergies renouvelables et exploitant de plusieurs parcs.
Une soirée d'informations a eu lieu ce jeudi en présence des habitants.
https://www.tvlux.be/video/info/meix-devant-virton-7-eoliennes-prochainement-_31862.html
17/05/19 : ÉLECTIONS MAI 2019 – PROVINCE DU LUXEMBOURG
VIDÉO | Débat : Y a-t-il encore de la place pour des éoliennes en province de Luxembourg ?
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190516_01336002/l-eolien-n-a-plus-autant-le-vent-en-poupe-meme-en-foret
17/05/19 : Nassogne : L’éolien revient encore et toujours
Un 3e projet de parc éolien a été présenté. Mais à l’inverse des deux premiers, dans la commune, à Bande, il verrait le jour à Tenneville.
17/05/19 : ÉLECTIONS MAI 2019 – PROVINCE DU LUXEMBOURG
VIDÉO | Débat : Y a-t-il encore de la place pour des éoliennes en province de Luxembourg ?
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190516_01336002/l-eolien-n-a-plus-autant-le-vent-en-poupe-meme-en-foret
17/05/19 : Nassogne : L’éolien revient encore et toujours
Un 3e projet de parc éolien a été présenté. Mais à l’inverse des deux premiers, dans la commune, à Bande, il verrait le jour à Tenneville.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190516_01335965/l-eolien-revient-encore-et-toujours
17/05/19 : En «prise» avec l’éolien de mer du Nord
Un gigawatt de puissance éolienne va transiter par la plate-forme MOG qu’Elia achève de construire au large de Zeebruges.
17/05/19 : En «prise» avec l’éolien de mer du Nord
Un gigawatt de puissance éolienne va transiter par la plate-forme MOG qu’Elia achève de construire au large de Zeebruges.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190516_01336220/en-prise-avec-l-eolien-de-mer-du-nord
16/05/19 : Fernelmont – une éolienne au milieu du zoning ? Accueil mitigé
A Fernelmont, les projets éoliens se succèdent. Luminus vient d’introduire une demande afin d’implanter une grande éolienne au milieu de zoning de Noville-les-Bois . Une enquête publique vient de se terminer à ce sujet. Le lieu choisi suscite de nombreuses questions pour les riverains et la commune.
16/05/19 : Fernelmont – une éolienne au milieu du zoning ? Accueil mitigé
A Fernelmont, les projets éoliens se succèdent. Luminus vient d’introduire une demande afin d’implanter une grande éolienne au milieu de zoning de Noville-les-Bois . Une enquête publique vient de se terminer à ce sujet. Le lieu choisi suscite de nombreuses questions pour les riverains et la commune.
http://www.canalc.be/fernelmont-une-eolienne-au-milieu-du-zoning-accueil-mitige/
16/05/19 : Doische : Niverlée: revoilà le projet éolien, en version light
On parle d’installer des éoliennes à Niverlée depuis 15 ans. New Wind relance le débat, pour quatre mâts seulement.
16/05/19 : Doische : Niverlée: revoilà le projet éolien, en version light
On parle d’installer des éoliennes à Niverlée depuis 15 ans. New Wind relance le débat, pour quatre mâts seulement.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190516_01335891/revoila-le-projet-eolien-en-version-light
14/05/19 : Des éoliennes sous surveillance de l’intelligence artificielle
En s’appuyant sur un partenariat avec IBM, la start-up namuroise P4A propose une plateforme d’entretien prédictif pour optimiser les performances des parcs éoliens.
Comment améliorer et garantir la disponibilité d’une éolienne, optimiser ses performances et les coûts d’intervention de maintenance, et in fine augmenter son rendement ? Si vous êtes exploitant d’un parc de « moulins à vent », vous pouvez poser la question à Nestor, l’assistant virtuel de Performance for Assets (P4A), spécialisée dans la maintenance et l’entretien des « machines tournantes », et donc notamment des éoliennes. La plateforme développée par cette start-up namuroise, en partenariat avec IBM, combine « internet des objets » (les données d’observation du fonctionnement des éoliennes sont recueillies en temps réel à distance), utilisation du « cloud » (où les données sont entreposées, complétées par les relevés et prévisions météo, et analysées) et intelligence artificielle (Nestor est capable d’apprendre et d’affiner ses réponses)....https://plus.lesoir.be/224213/article/2019-05-14/des-eoliennes-sous-surveillance-de-lintelligence-artificielle
14/05/19 : NANDRIN/NEUPRÉ/ENGIS - Éoliennes: deux recours au Conseil d’État
Le ministre a validé les cinq éoliennes d’Engis de NPG Energy. Neupré et Nandrin vont en recours au Conseil d’État.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190513_01334833/eoliennes-deux-recours-au-conseil-d-etat
13/05/19 : Courcelles/Pont-à-Celles : nouveau projet de ligne à haute tension
Elia, le gestionnaire du réseau de transport d’électricité, prévoit de construire un nouveau corridor 380kV qui s’étirera d’Avelgem à Courcelles.
Cette autoroute électrique à très haute tension, entre l’ouest et le centre du pays, constituera l’un des projets majeurs d’Elia en termes d’infrastructure. « Nous n’en sommes qu’aux prémices », insiste-t-on chez Elia.
14/05/19 : Des éoliennes sous surveillance de l’intelligence artificielle
En s’appuyant sur un partenariat avec IBM, la start-up namuroise P4A propose une plateforme d’entretien prédictif pour optimiser les performances des parcs éoliens.
Comment améliorer et garantir la disponibilité d’une éolienne, optimiser ses performances et les coûts d’intervention de maintenance, et in fine augmenter son rendement ? Si vous êtes exploitant d’un parc de « moulins à vent », vous pouvez poser la question à Nestor, l’assistant virtuel de Performance for Assets (P4A), spécialisée dans la maintenance et l’entretien des « machines tournantes », et donc notamment des éoliennes. La plateforme développée par cette start-up namuroise, en partenariat avec IBM, combine « internet des objets » (les données d’observation du fonctionnement des éoliennes sont recueillies en temps réel à distance), utilisation du « cloud » (où les données sont entreposées, complétées par les relevés et prévisions météo, et analysées) et intelligence artificielle (Nestor est capable d’apprendre et d’affiner ses réponses)....https://plus.lesoir.be/224213/article/2019-05-14/des-eoliennes-sous-surveillance-de-lintelligence-artificielle
14/05/19 : NANDRIN/NEUPRÉ/ENGIS - Éoliennes: deux recours au Conseil d’État
Le ministre a validé les cinq éoliennes d’Engis de NPG Energy. Neupré et Nandrin vont en recours au Conseil d’État.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190513_01334833/eoliennes-deux-recours-au-conseil-d-etat
13/05/19 : Courcelles/Pont-à-Celles : nouveau projet de ligne à haute tension
Elia, le gestionnaire du réseau de transport d’électricité, prévoit de construire un nouveau corridor 380kV qui s’étirera d’Avelgem à Courcelles.
Cette autoroute électrique à très haute tension, entre l’ouest et le centre du pays, constituera l’un des projets majeurs d’Elia en termes d’infrastructure. « Nous n’en sommes qu’aux prémices », insiste-t-on chez Elia.
Ce projet de ligne à très haute tension, soit 380 kV, vise à mieux intégrer le réseau d'énergies renouvelables, dont le off-shore éolien, à partir du réseau de ...
https://www.lanouvellegazette.be/387784/article/2019-05-13/courcellespont-celles-nouveau-projet-de-ligne-haute-tension
13/05/19 : L’éolienne géante est refusée !
TOURNAI-ATH-MOUSCRON
Les habitants de Flobecq et d’Ellezelles poussent un ouf de soulagement.
Ces derniers craignaient de voir s’ériger juste de l’autre côté de la frontière linguistique, à Renaix, une éolienne de plus de 200 m comme il n’en existe actuellement aucune de cette hauteur en Belgique. Voilà pourquoi ils s’opposaient à ce projet éolien susceptible d’impacter visuellement le parc naturel du Pays des Collines. La province de Flandre orientale vient, en effet, de refuser la demande de permis introduite par la société Luminus pour construire une telle éolienne au cœur de la zone industrielle de la Petite France.
Celle-ci se situe seulement à quelques centaines de mètres de l’entité ellezelloise et à quelques kilomètres de Flobecq. On ignore pour l’instant si Luminus envisage ou non d’introduire un recours contre cette décision qui lui est défavorable.
13/05/19 : L’éolienne géante est refusée !
TOURNAI-ATH-MOUSCRON
Les habitants de Flobecq et d’Ellezelles poussent un ouf de soulagement.
Ces derniers craignaient de voir s’ériger juste de l’autre côté de la frontière linguistique, à Renaix, une éolienne de plus de 200 m comme il n’en existe actuellement aucune de cette hauteur en Belgique. Voilà pourquoi ils s’opposaient à ce projet éolien susceptible d’impacter visuellement le parc naturel du Pays des Collines. La province de Flandre orientale vient, en effet, de refuser la demande de permis introduite par la société Luminus pour construire une telle éolienne au cœur de la zone industrielle de la Petite France.
Celle-ci se situe seulement à quelques centaines de mètres de l’entité ellezelloise et à quelques kilomètres de Flobecq. On ignore pour l’instant si Luminus envisage ou non d’introduire un recours contre cette décision qui lui est défavorable.
https://www.dhnet.be/regions/tournai-ath-mouscron/l-eolienne-geante-est-refusee-5cd873137b50a60294d4f600
13/05/19 : Renaix : permis refusé pour une éolienne géante à deux pas de la frontière linguistique
Il n'y aura pas d'éolienne géante le long de la frontière linguistique à Renaix. Le permis pour une machine de 230 mètres de haut a été refusé par la Province de Flandre orientale.
Un ouf de soulagement de l'autre côté de la frontière linguistique. Le projet se situe en effet dans zone industrielle de « Klein Frankrijk », à seulement quelques centaines de mètres des villages d'Ellezelles et Flobecq.
Le groupe EDF -Luminus qui porte le projet garde cependant la possibilité d'introduire un recours.
13/05/19 : Renaix : permis refusé pour une éolienne géante à deux pas de la frontière linguistique
Il n'y aura pas d'éolienne géante le long de la frontière linguistique à Renaix. Le permis pour une machine de 230 mètres de haut a été refusé par la Province de Flandre orientale.
Un ouf de soulagement de l'autre côté de la frontière linguistique. Le projet se situe en effet dans zone industrielle de « Klein Frankrijk », à seulement quelques centaines de mètres des villages d'Ellezelles et Flobecq.
Le groupe EDF -Luminus qui porte le projet garde cependant la possibilité d'introduire un recours.
12/05/19 : Permis refusé à Luminus pour ériger la plus grande éolienne de Belgique !
TOURNAI-ATH-MOUSCRON
Une mauvaise nouvelle pour la société qui ambitionnait de construire une éolienne de 230m dans la ville flamande de Renaix . Dans les villages francophones d’Ellezelles et de Flobecq, on pousse par contre un grand ouf de soulagement
Les habitants des villages de Flobecq et d’Ellezelles ont appris avec un certain soulagement que le méga-projet éolien renaisien battait de l'aile et venait d’être refusé par la province de Flandre orientale. Une mauvaise nouvelle pour le groupe Luminus qui avait introduit auprès de celle-ci une demande de permis en vue de construire et d’exploiter la plus haute éolienne de Belgique (230m) dans le zoning industriel de la cité des Bommels (Petite France). L’enquête publique organisée à Renaix avait donné lieu à plus d’un millier de réclamations.
Ce projet éolien jugé démesuré suscitait également un fort vent de protestation juste de l'autre côté de la frontière linguistique, dans les villages de Flobecq et d’Ellezelles, distants d'à peine quelques kilomètres. Voici quelque semaines, le conseil communal flobecquois avait voté à l’unanimité une motion contre l’installation de ce gigantesque projet éolien susceptible d'impacter visuellement et sur le plan paysager le parc naturel du Pays des Collines sans tenir compte, de surcroît, des prescriptions de la Région Wallonne en termes de distance par rapport aux zones d'habitat.
A ce stade, on ignore si la société Luminus compte introduire ou non un recours contre cette décision qui lui dévaforable.
TOURNAI-ATH-MOUSCRON
Une mauvaise nouvelle pour la société qui ambitionnait de construire une éolienne de 230m dans la ville flamande de Renaix . Dans les villages francophones d’Ellezelles et de Flobecq, on pousse par contre un grand ouf de soulagement
Les habitants des villages de Flobecq et d’Ellezelles ont appris avec un certain soulagement que le méga-projet éolien renaisien battait de l'aile et venait d’être refusé par la province de Flandre orientale. Une mauvaise nouvelle pour le groupe Luminus qui avait introduit auprès de celle-ci une demande de permis en vue de construire et d’exploiter la plus haute éolienne de Belgique (230m) dans le zoning industriel de la cité des Bommels (Petite France). L’enquête publique organisée à Renaix avait donné lieu à plus d’un millier de réclamations.
Ce projet éolien jugé démesuré suscitait également un fort vent de protestation juste de l'autre côté de la frontière linguistique, dans les villages de Flobecq et d’Ellezelles, distants d'à peine quelques kilomètres. Voici quelque semaines, le conseil communal flobecquois avait voté à l’unanimité une motion contre l’installation de ce gigantesque projet éolien susceptible d'impacter visuellement et sur le plan paysager le parc naturel du Pays des Collines sans tenir compte, de surcroît, des prescriptions de la Région Wallonne en termes de distance par rapport aux zones d'habitat.
A ce stade, on ignore si la société Luminus compte introduire ou non un recours contre cette décision qui lui dévaforable.
https://www.dhnet.be/regions/tournai-ath-mouscron/permis-refuse-a-luminus-pour-eriger-la-plus-grande-eolienne-de-belgique-5cd84b599978e253471e4e34
11/05/19 : RENAIX : Pas d’éolienne géante à deux pas d’Ellezelles et de Flobecq
EDF-Luminus envisageait d’ériger une éolienne de 230 mètres de haut à Renaix, sur le zoning de la Petite France, à proximité d’Ellezelles et de Flobecq. Le projet est recalé.
«Ériger un tel monstre dans nos paysages va avoir un impact énorme sur ce qui fait l’identité du Pays des collines…» tel était le message défendu par les bourgmestres d’Ellezelles et de Flobecq pour s’opposer à l’implantation d’une éolienne gigantesque, de 230 mètres de haut, sur la zone industrielle de la «Petite France» à Renaix!
Le projet d’EDF-Luminus était aussi loin de faire l’unanimité de l’autre côté de la frontière linguistique. La Commune de Renaix avait recueilli plus d’un millier de réclamations, et avait rendu un avis négatif suite à l’enquête publique, pour la création de la plus grande éolienne de Belgique sur le territoire de la cité des Bommels.
Après l’avis négatif de la Commune, celui de la Province
En Flandre, ce sont les provinces qui décident d’accorder ou non ce type de permis, et ce vendredi, la Province de Flandre Orientale a fait connaître sa décision… le permis est refusé!
«Le projet ne s’inscrit pas dans la mise en œuvre du plan communal d’aménagement, explique la députée provinciale Leentje Grillaert à nos confrères de Het Laatste Nieuws. Nous ne pouvons nous en écarter seulement s’il s’inscrit dans une optique d’intérêt public, mais pour cela, il est nécessaire d’organiser une réunion de planification, ce qui n’a pas été le cas…» La hauteur de l’éolienne qui aurait un impact sur le paysage a aussi été évoquée pour justifier ce refus.
EDF-Luminus peut maintenant faire appel de cette décision de la province auprès du gouvernement flamand. «Nous allons examiner les arguments de la province pour justifier ce refus de permis et pour voir s’il y a d’autres mesures à prendre», précise Jan Schouppe, responsable de projet chez EDF Luminus.
Cette éolienne de 230 mètres, la plus haute de Belgique (en général, la hauteur totale des éoliennes installées sur notre territoire avoisine les 120-155 mètres), devaient permettre de produire suffisamment d’énergie pour alimenter 3 000 foyers en électricité.
11/05/19 : RENAIX : Pas d’éolienne géante à deux pas d’Ellezelles et de Flobecq
EDF-Luminus envisageait d’ériger une éolienne de 230 mètres de haut à Renaix, sur le zoning de la Petite France, à proximité d’Ellezelles et de Flobecq. Le projet est recalé.
«Ériger un tel monstre dans nos paysages va avoir un impact énorme sur ce qui fait l’identité du Pays des collines…» tel était le message défendu par les bourgmestres d’Ellezelles et de Flobecq pour s’opposer à l’implantation d’une éolienne gigantesque, de 230 mètres de haut, sur la zone industrielle de la «Petite France» à Renaix!
Le projet d’EDF-Luminus était aussi loin de faire l’unanimité de l’autre côté de la frontière linguistique. La Commune de Renaix avait recueilli plus d’un millier de réclamations, et avait rendu un avis négatif suite à l’enquête publique, pour la création de la plus grande éolienne de Belgique sur le territoire de la cité des Bommels.
Après l’avis négatif de la Commune, celui de la Province
En Flandre, ce sont les provinces qui décident d’accorder ou non ce type de permis, et ce vendredi, la Province de Flandre Orientale a fait connaître sa décision… le permis est refusé!
«Le projet ne s’inscrit pas dans la mise en œuvre du plan communal d’aménagement, explique la députée provinciale Leentje Grillaert à nos confrères de Het Laatste Nieuws. Nous ne pouvons nous en écarter seulement s’il s’inscrit dans une optique d’intérêt public, mais pour cela, il est nécessaire d’organiser une réunion de planification, ce qui n’a pas été le cas…» La hauteur de l’éolienne qui aurait un impact sur le paysage a aussi été évoquée pour justifier ce refus.
EDF-Luminus peut maintenant faire appel de cette décision de la province auprès du gouvernement flamand. «Nous allons examiner les arguments de la province pour justifier ce refus de permis et pour voir s’il y a d’autres mesures à prendre», précise Jan Schouppe, responsable de projet chez EDF Luminus.
Cette éolienne de 230 mètres, la plus haute de Belgique (en général, la hauteur totale des éoliennes installées sur notre territoire avoisine les 120-155 mètres), devaient permettre de produire suffisamment d’énergie pour alimenter 3 000 foyers en électricité.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190511_01333938/pas-d-eolienne-geante-a-deux-pas-d-ellezelles-et-de-flobecq
11/05/19 : La plus grande éolienne de Belgique ne sera pas construite à Renaix: un soulagement pour les habitants d'Ellezelles et de Flobecq
La province de Flandre Orientale a refusé le projet.
Bonne nouvelle pour les habitants d' Ellezelles et de Flobecq qui s'inquiétaient de voir s'élever à la frontière de leur commune avec Renaix une éolienne de plus de 200 mètres. La province de Flandre Orientale a fait connaître sa décision de refus ce vendredi, puisqu'en Flandre ce sont les provinces qui accordent ce type de permis.
Pour rappel, la société Luminus envisageait de construire une éolienne en pleine zone industrielle de Kleine Frankrijk, située à quelques centaines de mètres du territoire d'Ellezelles et quelques kilomètres de Flobecq.
On ignore pour l'instant si la société Luminus introduira un recours.
11/05/19 : La plus grande éolienne de Belgique ne sera pas construite à Renaix: un soulagement pour les habitants d'Ellezelles et de Flobecq
La province de Flandre Orientale a refusé le projet.
Bonne nouvelle pour les habitants d' Ellezelles et de Flobecq qui s'inquiétaient de voir s'élever à la frontière de leur commune avec Renaix une éolienne de plus de 200 mètres. La province de Flandre Orientale a fait connaître sa décision de refus ce vendredi, puisqu'en Flandre ce sont les provinces qui accordent ce type de permis.
Pour rappel, la société Luminus envisageait de construire une éolienne en pleine zone industrielle de Kleine Frankrijk, située à quelques centaines de mètres du territoire d'Ellezelles et quelques kilomètres de Flobecq.
On ignore pour l'instant si la société Luminus introduira un recours.
https://www.notele.be/it9-media65015-la-plus-grande-eolienne-de-belgique-ne-sera-pas-construite-a-renaix-un-soulagement-pour-les-habitants-d-ellezelles-et-de-flobecq.html
10/05/19 : Neupré au conseil d’État contre la construction de 5 éoliennes
10/05/19 : Neupré au conseil d’État contre la construction de 5 éoliennes
La salle du conseil communal de Neupré était pleine à craquer ce jeudi soir. Un point fort controversé était au programme: le projet des cinq éoliennes de Clermont-sous-Huy. La commune a annoncé qu’elle allait introduire un recours au Conseil d’état pour tenter de casser le permis accordé par le ministre Carlo Di Antonio. Dans les rangs de l’opposition, ça a grondé.
La salle du conseil communal de Neupré était pleine à craquer ce jeudi soir. Un point fort controversé était au programme: le projet des cinq éoliennes sur les hauteurs d’Engis. La commune a annoncé qu’elle allait introduire un recours au Conseil d’État pour tenter de casser le permis accordé par le ministre Carlo Di Antonio. Dans les rangs de l’opposition, ça a grondé.
La salle du conseil communal de Neupré était pleine à craquer ce jeudi soir. Un point fort controversé était au programme: le projet des cinq éoliennes sur les hauteurs d’Engis. La commune a annoncé qu’elle allait introduire un recours au Conseil d’État pour tenter de casser le permis accordé par le ministre Carlo Di Antonio. Dans les rangs de l’opposition, ça a grondé.
https://www.lameuse.be/386704/article/2019-05-10/neupre-au-conseil-detat-contre-la-construction-de-5-eoliennes
10/05/19 : SOMMETHONNE : Ces éoliennes, les Français n’en veulent pas
Si le projet de 7 éoliennes au nord et au sud de Sommethonne suscite déjà des réactions sur place, il interpelle les 9 communes du canton de Montmédy, en France.
10/05/19 : SOMMETHONNE : Ces éoliennes, les Français n’en veulent pas
Si le projet de 7 éoliennes au nord et au sud de Sommethonne suscite déjà des réactions sur place, il interpelle les 9 communes du canton de Montmédy, en France.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190509_01333056/ces-eoliennes-les-francais-n-en-veulent-pas
10/05/19 : Dalhem : deux projets éoliens sur la même zone !
Quatre à sept éoliennes pourraient à l’avenir être installées au nord de Warsage.
Le territoire communal de Dalhem n’accueille pour l’heure aucune éolienne. Cela pourrait changer. Deux projets concurrents d’installation d’un parc éolien au nord du village de Warsage viennent d’être présentés, à quelques jours d’intervalle, lors de réunions publiques préalables aux études d’incidence sur l’environnement.
Les deux projets, qui n’occupent pas tout à fait les mêmes terrains, concernent bel et bien la même zone. Il est question de quatre à sept éoliennes. Le premier projet est porté par Energy Vortex Belgique, l’autre par Engie Electrabel. Les deux sociétés, concurrentes sur ce dossier, viennent de lancer leurs études d’incidence respectives. Cela sera suivi d’une demande de permis, d’une enquête publique, et d’un avis consultatif de la commune. Enfin, le fonctionnaire délégué de la Région Wallonne prendra la décision d’octroyer ou non un permis.
Comme le relate le bourgmestre de Dalhem, Arnaud Dewez, "la commune n’a pas encore pris position, on attendra les conclusions des études d’incidence et des enquêtes publiques. Soit aucun des projets ne voit le jour, soit l’un des deux aboutit, soit, enfin, les deux projets se combinent. Du côté de la commune, on va en tout cas être très attentifs sur ce dossier, et peser longuement le pour et le contre avant de prendre une quelconque décision".
Au cours des prochains jours, toute personne peut émettre ses observations et suggestions concernant ces deux projets ainsi que présenter des alternatives techniques pouvant être envisagées afin qu’il en soit tenu compte lors de la réalisation des études d’incidence, en les adressant par écrit au collège communal de Dalhem.
Les procédures administratives ne font donc que commencer. Il faudra encore être patient avant de connaître le dénouement dans ce dossier !
10/05/19 : Dalhem : deux projets éoliens sur la même zone !
Quatre à sept éoliennes pourraient à l’avenir être installées au nord de Warsage.
Le territoire communal de Dalhem n’accueille pour l’heure aucune éolienne. Cela pourrait changer. Deux projets concurrents d’installation d’un parc éolien au nord du village de Warsage viennent d’être présentés, à quelques jours d’intervalle, lors de réunions publiques préalables aux études d’incidence sur l’environnement.
Les deux projets, qui n’occupent pas tout à fait les mêmes terrains, concernent bel et bien la même zone. Il est question de quatre à sept éoliennes. Le premier projet est porté par Energy Vortex Belgique, l’autre par Engie Electrabel. Les deux sociétés, concurrentes sur ce dossier, viennent de lancer leurs études d’incidence respectives. Cela sera suivi d’une demande de permis, d’une enquête publique, et d’un avis consultatif de la commune. Enfin, le fonctionnaire délégué de la Région Wallonne prendra la décision d’octroyer ou non un permis.
Comme le relate le bourgmestre de Dalhem, Arnaud Dewez, "la commune n’a pas encore pris position, on attendra les conclusions des études d’incidence et des enquêtes publiques. Soit aucun des projets ne voit le jour, soit l’un des deux aboutit, soit, enfin, les deux projets se combinent. Du côté de la commune, on va en tout cas être très attentifs sur ce dossier, et peser longuement le pour et le contre avant de prendre une quelconque décision".
Au cours des prochains jours, toute personne peut émettre ses observations et suggestions concernant ces deux projets ainsi que présenter des alternatives techniques pouvant être envisagées afin qu’il en soit tenu compte lors de la réalisation des études d’incidence, en les adressant par écrit au collège communal de Dalhem.
Les procédures administratives ne font donc que commencer. Il faudra encore être patient avant de connaître le dénouement dans ce dossier !
https://www.dhnet.be/regions/liege/dalhem-deux-projets-eoliens-sur-la-meme-zone-5cd433bed8ad586a5a097b58
09/05/19 : Fernelmont : travailleurs et abeilles redoutent l’éolienne
Au cœur du zoning de Noville-les-Bois, Luminus veut implanter une éolienne. Au pied, les futurs voisins s’inquiètent.
09/05/19 : Fernelmont : travailleurs et abeilles redoutent l’éolienne
Au cœur du zoning de Noville-les-Bois, Luminus veut implanter une éolienne. Au pied, les futurs voisins s’inquiètent.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190508_01332681/fernelmont-travailleurs-et-abeilles-redoutent-l-eolienne
09/05/19 : «La localisation peut poser question»
Avec une demi-douzaine de machines sur son sol, on ne peut pas dire que Fernelmont s’est montré frileux face à l’éolien. Mais dans ce projet Luminus, on perçoit des réticences.
09/05/19 : «La localisation peut poser question»
Avec une demi-douzaine de machines sur son sol, on ne peut pas dire que Fernelmont s’est montré frileux face à l’éolien. Mais dans ce projet Luminus, on perçoit des réticences.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190508_01332747/la-localisation-peut-poser-question
09/05/19 : STAVELOT - Les citoyens invités à financer les 11 éoliennes, avec quels avantages ?
Participer au développement durable de sa commune et générer quelques bénéfices, c’est l’objectif de la plateforme d’investissement d’Ecco Nova dans le cadre du projet de parc éolien à Stavelot.
09/05/19 : STAVELOT - Les citoyens invités à financer les 11 éoliennes, avec quels avantages ?
Participer au développement durable de sa commune et générer quelques bénéfices, c’est l’objectif de la plateforme d’investissement d’Ecco Nova dans le cadre du projet de parc éolien à Stavelot.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190508_01332617/les-citoyens-invites-a-financer-les-11-eoliennes-avec-quels-avantages
09/05/19 : LINCENT/HANNUT - Parc éolien: les riverains inquiets
Une cinquantaine de riverains ont participé mardi soir à une réunion d’information préalable à l’étude d’incidences du parc éolien.
09/05/19 : LINCENT/HANNUT - Parc éolien: les riverains inquiets
Une cinquantaine de riverains ont participé mardi soir à une réunion d’information préalable à l’étude d’incidences du parc éolien.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190508_01332781/parc-eolien-les-riverains-inquiets
08/05/19 : Déjà une centaine d’investisseurs pour les éoliennes de Ster
Dans un futur proche, jusqu’à 11 éoliennes pourraient être installées à Ster-Francorchamps. Afin d’impliquer les Stavelotains dans ce projet, la société qui veut les construire leur propose d’investir. Une partie du financement sera assurée par les citoyens. Une enveloppe de 500.000€ est prévue à cet effet. Plus d’une centaine d’habitants de la région ont déjà promis qu’ils verseraient entre 500 et 5.000€.
Entre 500 et 5.000 €, telle est la somme que les Stavelotains et les personnes des environs peuvent prêter par personne à la société Green Tech Wind pour la construction de 11 éoliennes à Ster-Francorchamps. Ce projet, n’en est toujours qu’au stade de son enquête publique. Elle prendra fin le 3 juin.
08/05/19 : Déjà une centaine d’investisseurs pour les éoliennes de Ster
Dans un futur proche, jusqu’à 11 éoliennes pourraient être installées à Ster-Francorchamps. Afin d’impliquer les Stavelotains dans ce projet, la société qui veut les construire leur propose d’investir. Une partie du financement sera assurée par les citoyens. Une enveloppe de 500.000€ est prévue à cet effet. Plus d’une centaine d’habitants de la région ont déjà promis qu’ils verseraient entre 500 et 5.000€.
Entre 500 et 5.000 €, telle est la somme que les Stavelotains et les personnes des environs peuvent prêter par personne à la société Green Tech Wind pour la construction de 11 éoliennes à Ster-Francorchamps. Ce projet, n’en est toujours qu’au stade de son enquête publique. Elle prendra fin le 3 juin.
https://www.lanouvellegazette.be/385598/article/2019-05-08/deja-une-centaine-dinvestisseurs-pour-les-eoliennes-de-ster
08/05/19 : Les deux éoliennes déjà bridées
Le processus de dialogue, que permet notamment la réunion d’hier soir, la société Greensky s’en dit demandeuse. «Elle permet d’identifier les choses qui ne sont pas nécessairement toujours mesurées pendant l’étude d’incidence, note François Thoumsin.
08/05/19 : Les deux éoliennes déjà bridées
Le processus de dialogue, que permet notamment la réunion d’hier soir, la société Greensky s’en dit demandeuse. «Elle permet d’identifier les choses qui ne sont pas nécessairement toujours mesurées pendant l’étude d’incidence, note François Thoumsin.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190507_01332343/les-deux-eoliennes-deja-bridees
08/05/19 : LINCENT/HANNUT : Greensky relance son dossier éolien au cas où…
Greensky relance une étude d’incidence pour ses 9 éoliennes controversées à Lincent et Hannut. À titre préventif…
08/05/19 : LINCENT/HANNUT : Greensky relance son dossier éolien au cas où…
Greensky relance une étude d’incidence pour ses 9 éoliennes controversées à Lincent et Hannut. À titre préventif…
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190507_01332345/greensky-relance-son-dossier-eolien-au-cas-ou
07/05/19 : Electrabel tente de sauver ses éoliennes sans permis
07/05/19 : Electrabel tente de sauver ses éoliennes sans permis
Selon le tribunal de première instance de Bruxelles, Electrabel a construit neuf éoliennes sans permis valable le long de l’E40.
Que va-t-il advenir des neuf éoliennes wallonnes de Greensky, un projet porté par Engie Electrabel (50 %), Infrabel (10 %), Saint-Trond (23 %), ainsi que l’intercommunale bruxelloise pour l’électricité (IBE, 17 %) ?
Situées le long de l’autoroute E40 entre Liège et Bruxelles, ces neuf éoliennes sont au cœur d’un imbroglio juridique depuis le 6 décembre dernier. En effet, à la suite d’un recours introduit par des riverains, le tribunal de première instance de Bruxelles a jugé que ces neuf éoliennes ne disposaient pas des permis nécessaires. Depuis le prononcé du jugement, elles fonctionnent donc sans permis valables.
Que va-t-il advenir des neuf éoliennes wallonnes de Greensky, un projet porté par Engie Electrabel (50 %), Infrabel (10 %), Saint-Trond (23 %), ainsi que l’intercommunale bruxelloise pour l’électricité (IBE, 17 %) ?
Situées le long de l’autoroute E40 entre Liège et Bruxelles, ces neuf éoliennes sont au cœur d’un imbroglio juridique depuis le 6 décembre dernier. En effet, à la suite d’un recours introduit par des riverains, le tribunal de première instance de Bruxelles a jugé que ces neuf éoliennes ne disposaient pas des permis nécessaires. Depuis le prononcé du jugement, elles fonctionnent donc sans permis valables.
https://www.lalibre.be/economie/libre-entreprise/electrabel-tente-de-sauver-ses-eoliennes-sans-permis-5cd19f117b50a60294a55fdb
07/05/19 : Nouveau projet éolien à Vaux-sur-Sûre
Nouveau projet éolien à Vaux-sur-Sûre. Le producteur d'énergie Elicio prévoit l'implantation de quatre éoliennes de part et d'autre de l'autoroute E25 entre les villages de Sibret et Clochimont. D'une puissance moyenne de 46.000 MWh/an, elles se trouveraient à 800 mètres des habitations. Notons qu'il s'agit du sixième projet dans la commune de Vaux-sur-Sûre...
https://www.rtbf.be/info/regions/luxembourg/detail_nouveau-projet-eolien-a-vaux-sur-sure?id=10214062
04/05/19 : NIVELLES ET GENAPPE : Le permis des six éoliennes de WindVision est suspendu
Le Conseil d’État suspend le permis de WindVision pour la construction de six éoliennes près de la route de Lillois et de la N 25.
07/05/19 : Nouveau projet éolien à Vaux-sur-Sûre
Nouveau projet éolien à Vaux-sur-Sûre. Le producteur d'énergie Elicio prévoit l'implantation de quatre éoliennes de part et d'autre de l'autoroute E25 entre les villages de Sibret et Clochimont. D'une puissance moyenne de 46.000 MWh/an, elles se trouveraient à 800 mètres des habitations. Notons qu'il s'agit du sixième projet dans la commune de Vaux-sur-Sûre...
https://www.rtbf.be/info/regions/luxembourg/detail_nouveau-projet-eolien-a-vaux-sur-sure?id=10214062
04/05/19 : NIVELLES ET GENAPPE : Le permis des six éoliennes de WindVision est suspendu
Le Conseil d’État suspend le permis de WindVision pour la construction de six éoliennes près de la route de Lillois et de la N 25.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190503_01330630/le-permis-des-six-eoliennes-est-suspendu
02/05/19 : Soignies : le collège communal au sommet d’une éolienne
Ce jeudi, le Collège communal de Soignies «inaugurait» le parc éolien construit récemment sur le territoire de la Ville. Les plus intrépides en ont même fait l’ascension, et se sont ainsi élevés à une hauteur de plus de 75 mètres. L’occasion aussi pour la bourgmestre de rappeler les objectifs ambitieux que la Ville s’est fixée pour un monde plus durable.
« La Ville de Soignies se réjouit de ce moment et qu’ENGIE ait accepté d’organiser cette visite des éoliennes. C’est un moment important pour nous parce qu’on veut clairement être un acteur de transition vers un monde plus durable. Ça fait déjà quelques années qu’on y travaille », a...
02/05/19 : Soignies : le collège communal au sommet d’une éolienne
Ce jeudi, le Collège communal de Soignies «inaugurait» le parc éolien construit récemment sur le territoire de la Ville. Les plus intrépides en ont même fait l’ascension, et se sont ainsi élevés à une hauteur de plus de 75 mètres. L’occasion aussi pour la bourgmestre de rappeler les objectifs ambitieux que la Ville s’est fixée pour un monde plus durable.
« La Ville de Soignies se réjouit de ce moment et qu’ENGIE ait accepté d’organiser cette visite des éoliennes. C’est un moment important pour nous parce qu’on veut clairement être un acteur de transition vers un monde plus durable. Ça fait déjà quelques années qu’on y travaille », a...
https://www.lanouvellegazette.be/382847/article/2019-05-02/soignies-le-college-communal-au-sommet-dune-eolienne
01/05/19 : Nouveau projet éolien à Vaux-sur-Sûre
D'ici quelques années, le promoteur Elicio, filiale de Nethys, envisage la construction de quatre éoliennes le long de l'autoroute E25 à Vaux-sur-Sûre. Une réunion publique a eu lieu hier en présence d'une quarantaine de riverains. Il s'agit du sixième projet dans la commune.
01/05/19 : Nouveau projet éolien à Vaux-sur-Sûre
D'ici quelques années, le promoteur Elicio, filiale de Nethys, envisage la construction de quatre éoliennes le long de l'autoroute E25 à Vaux-sur-Sûre. Une réunion publique a eu lieu hier en présence d'une quarantaine de riverains. Il s'agit du sixième projet dans la commune.
https://www.tvlux.be/video/info/nouveau-projet-eolien-a-vaux-sur-sy-re_31727.html
01/05/19 : 10 ans pour construire des éoliennes… dépassées
La multiplication des recours des opposants handicape le secteur, qui demande des décisions plus rapides.
01/05/19 : 10 ans pour construire des éoliennes… dépassées
La multiplication des recours des opposants handicape le secteur, qui demande des décisions plus rapides.
Si vous voulez construire une éolienne, armez-vous de patience, tant les recours sont pléthore ! L’aventure de HesbEnergie en témoigne de manière emblématique. Cette coopérative citoyenne de production d’énergie renouvelable en Hesbaye collecte les fonds de particuliers qui souhaitent participer au développement de sources d’énergie verte, comme les éoliennes. Elle s’associe ainsi avec d’autres coopératives et des grands noms du secteur (Eneco, Engie Electrabel…) pour cofinancer des éoliennes. Cela, c’est pour la théorie… « Nous avons une dizaine de projets éoliens concrets,...
https://soirmag.lesoir.be/221412/article/2019-05-01/10-ans-pour-construire-des-eoliennes-depassees
30/04/19 : "Ce pays n'a jamais eu de vision d'avenir" (Nathalie Oosterlinck, CEO d'Otary)
Le nouveau parc éolien Rentel est enfin prêt et sera officiellement inauguré ce mardi à Ostende. Il s’en est fallu de peu pour que ce projet de 1,1 milliard d’euros échoue à cause de polémiques sur les permis et de la versatilité des pouvoirs publics. "Il faut un cap clair du prochain exécutif sinon la transition énergétique sera un échec", déclare la CEO d’Otary Nathalie Oosterlinck.
Ce mardi à Ostende, le groupe Otary célèbre la mise en service officielle du parc éolien offshore Rentel. Avec une capacité de 309 mégawatts, le cinquième parc éolien belge en mer fournira de l’électricité à 300.000 familles. La CEO Nathalie Oosterlincksemble détendue, maintenant que le projet de 1,1 milliard d’euros est enfin terminé, et que toutes les parties ont été invitées à l’inauguration. "Nous avons vécu des moments difficiles, explique la patronne de 42 ans. Juste avant la clôture de notre financement, le gouvernement a décidé de réduire son soutien aux parcs éoliens offshore. Et le câble Stevin – qui amène le courant sur le continent – s’est retrouvé menacé suite à des plaintes de riverains et de communes auprès du Conseil d’Etat. C’est typique de notre pays, où il devient de plus en plus difficile de lancer de grands projets d’infrastructure."
27/04/19 : Écaussinnes refuse l’implantation de trois nouvelles éoliennes
Le collège communal d’Écaussinnes a remis un avis défavorable concernant une demande de permis introduite par EDF LUMINUS pour implanter et exploiter trois nouvelles éoliennes dans le zoning de Marche-lez-Écaussinnes. Le collège considère qu’en l’état, le projet ne permet pas une forte participation citoyenne.
Le collège communal d’Écaussinnes a été récemment sollicité afin de remettre un avis dans le cadre d’une demande de permis introduite par EDF LUMINUS concernant l’implantation et l’exploitation de trois nouvelles éoliennes dans le zoning industriel de Marche-lez-Ecaussinnes.
Le collège a décidé de remettre un avis défavorable, regrettant qu’en l’état, le projet ne permette pas une forte participation citoyenne. « Nous sommes très clairement en faveur du développement des énergies renouvelables et agissons concrètement, à notre niveau, pour les enjeux du climat au travers de notre Plan Énergie-Climat, mais ce développement ne peut se faire qu’au bénéfice de grandes multinationales de l’énergie en écartant toute composante citoyenne », explique Arnaud Guérard, échevin de la Transition énergétique et du Climat.
30/04/19 : "Ce pays n'a jamais eu de vision d'avenir" (Nathalie Oosterlinck, CEO d'Otary)
Le nouveau parc éolien Rentel est enfin prêt et sera officiellement inauguré ce mardi à Ostende. Il s’en est fallu de peu pour que ce projet de 1,1 milliard d’euros échoue à cause de polémiques sur les permis et de la versatilité des pouvoirs publics. "Il faut un cap clair du prochain exécutif sinon la transition énergétique sera un échec", déclare la CEO d’Otary Nathalie Oosterlinck.
Ce mardi à Ostende, le groupe Otary célèbre la mise en service officielle du parc éolien offshore Rentel. Avec une capacité de 309 mégawatts, le cinquième parc éolien belge en mer fournira de l’électricité à 300.000 familles. La CEO Nathalie Oosterlincksemble détendue, maintenant que le projet de 1,1 milliard d’euros est enfin terminé, et que toutes les parties ont été invitées à l’inauguration. "Nous avons vécu des moments difficiles, explique la patronne de 42 ans. Juste avant la clôture de notre financement, le gouvernement a décidé de réduire son soutien aux parcs éoliens offshore. Et le câble Stevin – qui amène le courant sur le continent – s’est retrouvé menacé suite à des plaintes de riverains et de communes auprès du Conseil d’Etat. C’est typique de notre pays, où il devient de plus en plus difficile de lancer de grands projets d’infrastructure."
Vu la menace de nouveaux retards, l’entreprise a elle-même installé 40 km de câbles sous-marins jusqu’à la station de haute tension à Zeebruges. Un accord a finalement été trouvé sur la question des subsides publics, et au final, 42 éoliennes ont pu être construites dans les délais et le budget impartis. "Ce fut tendu, se souvient Nathalie Oosterlinck. À ce moment-là, si vous n’avez pas derrière vous des actionnaires solides et qui y croient, ça ne marche pas. Le monde politique devra trouver une solution pour que les grands projets d’infrastructure ayant un impact social et économique important ne s’enlisent à cause d’actions en justice, comme c’est le cas aujourd’hui encore avec la liaison Oosterweel-Anvers."
Qu’est-ce qui devrait changer?
Il faudrait que les dossiers avancent plus vite. Lorsqu’une décision est prise, elle doit être mise en œuvre comme prévu. Aux Pays-Bas, ils ont résolu ce problème en accordant au gouvernement de La Haye toutes les compétences en matière de travaux d’intérêt général, avec un point de contact central pour les permis et le suivi. Chez nous, c’est parfois kafkaïen. Si un câble arrive sur la plage, ce n’est plus le gouvernement fédéral qui est compétent, mais la Flandre, qui est responsable à partir de la laisse de basse mer. Alors, il faut tout recommencer avec d’autres personnes. Notre pays a son histoire, certes, et je la respecte, mais les procédures devraient être simplifiées. Les collègues étrangers restent parfois bouche bée quand ils voient les difficultés auxquelles les promoteurs sont confrontés en Belgique.
Qu’est-ce qui devrait changer?
Il faudrait que les dossiers avancent plus vite. Lorsqu’une décision est prise, elle doit être mise en œuvre comme prévu. Aux Pays-Bas, ils ont résolu ce problème en accordant au gouvernement de La Haye toutes les compétences en matière de travaux d’intérêt général, avec un point de contact central pour les permis et le suivi. Chez nous, c’est parfois kafkaïen. Si un câble arrive sur la plage, ce n’est plus le gouvernement fédéral qui est compétent, mais la Flandre, qui est responsable à partir de la laisse de basse mer. Alors, il faut tout recommencer avec d’autres personnes. Notre pays a son histoire, certes, et je la respecte, mais les procédures devraient être simplifiées. Les collègues étrangers restent parfois bouche bée quand ils voient les difficultés auxquelles les promoteurs sont confrontés en Belgique.
Le gestionnaire de réseau Elia souhaite installer un câble à travers la Flandre-Occidentale pour connecter la future zone de parcs éoliens. Pensez-vous que le câble Ventilus puisse provoquer la même résistance de la part les riverains?
Bien entendu, les citoyens ont leur mot à dire et tout le monde sait depuis à quel point il est important d’avoir un consensus. Mais Ventilus se trouve depuis des années sur la table de négociation. Elia mise aujourd’hui sur 2026 pour la connexion de la nouvelle zone de parcs éoliens. Nous estimons que cela devrait être plus rapide.
Bien entendu, les citoyens ont leur mot à dire et tout le monde sait depuis à quel point il est important d’avoir un consensus. Mais Ventilus se trouve depuis des années sur la table de négociation. Elia mise aujourd’hui sur 2026 pour la connexion de la nouvelle zone de parcs éoliens. Nous estimons que cela devrait être plus rapide.
Vos équipes risquent-elles de se retrouver au chômage technique, si les nouvelles concessions ne sont pas rapidement accordées?
Maintenant que Rentel est terminé, nous commençons cet été la construction des fondations de notre deuxième parc éolien, Seamade, qui devrait être opérationnel d’ici fin 2020. En 2021, nous aimerions déjà être en train de travailler sur la concession suivante dans la deuxième zone, mais là encore, nous aurons besoin plus rapidement d’une connexion.
"Nous commençons cet été la construction des fondations de notre deuxième parc éolien, Seamade, qui devrait être opérationnel d’ici fin 2020."
NATHALIE OOSTERLINCK,CEO D’OTARY
Chez Elia, ils disent qu’ils font le maximum…
C’est en partie aux autorités publiques de faire des choix. Le prochain gouvernement devra trancher certains nœuds. D’ici 2020, l’énergie éolienne offshore représentera 10% de la demande en électricité du pays, et avec la nouvelle zone, nous pourrons doubler la production à 4.000 mégawatts. Dans le dossier énergétique, il est évident qu’il faut tirer pleinement parti de l’offshore.
Pourquoi estimez-vous que l’énergie éolienne est une évidence? Le secteur a encore besoin d’importants subsides…
Le coût de production de l’énergie éolienne a beaucoup baissé, ce qui nous rend très concurrentiels par rapport aux autres formes de production d’électricité. Le premier parc éolien C-Power n’existe que depuis dix ans. Depuis, le secteur s’est beaucoup professionnalisé. Lorsqu’il y a cinq ans, nous avons répondu à l’adjudication pour les éoliennes du parc Rentel, on ne parlait pas encore de turbines de 7 mégawatts, alors qu’aujourd’hui, nous avons déjà des turbines de 10 mégawatts avec une hauteur totale – c’est-à-dire en bout de pale – de 196 mètres et plus. Je m’attends à ce que cette évolution technologique se poursuive au cours des 20 prochaines années.
Pouvons-nous espérer avoir bientôt en Belgique des parcs éoliens non subsidiés, comme aux Pays-Bas?
C’est certainement une option, mais tout dépend des conditions connexes. Aux Pays-Bas, le gouvernement prend tout en mains. Il effectue les études de sol, prépare l’ensemble du dossier et dispose d’un permis déjà approuvé. Ceux qui remportent le projet n’ont qu’à construire le parc et brancher la prise. Dans ce cas, il est possible de mettre en place une concession sans aides publiques.
Pourquoi n’est-il pas possible de faire en Belgique ce qui se fait aux Pays-Bas?
Le gouvernement fédéral n’a toujours pas donné de réponse définitive concernant la fermeture des centrales nucléaires, ni sur le mécanisme de capacité destiné à leur remplacement par des centrales au gaz. La décision de fermer ou non les centrales nucléaires aura un impact énorme sur le prix de l’électricité. Cette incertitude est difficile à vivre pour les investisseurs. Dans ce pays, on prend trop souvent des décisions qui seront annulées quelques années plus tard.
Les Pays-Bas ont une vision à plus long terme. Ils mettront fin à leur exploitation gazière au plus tard en 2030 et leurs objectifs climatiques sont contraignants…
Je suis parfois jalouse de nos voisins. Ici, on ne regarde jamais plus loin que les prochaines élections, alors qu’il faudrait développer une vision à long terme pour qu’en 2050, notre société soit neutre en carbone. C’est aujourd’hui qu’il faut prendre des décisions pour adapter notre système énergétique à long terme. Sans une vision d’hélicoptère, nous n’y arriverons jamais.
Nous ne disposons pas encore de la moindre esquisse de projet sur la transition énergétique…
Le gouvernement actuel devrait développer une stratégie énergétique… (elle hausse les épaules). La réalité, c’est qu’après les élections, la question de l’énergie sera toujours là. Il devient urgent que le nouveau gouvernement prenne des décisions, apporte de la stabilité et élabore une stratégie et un plan d’action concret pour les cinq prochaines années. Si cette base existe, la transition pourra être rapide.
Maintenant que Rentel est terminé, nous commençons cet été la construction des fondations de notre deuxième parc éolien, Seamade, qui devrait être opérationnel d’ici fin 2020. En 2021, nous aimerions déjà être en train de travailler sur la concession suivante dans la deuxième zone, mais là encore, nous aurons besoin plus rapidement d’une connexion.
"Nous commençons cet été la construction des fondations de notre deuxième parc éolien, Seamade, qui devrait être opérationnel d’ici fin 2020."
NATHALIE OOSTERLINCK,CEO D’OTARY
Chez Elia, ils disent qu’ils font le maximum…
C’est en partie aux autorités publiques de faire des choix. Le prochain gouvernement devra trancher certains nœuds. D’ici 2020, l’énergie éolienne offshore représentera 10% de la demande en électricité du pays, et avec la nouvelle zone, nous pourrons doubler la production à 4.000 mégawatts. Dans le dossier énergétique, il est évident qu’il faut tirer pleinement parti de l’offshore.
Pourquoi estimez-vous que l’énergie éolienne est une évidence? Le secteur a encore besoin d’importants subsides…
Le coût de production de l’énergie éolienne a beaucoup baissé, ce qui nous rend très concurrentiels par rapport aux autres formes de production d’électricité. Le premier parc éolien C-Power n’existe que depuis dix ans. Depuis, le secteur s’est beaucoup professionnalisé. Lorsqu’il y a cinq ans, nous avons répondu à l’adjudication pour les éoliennes du parc Rentel, on ne parlait pas encore de turbines de 7 mégawatts, alors qu’aujourd’hui, nous avons déjà des turbines de 10 mégawatts avec une hauteur totale – c’est-à-dire en bout de pale – de 196 mètres et plus. Je m’attends à ce que cette évolution technologique se poursuive au cours des 20 prochaines années.
Pouvons-nous espérer avoir bientôt en Belgique des parcs éoliens non subsidiés, comme aux Pays-Bas?
C’est certainement une option, mais tout dépend des conditions connexes. Aux Pays-Bas, le gouvernement prend tout en mains. Il effectue les études de sol, prépare l’ensemble du dossier et dispose d’un permis déjà approuvé. Ceux qui remportent le projet n’ont qu’à construire le parc et brancher la prise. Dans ce cas, il est possible de mettre en place une concession sans aides publiques.
Pourquoi n’est-il pas possible de faire en Belgique ce qui se fait aux Pays-Bas?
Le gouvernement fédéral n’a toujours pas donné de réponse définitive concernant la fermeture des centrales nucléaires, ni sur le mécanisme de capacité destiné à leur remplacement par des centrales au gaz. La décision de fermer ou non les centrales nucléaires aura un impact énorme sur le prix de l’électricité. Cette incertitude est difficile à vivre pour les investisseurs. Dans ce pays, on prend trop souvent des décisions qui seront annulées quelques années plus tard.
Les Pays-Bas ont une vision à plus long terme. Ils mettront fin à leur exploitation gazière au plus tard en 2030 et leurs objectifs climatiques sont contraignants…
Je suis parfois jalouse de nos voisins. Ici, on ne regarde jamais plus loin que les prochaines élections, alors qu’il faudrait développer une vision à long terme pour qu’en 2050, notre société soit neutre en carbone. C’est aujourd’hui qu’il faut prendre des décisions pour adapter notre système énergétique à long terme. Sans une vision d’hélicoptère, nous n’y arriverons jamais.
Nous ne disposons pas encore de la moindre esquisse de projet sur la transition énergétique…
Le gouvernement actuel devrait développer une stratégie énergétique… (elle hausse les épaules). La réalité, c’est qu’après les élections, la question de l’énergie sera toujours là. Il devient urgent que le nouveau gouvernement prenne des décisions, apporte de la stabilité et élabore une stratégie et un plan d’action concret pour les cinq prochaines années. Si cette base existe, la transition pourra être rapide.
27/04/19 : Écaussinnes refuse l’implantation de trois nouvelles éoliennes
Le collège communal d’Écaussinnes a remis un avis défavorable concernant une demande de permis introduite par EDF LUMINUS pour implanter et exploiter trois nouvelles éoliennes dans le zoning de Marche-lez-Écaussinnes. Le collège considère qu’en l’état, le projet ne permet pas une forte participation citoyenne.
Le collège communal d’Écaussinnes a été récemment sollicité afin de remettre un avis dans le cadre d’une demande de permis introduite par EDF LUMINUS concernant l’implantation et l’exploitation de trois nouvelles éoliennes dans le zoning industriel de Marche-lez-Ecaussinnes.
Le collège a décidé de remettre un avis défavorable, regrettant qu’en l’état, le projet ne permette pas une forte participation citoyenne. « Nous sommes très clairement en faveur du développement des énergies renouvelables et agissons concrètement, à notre niveau, pour les enjeux du climat au travers de notre Plan Énergie-Climat, mais ce développement ne peut se faire qu’au bénéfice de grandes multinationales de l’énergie en écartant toute composante citoyenne », explique Arnaud Guérard, échevin de la Transition énergétique et du Climat.
https://www.sudinfo.be/id115655/article/2019-04-27/ecaussinnes-refuse-limplantation-de-trois-nouvelles-eoliennes
26/04/19 : Stavelot : un projet de onze éoliennes en bordure de l’E42
La société Green Tech Wind (Dalhem) envisage un projet de 11 éoliennes à Stavelot, avec des impacts sur Malmedy et Jalhay.
26/04/19 : Stavelot : un projet de onze éoliennes en bordure de l’E42
La société Green Tech Wind (Dalhem) envisage un projet de 11 éoliennes à Stavelot, avec des impacts sur Malmedy et Jalhay.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190425_01327022/stavelot-un-projet-de-onze-eoliennes-en-bordure-de-l-e42
25/04/19 : Ecaussinnes : la commune refuse le projet de trois éoliennes dans le zoning
En cause : l'entreprise n'a pas accepté d'inclure un mécanisme de participation citoyenne.
Feu rouge du collège communal d'Ecaussinnes pour la demande de permis introduite par EDF Luminus. Le projet prévoyait l’implantation et l’exploitation de trois éoliennes dans le zoning industriel de Marche-lez-Ecaussinnes. Mais la société EDF Luminus n'a visiblement pas souhaité répondre à toutes les exigences du collège qui voulait y inclure un mécanisme fort de participation citoyenne.
Leur raisonnement inclut que les activités et le développement du zoning industriel ont des impacts importants en termes d’environnement, de cadre de vie, de mobilité pour les habitants et la collectivité locale. Créer une coopérative citoyenne locale pourrait donc répondre à ces désagréments. "Nous sommes très clairement en faveur du développement des énergies renouvelables et agissons concrètement, à notre niveau, pour les enjeux du climat au travers de notre Plan Energie-Climat, mais ce développement ne peut se faire qu’au bénéfice de grandes multinationales de l’Energie en écartant toute composante citoyenne", souligne Arnaud Guérard (Ecolo), "chevin de la transition énergétique.
Dans le cadre de ce dossier, différents partenaires citoyens avaient d'ailleurs montré un intérêt pour s’associer au développement du projet. De manière proactive, la commune d’Ecaussinnes les avait réunis et entamé des discussions pour l’intégration d’un mécanisme fort de participation citoyenne. Mais EDF-Luminus n'a pas embrayé dans ce sens. "J’espère que les discussions vont pouvoir reprendre rapidement avec le porteur de projet afin de faire avancer ce dossier dans le bon sens. Nous sommes prêts à y jouer un rôle actif pour défendre une énergie plus verte, plus durable et plus citoyenne."
Car la commune d'Ecaussinnes se veut favorable à l'installation plus générale d'éoliennes. Un parc de trois mâts a d'ailleurs été inauguré au début du mois d'avril. Mais il incluait une participation citoyenne. "C’est d’ailleurs ce qui est prévu dans notre Plan Energie-Climat voté à l’unanimité du conseil communal et qui mise sur une réappropriation de la question énergétique par les citoyens tout en visant la réduction de 40% des émissions de CO2, l’amélioration de 27% de la performance énergétique et l’accroissement de 27% d’énergie renouvelables sur le territoire de la commune d’Ecaussinnes à l’horizon 2030", conclut l'échevin.
25/04/19 : Ecaussinnes : la commune refuse le projet de trois éoliennes dans le zoning
En cause : l'entreprise n'a pas accepté d'inclure un mécanisme de participation citoyenne.
Feu rouge du collège communal d'Ecaussinnes pour la demande de permis introduite par EDF Luminus. Le projet prévoyait l’implantation et l’exploitation de trois éoliennes dans le zoning industriel de Marche-lez-Ecaussinnes. Mais la société EDF Luminus n'a visiblement pas souhaité répondre à toutes les exigences du collège qui voulait y inclure un mécanisme fort de participation citoyenne.
Leur raisonnement inclut que les activités et le développement du zoning industriel ont des impacts importants en termes d’environnement, de cadre de vie, de mobilité pour les habitants et la collectivité locale. Créer une coopérative citoyenne locale pourrait donc répondre à ces désagréments. "Nous sommes très clairement en faveur du développement des énergies renouvelables et agissons concrètement, à notre niveau, pour les enjeux du climat au travers de notre Plan Energie-Climat, mais ce développement ne peut se faire qu’au bénéfice de grandes multinationales de l’Energie en écartant toute composante citoyenne", souligne Arnaud Guérard (Ecolo), "chevin de la transition énergétique.
Dans le cadre de ce dossier, différents partenaires citoyens avaient d'ailleurs montré un intérêt pour s’associer au développement du projet. De manière proactive, la commune d’Ecaussinnes les avait réunis et entamé des discussions pour l’intégration d’un mécanisme fort de participation citoyenne. Mais EDF-Luminus n'a pas embrayé dans ce sens. "J’espère que les discussions vont pouvoir reprendre rapidement avec le porteur de projet afin de faire avancer ce dossier dans le bon sens. Nous sommes prêts à y jouer un rôle actif pour défendre une énergie plus verte, plus durable et plus citoyenne."
Car la commune d'Ecaussinnes se veut favorable à l'installation plus générale d'éoliennes. Un parc de trois mâts a d'ailleurs été inauguré au début du mois d'avril. Mais il incluait une participation citoyenne. "C’est d’ailleurs ce qui est prévu dans notre Plan Energie-Climat voté à l’unanimité du conseil communal et qui mise sur une réappropriation de la question énergétique par les citoyens tout en visant la réduction de 40% des émissions de CO2, l’amélioration de 27% de la performance énergétique et l’accroissement de 27% d’énergie renouvelables sur le territoire de la commune d’Ecaussinnes à l’horizon 2030", conclut l'échevin.
https://www.dhnet.be/regions/centre/ecaussinnes-la-commune-refuse-le-projet-de-trois-eoliennes-dans-le-zoning-5cc158319978e2534786fc1a
24/04/19 : Tournai-Ouest: quatre éoliennes de plus, mais pas plus, svp
Quatre éoliennes supplémentaires, mais pas plus: c’est en résumé ce qui ressort des résultats des deux enquêtes publiques à propos de l’extension du parc éolien existant de Tournai-Ouest. Deux demandes de permis ont été introduites, pour rappel. La première par la société e-vent, association entre l’intercommunale Ideta et EDF-Luminus, à qui appartient le parc existant : elle veut passer de 8 à 11 éoliennes, soit 3 supplémentaires. La seconde l’a été par la société Ventis, gérée par les frères Mat, qui veut implanter 7 nouvelles éoliennes.
24/04/19 : Tournai-Ouest: quatre éoliennes de plus, mais pas plus, svp
Quatre éoliennes supplémentaires, mais pas plus: c’est en résumé ce qui ressort des résultats des deux enquêtes publiques à propos de l’extension du parc éolien existant de Tournai-Ouest. Deux demandes de permis ont été introduites, pour rappel. La première par la société e-vent, association entre l’intercommunale Ideta et EDF-Luminus, à qui appartient le parc existant : elle veut passer de 8 à 11 éoliennes, soit 3 supplémentaires. La seconde l’a été par la société Ventis, gérée par les frères Mat, qui veut implanter 7 nouvelles éoliennes.
https://www.nordeclair.be/379102/article/2019-04-24/tournai-ouest-quatre-eoliennes-de-plus-mais-pas-plus-svp
24/04/19 : Avis défavorable du Collège d'Ecaussinnes sur un projet éolien d'EDF Luminus
Le Collège d'Ecaussinnes a remis un avis défavorable après la demande de permis d'EDF Luminus pour l'implantation de 3 éoliennes dans le zoning industriel de Marche-lez-Ecaussinnes. Le Collège souhaite une participation citoyenne forte dans le projet.
Le collège communal d'Ecaussinnes a été sollicité le 23 avril pour remettre un avis dans le cadre de la demande de permis introduite par EDF Luminus pour l'implantation et l'exploitation de trois éoliennes dans le zoning industriel de Marche-lez-Ecaussinnes. Les instances communales ont remis un avis défavorable concernant le projet. "Malgré de nombreux contacts avec le porteur de projet, celui-ci n'a pas souhaité y inclure un mécanisme fort de participation citoyenne", a indiqué le Collège communal dans un communiqué.
"Nous sommes très clairement en faveur du développement des énergies renouvelables et agissons concrètement, à notre niveau, pour les enjeux du climat au travers de notre Plan Energie-Climat, mais ce développement ne peut se faire qu'au bénéfice de grandes multinationales de l'Energie en écartant toute composante citoyenne", a souligné Arnaud Guérard, échevin de la Transition Energétique et du Climat à Ecaussinnes.
Pour le collège communal, les activités et le développement du zoning industriel sur le territoire communal ont des impacts importants en termes d'environnement, de cadre de vie, de mobilité pour les habitants et la collectivité locale. Il est donc justifié que les projets qui s'y développent puissent apporter une plus-value aux habitants et à la collectivité.
Différents partenaires citoyens ont, selon les instances écaussinnoises, montré un intérêt pour s'associer au développement du projet éolien. "Malgré des premiers contacts positifs, EDF Luminus n'a plus souhaité donner de suites concrètes à ces démarches, essentiellement pour des raisons stratégiques, excluant de facto les citoyens du projet".
Le Collège d'Ecaussinnes espère toutefois pouvoir reprendre contact prochainement avec le promoteur éolien.
24/04/19 : Avis défavorable du Collège d'Ecaussinnes sur un projet éolien d'EDF Luminus
Le Collège d'Ecaussinnes a remis un avis défavorable après la demande de permis d'EDF Luminus pour l'implantation de 3 éoliennes dans le zoning industriel de Marche-lez-Ecaussinnes. Le Collège souhaite une participation citoyenne forte dans le projet.
Le collège communal d'Ecaussinnes a été sollicité le 23 avril pour remettre un avis dans le cadre de la demande de permis introduite par EDF Luminus pour l'implantation et l'exploitation de trois éoliennes dans le zoning industriel de Marche-lez-Ecaussinnes. Les instances communales ont remis un avis défavorable concernant le projet. "Malgré de nombreux contacts avec le porteur de projet, celui-ci n'a pas souhaité y inclure un mécanisme fort de participation citoyenne", a indiqué le Collège communal dans un communiqué.
"Nous sommes très clairement en faveur du développement des énergies renouvelables et agissons concrètement, à notre niveau, pour les enjeux du climat au travers de notre Plan Energie-Climat, mais ce développement ne peut se faire qu'au bénéfice de grandes multinationales de l'Energie en écartant toute composante citoyenne", a souligné Arnaud Guérard, échevin de la Transition Energétique et du Climat à Ecaussinnes.
Pour le collège communal, les activités et le développement du zoning industriel sur le territoire communal ont des impacts importants en termes d'environnement, de cadre de vie, de mobilité pour les habitants et la collectivité locale. Il est donc justifié que les projets qui s'y développent puissent apporter une plus-value aux habitants et à la collectivité.
Différents partenaires citoyens ont, selon les instances écaussinnoises, montré un intérêt pour s'associer au développement du projet éolien. "Malgré des premiers contacts positifs, EDF Luminus n'a plus souhaité donner de suites concrètes à ces démarches, essentiellement pour des raisons stratégiques, excluant de facto les citoyens du projet".
Le Collège d'Ecaussinnes espère toutefois pouvoir reprendre contact prochainement avec le promoteur éolien.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190424_01326576/avis-defavorable-du-college-d-ecaussinnes-sur-un-projet-eolien-d-edf-luminus
24/04/19 : Le plus grand parc éolien prend forme à Villers-le-Bouillet: les 26 éoliennes fourniront de l’électricité à 30.500 ménages
D’ici quelques mois, le parc éolien de Villers-le-Bouillet sera le plus grand de Wallonie et de Belgique. 13 nouvelles éoliennes viendront s’ajouter aux 13 déjà présentes sur les entités de Villers-le-Bouillet, Wanze et Verlaine.
24/04/19 : Le plus grand parc éolien prend forme à Villers-le-Bouillet: les 26 éoliennes fourniront de l’électricité à 30.500 ménages
D’ici quelques mois, le parc éolien de Villers-le-Bouillet sera le plus grand de Wallonie et de Belgique. 13 nouvelles éoliennes viendront s’ajouter aux 13 déjà présentes sur les entités de Villers-le-Bouillet, Wanze et Verlaine.
Le plus grand parc éolien de Belgique bientôt opérationnel près de chez nous. Lancé l’année dernière à Villers-le-Bouillet par Luminus, le projet prévoit 13 nouvelles éoliennes. Ce qui fera monter le total du parc à 26 éoliennes.
L’autoroute E42 sert de point de référence avec 6 éoliennes au sud de celle-ci, et 7 au nord. Dans le détail : 9 à Villers-le-Bouillet, 3 à Wanze et 1 à Verlaine. Un projet qui fut accueilli avec enthousiasme dans la population.
►► Le parc remplacera une demi-centrale nucléaire
L’autoroute E42 sert de point de référence avec 6 éoliennes au sud de celle-ci, et 7 au nord. Dans le détail : 9 à Villers-le-Bouillet, 3 à Wanze et 1 à Verlaine. Un projet qui fut accueilli avec enthousiasme dans la population.
►► Le parc remplacera une demi-centrale nucléaire
►► D’autres projets durables vont suivre pour Luminus
https://www.sudinfo.be/id115019/article/2019-04-24/le-plus-grand-parc-eolien-prend-forme-villers-le-bouillet-les-26-eoliennes
19/04/19 : Hannut-Lincent : éoliennes illégales, une nouvelle enquête
Le permis n’étant plus valable lors de leur construction, les neuf éoliennes vont à nouveau être soumises à l’enquête publique.
19/04/19 : Hannut-Lincent : éoliennes illégales, une nouvelle enquête
Le permis n’étant plus valable lors de leur construction, les neuf éoliennes vont à nouveau être soumises à l’enquête publique.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190418_01324427/eoliennes-illegales-nouvelle-enquete
18/04/19 : SOMMETHONNE : Sept éoliennes au nord et au sud du village ?
18/04/19 : SOMMETHONNE : Sept éoliennes au nord et au sud du village ?
Une réunion d’information pour le projet d’implantation de sept éoliennes est prévue le 16 mai à Sommethonne.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190417_01324180/sept-eoliennes-au-nord-et-au-sud-du-village
15/04/19 : Une nouvelle éolienne en projet sur le territoire de Gerpinnes
Jeudi dernier, Luminus a présenté son projet aux riverains et à l’administration communale de Walcourt, Gerpinnes et Florennes. L’entreprise propose la construction de 4 éoliennes, réparties sur ces communes.
Bientôt des hélices supplémentaires dans le parc éolien de Tarciennes, à Walcourt ? C’est en tout cas la volonté d’EDF Luminus, qui voudrait agrandir son parc. Ce n’est d’ailleurs pas la première fois que cette idée se traduit en acte concret. « En 2013 déjà, un projet impliquant 8 éoliennes avait été avancé...
15/04/19 : Une nouvelle éolienne en projet sur le territoire de Gerpinnes
Jeudi dernier, Luminus a présenté son projet aux riverains et à l’administration communale de Walcourt, Gerpinnes et Florennes. L’entreprise propose la construction de 4 éoliennes, réparties sur ces communes.
Bientôt des hélices supplémentaires dans le parc éolien de Tarciennes, à Walcourt ? C’est en tout cas la volonté d’EDF Luminus, qui voudrait agrandir son parc. Ce n’est d’ailleurs pas la première fois que cette idée se traduit en acte concret. « En 2013 déjà, un projet impliquant 8 éoliennes avait été avancé...
https://www.lanouvellegazette.be/375419/article/2019-04-15/une-nouvelle-eolienne-en-projet-sur-le-territoire-de-gerpinnes
15/04/19 : Peut-être une éolienne sur les terres Gerpinnoises
CHARLEROI - Une séance d’information a eu lieu avant qu’EDF Luminus fasse sa demande de permis.
À quelques pas de l’entrée de la commune de Gerpinnes, un parc éolien est installé à Tarciennes (Walcourt). Ce parc éolien est composé de 6 éoliennes et dessert 6 000 familles. EDF Luminus voudrait agrandir son parc !
Une première demande de 8 éoliennes avait été réalisée il y a 6 ans mais refusée aussi vite. Cette fois-ci, la demande n’est que de quatre éoliennes, le projet a été modifié. Deux seraient installées sur le territoire de Florennes, une sur Tarciennes et une à Gerpinnes. Le nombre d’éoliennes est plus petit, mais la production sera augmentée par rapport à celle déjà existante. La production sera de 28 gigawattheures alors que celles existantes n’en font que 24. Chaque nouvelle éolienne aura une hauteur de 150 mètres et elles desserviront 7 200 ménages.
Une réunion d’information a eu lieu la semaine dernière, les trois communes étaient représentées. Julien Matagne (CDH), échevin à Gerpinnes, nous a expliqué son ressenti : "De mon point de vue, les plus grosses plaintes sont au niveau des nuisances sonores. Certains n’étaient pas contre, mais avaient peur du bruit du vent dans les pales. Les riverains se posaient également des questions sur l’installation de ces éoliennes et des routes que les camions allaient emprunter."
Les citoyens peuvent envoyer leurs remarques. L’entrepreneur devra ensuite introduire une demande de permis, une enquête publique aura lieu. Ensuite, le conseil communal remettra un avis. Pour que la décision finale revienne à l’autorité régionale. "Il y a deux ans, on est entré dans le programme Pollec. Si l’on veut atteindre notre objectif, nous devons passer par l’éolien. Cette éolienne pourrait entrer dans nos résultats. Notre position est positive, nous sommes enthousiastes, cependant nous devons vérifier que cela ne pose aucun problème aux riverains et que l’éolienne n’est pas néfaste pour les citoyens", explique-t-il. Affaire à suivre donc.
Alors qu’à Ham-sur-Heure et Thuin, EDF Luminus avait entré une demande de permis pour 9 éoliennes. Vu le désaccord, depuis de nombreuses années, des citoyens et de la commune pour l’installation d’un parc éolien, la société a retiré sa demande de permis. Cependant, ils comptent revenir avec un autre projet dans l’avenir.
15/04/19 : Peut-être une éolienne sur les terres Gerpinnoises
CHARLEROI - Une séance d’information a eu lieu avant qu’EDF Luminus fasse sa demande de permis.
À quelques pas de l’entrée de la commune de Gerpinnes, un parc éolien est installé à Tarciennes (Walcourt). Ce parc éolien est composé de 6 éoliennes et dessert 6 000 familles. EDF Luminus voudrait agrandir son parc !
Une première demande de 8 éoliennes avait été réalisée il y a 6 ans mais refusée aussi vite. Cette fois-ci, la demande n’est que de quatre éoliennes, le projet a été modifié. Deux seraient installées sur le territoire de Florennes, une sur Tarciennes et une à Gerpinnes. Le nombre d’éoliennes est plus petit, mais la production sera augmentée par rapport à celle déjà existante. La production sera de 28 gigawattheures alors que celles existantes n’en font que 24. Chaque nouvelle éolienne aura une hauteur de 150 mètres et elles desserviront 7 200 ménages.
Une réunion d’information a eu lieu la semaine dernière, les trois communes étaient représentées. Julien Matagne (CDH), échevin à Gerpinnes, nous a expliqué son ressenti : "De mon point de vue, les plus grosses plaintes sont au niveau des nuisances sonores. Certains n’étaient pas contre, mais avaient peur du bruit du vent dans les pales. Les riverains se posaient également des questions sur l’installation de ces éoliennes et des routes que les camions allaient emprunter."
Les citoyens peuvent envoyer leurs remarques. L’entrepreneur devra ensuite introduire une demande de permis, une enquête publique aura lieu. Ensuite, le conseil communal remettra un avis. Pour que la décision finale revienne à l’autorité régionale. "Il y a deux ans, on est entré dans le programme Pollec. Si l’on veut atteindre notre objectif, nous devons passer par l’éolien. Cette éolienne pourrait entrer dans nos résultats. Notre position est positive, nous sommes enthousiastes, cependant nous devons vérifier que cela ne pose aucun problème aux riverains et que l’éolienne n’est pas néfaste pour les citoyens", explique-t-il. Affaire à suivre donc.
Alors qu’à Ham-sur-Heure et Thuin, EDF Luminus avait entré une demande de permis pour 9 éoliennes. Vu le désaccord, depuis de nombreuses années, des citoyens et de la commune pour l’installation d’un parc éolien, la société a retiré sa demande de permis. Cependant, ils comptent revenir avec un autre projet dans l’avenir.
https://www.dhnet.be/regions/charleroi/peut-etre-une-eolienne-sur-les-terres-gerpinnoises-5cb38e399978e269d5018c74
13/04/19 : REBECQ - Pour un débat «plus neutre» sur l’éolien
Étienne Mayeura interpellé le collège communal jeudi sur la réunion info consacrée au projet éolien présenté par Engie.
13/04/19 : REBECQ - Pour un débat «plus neutre» sur l’éolien
Étienne Mayeura interpellé le collège communal jeudi sur la réunion info consacrée au projet éolien présenté par Engie.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190412_01322397/pour-un-debat-plus-neutre-sur-l-eolien
12/04/19 : Éoliennes : les Rebecquois veulent plus d’informations
Etienne Mayeur, un riverain, a utilisé son droit d’interpellation au conseil.
Lors du conseil communal qui s’est tenu ce jeudi soir, Etienne Mayeur, un habitant de Rebecq, a utilisé son droit d’interpeller l’assemblée. L’objet de sa question : le projet d’implantation d’éoliennes sur le territoire de la commune qui a déjà fait couler beaucoup d’encre. "Laisser Engie, seule, fournir les informations tant à la population qu’aux décideurs communaux ne permet pas, selon moi, à un vrai débat contradictoire essentiel à la démocratie."
Très clairement, le Rebecquois aimerait obtenir plus d’informations à propos de ce projet qui pourrait l’impacter à l’avenir. "Je demande qu’une réunion complémentaire d’information publique, suivie d’un moment de questions/réponses, puisse avoir lieu à Rebecq. De plus, dans sa déclaration de politique générale, la majorité entendait organiser systématiquement une consultation de population pour tout projet d’ampleur. J’estime qu’une information complète est le préalable indispensable à ce genre de consultation."
Etienne Mayeur en profite également pour demander de plus grands moyens de publicité concernant cette future potentielle réunion afin que tous les Rebecquois soient en courant. Sera-t-il entendu ? C’est à présent au collège communal de prendre le relais de cette demande qui a en tout cas été prise au sérieux.
12/04/19 : Éoliennes : les Rebecquois veulent plus d’informations
Etienne Mayeur, un riverain, a utilisé son droit d’interpellation au conseil.
Lors du conseil communal qui s’est tenu ce jeudi soir, Etienne Mayeur, un habitant de Rebecq, a utilisé son droit d’interpeller l’assemblée. L’objet de sa question : le projet d’implantation d’éoliennes sur le territoire de la commune qui a déjà fait couler beaucoup d’encre. "Laisser Engie, seule, fournir les informations tant à la population qu’aux décideurs communaux ne permet pas, selon moi, à un vrai débat contradictoire essentiel à la démocratie."
Très clairement, le Rebecquois aimerait obtenir plus d’informations à propos de ce projet qui pourrait l’impacter à l’avenir. "Je demande qu’une réunion complémentaire d’information publique, suivie d’un moment de questions/réponses, puisse avoir lieu à Rebecq. De plus, dans sa déclaration de politique générale, la majorité entendait organiser systématiquement une consultation de population pour tout projet d’ampleur. J’estime qu’une information complète est le préalable indispensable à ce genre de consultation."
Etienne Mayeur en profite également pour demander de plus grands moyens de publicité concernant cette future potentielle réunion afin que tous les Rebecquois soient en courant. Sera-t-il entendu ? C’est à présent au collège communal de prendre le relais de cette demande qui a en tout cas été prise au sérieux.
https://www.dhnet.be/regions/brabant/eoliennes-les-rebecquois-veulent-plus-d-informations-5cafa5029978e263338ca1e3
12/04/19 : Florennes-Walcourt : l’extension du parc éolien a été dévoilée
Les citoyens des trois communes concernées ont pris connaissance des détails techniques, jeudi, lors d’une réunion d’information à Hanzinelle.
12/04/19 : Florennes-Walcourt : l’extension du parc éolien a été dévoilée
Les citoyens des trois communes concernées ont pris connaissance des détails techniques, jeudi, lors d’une réunion d’information à Hanzinelle.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190412_01322098/florennes-walcourt-l-extension-du-parc-eolien-a-ete-devoilee
12/04/19 : Tinlot : un projet de construction de 5 éoliennes sur la commune
Leur construction est prévue le long de la RN 63, à hauteur d’Abée et Ramelot
La situation géographique de Tinlot et la présence du poste de Haute Tension de Scry ont toujours suscité l’intérêt des promoteurs éoliens. Les demandes d’implantation d’éoliennes sur le territoire se succèdent depuis plus d’une dizaine d’années, tels que le projet de 9 éoliennes entre Fraiture, Seny et Tinlot par Alternative Green, ou de 10 éoliennes par Electrabel entre Tinlot et Terwagne. "Mais tous ces projets ont toujours essuyé un refus catégorique du fonctionnaire délégué de la Région Wallonne" , rappelle l’échevine de l’Urbanisme et de l’Énergie Laurence Médaerts. "Depuis lors, la réglementation en la matière a été modifiée et précisée" . Aujourd’hui, un seul projet reste en cours.
Le 9 août 2010, SPF Luminus introduisait en effet une demande de permis unique afin d’implanter 8 éoliennes le long de la N63 sur le territoire de Tinlot, à hauteur des villages d’Abée et Ramelot. Les promoteurs organisent alors une réunion d’information, une enquête publique ainsi qu’une étude d’incidence sur l’environnement.
Le 10 juillet 2014, le permis unique pour 5 éoliennes (et non 8) sur le territoire de Tinlot est octroyé par le ministre. Deux recours sont alors introduits : l’un par la commune de Tinlot, l’autre par un groupe de citoyens qui y voit des soucis de nuisances. La commune sera finalement déboutée de son action devant le tribunal - la demande étant jugée infondée, tandis que le second recours n’aboutira pas au terme de plusieurs années de combat.
Surprise le 15 janvier dernier lorsque le collège communal apprend l’installation future de 5 éoliennes à Tinlot par Engie/EDF Luminus, le projet ayant été accepté par la Région wallonne. Celles-ci verront le jour de part et d’autre de la route du Condroz. "3 seront installées du côté d’Abée et 2 du côté de Soheit-Tinlot", précise l’échevine.
Les travaux démarreront le 23 avril. Des essais de sol sont toutefois déjà réalisés sur chantier. La mise en production est prévue pour juin 2020.
12/04/19 : Tinlot : un projet de construction de 5 éoliennes sur la commune
Leur construction est prévue le long de la RN 63, à hauteur d’Abée et Ramelot
La situation géographique de Tinlot et la présence du poste de Haute Tension de Scry ont toujours suscité l’intérêt des promoteurs éoliens. Les demandes d’implantation d’éoliennes sur le territoire se succèdent depuis plus d’une dizaine d’années, tels que le projet de 9 éoliennes entre Fraiture, Seny et Tinlot par Alternative Green, ou de 10 éoliennes par Electrabel entre Tinlot et Terwagne. "Mais tous ces projets ont toujours essuyé un refus catégorique du fonctionnaire délégué de la Région Wallonne" , rappelle l’échevine de l’Urbanisme et de l’Énergie Laurence Médaerts. "Depuis lors, la réglementation en la matière a été modifiée et précisée" . Aujourd’hui, un seul projet reste en cours.
Le 9 août 2010, SPF Luminus introduisait en effet une demande de permis unique afin d’implanter 8 éoliennes le long de la N63 sur le territoire de Tinlot, à hauteur des villages d’Abée et Ramelot. Les promoteurs organisent alors une réunion d’information, une enquête publique ainsi qu’une étude d’incidence sur l’environnement.
Le 10 juillet 2014, le permis unique pour 5 éoliennes (et non 8) sur le territoire de Tinlot est octroyé par le ministre. Deux recours sont alors introduits : l’un par la commune de Tinlot, l’autre par un groupe de citoyens qui y voit des soucis de nuisances. La commune sera finalement déboutée de son action devant le tribunal - la demande étant jugée infondée, tandis que le second recours n’aboutira pas au terme de plusieurs années de combat.
Surprise le 15 janvier dernier lorsque le collège communal apprend l’installation future de 5 éoliennes à Tinlot par Engie/EDF Luminus, le projet ayant été accepté par la Région wallonne. Celles-ci verront le jour de part et d’autre de la route du Condroz. "3 seront installées du côté d’Abée et 2 du côté de Soheit-Tinlot", précise l’échevine.
Les travaux démarreront le 23 avril. Des essais de sol sont toutefois déjà réalisés sur chantier. La mise en production est prévue pour juin 2020.
https://www.dhnet.be/regions/liege/tinlot-un-projet-de-construction-de-5-eoliennes-sur-la-commune-5caf542f9978e263338870be
10/04/19 : Ham/Heure-Thuin : EDF Luminus retire son permis pour les éoliennes
La construction de 9 éoliennes, à cheval sur les territoires de Ham-sur-Heure/Nalinnes et de Thuin, est en discussion depuis déjà de nombreuses années. Opposées au projet, les deux communes n’ont cessé de répéter leur position au groupe EDF Luminus et l’affaire a même été portée jusqu’au Conseil d’État à plusieurs reprises. Ce qui n’avait pas empêché le producteur d’électricité de réintroduire une demande de permis unique. Avant ce nouveau rebondissement, qui en appelle d’autres…
Serait-ce la fin d’une longue saga éolienne entre Thuillies et Cour-sur-Heure ? EDF Luminus a annoncé aux communes concernées le retrait de sa demande de permis unique relatif à la construction et l’exploitation de 9 éoliennes. Tout n’est pas terminé pour autant : le groupe va revenir avec un nouveau dossier ....
10/04/19 : Ham/Heure-Thuin : EDF Luminus retire son permis pour les éoliennes
La construction de 9 éoliennes, à cheval sur les territoires de Ham-sur-Heure/Nalinnes et de Thuin, est en discussion depuis déjà de nombreuses années. Opposées au projet, les deux communes n’ont cessé de répéter leur position au groupe EDF Luminus et l’affaire a même été portée jusqu’au Conseil d’État à plusieurs reprises. Ce qui n’avait pas empêché le producteur d’électricité de réintroduire une demande de permis unique. Avant ce nouveau rebondissement, qui en appelle d’autres…
Serait-ce la fin d’une longue saga éolienne entre Thuillies et Cour-sur-Heure ? EDF Luminus a annoncé aux communes concernées le retrait de sa demande de permis unique relatif à la construction et l’exploitation de 9 éoliennes. Tout n’est pas terminé pour autant : le groupe va revenir avec un nouveau dossier ....
https://www.lanouvellegazette.be/373111/article/2019-04-10/hamheure-thuin-edf-luminus-retire-son-permis-pour-les-eoliennes
10/04/19 : Un parc éolien «démesuré» se prépare à l’ouest de Tournai
Dix éoliennes sont en projet dans la continuité des huit de Tournai Ouest 3. Des riverains fixent la limite acceptable à quatre.
10/04/19 : Un parc éolien «démesuré» se prépare à l’ouest de Tournai
Dix éoliennes sont en projet dans la continuité des huit de Tournai Ouest 3. Des riverains fixent la limite acceptable à quatre.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190409_01320831/un-parc-eolien-demesure-se-prepare-a-l-ouest-de-tournai
09/04/19 : Villers-le-Bouillet : épidémie de vols sur le chantier éolien
Trois vols d’envergure ont été commis ces dernières semaines sur le chantier éolien de Villers. Le dernier date de ce week-end.
09/04/19 : Villers-le-Bouillet : épidémie de vols sur le chantier éolien
Trois vols d’envergure ont été commis ces dernières semaines sur le chantier éolien de Villers. Le dernier date de ce week-end.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190408_01320692/epidemie-de-vols-sur-le-chantier-eolien
06/04/19 : Ham-sur-Heure-Nalinnes dit non au parc éolien
06/04/19 : Ham-sur-Heure-Nalinnes dit non au parc éolien
Lors du dernier conseil communal, jeudi soir, la majorité MR-Vivre Ensemble s’est opposée au projet de construction et d’exploitation d’un parc éolien situé entre Thuilies et Cour-sur-Heure et qui concernait l'implantation de neuf machines. L’opposition «Cap Communal» a regretté ce choix de ne pas prendre un virage en faveur de l’écologie dans une entité qui ne compte aucune éolienne sur son territoire.https://www.telesambre.be/ham-sur-heure-nalinnes-dit-non-au-parc-eolien
06/04/19 : Ham-sur-Heure: la majorité refuse le parc éolien
Les élus de la majorité ont marqué, jeudi soir, leur désaccord au projet. «Cap Communal» regrette l’absence d’un virage écologique.
06/04/19 : Ham-sur-Heure: la majorité refuse le parc éolien
Les élus de la majorité ont marqué, jeudi soir, leur désaccord au projet. «Cap Communal» regrette l’absence d’un virage écologique.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190405_01318967/ham-sur-heure-la-majorite-refuse-le-parc-eolien
05/04/19 : Les trois éoliennes d'Ecaussinnes sont désormais libres comme le vent
Le nouveau parc éolien a été inauguré devant une centaine d'élèves de 6e primaire.
Vers 14 heures ce vendredi, le bourgmestre d'Ecaussinnes a symboliquement poussé le bouton de lancement des trois éoliennes qui viennent d'être construites le long de la N57, à proximité de l'autoroute E19. Les hélices peuvent désormais tourner librement, même si elles étaient déjà actives depuis quelques jours. Pour l'occasion, une centaine d'élèves de 6e primaire d’Ecaussinnes étaient invités à la cérémonie d'inauguration. En plus de découvrir l'univers de l'éolien via des petits panneaux didactiques, ils ont pu poser leurs questions aux ingénieurs d'Engie présents sur place.
Les élèves ont ainsi pu entendre que ces 3 éoliennes de 3.2 MW chacune produiront annuellement 19 250 MWh, soit l’équivalent de la consommation de près de 5500 ménages. Elles permettront d’éviter l’émission de 7700 tonnes de CO2 par an. "Il est impératif, en ce début du 21e siècle, de relever les défis du développement durable et de préserver au mieux notre planète pour les générations futures", commente le bourgmestre Xavier Dupont (PS). "La production alternative d’énergie à partir de sources renouvelables est essentielle dans cette démarche. La construction d’éoliennes vise à rencontrer, en partie, les objectifs de la COP21 dans la lutte contre le réchauffement climatique. Je suis heureux de pouvoir apporter ma pierre à cet édifice de demain."
Les travaux ont commencé en mars 2018 et se sont achevés en février 2019. Au-delà d'alimenter la région en électricité, les citoyens ont la possibilité d'investir dans ces trois éoliennes via la coopérative Electrabel Cogreen. Concrètement, les riverains contribuent à la réalisation des objectifs belges de production verte tout en bénéficiant du dividende distribué par Electrabel CoGreen. A ce jour, plus de 2000 coopérants ont fait le choix d’investir dans 22 parcs éoliens partout en Belgique.
Pour Ecaussinnes, une réunion d’information sur les modalités de participation en Electrabel CoGreen a été organisée ce jeudi 4 avril. Les riverains de la commune d'Ecaussinnes ont la possibilité d’investir jusqu’à 2500 euros par personne (soit 20 actions à 125 euros) avec un rendement indicatif dépassant 3.5%. Les souscriptions sont ouvertes du 1er au 30 avril 2019.
05/04/19 : Les trois éoliennes d'Ecaussinnes sont désormais libres comme le vent
Le nouveau parc éolien a été inauguré devant une centaine d'élèves de 6e primaire.
Vers 14 heures ce vendredi, le bourgmestre d'Ecaussinnes a symboliquement poussé le bouton de lancement des trois éoliennes qui viennent d'être construites le long de la N57, à proximité de l'autoroute E19. Les hélices peuvent désormais tourner librement, même si elles étaient déjà actives depuis quelques jours. Pour l'occasion, une centaine d'élèves de 6e primaire d’Ecaussinnes étaient invités à la cérémonie d'inauguration. En plus de découvrir l'univers de l'éolien via des petits panneaux didactiques, ils ont pu poser leurs questions aux ingénieurs d'Engie présents sur place.
Les élèves ont ainsi pu entendre que ces 3 éoliennes de 3.2 MW chacune produiront annuellement 19 250 MWh, soit l’équivalent de la consommation de près de 5500 ménages. Elles permettront d’éviter l’émission de 7700 tonnes de CO2 par an. "Il est impératif, en ce début du 21e siècle, de relever les défis du développement durable et de préserver au mieux notre planète pour les générations futures", commente le bourgmestre Xavier Dupont (PS). "La production alternative d’énergie à partir de sources renouvelables est essentielle dans cette démarche. La construction d’éoliennes vise à rencontrer, en partie, les objectifs de la COP21 dans la lutte contre le réchauffement climatique. Je suis heureux de pouvoir apporter ma pierre à cet édifice de demain."
Les travaux ont commencé en mars 2018 et se sont achevés en février 2019. Au-delà d'alimenter la région en électricité, les citoyens ont la possibilité d'investir dans ces trois éoliennes via la coopérative Electrabel Cogreen. Concrètement, les riverains contribuent à la réalisation des objectifs belges de production verte tout en bénéficiant du dividende distribué par Electrabel CoGreen. A ce jour, plus de 2000 coopérants ont fait le choix d’investir dans 22 parcs éoliens partout en Belgique.
Pour Ecaussinnes, une réunion d’information sur les modalités de participation en Electrabel CoGreen a été organisée ce jeudi 4 avril. Les riverains de la commune d'Ecaussinnes ont la possibilité d’investir jusqu’à 2500 euros par personne (soit 20 actions à 125 euros) avec un rendement indicatif dépassant 3.5%. Les souscriptions sont ouvertes du 1er au 30 avril 2019.
https://www.dhnet.be/regions/centre/les-trois-eoliennes-d-ecaussinnes-sont-desormais-libres-comme-le-vent-photos-5ca751c7d8ad58747777ef47
05/04/19 : RAMILLIES - Éoliennes sur la plaine de Boneffe: recours maintenu, positions figées
La majorité REM/Écolo n’a pas réussi à faire abandonner le recours contre les éoliennes. Le débat a parfois manqué de sérénité....
05/04/19 : RAMILLIES - Éoliennes sur la plaine de Boneffe: recours maintenu, positions figées
La majorité REM/Écolo n’a pas réussi à faire abandonner le recours contre les éoliennes. Le débat a parfois manqué de sérénité....
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190404_01318531/eoliennes-sur-la-plaine-de-boneffe-recours-maintenu-positions-figees
04/04/19 : RAMILLIES - Projet éolien sur la plaine de Boneffe: la Commune de Ramillies maintient son recours
Ce mercredi soir, une quarantaine de personnes ont assisté au conseil communal de Ramillies. La raison de cette mobilisation: le vote sur l’abandon du recours en annulation du permis délivré par la Région en juin 2018 (le cinquième en dix ans) à la société EnecoWind pour l’installation de neuf éoliennes sur la plaine de Boneffe, à cheval sur les communes de Ramillies, Orp-Jauche et Eghezée.
Ce mercredi soir, une quarantaine de personnes ont assisté au conseil communal de Ramillies. La raison de cette mobilisation: le vote sur l’abandon du recours en annulation du permis délivré par la Région en juin 2018 (le cinquième en dix ans) à la société EnecoWind pour l’installation de neuf éoliennes sur la plaine de Boneffe, à cheval sur les communes de Ramillies, Orp-Jauche et Eghezée.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190403_01318156/projet-eolien-sur-la-plaine-de-boneffe-la-commune-de-ramillies-maintient-son-recours
03/04/19 : 210.000 ménages hennuyers éclairés grâce à l’énergie éolienne 😠
Que ce soit à Quévy ou sur la route de Quiévrain, on a fini par s’habituer à voir leurs pâles tournoyer paisiblement sur l’horizon. Les éoliennes font désormais partie du paysage de notre région. Au 30 juin 2018, la province du Hainaut ne comptait pas moins de 136 éoliennes. Celles-ci produisent actuellement l’équivalent de l’électricité de 210.000 ménages.
03/04/19 : 210.000 ménages hennuyers éclairés grâce à l’énergie éolienne 😠
Que ce soit à Quévy ou sur la route de Quiévrain, on a fini par s’habituer à voir leurs pâles tournoyer paisiblement sur l’horizon. Les éoliennes font désormais partie du paysage de notre région. Au 30 juin 2018, la province du Hainaut ne comptait pas moins de 136 éoliennes. Celles-ci produisent actuellement l’équivalent de l’électricité de 210.000 ménages.
Mais une quarantaine de nouveaux projets sont dans les cartons des promoteurs. Certains n’en sont qu’au stade de l’étude d’incidence mais d’autres sont déjà dans la phase de construction....
https://www.laprovince.be/370021/article/2019-04-03/210000-menages-hennuyers-eclaires-grace-lenergie-eolienne
03/04/19 : NASSOGNE : Nouveau projet de parc éolien à Bande
Après Grune, c’est à Bande que l’opérateur Engie Electrabel veut ériger un parc de quatre éoliennes, dont une communale et citoyenne.
03/04/19 : NASSOGNE : Nouveau projet de parc éolien à Bande
Après Grune, c’est à Bande que l’opérateur Engie Electrabel veut ériger un parc de quatre éoliennes, dont une communale et citoyenne.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190402_01317535/nouveau-projet-de-parc-eolien-a-bande
02/04/19 : Un corridor électrique à 500 millions €
D'ici 2025, date théorique de la sortie du nucléaire, un nouveau parc éolien devrait s'ériger au large des côtes belges. Pour acheminer cette électricité, il faudra une nouvelle ligne à haute tension en Flandre occidentale. Nom du projet dévoilé par Elia: Ventilus.
02/04/19 : Un corridor électrique à 500 millions €
D'ici 2025, date théorique de la sortie du nucléaire, un nouveau parc éolien devrait s'ériger au large des côtes belges. Pour acheminer cette électricité, il faudra une nouvelle ligne à haute tension en Flandre occidentale. Nom du projet dévoilé par Elia: Ventilus.
https://canalz.levif.be/news/un-corridor-electrique-a-8364-500-millions-02-04-19/video-normal-1115717.html
01/04/19 : HANNUT/BRAIVES : 15 000 € de taxe par éoliennes
01/04/19 : HANNUT/BRAIVES : 15 000 € de taxe par éoliennes
Les éoliennes s’installent entre Hannut et Braives. Avec des compensations intéressantes pour Hannut.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190401_01317031/15-000eur-de-taxe-par-eoliennes
29/03/19 : Tournai: «50 éoliennes en plus? C’est trop», dit E. Neyrinck
Pour un éolien respectueux des valeurs du développement durable, la conseillère communale Ensemble, Elise Neyrinck, a demandé à Caroline Mitri, échevine de l’Environnement, si Tournai comptait adopter l’outil d’aide à la décision pour le développement de parcs éoliens sur le territoire du parc naturel des Plaines de l’Escaut et de Tournai.....
29/03/19 : Tournai: «50 éoliennes en plus? C’est trop», dit E. Neyrinck
Pour un éolien respectueux des valeurs du développement durable, la conseillère communale Ensemble, Elise Neyrinck, a demandé à Caroline Mitri, échevine de l’Environnement, si Tournai comptait adopter l’outil d’aide à la décision pour le développement de parcs éoliens sur le territoire du parc naturel des Plaines de l’Escaut et de Tournai.....
https://www.nordeclair.be/367597/article/2019-03-29/tournai-50-eoliennes-en-plus-cest-trop-dit-e-neyrinck
29/03/19 : Ramillies retire son recours contre le projet éolien de la plaine de Boneffe
Le projet d'éoliennes sur la plaine de Boneffe, cela fait des années qu'on en parle. De permis en recours et de recours en annulation... Le dossier tourne en rond depuis des années mais la mobilisation citoyenne a manifestement fait évoluer les choses.
29/03/19 : RAMILLIES - Éoliennes : pourquoi la majorité retire son recours ?
Plaine de Boneffe : consciente du message citoyen qui prône des actions en faveur du climat, REM/Écolo retire son recours au Conseil d’État.
29/03/19 : Ramillies retire son recours contre le projet éolien de la plaine de Boneffe
Le projet d'éoliennes sur la plaine de Boneffe, cela fait des années qu'on en parle. De permis en recours et de recours en annulation... Le dossier tourne en rond depuis des années mais la mobilisation citoyenne a manifestement fait évoluer les choses.
La nouvelle majorité installée depuis le début de l'année, avec en son sein Ecolo, a en effet décidé de poser un geste fort à l'heure de la mobilisation pour le climat.
"Cela représente peut-être une goutte d'eau dans l'océan mais cela aura peut-être des effets bénéfiques en termes de diminution de CO². On fait ce que l'on peut à notre petite échelle, déclare le bourgmestre Jean-Jaques Mathy. On avait remarqué qu'il y avait quand même pas mal de mesures compensatoires proposées. Au niveau de l'environnement, on essaie de palier les effets négatifs de l'éolien, même si ce qui est essentiellement pointé du doigt c'est l'aspect visuel… Pourtant, lorsque je tourne la tête, je vois plein d'éoliennes tout autour de nous, dans les communes voisines. Et donc, pourquoi pas à Ramilies ? Il faut donc peser le pour et le contre. Personnellement, je crois qu'il y a plus de points positifs à l'implantation d'éoliennes sur notre territoire."
"Ici, poursuit le bourgmestre, la nouveauté, c'est l'annulation du recours. On va à présent voir comment se positionnera l'opposition, qui est de plus en plus enclin à encourager les gestes écologiques. Exemple : lors du dernier conseil communal, nous avons choisi l'option "zéro plastique". Peut-être qu'à l'avenir, l'opposition partagera de plus en plus nos positions en la matière…"
Le recours de la commune a donc été retiré. Quant au promoteur, il doit faire face à un autre recours, qui est toujours pendant au conseil d'Etat : celui de deux associations qui milite pour la sauvegarde de la biodiversité.
Une information initialement donnée par nos confrères de L'Avenir.
"Cela représente peut-être une goutte d'eau dans l'océan mais cela aura peut-être des effets bénéfiques en termes de diminution de CO². On fait ce que l'on peut à notre petite échelle, déclare le bourgmestre Jean-Jaques Mathy. On avait remarqué qu'il y avait quand même pas mal de mesures compensatoires proposées. Au niveau de l'environnement, on essaie de palier les effets négatifs de l'éolien, même si ce qui est essentiellement pointé du doigt c'est l'aspect visuel… Pourtant, lorsque je tourne la tête, je vois plein d'éoliennes tout autour de nous, dans les communes voisines. Et donc, pourquoi pas à Ramilies ? Il faut donc peser le pour et le contre. Personnellement, je crois qu'il y a plus de points positifs à l'implantation d'éoliennes sur notre territoire."
"Ici, poursuit le bourgmestre, la nouveauté, c'est l'annulation du recours. On va à présent voir comment se positionnera l'opposition, qui est de plus en plus enclin à encourager les gestes écologiques. Exemple : lors du dernier conseil communal, nous avons choisi l'option "zéro plastique". Peut-être qu'à l'avenir, l'opposition partagera de plus en plus nos positions en la matière…"
Le recours de la commune a donc été retiré. Quant au promoteur, il doit faire face à un autre recours, qui est toujours pendant au conseil d'Etat : celui de deux associations qui milite pour la sauvegarde de la biodiversité.
Une information initialement donnée par nos confrères de L'Avenir.
29/03/19 : RAMILLIES - Éoliennes : pourquoi la majorité retire son recours ?
Plaine de Boneffe : consciente du message citoyen qui prône des actions en faveur du climat, REM/Écolo retire son recours au Conseil d’État.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190328_01315597/eoliennes-la-majorite-retire-son-recours
28/03/19 : Gerpinnes : réunion d’information pour l’implantation d’un parc éolien
EDF Luminus informe la population qu’elle prévoit d’introduire une demande de permis unique relative à : L’implantation d’un parc éolien, d’une cabine de tête, de chemins d'accès, d'aires de montage et la pose de câbles électriques pour un parc éolien situé entre Tarcienne et Hanzinne, sur le territoire des communes de Florennes, Walcourt et Gerpinnes.
Ce projet s’inscrit dans le cadre de la politique européenne, nationale et régionale de réduction des émissions de gaz à effet de serre.
A cet effet, une réunion d’information préalable sera organisée le Jeudi 11 avril à 19h00 Dans la Salle communale « L’Union » d’Hanzinelle Place d’Hanzinelle (rue du fayt 2) 5620 Florennes
Tous les détails: ici
EDF Luminus informe la population qu’elle prévoit d’introduire une demande de permis unique relative à : L’implantation d’un parc éolien, d’une cabine de tête, de chemins d'accès, d'aires de montage et la pose de câbles électriques pour un parc éolien situé entre Tarcienne et Hanzinne, sur le territoire des communes de Florennes, Walcourt et Gerpinnes.
Ce projet s’inscrit dans le cadre de la politique européenne, nationale et régionale de réduction des émissions de gaz à effet de serre.
A cet effet, une réunion d’information préalable sera organisée le Jeudi 11 avril à 19h00 Dans la Salle communale « L’Union » d’Hanzinelle Place d’Hanzinelle (rue du fayt 2) 5620 Florennes
Tous les détails: ici
https://www.telesambre.be/gerpinnes-reunion-dinformation-pour-limplantation-dun-parc-eolien
26/03/19 : WALCOURT-FLORENNES-GERPINNES : Un nouveau projet d’extension du parc éolien à Tarcienne
L'entreprise EDF Luminus souhaite installer quatre nouvelles éoliennes. Une réunion d'info aura lieu le jeudi 11 avril...
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190325_01314038/un-nouveau-projet-d-extension-du-parc-eolien-a-tarcienne
24/03/19 : Côtes d'Armor : L'électricité ferait-elle mourir des vaches en centre-Bretagne?
L'entreprise EDF Luminus souhaite installer quatre nouvelles éoliennes. Une réunion d'info aura lieu le jeudi 11 avril...
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190325_01314038/un-nouveau-projet-d-extension-du-parc-eolien-a-tarcienne
24/03/19 : Côtes d'Armor : L'électricité ferait-elle mourir des vaches en centre-Bretagne?
En Centre Bretagne, plusieurs éleveurs bovins sont confrontés à la mort inexpliquée de centaines de leurs veaux et de leurs vaches. Ils suspectent des taux d'électricité anormalement élevés dans le sol et dans l'eau.
Dans les Côtes d'Armor, en plein cœur de la Bretagne, depuis plusieurs années des centaines de vaches périssent de manière assez incompréhensible. En 3 ans, Stéphane, installé à Allineuc a perdu près de 200 vaches. Des morts inexpliquées, mais des comportements anormaux sont également constatés chez ces bovins. Certaines bête ne produisent presque plus de lait. "Une bête qui fait 20 litres de lait par jour elle tombe à 3-4 litres une dizaine de jours après, avec la même alimentation, du maïs et des céréales et surtout elles sont ankylosées." explique l'éleveur. A 50 km de là, le même mal touche les vaches de Gauthier. Ce jeune agriculteur installé en bio depuis 5 ans à Glomel a perdu 70 bêtes. Dès la naissance, ces veaux perdent l’appétit, il précise ainsi que "normalement à 6 mois, on peut leur faire ingérer 15 l de lait et là c'est 3 l de lait seulement, expliqué par les courants électriques."
L'électricité serait en cause
Les éleveurs sont désemparés face à cette mortalité, d'autant qu'ils sont régulièrement mis en cause ou pris pour fou. Ils ont essayé de comprendre ce qui pouvait bien en être la cause. Pour Stéphane c'est le courant électrique qui passe dans le sol et dans l’eau, qui est en cause. Après de multiples examens sur les animaux, audit dans les exploitations, le courant électrique, et les ondes électro-magnétiques sont bien mises en cause. Est-ce en raison de la proximité d’antennes relais, d’éoliennes, ou encore des panneaux solaires ? C'est ce que tous cherchent à comprendre. Stéphane Le Béchec a déposé une plainte contre X en 2018.
L'électricité serait en cause
Les éleveurs sont désemparés face à cette mortalité, d'autant qu'ils sont régulièrement mis en cause ou pris pour fou. Ils ont essayé de comprendre ce qui pouvait bien en être la cause. Pour Stéphane c'est le courant électrique qui passe dans le sol et dans l’eau, qui est en cause. Après de multiples examens sur les animaux, audit dans les exploitations, le courant électrique, et les ondes électro-magnétiques sont bien mises en cause. Est-ce en raison de la proximité d’antennes relais, d’éoliennes, ou encore des panneaux solaires ? C'est ce que tous cherchent à comprendre. Stéphane Le Béchec a déposé une plainte contre X en 2018.
Le Préfet des Côtes d'Armor et l'ARS saisis
Près de Loudéac, un maire se mobilise. Dans sa commune, un agriculteur a lui, perdu 120 vaches. Alors l’édile a organisé une réunion avec les exploitants du réseau d’eau et d’électricité. Un expert a réalisé des contrôles. "Nous avons constaté qu'il y avait de l'électricité dans l'eau à des taux anormaux" indique le maire, qui attend "que l'on trouve la source réelle du phénomène". Il a saisi l’Autorité régionale de Santé et le Préfet des Côtes d'Armor. il attend leur réponse.
Le reportage de Jérémy Armand, Lionel Bonis et Richard Gurgand
Près de Loudéac, un maire se mobilise. Dans sa commune, un agriculteur a lui, perdu 120 vaches. Alors l’édile a organisé une réunion avec les exploitants du réseau d’eau et d’électricité. Un expert a réalisé des contrôles. "Nous avons constaté qu'il y avait de l'électricité dans l'eau à des taux anormaux" indique le maire, qui attend "que l'on trouve la source réelle du phénomène". Il a saisi l’Autorité régionale de Santé et le Préfet des Côtes d'Armor. il attend leur réponse.
Le reportage de Jérémy Armand, Lionel Bonis et Richard Gurgand
https://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/cotes-d-armor/electricite-ferait-elle-mourir-vaches-centre-bretagne-1643718.html
22/03/19 : DINANT-HOUYET : Dinant et Celles devraient accueillir trois éoliennes
Le projet de trois éoliennes, 2 sur Houyet et 1 sur Dinant, a été présenté à la population qui l’a soumis au feu de ses questions.
22/03/19 : DINANT-HOUYET : Dinant et Celles devraient accueillir trois éoliennes
Le projet de trois éoliennes, 2 sur Houyet et 1 sur Dinant, a été présenté à la population qui l’a soumis au feu de ses questions.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190321_01311886/dinant-et-celles-devraient-accueillir-trois-eoliennes
21/03/19 : ENGIS/NANDRIN/NEUPRÉ : Éoliennes: le permis est délivré, NPG Energy gagne son recours
NPG Energy avait déposé un recours contre le refus du SPW de voir un parc éolien à Clermont-sous-Huy. ...
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190320_01311532/eoliennes-le-permis-est-delivre-npg-energy-gagne-son-recours
19/03/19 : Un nouveau parc éolien voit le jour en mer du Nord: "On est vraiment sur ce qui se fait de mieux"
Les politiques ont bien conscience que le climat est au cœur des préoccupations. Le Premier ministre Charles Michel n'a donc pas choisi au hasard sa visite du jour. Il a inauguré un nouveau parc éolien en mer du Nord.
Nous sommes à 23 kilomètres des côtes belges. Perçant le brouillard, on découvre le dernier parc éolien en construction en mer du nord : 44 pylônes sortent progressivement de l’eau.
"On est vraiment sur ce qui se fait de mieux. Ce sont les éoliennes les plus grandes que l'on peut installer en mer actuellement, explique Miguel de Schaetzen, fondateur du parc éolien Norther. À titre de comparaison, elles sont 6 fois plus puissantes que les éoliennes qu'on a installées lors de notre premier parc sur terre, en 2003."
Pour cette inauguration, le premier ministre a fait le déplacement. L’occasion de rappeler que l’éolien offshore représentera l’an prochain 10% des besoins électriques du pays. Un chiffre que le premier ministre, candidat aux prochaines élections, prend soin de mettre en avant.
"Dans quelques années, si on poursuit les investissements, si on poursuit le développement que nous voulons, on pourra même arriver à 20%, c'est immense, de nos besoins en énergie qui sont rencontrés par ce type de dispositifs. Donc on voit là qu'il y a des solutions qui sont possibles",déclare Charles Michel.
Pas suffisant pour les jeunes présents lors de cette visite
Un groupe de jeunes sensibles au combat climatique a été invité à participer à cette inauguration. Trouvent-ils les efforts de la Belgique suffisants ?
"Je pense que suffisant est un grand mot. J'ai envie de dire non, bien sûr, répond Launy Dondo, membre de My Utopia. Maintenant, je trouve ça déjà bien qu'on mettre l'accent sur un sujet comme les énergies renouvelables, sans oublier qu'il y a d'autres topics qui sont importants à aborder, notamment la mobilité, l'industrie du textile, l'économie circulaire, qui doivent aussi être mis en avant"
La plateforme belge de l’éolien offshore a remis son mémorandum aux autorités du pays. Elle demande au prochain gouvernement d’accélérer la procédure pour ouvrir de nouveaux parcs en mer du nord en 2021.
https://www.rtl.be/info/magazine/science-nature/un-nouveau-parc-eolien-voit-le-jour-en-mer-du-nord-on-est-vraiment-sur-ce-qui-se-fait-de-mieux--1109299.aspx
19/03/19 : Spiennes: des éoliennes près des Minières, riverains inquiets
EDF Luminus envisage de construire quatre éoliennes au lieu-dit les Montagnes situé entre Harmignies, Spiennes et Saint-Symphorien. Les quatre moulins à vent, d’une hauteur maximale de 180m, produiront environ 36.000.000 kWh par an, ce qui correspond à la consommation moyenne annuelle de près de 9.000 ménages. Le projet suscite aussi des questions parmi la population…
L’endroit convoité se situe dans la campagne le long de la chaussée de Beaumont (à gauche en quittant Spiennes en direction d’Harmignies). Avec un tel nom, le site des Montagnes offre un bon potentiel venteux et un accès aisé.
19/03/19 : L’éolien est aussi à la portée des citoyens : exemple à Walhain avec Nosse Moulin
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190318_01310631/l-eolien-est-aussi-a-la-portee-des-citoyens-l-exemple-nosse-moulin
19/03/19 : Un projet de parc éolien controversé à Transinne
Luxembourg : Si des riverains s’y opposent, le directeur de l’Euro Space Center y est favorable.
La société EDF Luminus projette d’implanter un parc de quatre éoliennes au Sud-Est de Transinne, dans la commune de Libin, de part et d’autre de l’autoroute E 411.
Alors que la demande de permis unique n’a pas encore été introduite, des riverains mécontents ont déjà manifesté leur opposition au projet. Ils redoutent l’impact négatif sur le paysage et l’avifaune ainsi que les nuisances sonores et les effets stroboscopiques. Un riverain adresse au promoteur une dizaine de recommandations.
"Dans le cadre de l’implantation de ce premier parc éolien dans notre commune, il est important que la population soit bien informée mais aussi, et surtout, bien protégée contre les dérives de ce type d’implantation", précise-t-il. "Nous exigeons de l’investisseur qu’il prenne des mesures pour éviter les désagréments qui pourraient nuire à la santé des citoyens et qu’il mette en place un système de protection des oiseaux."
A l’Euro Space Center, le directeur Jean-Marcel Thomas reste serein. "La technologie a évolué et je n’ai pas de craintes quant aux vibrations ni au bruit", indique-t-il. "Ce parc éolien ne perturbera pas les visiteurs ni les stagiaires qui séjournent à l’Euro Space Center. Notre bâtiment est déjà équipé de panneaux photovoltaïques. Ce parc éolien sera une nouvelle source d’électricité verte. J’y suis favorable."
Pas d’appréhension particulière non plus au village du livre de Redu. "Je ne pense pas que notre village sera impacté par ce parc éolien", indique Manu Hougardy, le président de l’ASBL Redu village du livre. "Il ne nuira pas au tourisme dans la région. Je n’ai aucune crainte par rapport à cela."
La bourgmestre de Libin, Anne Laffut, précise, pour sa part, que le collège communal ne s’est pas encore positionné sur le projet. "La première réunion d’information aura lieu ce mardi 19 mars à 20 heures à la salle Notre Maison à Libin", conclut-elle. "Les citoyens auront 15 jours pour envoyer leurs remarques et interrogations à l’administration communale."
21/03/19 : ENGIS/NANDRIN/NEUPRÉ : Éoliennes: le permis est délivré, NPG Energy gagne son recours
NPG Energy avait déposé un recours contre le refus du SPW de voir un parc éolien à Clermont-sous-Huy. ...
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190320_01311532/eoliennes-le-permis-est-delivre-npg-energy-gagne-son-recours
19/03/19 : Un nouveau parc éolien voit le jour en mer du Nord: "On est vraiment sur ce qui se fait de mieux"
Les politiques ont bien conscience que le climat est au cœur des préoccupations. Le Premier ministre Charles Michel n'a donc pas choisi au hasard sa visite du jour. Il a inauguré un nouveau parc éolien en mer du Nord.
Nous sommes à 23 kilomètres des côtes belges. Perçant le brouillard, on découvre le dernier parc éolien en construction en mer du nord : 44 pylônes sortent progressivement de l’eau.
"On est vraiment sur ce qui se fait de mieux. Ce sont les éoliennes les plus grandes que l'on peut installer en mer actuellement, explique Miguel de Schaetzen, fondateur du parc éolien Norther. À titre de comparaison, elles sont 6 fois plus puissantes que les éoliennes qu'on a installées lors de notre premier parc sur terre, en 2003."
Pour cette inauguration, le premier ministre a fait le déplacement. L’occasion de rappeler que l’éolien offshore représentera l’an prochain 10% des besoins électriques du pays. Un chiffre que le premier ministre, candidat aux prochaines élections, prend soin de mettre en avant.
"Dans quelques années, si on poursuit les investissements, si on poursuit le développement que nous voulons, on pourra même arriver à 20%, c'est immense, de nos besoins en énergie qui sont rencontrés par ce type de dispositifs. Donc on voit là qu'il y a des solutions qui sont possibles",déclare Charles Michel.
Pas suffisant pour les jeunes présents lors de cette visite
Un groupe de jeunes sensibles au combat climatique a été invité à participer à cette inauguration. Trouvent-ils les efforts de la Belgique suffisants ?
"Je pense que suffisant est un grand mot. J'ai envie de dire non, bien sûr, répond Launy Dondo, membre de My Utopia. Maintenant, je trouve ça déjà bien qu'on mettre l'accent sur un sujet comme les énergies renouvelables, sans oublier qu'il y a d'autres topics qui sont importants à aborder, notamment la mobilité, l'industrie du textile, l'économie circulaire, qui doivent aussi être mis en avant"
La plateforme belge de l’éolien offshore a remis son mémorandum aux autorités du pays. Elle demande au prochain gouvernement d’accélérer la procédure pour ouvrir de nouveaux parcs en mer du nord en 2021.
https://www.rtl.be/info/magazine/science-nature/un-nouveau-parc-eolien-voit-le-jour-en-mer-du-nord-on-est-vraiment-sur-ce-qui-se-fait-de-mieux--1109299.aspx
19/03/19 : Spiennes: des éoliennes près des Minières, riverains inquiets
EDF Luminus envisage de construire quatre éoliennes au lieu-dit les Montagnes situé entre Harmignies, Spiennes et Saint-Symphorien. Les quatre moulins à vent, d’une hauteur maximale de 180m, produiront environ 36.000.000 kWh par an, ce qui correspond à la consommation moyenne annuelle de près de 9.000 ménages. Le projet suscite aussi des questions parmi la population…
L’endroit convoité se situe dans la campagne le long de la chaussée de Beaumont (à gauche en quittant Spiennes en direction d’Harmignies). Avec un tel nom, le site des Montagnes offre un bon potentiel venteux et un accès aisé.
19/03/19 : L’éolien est aussi à la portée des citoyens : exemple à Walhain avec Nosse Moulin
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190318_01310631/l-eolien-est-aussi-a-la-portee-des-citoyens-l-exemple-nosse-moulin
19/03/19 : Un projet de parc éolien controversé à Transinne
Luxembourg : Si des riverains s’y opposent, le directeur de l’Euro Space Center y est favorable.
La société EDF Luminus projette d’implanter un parc de quatre éoliennes au Sud-Est de Transinne, dans la commune de Libin, de part et d’autre de l’autoroute E 411.
Alors que la demande de permis unique n’a pas encore été introduite, des riverains mécontents ont déjà manifesté leur opposition au projet. Ils redoutent l’impact négatif sur le paysage et l’avifaune ainsi que les nuisances sonores et les effets stroboscopiques. Un riverain adresse au promoteur une dizaine de recommandations.
"Dans le cadre de l’implantation de ce premier parc éolien dans notre commune, il est important que la population soit bien informée mais aussi, et surtout, bien protégée contre les dérives de ce type d’implantation", précise-t-il. "Nous exigeons de l’investisseur qu’il prenne des mesures pour éviter les désagréments qui pourraient nuire à la santé des citoyens et qu’il mette en place un système de protection des oiseaux."
A l’Euro Space Center, le directeur Jean-Marcel Thomas reste serein. "La technologie a évolué et je n’ai pas de craintes quant aux vibrations ni au bruit", indique-t-il. "Ce parc éolien ne perturbera pas les visiteurs ni les stagiaires qui séjournent à l’Euro Space Center. Notre bâtiment est déjà équipé de panneaux photovoltaïques. Ce parc éolien sera une nouvelle source d’électricité verte. J’y suis favorable."
Pas d’appréhension particulière non plus au village du livre de Redu. "Je ne pense pas que notre village sera impacté par ce parc éolien", indique Manu Hougardy, le président de l’ASBL Redu village du livre. "Il ne nuira pas au tourisme dans la région. Je n’ai aucune crainte par rapport à cela."
La bourgmestre de Libin, Anne Laffut, précise, pour sa part, que le collège communal ne s’est pas encore positionné sur le projet. "La première réunion d’information aura lieu ce mardi 19 mars à 20 heures à la salle Notre Maison à Libin", conclut-elle. "Les citoyens auront 15 jours pour envoyer leurs remarques et interrogations à l’administration communale."
https://www.dhnet.be/regions/luxembourg/un-projet-de-parc-eolien-controverse-a-transinne-5c8fca369978e2710ee9dbe1
18/03/19 : Belgique : à cause du vent, l'électricité est devenue gratuite durant le week-end
Le prix de l'électrictité en Belgique a chuté durant le week-end, devenant même négatif durant quelques heures, à cause d'une surproduction d'énergie, notamment liée aux fortes rafales de vent.
18/03/19 : Belgique : à cause du vent, l'électricité est devenue gratuite durant le week-end
Le prix de l'électrictité en Belgique a chuté durant le week-end, devenant même négatif durant quelques heures, à cause d'une surproduction d'énergie, notamment liée aux fortes rafales de vent.
Les éoliennes belges ont tourné à plein régime ces derniers jours, avec des fortes rafales de vent qui ont balayé le pays. Conjugué à l'activité presque optimale des centrales nucléaires, le phénomène a entraîné une chute record du prix de l'électricité à environ 13 euros par mégawattheure, rapporte l'agence de presse Belga.
Pour comparaison, ce prix atteignait le montant de 500 euros à l'automne, alors qu'une seule centrale belge produisait de l'énergie.
Des entreprises payées pour consommer
Durant ce week-end des 16 et 17 mars, la Belgique a donc produit plus d'électricité que nécessaire, la rendant même gratuite durant la nuit de samedi à dimanche ! Le prix est même devenu négatif (- 5euros / MGW) dans la nuit de samedi à dimanche !
Des entreprises très énergivores, notamment des usines chimiques, auraient été payées pour consommer ce surplus d'énergie, selon les médias belges, qui précisent que les particuliers ne devraient pas profiter de l'aubaine.
L'autre solution pour eut été de vendre cette électricité aux pays voisins, mais ils n'étaient pas demandeurs...
Durant ce week-end des 16 et 17 mars, la Belgique a donc produit plus d'électricité que nécessaire, la rendant même gratuite durant la nuit de samedi à dimanche ! Le prix est même devenu négatif (- 5euros / MGW) dans la nuit de samedi à dimanche !
Des entreprises très énergivores, notamment des usines chimiques, auraient été payées pour consommer ce surplus d'énergie, selon les médias belges, qui précisent que les particuliers ne devraient pas profiter de l'aubaine.
L'autre solution pour eut été de vendre cette électricité aux pays voisins, mais ils n'étaient pas demandeurs...
https://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/belgique-cause-du-vent-electricite-est-devenue-gratuite-durant-week-end-1640372.html
18/03/19 : Parc éolien au Bois de Groûmont : 730 réclamations !
Luxembourg : Les opposants au projet demandent une répartition équitable en Région wallonne
Le projet d’implantation de cinq éoliennes, par la société EDF Luminus, dans le Bois de Groûmont (Lierneux), présenté le 28 février dernier, a fait réagir de nombreux citoyens. Les courriers ont afflué à l’administration communale de Lierneux.
"Nous avons reçu 730 réclamations", précise le bourgmestre André Samray. "La plupart des réclamants sont originaires des communes de Vielsalm, Lierneux et Manhay." Quant aux raisons pour lesquelles, ils sont opposés au projet, elles sont multiples. "De nombreux citoyens veulent préserver les paysages ardennais", poursuit-il. "Certains évoquent aussi le bruit et les effets stroboscopiques. Des citoyens soulignent, par ailleurs, qu’il ne faut pas développer plusieurs projets dans une même commune mais, en revanche, répartir les parcs éoliens de manière équitable en Région wallonne."
Rappelons qu’en janvier dernier, le chantier du premier parc éolien en zone d’exploitation forestière de Belgique, porté par la même société EDF Luminus, a débuté au lieu-dit Lambiester près de Lierneux. Ce nouveau parc compte six éoliennes. Au deuxième parc à implanter en zone forestière, au lieu-dit Bois de Groûmont, à l’Est de l’autoroute E 25 entre Baneux (Lierneux) et Fraiture (Vielsalm), s’ajoutent deux autres projets présentés le 13 mars dernier à Jevigné.
"Ces deux projets, présentés lors de la même réunion, portent d’une part, sur l’implantation de trois éoliennes de 200 mètres de haut le long de l’autoroute E 25 en direction de Bra-sur-Lienne, d’autre part, sur la création d’un parc éolien de trois mâts près de Xhout-si-Plout, à cheval sur les communes de Lierneux et de Manhay", précise André Samray.
A la suite de la réunion à Jevigné au cours de laquelle des opposants se sont manifestés, décision a été prise d’organiser une rencontre entre les bourgmestres de Vielsalm, Lierneux et Manhay le 29 mars prochain.
18/03/19 : Parc éolien au Bois de Groûmont : 730 réclamations !
Luxembourg : Les opposants au projet demandent une répartition équitable en Région wallonne
Le projet d’implantation de cinq éoliennes, par la société EDF Luminus, dans le Bois de Groûmont (Lierneux), présenté le 28 février dernier, a fait réagir de nombreux citoyens. Les courriers ont afflué à l’administration communale de Lierneux.
"Nous avons reçu 730 réclamations", précise le bourgmestre André Samray. "La plupart des réclamants sont originaires des communes de Vielsalm, Lierneux et Manhay." Quant aux raisons pour lesquelles, ils sont opposés au projet, elles sont multiples. "De nombreux citoyens veulent préserver les paysages ardennais", poursuit-il. "Certains évoquent aussi le bruit et les effets stroboscopiques. Des citoyens soulignent, par ailleurs, qu’il ne faut pas développer plusieurs projets dans une même commune mais, en revanche, répartir les parcs éoliens de manière équitable en Région wallonne."
Rappelons qu’en janvier dernier, le chantier du premier parc éolien en zone d’exploitation forestière de Belgique, porté par la même société EDF Luminus, a débuté au lieu-dit Lambiester près de Lierneux. Ce nouveau parc compte six éoliennes. Au deuxième parc à implanter en zone forestière, au lieu-dit Bois de Groûmont, à l’Est de l’autoroute E 25 entre Baneux (Lierneux) et Fraiture (Vielsalm), s’ajoutent deux autres projets présentés le 13 mars dernier à Jevigné.
"Ces deux projets, présentés lors de la même réunion, portent d’une part, sur l’implantation de trois éoliennes de 200 mètres de haut le long de l’autoroute E 25 en direction de Bra-sur-Lienne, d’autre part, sur la création d’un parc éolien de trois mâts près de Xhout-si-Plout, à cheval sur les communes de Lierneux et de Manhay", précise André Samray.
A la suite de la réunion à Jevigné au cours de laquelle des opposants se sont manifestés, décision a été prise d’organiser une rencontre entre les bourgmestres de Vielsalm, Lierneux et Manhay le 29 mars prochain.
https://www.dhnet.be/regions/luxembourg/parc-eolien-au-bois-de-groumont-730-reclamations-5c8fca549978e2710ee9dbe4
17/03/19 : Des prix négatifs avec le vent: ce dimanche, les gros utilisateurs sont payés pour consommer de l'électricité !
Avec le vent qui ne cesse de souffler et fait tourner les éoliennes à toute allure et six centrales nucléaires sur sept fonctionnelles, les prix de l'électricité sont devenus négatifs dimanche. En d'autres termes, les gros consommateurs sont payés pour consommer de l'électricité.
17/03/19 : Des prix négatifs avec le vent: ce dimanche, les gros utilisateurs sont payés pour consommer de l'électricité !
Avec le vent qui ne cesse de souffler et fait tourner les éoliennes à toute allure et six centrales nucléaires sur sept fonctionnelles, les prix de l'électricité sont devenus négatifs dimanche. En d'autres termes, les gros consommateurs sont payés pour consommer de l'électricité.
Durant l'automne dernier, la Belgique ne disposait que d'une seule centrale nucléaire disponible, ce qui a entraîné un pic pour le prix de l'électricité avec des tarifs culminant à 500 euros par mégawattheure (MWh) en novembre. Mais aujourd'hui, la situation est tout autre.
Le prix est négocié sur le marché de gros à 13 euros par mégawattheure (Mwh), avec même un prix sous la barre du zéro (-5 euros par mwh) à certaines heures. Les consommateurs les plus importants, tels que des entreprises chimiques, reçoivent donc de l'argent pour consommer de l'électricité.
"Cela arrive de plus en plus souvent, jusqu'à 30 jours par an"
Un tel phénomène s'explique par la loi de l'offre et de la demande. Mécaniquement, plus l'offre est forte par rapport à la demande, plus le prix de l'électricité baisse. La combinaison des fortes rafales de vent qui ont balayé le territoire ces derniers jours et la disponibilité de six des sept centrales nucléaires a conduit à des prix négatifs en vigueur sur le marché.
"Cela arrive de plus en plus souvent, jusqu'à 30 jours par an", commente un entrepreneur en énergie, André Jurres. "Tant l'énergie nucléaire que l'éolienne ne sont pas flexibles. Les centrales coûtent trop cher que pour les éteindre", souligne le patron de Volt Energy. Pour le spécialiste en énergie, ces prix négatifs n'annoncent rien de bon: "ça montre que le marché est déséquilibré, que le système est en train de s'effondrer".
"Ça doit être un signal pour le gouvernement qu'il y a urgence à dégager des alternatives"
Il dit espérer que cette chute du prix de l'électricité fera réagir les autorités. "Ça doit être un signal pour le gouvernement qu'il y a urgence à dégager des alternatives. Nous avons besoin de centrales flexibles, des centrales au gaz dans la phase de transition". La production d'hydrogène à grande échelle pourrait aussi être une solution, selon M. Jurres.
Les éoliennes peuvent jouer un rôle important à cet égard. Il voit par ailleurs de nombreux avantages à collaborer avec les Pays-Bas, tant en matière de construction de parcs éoliens en mer du Nord qu'en ce qui concerne la production d'hydrogène.
Le prix est négocié sur le marché de gros à 13 euros par mégawattheure (Mwh), avec même un prix sous la barre du zéro (-5 euros par mwh) à certaines heures. Les consommateurs les plus importants, tels que des entreprises chimiques, reçoivent donc de l'argent pour consommer de l'électricité.
"Cela arrive de plus en plus souvent, jusqu'à 30 jours par an"
Un tel phénomène s'explique par la loi de l'offre et de la demande. Mécaniquement, plus l'offre est forte par rapport à la demande, plus le prix de l'électricité baisse. La combinaison des fortes rafales de vent qui ont balayé le territoire ces derniers jours et la disponibilité de six des sept centrales nucléaires a conduit à des prix négatifs en vigueur sur le marché.
"Cela arrive de plus en plus souvent, jusqu'à 30 jours par an", commente un entrepreneur en énergie, André Jurres. "Tant l'énergie nucléaire que l'éolienne ne sont pas flexibles. Les centrales coûtent trop cher que pour les éteindre", souligne le patron de Volt Energy. Pour le spécialiste en énergie, ces prix négatifs n'annoncent rien de bon: "ça montre que le marché est déséquilibré, que le système est en train de s'effondrer".
"Ça doit être un signal pour le gouvernement qu'il y a urgence à dégager des alternatives"
Il dit espérer que cette chute du prix de l'électricité fera réagir les autorités. "Ça doit être un signal pour le gouvernement qu'il y a urgence à dégager des alternatives. Nous avons besoin de centrales flexibles, des centrales au gaz dans la phase de transition". La production d'hydrogène à grande échelle pourrait aussi être une solution, selon M. Jurres.
Les éoliennes peuvent jouer un rôle important à cet égard. Il voit par ailleurs de nombreux avantages à collaborer avec les Pays-Bas, tant en matière de construction de parcs éoliens en mer du Nord qu'en ce qui concerne la production d'hydrogène.
https://www.rtbf.be/info/economie/detail_l-electricite-gratuite-ce-week-end-grace-notamment-au-vent-soutenu?id=10172970
17/03/19 : Surproduction d'électricité et prix négatifs: qui y gagne vraiment? Et que faudrait-il faire?
La Belgique vit une situation particulière en regard de l’actualité récente autour de la production d’électricité. Il y a encore quelques mois, le pays ne disposait que d’une centrale nucléaire sur sept. Le prix de l’électricité sur le marché de gros avait atteint les 500 € le mégawattheure en novembre.
Aujourd’hui, la situation est toute autre. Nous disposons à présent de six centrales nucléaires. Et puis, il y a aussi la météo, avec des rafales qui permettent de faire tourner les éoliennes à plein régime, ajoutez un beau soleil, bref, vous l’aurez compris, la production d’électricité est importante ces jours-ci.
Conséquence sur le marché de gros, le prix du mégawattheure est aujourd’hui négocié à 13 € le mégawattheure et parfois même des prix en dessous de zéro.
Qu’est-ce que cela implique ?
Qu’est-ce que cela implique? C’est la question que nous avons posée à Stéphane Bocqué, porte-parole de la FEBEG, la fédération des producteurs d’électricité, des négociants et des fournisseurs d’électricité et de gaz.
La production et la consommation d’électricité doivent être équilibrées de façon à que le marché soit en équilibre et ne s’effondre pas. Lorsqu’il y a trop de production, comme aujourd’hui par exemple, les marchés à court terme tendent à baisser leur prix, voire à avoir des prix négatifs pour dissuader les producteurs de produire.
Les premières à arrêter sont les centrales à énergies fossiles, au gaz en Belgique et au charbon en Allemagne, etc. Ils sortent donc du marché pour laisser la priorité aux énergies renouvelables (l’éolien et le solaire) sur le marché.
Des changements à venir
Il y a une certaine flexibilité dans ce marché, mais la transition énergétique implique un changement complet de philosophie. Avant, la production suivait la consommation. Demain, la demande va devoir suivre beaucoup plus la production.
On va d’une manière ou d’une autre tenter de stocker l’électricité. Soit via des centrales comme celle de Coo (centrale d’accumulation par pompage / énergie hydroélectrique), soit par des systèmes thermiques, etc.
Ces moyens devraient, lorsqu’il y a trop de production, permettre de ne pas perdre cette énergie, la stocker et la restituer plus tard lorsque ce sera nécessaire. Mais ça, c’est l’avenir…
Les prix négatifs actuels vont-ils influencer nos factures ?
Ces mouvements à très court terme ont très peu d’influence sur la facture, parce que la plupart des particuliers ont des contrats à prix fixe.
Par contre, pour certains industriels qui ont des contrats à court terme c’est une aubaine, parce qu’ils peuvent acheter de l’électricité à très bon marché, voire à un prix négatif.
On peut donc payer des entreprises pour rétablir une sorte d’équilibre ?
Les grosses entreprises sont actives sur le marché de la flexibilité.
En d’autres termes, elles peuvent être, soit rémunérées pour consommer de l’électricité lorsque la production est importante, soit à d’autres moments, refréner leur production pour consommer moins d’énergie et à ce moment-là être payé pour ne pas consommer d’électricité.
https://www.rtbf.be/info/societe/detail_surproduction-d-electricite-et-prix-negatifs-qui-y-gagne-vraiment-et-que-faudrait-il-faire?id=10173096
16/03/19 : Non à la plus grande éolienne de Belgique dans le zoning de Renaix
Une éolienne de 230 mètres, voilà ce qui menace aujourd'hui les paysages d'Ellezelles et de Renaix. EDF-Luminus envisage en effet de construire la plus grande éolienne de Belgique sur le territoire de Renaix, à quelques centaines de mètres de maisons situées sur ces communes wallonnes. Alors erreur ou mépris pour les Wallons du côté de la société EDF?
17/03/19 : Surproduction d'électricité et prix négatifs: qui y gagne vraiment? Et que faudrait-il faire?
La Belgique vit une situation particulière en regard de l’actualité récente autour de la production d’électricité. Il y a encore quelques mois, le pays ne disposait que d’une centrale nucléaire sur sept. Le prix de l’électricité sur le marché de gros avait atteint les 500 € le mégawattheure en novembre.
Aujourd’hui, la situation est toute autre. Nous disposons à présent de six centrales nucléaires. Et puis, il y a aussi la météo, avec des rafales qui permettent de faire tourner les éoliennes à plein régime, ajoutez un beau soleil, bref, vous l’aurez compris, la production d’électricité est importante ces jours-ci.
Conséquence sur le marché de gros, le prix du mégawattheure est aujourd’hui négocié à 13 € le mégawattheure et parfois même des prix en dessous de zéro.
Qu’est-ce que cela implique ?
Qu’est-ce que cela implique? C’est la question que nous avons posée à Stéphane Bocqué, porte-parole de la FEBEG, la fédération des producteurs d’électricité, des négociants et des fournisseurs d’électricité et de gaz.
La production et la consommation d’électricité doivent être équilibrées de façon à que le marché soit en équilibre et ne s’effondre pas. Lorsqu’il y a trop de production, comme aujourd’hui par exemple, les marchés à court terme tendent à baisser leur prix, voire à avoir des prix négatifs pour dissuader les producteurs de produire.
Les premières à arrêter sont les centrales à énergies fossiles, au gaz en Belgique et au charbon en Allemagne, etc. Ils sortent donc du marché pour laisser la priorité aux énergies renouvelables (l’éolien et le solaire) sur le marché.
Des changements à venir
Il y a une certaine flexibilité dans ce marché, mais la transition énergétique implique un changement complet de philosophie. Avant, la production suivait la consommation. Demain, la demande va devoir suivre beaucoup plus la production.
On va d’une manière ou d’une autre tenter de stocker l’électricité. Soit via des centrales comme celle de Coo (centrale d’accumulation par pompage / énergie hydroélectrique), soit par des systèmes thermiques, etc.
Ces moyens devraient, lorsqu’il y a trop de production, permettre de ne pas perdre cette énergie, la stocker et la restituer plus tard lorsque ce sera nécessaire. Mais ça, c’est l’avenir…
Les prix négatifs actuels vont-ils influencer nos factures ?
Ces mouvements à très court terme ont très peu d’influence sur la facture, parce que la plupart des particuliers ont des contrats à prix fixe.
Par contre, pour certains industriels qui ont des contrats à court terme c’est une aubaine, parce qu’ils peuvent acheter de l’électricité à très bon marché, voire à un prix négatif.
On peut donc payer des entreprises pour rétablir une sorte d’équilibre ?
Les grosses entreprises sont actives sur le marché de la flexibilité.
En d’autres termes, elles peuvent être, soit rémunérées pour consommer de l’électricité lorsque la production est importante, soit à d’autres moments, refréner leur production pour consommer moins d’énergie et à ce moment-là être payé pour ne pas consommer d’électricité.
https://www.rtbf.be/info/societe/detail_surproduction-d-electricite-et-prix-negatifs-qui-y-gagne-vraiment-et-que-faudrait-il-faire?id=10173096
16/03/19 : Non à la plus grande éolienne de Belgique dans le zoning de Renaix
Une éolienne de 230 mètres, voilà ce qui menace aujourd'hui les paysages d'Ellezelles et de Renaix. EDF-Luminus envisage en effet de construire la plus grande éolienne de Belgique sur le territoire de Renaix, à quelques centaines de mètres de maisons situées sur ces communes wallonnes. Alors erreur ou mépris pour les Wallons du côté de la société EDF?
https://www.notele.be/it9-media63848-non-a-la-plus-grande-eolienne-de-belgique-dans-le-zoning-de-renaix.html
15/03/19 : LIERNEUX-MANHAY : Projets d'éoliennes: une «anarchie» dénoncée
Le monde était présent, le ton est resté correct. Ce qui n’enlève rien à la détermination de la majorité du public.Nouvelle réunion d'information sur deux projets éoliens. La population s'inquiète de cette multiplication de ...
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190314_01308713/eoliennes-une-anarchie-denoncee
15/03/19 : Une plateforme citoyenne s'oppose aux trois éoliennes à Rebecq
Une plateforme citoyenne pointe les risques d’une telle installation.
Il y a quelques semaines, la firme Engie lançait une procédure en vue d’installer trois éoliennes sur le territoire de Rebecq, le long de l’autoroute E429. Rapidement, quelques voix se sont élevées contre ce projet, tout d’abord au niveau de sa localisation. "À y regarder de plus près, ces éoliennes sont prévues le long du chemin du Stoquois et du chemin Gallet, en pleine campagne mais non loin des habitations", déplore la plateforme citoyenne dédiée à l’éolien sur Rebecq.
S’ils ne sont pas contre l’éolien en général, ils sont tout de même préoccupés par les conséquences qu’un tel projet pourrait avoir sur les riverains proches mais également sur l’ensemble de la population. "Il n’est pas concevable que la santé des riverains et des habitants plus éloignés soit lourdement impactée. Ce n’est pas sans raison que les médecins en Allemagne incitent à arrêter complètement la construction de nouvelles éoliennes. Selon eux, les effets peuvent se propager jusqu’à dix kilomètres", enchaîne le collectif.
Mais ce n’est pas tout : ils pointent également des risques au niveau de la sécurité du village, sans parler de la faune et de la flore. "Il n’est pas question que la faune soit mise en péril ou encore que l’un des plus beaux paysages rebecquois, la vallée de la Senne, soit brutalement défiguré par ces tours géantes."
Pour ces différentes raisons, et d’autres encore comme la pollution du sol et du sous-sol ou des activités touristiques mises en danger, la plateforme citoyenne dit non à l’implantation des éoliennes… à cet endroit. "Engie a présenté un projet séduisant et tout à son avantage. Dire non à ces éoliennes à cet endroit, ce n’est certainement pas refuser de lutter contre le changement climatique. Le débat est plus nuancé et, surtout, plus fondamental que cela. Certaines personnes ont un intérêt financier à ce que ce projet se réalise mais beaucoup en subiront les nuisances", concluent-ils.
Sera-ce suffisant pour empêcher la réalisation de ce projet ? Rien n’est moins sûr et le verdict ne devrait pas tarder à tomber.
15/03/19 : LIERNEUX-MANHAY : Projets d'éoliennes: une «anarchie» dénoncée
Le monde était présent, le ton est resté correct. Ce qui n’enlève rien à la détermination de la majorité du public.Nouvelle réunion d'information sur deux projets éoliens. La population s'inquiète de cette multiplication de ...
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190314_01308713/eoliennes-une-anarchie-denoncee
15/03/19 : Une plateforme citoyenne s'oppose aux trois éoliennes à Rebecq
Une plateforme citoyenne pointe les risques d’une telle installation.
Il y a quelques semaines, la firme Engie lançait une procédure en vue d’installer trois éoliennes sur le territoire de Rebecq, le long de l’autoroute E429. Rapidement, quelques voix se sont élevées contre ce projet, tout d’abord au niveau de sa localisation. "À y regarder de plus près, ces éoliennes sont prévues le long du chemin du Stoquois et du chemin Gallet, en pleine campagne mais non loin des habitations", déplore la plateforme citoyenne dédiée à l’éolien sur Rebecq.
S’ils ne sont pas contre l’éolien en général, ils sont tout de même préoccupés par les conséquences qu’un tel projet pourrait avoir sur les riverains proches mais également sur l’ensemble de la population. "Il n’est pas concevable que la santé des riverains et des habitants plus éloignés soit lourdement impactée. Ce n’est pas sans raison que les médecins en Allemagne incitent à arrêter complètement la construction de nouvelles éoliennes. Selon eux, les effets peuvent se propager jusqu’à dix kilomètres", enchaîne le collectif.
Mais ce n’est pas tout : ils pointent également des risques au niveau de la sécurité du village, sans parler de la faune et de la flore. "Il n’est pas question que la faune soit mise en péril ou encore que l’un des plus beaux paysages rebecquois, la vallée de la Senne, soit brutalement défiguré par ces tours géantes."
Pour ces différentes raisons, et d’autres encore comme la pollution du sol et du sous-sol ou des activités touristiques mises en danger, la plateforme citoyenne dit non à l’implantation des éoliennes… à cet endroit. "Engie a présenté un projet séduisant et tout à son avantage. Dire non à ces éoliennes à cet endroit, ce n’est certainement pas refuser de lutter contre le changement climatique. Le débat est plus nuancé et, surtout, plus fondamental que cela. Certaines personnes ont un intérêt financier à ce que ce projet se réalise mais beaucoup en subiront les nuisances", concluent-ils.
Sera-ce suffisant pour empêcher la réalisation de ce projet ? Rien n’est moins sûr et le verdict ne devrait pas tarder à tomber.
https://www.dhnet.be/regions/brabant/une-plateforme-citoyenne-s-oppose-aux-trois-eoliennes-a-rebecq-5c8a7f827b50a60724c235fd
13/03/19 : Gilets jaunes versus jeunes pour le climat
Ces dernières semaines, en Belgique, les jeunes pour le climat ont pris le dessus sur les gilets jaunes, aussi bien dans la rue que dans les médias
13/03/19 : Gilets jaunes versus jeunes pour le climat
Ces dernières semaines, en Belgique, les jeunes pour le climat ont pris le dessus sur les gilets jaunes, aussi bien dans la rue que dans les médias
Extrait :
Cette volonté de limiter nos émissions de CO2 a déjà été initiée au début des années 2000 avec la décision de passer vers des énergies renouvelables. Mais, alors qu'elles ne représentent aujourd'hui que 12% de l'électricité produite en Belgique, nous constatons, à la lecture de notre facture, que les postes soutien au renouvelable et adaptation du réseau représentent déjà le double du poste fourniture d'électricité. Quel sera le montant de notre facture lorsque le renouvelable représentera 20%, 30% ou 50% de l'énergie produite dans notre pays? Les gilets jaunes n'ont pas fini de manifester!
À propos d'empreinte sur la planète, nous pouvons aussi nous demander ce que deviendront, à l'échelon mondial, les dizaines de millions de panneaux photovoltaïques usagés mais aussi les dizaines de milliers d'éoliennes devenues obsolètes? Quant aux fondations en béton coulées au pied de chaque éolienne, est-il vraisemblable d'imaginer qu'elles seront un jour excavées et que le propriétaire du champ cultive à nouveau cette parcelle?
À propos d'empreinte sur la planète, nous pouvons aussi nous demander ce que deviendront, à l'échelon mondial, les dizaines de millions de panneaux photovoltaïques usagés mais aussi les dizaines de milliers d'éoliennes devenues obsolètes? Quant aux fondations en béton coulées au pied de chaque éolienne, est-il vraisemblable d'imaginer qu'elles seront un jour excavées et que le propriétaire du champ cultive à nouveau cette parcelle?
https://www.levif.be/actualite/belgique/gilets-jaunes-versus-jeunes-pour-le-climat/article-opinion-1105909.html
13/03/19 : REBECQ : « Non à ces éoliennes, à cet endroit »
Une plateforme citoyenne s’est créée à Rebecq pour rejeter le projet d’installation de trois éoliennes sur le territoire communal.
13/03/19 : REBECQ : « Non à ces éoliennes, à cet endroit »
Une plateforme citoyenne s’est créée à Rebecq pour rejeter le projet d’installation de trois éoliennes sur le territoire communal.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190312_01308005/non-a-ces-eoliennes-a-cet-endroit
12/03/19 : Vent fort sur les éoliennes : pas de jackpot tempête !
Le vent a soufflé ce week-end. Mais ça n'a pas fait pas nécessairement les affaires des producteurs d’électricité pour la cause.
Lorsque le soleil est au rendez-vous, les propriétaires de panneaux photovoltaïques se frottent les mains. Mais, paradoxalement, pour les éoliennes, les vents de ce week-end n’ont pas permis de produire davantage d’électricité.
Des branches qui jonchent les routes, des toitures arrachées, des arbres déracinés… Si vous avez pris la voiture ce week-end, vous n’avez pas pu rater le triste spectacle qui accompagnait les fortes rafales de vent. Par contre, vous aurez peut-être remarqué que de nombreuses éoliennes étaient à l’arrêt. Plutôt paradoxal, car on pourrait imaginer qu’une tempête est synonyme de jackpot pour les producteurs d’électricité.
« En fait, les éoliennes se mettent en arrêt automatique dès que le vent est trop fort », nous explique Olivier Desclée, d’Engie. « Selon les modèles, les éoliennes s’arrêtent lorsqu’on dépasse les 90 km/h ou 100 km/h. La raison est simple : avec de tels vents, l’effort sur les pales est trop important. »
L’article complet en suivant ce lien :
https://journal.sudinfo.be/journal.php#Sudpresse/web,2019-03-12,BASSE-MEUSE|SU_QUOTIDIENS,2019-03-12,BASSE-MEUSE,1|18
http://bassenge.blogs.sudinfo.be/archive/2019/03/12/vent-fort-sur-les-eoliennes-pas-de-jackpot-tempete-275094.html
12/03/19 : Un parc éolien entre les villages de Our et de Maissin bien accueilli par les autorités communales de Paliseul
Un parc éolien entre les villages de Our et de Maissin est lui plutôt bien accueilli par les autorités communales de Paliseul.
12/03/19 : Vent fort sur les éoliennes : pas de jackpot tempête !
Le vent a soufflé ce week-end. Mais ça n'a pas fait pas nécessairement les affaires des producteurs d’électricité pour la cause.
Lorsque le soleil est au rendez-vous, les propriétaires de panneaux photovoltaïques se frottent les mains. Mais, paradoxalement, pour les éoliennes, les vents de ce week-end n’ont pas permis de produire davantage d’électricité.
Des branches qui jonchent les routes, des toitures arrachées, des arbres déracinés… Si vous avez pris la voiture ce week-end, vous n’avez pas pu rater le triste spectacle qui accompagnait les fortes rafales de vent. Par contre, vous aurez peut-être remarqué que de nombreuses éoliennes étaient à l’arrêt. Plutôt paradoxal, car on pourrait imaginer qu’une tempête est synonyme de jackpot pour les producteurs d’électricité.
« En fait, les éoliennes se mettent en arrêt automatique dès que le vent est trop fort », nous explique Olivier Desclée, d’Engie. « Selon les modèles, les éoliennes s’arrêtent lorsqu’on dépasse les 90 km/h ou 100 km/h. La raison est simple : avec de tels vents, l’effort sur les pales est trop important. »
L’article complet en suivant ce lien :
https://journal.sudinfo.be/journal.php#Sudpresse/web,2019-03-12,BASSE-MEUSE|SU_QUOTIDIENS,2019-03-12,BASSE-MEUSE,1|18
http://bassenge.blogs.sudinfo.be/archive/2019/03/12/vent-fort-sur-les-eoliennes-pas-de-jackpot-tempete-275094.html
12/03/19 : Un parc éolien entre les villages de Our et de Maissin bien accueilli par les autorités communales de Paliseul
Un parc éolien entre les villages de Our et de Maissin est lui plutôt bien accueilli par les autorités communales de Paliseul.
Engie voudrait ériger cinq éoliennes. L'enquête publique se termine aujourd'hui mardi 12 mars. Lors de la réunion d'information à Our, certaines personnes se montrées réticentes, d'autres plutôt intéressées. Quant à la commune, elle suivra l'avis des habitants comme nous l'explique le Bourgmestre Freddy Arnould...(interview en ligne uniquement pour la Belgique)
https://www.rtbf.be/info/regions/luxembourg/detail_un-parc-eolien-entre-les-villages-de-our-et-de-maissin-bien-accueilli-par-les-autorites-communales-de-paliseul?id=10167866
11/03/19 : Pays des Collines : vent de protestation contre une éolienne géante
Haute de 230 m, celle-ci pourrait sortir de terre dans la ville flamande de Renaix et impacter visuellement, du côté francophone, le parc naturel du Pays des Collines et ses habitants.
11/03/19 : Pays des Collines : vent de protestation contre une éolienne géante
Haute de 230 m, celle-ci pourrait sortir de terre dans la ville flamande de Renaix et impacter visuellement, du côté francophone, le parc naturel du Pays des Collines et ses habitants.
Le groupe EDF Luminus a récemment introduit une demande de permis en vue de construire et d’exploiter dans le zoning industriel de la ville flamande de Renaix (baptisé Petite France) une éolienne culminant à 230m d’altitude! Si celle-ci devait sortir de terre, elle n’aurait aucune concurrente en Belgique.
Rien que dans la cité des Bommels, l’enquête publique a donné lieu à plus d’un millier de réclamations. De part son gigantisme, ce projet éolien suscite également une forte opposition de l’autre côté de la frontière linguistique, notamment dans les communes francophones d’Ellezelles et Flobecq situées au cœur du parc naturel du Pays des Collines....
Rien que dans la cité des Bommels, l’enquête publique a donné lieu à plus d’un millier de réclamations. De part son gigantisme, ce projet éolien suscite également une forte opposition de l’autre côté de la frontière linguistique, notamment dans les communes francophones d’Ellezelles et Flobecq situées au cœur du parc naturel du Pays des Collines....
https://plus.lesoir.be/211536/article/2019-03-11/pays-des-collines-vent-de-protestation-contre-une-eolienne-geante
11/03/19 : Parc éolien au Bois de Groûmont : une pétition déjà signée par 400 personnes
Mise en ligne et présentée dans 5 communes, elle a déjà recueilli plus de 400 signatures
Les opposants au projet d’implantation de cinq éoliennes, par la société EDF Luminus, dans le Bois de Groûmont (Lierneux), n’ont pas perdu de temps. La pétition en ligne, sur le site Avaaz.org, et la version papier présentée, en porte-à-porte, aux habitants des communes de Vielsalm, Lierneux, Houffalize, Manhay et La Roche-en-Ardenne, a déjà été signée par plus de 400 personnes.
"Ces éoliennes de 200 mètres de haut seraient situées à une distance de 1 à 1,5 km des villages environnants", soulignent les opposants. "Une telle proximité d’un parc éolien engendre un trouble dépassant les contraintes admissibles du voisinage par l’impact visuel permanent sur le paysage ardennais alors dégradé. De plus, les nuisances auditives et clignotantes permanentes, altérant la vie quotidienne des habitants, touristes et autres, engendreront une dépréciation incontournable des valeurs patrimoniales et immobilières de la région et généreront bien d’autres nuisances."
Selon les opposants, l’impact sur l’humain n’est pas le seul problème. Ils redoutent, en effet, que cette initiative, "principalement motivée par le profit financier du promoteur et de quelques-uns", n’ait des conséquences considérables au niveau environnemental local à travers la déforestation et l’altération de la faune. "Il est important pour nous et les générations futures d’éviter le désastre imminent", résument-ils. "Nous voulons que ce joyau des Ardennes reste intact. Nous voulons que la région reste un havre de paix naturel."
A La Baraque de Fraiture, Arnaud Dubois, le gestionnaire des pistes de ski indique que s’il n’a pas (encore) signé la pétition, il a envoyé un courrier à l’administration communale de Lierneux et au promoteur. "Lors de la réunion d’information, je n’ai pas obtenu d’informations précises sur la localisation des éoliennes ni sur l’accès au chantier", indique-t-il. "Je crains que les mâts ne soient trop proches de certaines pistes de ski de fond ou de sentiers empruntés par les promeneurs." Rappelons que les commentaires et réclamations doivent parvenir à l’administration communale de Lierneux avant le 15 mars.
11/03/19 : Parc éolien au Bois de Groûmont : une pétition déjà signée par 400 personnes
Mise en ligne et présentée dans 5 communes, elle a déjà recueilli plus de 400 signatures
Les opposants au projet d’implantation de cinq éoliennes, par la société EDF Luminus, dans le Bois de Groûmont (Lierneux), n’ont pas perdu de temps. La pétition en ligne, sur le site Avaaz.org, et la version papier présentée, en porte-à-porte, aux habitants des communes de Vielsalm, Lierneux, Houffalize, Manhay et La Roche-en-Ardenne, a déjà été signée par plus de 400 personnes.
"Ces éoliennes de 200 mètres de haut seraient situées à une distance de 1 à 1,5 km des villages environnants", soulignent les opposants. "Une telle proximité d’un parc éolien engendre un trouble dépassant les contraintes admissibles du voisinage par l’impact visuel permanent sur le paysage ardennais alors dégradé. De plus, les nuisances auditives et clignotantes permanentes, altérant la vie quotidienne des habitants, touristes et autres, engendreront une dépréciation incontournable des valeurs patrimoniales et immobilières de la région et généreront bien d’autres nuisances."
Selon les opposants, l’impact sur l’humain n’est pas le seul problème. Ils redoutent, en effet, que cette initiative, "principalement motivée par le profit financier du promoteur et de quelques-uns", n’ait des conséquences considérables au niveau environnemental local à travers la déforestation et l’altération de la faune. "Il est important pour nous et les générations futures d’éviter le désastre imminent", résument-ils. "Nous voulons que ce joyau des Ardennes reste intact. Nous voulons que la région reste un havre de paix naturel."
A La Baraque de Fraiture, Arnaud Dubois, le gestionnaire des pistes de ski indique que s’il n’a pas (encore) signé la pétition, il a envoyé un courrier à l’administration communale de Lierneux et au promoteur. "Lors de la réunion d’information, je n’ai pas obtenu d’informations précises sur la localisation des éoliennes ni sur l’accès au chantier", indique-t-il. "Je crains que les mâts ne soient trop proches de certaines pistes de ski de fond ou de sentiers empruntés par les promeneurs." Rappelons que les commentaires et réclamations doivent parvenir à l’administration communale de Lierneux avant le 15 mars.
https://www.dhnet.be/regions/luxembourg/parc-eolien-au-bois-de-groumont-une-petition-deja-signee-par-400-personnes-5c868ef77b50a60724ada4e1
09/03/19 : HOUFFALIZE - Les éoliennes à nouveau sur la table
Comme lors du conseil communal précédent, les potentiels projets éoliens ont divisé les élus de la majorité et de la minorité ce jeudi soir.
09/03/19 : HOUFFALIZE - Les éoliennes à nouveau sur la table
Comme lors du conseil communal précédent, les potentiels projets éoliens ont divisé les élus de la majorité et de la minorité ce jeudi soir.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190308_01305918/les-eoliennes-a-nouveau-sur-la-table
08/03/19 : Six éoliennes en plus prévues à Villers-le-Bouillet et Verlaine
EDF Luminus envisage d'agrandir son parc éolien de Villers-le-Bouillet/Verlaine en y ajoutant six nouvelles éoliennes.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190308_01305946/six-eoliennes-en-plus-prevues-a-villers-le-bouillet-et-verlaine
08/03/19 : Pourquoi le Conseil d'Etat est dans les pales des éoliennes wallonnes
L'implantation d'éoliennes bat son plein en Flandre, moins exigeante que la Wallonie en matière d'environnement.
Entre Tongres et Juprelle, on compte ainsi 75 mâts. Entre Paifve et Glons, toutes proches, la Wallonie vient d'autoriser cinq éoliennes qui font l'objet d'un recours au Conseil d'Etat...
08/03/19 : Six éoliennes en plus prévues à Villers-le-Bouillet et Verlaine
EDF Luminus envisage d'agrandir son parc éolien de Villers-le-Bouillet/Verlaine en y ajoutant six nouvelles éoliennes.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190308_01305946/six-eoliennes-en-plus-prevues-a-villers-le-bouillet-et-verlaine
08/03/19 : Pourquoi le Conseil d'Etat est dans les pales des éoliennes wallonnes
L'implantation d'éoliennes bat son plein en Flandre, moins exigeante que la Wallonie en matière d'environnement.
Entre Tongres et Juprelle, on compte ainsi 75 mâts. Entre Paifve et Glons, toutes proches, la Wallonie vient d'autoriser cinq éoliennes qui font l'objet d'un recours au Conseil d'Etat...
https://www.levif.be/actualite/belgique/pourquoi-le-conseil-d-etat-est-dans-les-pales-des-eoliennes-wallonnes/article-normal-1102315.html
08/03/19 : Le mât de la discorde à Houffalize
Le contrat avec Engie-Electrabel, préalable à l’implantation d’un parc éolien, divise le conseil.
Nouvelle levée de boucliers, contre l’éolien, au conseil communal de Houffalize. Après l’inscription controversée d’un montant de 35 000 euros au budget 2019 pour la réalisation d’une étude relative à l’implantation d’un parc éolien sur un terrain communal, en décembre dernier, c’est le contrat préalable à l’installation provisoire d’un mât de mesure de l’activité des chauves-souris, le long de l’autoroute E 25, près de Mabompré, à conclure avec la société Engie-Electrabel, qui a été vivement contesté.
"L’ancienne commune de Mabompré intéresse les promoteurs car elle correspond au cadre fixé par la Région wallonne, dans le sens où elle se situe en bordure d’une fracture d’un massif forestier ", a précisé l’échevin Philippe Cara. "Cinq promoteurs ont déjà manifesté de l’intérêt pour ce site. Cela dit, à ce stade, nous ne savons pas si ces projets se concrétiseront ni combien d’éoliennes y seront érigées."
À la demande d’Engie-Electrabel, le collège a accepté, sous réserve de l’approbation du conseil communal, de louer un terrain, en bordure de l’autoroute, pour un montant de 1 500 euros. Un mât doit y être installé pendant un an afin de préciser l’impact d’un éventuel parc éolien sur les chiroptères. "Des frais vont être engagés pour aboutir à la conclusion que l’on dénombre, par exemple, le passage de 20 chauves-souris à l’heure", a réagi Albert Lamborelle, conseiller de la minorité. "Cette démarche n’a aucun sens quand on sait que les éoliennes représentent une réelle catastrophe pour l’avifaune. Les villages de Mont, Wibrin, Bonnerue et Mabompré seront, par ailleurs, impactés tant par le bruit qu’au niveau paysager."
L’échevin a précisé que cette location ne signifie pas que le collège est favorable à tous les projets éoliens portés par les promoteurs. "Le collège essaie de garder la mainmise sur ces projets. Nous voulons les canaliser pour éviter précisément qu’ils ne nuisent aux habitants", a-t-il conclu.
Le contrat avec Engie-Electrabel a été voté majorité contre opposition.
08/03/19 : Le mât de la discorde à Houffalize
Le contrat avec Engie-Electrabel, préalable à l’implantation d’un parc éolien, divise le conseil.
Nouvelle levée de boucliers, contre l’éolien, au conseil communal de Houffalize. Après l’inscription controversée d’un montant de 35 000 euros au budget 2019 pour la réalisation d’une étude relative à l’implantation d’un parc éolien sur un terrain communal, en décembre dernier, c’est le contrat préalable à l’installation provisoire d’un mât de mesure de l’activité des chauves-souris, le long de l’autoroute E 25, près de Mabompré, à conclure avec la société Engie-Electrabel, qui a été vivement contesté.
"L’ancienne commune de Mabompré intéresse les promoteurs car elle correspond au cadre fixé par la Région wallonne, dans le sens où elle se situe en bordure d’une fracture d’un massif forestier ", a précisé l’échevin Philippe Cara. "Cinq promoteurs ont déjà manifesté de l’intérêt pour ce site. Cela dit, à ce stade, nous ne savons pas si ces projets se concrétiseront ni combien d’éoliennes y seront érigées."
À la demande d’Engie-Electrabel, le collège a accepté, sous réserve de l’approbation du conseil communal, de louer un terrain, en bordure de l’autoroute, pour un montant de 1 500 euros. Un mât doit y être installé pendant un an afin de préciser l’impact d’un éventuel parc éolien sur les chiroptères. "Des frais vont être engagés pour aboutir à la conclusion que l’on dénombre, par exemple, le passage de 20 chauves-souris à l’heure", a réagi Albert Lamborelle, conseiller de la minorité. "Cette démarche n’a aucun sens quand on sait que les éoliennes représentent une réelle catastrophe pour l’avifaune. Les villages de Mont, Wibrin, Bonnerue et Mabompré seront, par ailleurs, impactés tant par le bruit qu’au niveau paysager."
L’échevin a précisé que cette location ne signifie pas que le collège est favorable à tous les projets éoliens portés par les promoteurs. "Le collège essaie de garder la mainmise sur ces projets. Nous voulons les canaliser pour éviter précisément qu’ils ne nuisent aux habitants", a-t-il conclu.
Le contrat avec Engie-Electrabel a été voté majorité contre opposition.
https://www.dhnet.be/regions/luxembourg/le-mat-de-la-discorde-a-houffalize-5c8287f97b50a6072474802c
08/03/19 : BEAUMONT : Deux nouveaux projets éoliens à Renlies
La région de Beaumont est-elle propice aux éoliennes? Au vu des projets, on est tenté de la croire.
08/03/19 : BEAUMONT : Deux nouveaux projets éoliens à Renlies
La région de Beaumont est-elle propice aux éoliennes? Au vu des projets, on est tenté de la croire.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190307_01305564/deux-nouveaux-projets-eoliens-a-renlies
08/03/19 : VAL DE DENDRE : Une autoroute pour les projets éoliens ?
Les projets éoliens à proximité de l’A8 se multiplient. Deux enquêtes sont en cours pour cinq éoliennes à Lessines et Silly.
08/03/19 : VAL DE DENDRE : Une autoroute pour les projets éoliens ?
Les projets éoliens à proximité de l’A8 se multiplient. Deux enquêtes sont en cours pour cinq éoliennes à Lessines et Silly.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190307_01305440/une-autoroute-pour-les-projets-eoliens
07/03/19 : La Fédération des coopératives d'énergie renouvelable, Rescoop, tend la main à Enercoop, le "vilain canard"
Neuf cent coopérateurs attendent avec anxiété l'assemblée générale extraordinaire qui se tiendra le 15 mars prochain. Tous ensemble, ils ont investi environ 750.000 euros dans Enercoop, une coopérative citoyenne qui promettait de financer des éoliennes, et de rapporter rapidement 4 à 5 % de dividendes annuels aux coopérateurs.
07/03/19 : La Fédération des coopératives d'énergie renouvelable, Rescoop, tend la main à Enercoop, le "vilain canard"
Neuf cent coopérateurs attendent avec anxiété l'assemblée générale extraordinaire qui se tiendra le 15 mars prochain. Tous ensemble, ils ont investi environ 750.000 euros dans Enercoop, une coopérative citoyenne qui promettait de financer des éoliennes, et de rapporter rapidement 4 à 5 % de dividendes annuels aux coopérateurs.
Mais après trois ans d'activités, les deux tiers de l'argent sont partis en fumée. Et la prochaine assemblée pourrait décider la liquidation d'un projet mort-né. En cas de liquidation, les 900 coopérateurs d'Enercoop sont sûrs de perdre les deux tiers de leur investissement. Mais tout n'est peut-être pas perdu. Les administrateurs désignés par la justice ont reçu deux propositions pour sauver la coopérative.
Remettre l'ancienne équipe en selle ?
La première émane de la fédération wallonne des coopératives du secteur, Rescoop, qui propose de faire table rase : nouveaux statuts, nouveaux administrateurs... Le nouveau conseil d'administration serait entièrement composé de bénévoles. Mais, par contre, la fédération refuse de recapitaliser Enercoop. Et dans ce scénario, les parts des coopérateurs perdraient aussi 60 % de leur valeur.
La seconde proposition paraît plus alléchante, sur la papier du moins : la Fondation Kids and Wind, active dans l'éducation aux énergies renouvelables, injecterait 150.000 euros pour recapitaliser Enercoop. Le hic, c'est que le responsable de la Fondation n'est autre que Bernard Delville, un des fondateurs d'Enercoop avec Jean-François Mitsch. L'ancienne équipe, en quelque sorte, serait en partie remise en selle.
Pour certains coopérateurs, aucune de ces deux propositions n'est satisfaisante. Ils estiment que les anciens administrateurs d'Enercoop doivent répondre de leur mauvaise gestion devant les tribunaux. Mais c'est une proposition qui ne figure pas dans les options soumises à l'assemblée générale extraordinaire de ce vendredi 15 mars.
La première émane de la fédération wallonne des coopératives du secteur, Rescoop, qui propose de faire table rase : nouveaux statuts, nouveaux administrateurs... Le nouveau conseil d'administration serait entièrement composé de bénévoles. Mais, par contre, la fédération refuse de recapitaliser Enercoop. Et dans ce scénario, les parts des coopérateurs perdraient aussi 60 % de leur valeur.
La seconde proposition paraît plus alléchante, sur la papier du moins : la Fondation Kids and Wind, active dans l'éducation aux énergies renouvelables, injecterait 150.000 euros pour recapitaliser Enercoop. Le hic, c'est que le responsable de la Fondation n'est autre que Bernard Delville, un des fondateurs d'Enercoop avec Jean-François Mitsch. L'ancienne équipe, en quelque sorte, serait en partie remise en selle.
Pour certains coopérateurs, aucune de ces deux propositions n'est satisfaisante. Ils estiment que les anciens administrateurs d'Enercoop doivent répondre de leur mauvaise gestion devant les tribunaux. Mais c'est une proposition qui ne figure pas dans les options soumises à l'assemblée générale extraordinaire de ce vendredi 15 mars.
https://www.rtbf.be/info/regions/detail_la-federation-des-cooperatives-d-energie-renouvelable-rescoop-tend-la-main-a-enercoop-le-vilain-canard?id=10164146
07/03/19 : Deux nouveaux projets éoliens : à Genappe et à Marche-lez-Ecaussinnes
A Genappe, six mats seraient érigés le long de la N25, à hauteur de Promelles. L'enquête publique va débuter à Genappe, mais aussi dans les communes voisines de Nivelles et Braine-l'Alleud. Elle se tiendra jusqu'au 12 avril.
07/03/19 : Deux nouveaux projets éoliens : à Genappe et à Marche-lez-Ecaussinnes
A Genappe, six mats seraient érigés le long de la N25, à hauteur de Promelles. L'enquête publique va débuter à Genappe, mais aussi dans les communes voisines de Nivelles et Braine-l'Alleud. Elle se tiendra jusqu'au 12 avril.
Le second dossier concerne, lui, le Hainaut puisqu'il s'agirait d'implanter trois éoliennes dans le zoning industriel de Marche-lez-Ecaussinnes, à côté de Nivelles. Les Nivellois peuvent là-aussi donner leur avis jusque mi-avril.
https://www.rtbf.be/info/regions/detail_deux-nouveaux-projets-eoliens-a-genappe-et-a-marche-lez-ecaussinnes?id=10163957
06/03/19 : "Si nous fermons nos centrales nucléaires, nous émettrons beaucoup plus de CO2"
Les activistes du climat et les étudiants dans les rues veulent que nous émettions moins de CO2. Je souscris à cet objectif. Nos émissions de CO2 provoquent le réchauffement climatique, qui peut avoir des conséquences très négatives à long terme.
06/03/19 : "Si nous fermons nos centrales nucléaires, nous émettrons beaucoup plus de CO2"
Les activistes du climat et les étudiants dans les rues veulent que nous émettions moins de CO2. Je souscris à cet objectif. Nos émissions de CO2 provoquent le réchauffement climatique, qui peut avoir des conséquences très négatives à long terme.
Or, le nucléaire est un atout majeur dans cette lutte en faveur du climat. Non seulement une centrale nucléaire produit de grandes quantités d'énergie fiable et sûre, mais elle n'émet pas de CO2 (du CO2 est bien émis lors de l'exploitation et du traitement de l'uranium, mais cela s'applique également aux tonnes d'acier et de béton ainsi qu'aux métaux rares indispensables à la fabrication d'éoliennes et de panneaux solaires).
Avec leur appel à une sortie du nucléaire, les activistes du climat se tirent royalement une balle dans le pied. Le jour où nous fermerons nos centrales nucléaires en Belgique pour les remplacer par des centrales au gaz, nous émettrons des tonnes de CO2 supplémentaires. Et plus longtemps nous les maintiendrons ouvertes, moins il y aura d'émissions de CO2. C'est incontestable.
Pourtant, les activistes, mais aussi certains experts en énergie, nous prétendent que la sortie du nucléaire serait "neutre en CO2". Selon eux, les objectifs climatiques sont réglementés au niveau européen et non au niveau belge. Les émissions des centrales électriques relèvent du système européen d'échange de quotas d'émission (ETS), qui fonctionne avec un plafond : les émissions acceptables pour l'ensemble de l'Europe ont été fixées une fois pour toutes. Si une entreprise veut émettre du CO2, elle doit d'abord acheter des droits d'émission sur le marché européen. Et puisque ces droits d'émission ont été plafonnés, notre sortie du nucléaire n'affectera pas le climat. Nous n'aurions donc pas à nous soucier de ces nouvelles centrales au gaz. Cet argument a été utilisé par les experts d'EnergyVille. Il a été servi par Mathias Bienstman, du Bond Beter Leefmilieu, au Knack, par le journaliste Wim Winckelmans au Standaard et par l'informaticien Dries Couckuyt, de l'Université de Gand, au Knack également.
Avec leur appel à une sortie du nucléaire, les activistes du climat se tirent royalement une balle dans le pied. Le jour où nous fermerons nos centrales nucléaires en Belgique pour les remplacer par des centrales au gaz, nous émettrons des tonnes de CO2 supplémentaires. Et plus longtemps nous les maintiendrons ouvertes, moins il y aura d'émissions de CO2. C'est incontestable.
Pourtant, les activistes, mais aussi certains experts en énergie, nous prétendent que la sortie du nucléaire serait "neutre en CO2". Selon eux, les objectifs climatiques sont réglementés au niveau européen et non au niveau belge. Les émissions des centrales électriques relèvent du système européen d'échange de quotas d'émission (ETS), qui fonctionne avec un plafond : les émissions acceptables pour l'ensemble de l'Europe ont été fixées une fois pour toutes. Si une entreprise veut émettre du CO2, elle doit d'abord acheter des droits d'émission sur le marché européen. Et puisque ces droits d'émission ont été plafonnés, notre sortie du nucléaire n'affectera pas le climat. Nous n'aurions donc pas à nous soucier de ces nouvelles centrales au gaz. Cet argument a été utilisé par les experts d'EnergyVille. Il a été servi par Mathias Bienstman, du Bond Beter Leefmilieu, au Knack, par le journaliste Wim Winckelmans au Standaard et par l'informaticien Dries Couckuyt, de l'Université de Gand, au Knack également.
Personnellement, je ne suis pas un expert en énergie, mais en tant que philosophe, je m'y connais en logique et en raisonnement contrefactuel ("que se passerait-il si ?"). Cet argument fondé sur l'ETS est un leurre. Par un truc de prestidigitateur, on tente de dissimuler le fait que notre sortie du nucléaire va générer de grandes quantités de CO2 supplémentaires.
La base du raisonnement est correcte. L'ETS fixe bien un plafond. Les quotas que nous devons acheter pour nos nouvelles centrales au gaz (après la sortie prévue du nucléaire) sont des droits qui ne peuvent pas être achetés par quelqu'un d'autre. Si nous en achetons, les droits d'émission vont se raréfier et donc coûter plus cher. Qu'est-ce qui arrivera ensuite? Certains grands émetteurs ne pourront plus s'acheter de droits d'émission et seront éjectés du marché européen. Par exemple, une centrale au charbon d'Europe de l'Est devra fermer ses portes pour être remplacée par une centrale au gaz émettant moins de CO2 et nécessitant par conséquent moins de droits d'émission.
C'est là que réside le point crucial. Si nous émettons du CO2 supplémentaire ici en Belgique, quelqu'un d'autre devra en produire moins pour que l'Europe respecte son plafond. En raison de notre sortie du nucléaire, d'autres pays auront donc des difficultés à atteindre leurs objectifs climatiques. Celui qui préconise la construction de nouvelles centrales au gaz et compte sur quelqu'un d'autre pour émettre moins ailleurs défend en fait une logique à court terme et antisociale.
Évidemment, vous pensez penser que le fait que la centrale électrique au charbon d'Europe de l'Est ait été retirée du marché en raison de la rareté des droits d'émission est une bonne chose. Je le pense aussi. Mais pour cela, nous n'avons pas du tout besoin de fermer nos centrales nucléaires. Nous pouvons simplement faire les deux efforts en même temps : nous conservons nos centrales nucléaires (moins de CO2), et ils passent du charbon au gaz (moins de CO2 également). Ce serait un coup double pour le climat. Si les quotas d'émission sont trop bon marché pour défavoriser le charbon, la solution est évidente : le plafond européen doit être abaissé plus rapidement.
Le fait même que les militants puissent plaider sans hésiter en faveur de nouvelles centrales au gaz en sachant que nous avons quand même assez d'argent pour acheter de nouvelles émissions de CO2 montre que les quotas d'émission sont vraiment trop bon marché. Et que, quoi qu'il en soit, nos objectifs climatiques européens sont encore bien trop modestes. Si nous voulons vraiment avoir un impact sur le climat, nous devons être beaucoup plus ambitieux. La chose est possible en nous appuyant sur l'énergie nucléaire.
De toute façon, on peut retourner le problème dans tous les sens, mais si nous fermons nos centrales nucléaires, nous enlevons une grande partie d'énergie à bas carbone de notre approvisionnement énergétique. Ce qui signifie que nous émettrons beaucoup plus de CO2.
Cela se produira indépendamment de ce que feront les autres pays d'Europe orientale avec leurs centrales au charbon. Ceux qui se réfèrent au système ETS pour donner l'impression qu'une sortie du nucléaire est neutre pour le climat nous mènent en bateau.
En continuant à utiliser cette logique fallacieuse, les activistes du climat, et même les universitaires d'EnergyVille, montrent à quel point leur opposition à l'énergie nucléaire est viscérale. Si EnergyVille veut conserver sa crédibilité scientifique, il doit retirer cet argument.
Notre climat n'a que faire de notre comptabilité de droits d'émission. Si nous émettons plus de CO2, il continuera à se réchauffer.
Maarten Boudry, philosophe à l'Université de Gand.
Son nouveau livre au sujet du pessimisme, Waarom de wereld niet naar de knoppen gaat, paraît le mois prochain (Polis).
La base du raisonnement est correcte. L'ETS fixe bien un plafond. Les quotas que nous devons acheter pour nos nouvelles centrales au gaz (après la sortie prévue du nucléaire) sont des droits qui ne peuvent pas être achetés par quelqu'un d'autre. Si nous en achetons, les droits d'émission vont se raréfier et donc coûter plus cher. Qu'est-ce qui arrivera ensuite? Certains grands émetteurs ne pourront plus s'acheter de droits d'émission et seront éjectés du marché européen. Par exemple, une centrale au charbon d'Europe de l'Est devra fermer ses portes pour être remplacée par une centrale au gaz émettant moins de CO2 et nécessitant par conséquent moins de droits d'émission.
C'est là que réside le point crucial. Si nous émettons du CO2 supplémentaire ici en Belgique, quelqu'un d'autre devra en produire moins pour que l'Europe respecte son plafond. En raison de notre sortie du nucléaire, d'autres pays auront donc des difficultés à atteindre leurs objectifs climatiques. Celui qui préconise la construction de nouvelles centrales au gaz et compte sur quelqu'un d'autre pour émettre moins ailleurs défend en fait une logique à court terme et antisociale.
Évidemment, vous pensez penser que le fait que la centrale électrique au charbon d'Europe de l'Est ait été retirée du marché en raison de la rareté des droits d'émission est une bonne chose. Je le pense aussi. Mais pour cela, nous n'avons pas du tout besoin de fermer nos centrales nucléaires. Nous pouvons simplement faire les deux efforts en même temps : nous conservons nos centrales nucléaires (moins de CO2), et ils passent du charbon au gaz (moins de CO2 également). Ce serait un coup double pour le climat. Si les quotas d'émission sont trop bon marché pour défavoriser le charbon, la solution est évidente : le plafond européen doit être abaissé plus rapidement.
Le fait même que les militants puissent plaider sans hésiter en faveur de nouvelles centrales au gaz en sachant que nous avons quand même assez d'argent pour acheter de nouvelles émissions de CO2 montre que les quotas d'émission sont vraiment trop bon marché. Et que, quoi qu'il en soit, nos objectifs climatiques européens sont encore bien trop modestes. Si nous voulons vraiment avoir un impact sur le climat, nous devons être beaucoup plus ambitieux. La chose est possible en nous appuyant sur l'énergie nucléaire.
De toute façon, on peut retourner le problème dans tous les sens, mais si nous fermons nos centrales nucléaires, nous enlevons une grande partie d'énergie à bas carbone de notre approvisionnement énergétique. Ce qui signifie que nous émettrons beaucoup plus de CO2.
Cela se produira indépendamment de ce que feront les autres pays d'Europe orientale avec leurs centrales au charbon. Ceux qui se réfèrent au système ETS pour donner l'impression qu'une sortie du nucléaire est neutre pour le climat nous mènent en bateau.
En continuant à utiliser cette logique fallacieuse, les activistes du climat, et même les universitaires d'EnergyVille, montrent à quel point leur opposition à l'énergie nucléaire est viscérale. Si EnergyVille veut conserver sa crédibilité scientifique, il doit retirer cet argument.
Notre climat n'a que faire de notre comptabilité de droits d'émission. Si nous émettons plus de CO2, il continuera à se réchauffer.
Maarten Boudry, philosophe à l'Université de Gand.
Son nouveau livre au sujet du pessimisme, Waarom de wereld niet naar de knoppen gaat, paraît le mois prochain (Polis).
https://m.levif.be/actualite/belgique/si-nous-fermons-nos-centrales-nucleaires-nous-emettrons-beaucoup-plus-de-co2/article-opinion-1101957.html
06/03/19 : 50 éoliennes en projet sur les Plaines de l’Escaut
Trois extensions et sept nouveaux parcs éoliens pourraient fleurir dans le Parc naturel des Plaines de l’Escaut… ce qui porterait à 78 le nombre de mâts répartis sur les sept communes du parc. Trop, c’est trop? Les riverains sont nombreux à le penser. Toutefois, pour les responsables du parc et des villes concernées, la situation est bien plus subtile et compliquée. État des lieux des projets en cours.
https://www.nordeclair.be/356125/article/2019-03-06/50-eoliennes-en-projet-sur-les-plaines-de-lescaut
05/03/19 : Le projet d’implantation de 6 éoliennes à Mons et Frameries ne fait pas que des heureux : une pétition a été lancée contre leur installation
Début février, une réunion citoyenne a eu lieu en l’auditoire de la maison des pharmaciens à Frameries. Le projet d’implantation de six nouvelles éoliennes le long du R5 sur les communes de Mons et Frameries y a été présenté aux citoyens qui avaient fait le déplacement.
Les deux premières éoliennes devraient être situées sur le territoire de Mons et les quatre suivantes sur Frameries, dont une sur le zoning. Leur but est de couvrir la consommation électrique de 10.500 ménages, soit la production de 42 millions de kwh d’énergie renouvelable.
►► Mais ce projet ne fait pas que des heureux
►► Les nuisances sont nombreuses selon ce riverain
06/03/19 : 50 éoliennes en projet sur les Plaines de l’Escaut
Trois extensions et sept nouveaux parcs éoliens pourraient fleurir dans le Parc naturel des Plaines de l’Escaut… ce qui porterait à 78 le nombre de mâts répartis sur les sept communes du parc. Trop, c’est trop? Les riverains sont nombreux à le penser. Toutefois, pour les responsables du parc et des villes concernées, la situation est bien plus subtile et compliquée. État des lieux des projets en cours.
https://www.nordeclair.be/356125/article/2019-03-06/50-eoliennes-en-projet-sur-les-plaines-de-lescaut
05/03/19 : Le projet d’implantation de 6 éoliennes à Mons et Frameries ne fait pas que des heureux : une pétition a été lancée contre leur installation
Début février, une réunion citoyenne a eu lieu en l’auditoire de la maison des pharmaciens à Frameries. Le projet d’implantation de six nouvelles éoliennes le long du R5 sur les communes de Mons et Frameries y a été présenté aux citoyens qui avaient fait le déplacement.
Les deux premières éoliennes devraient être situées sur le territoire de Mons et les quatre suivantes sur Frameries, dont une sur le zoning. Leur but est de couvrir la consommation électrique de 10.500 ménages, soit la production de 42 millions de kwh d’énergie renouvelable.
►► Mais ce projet ne fait pas que des heureux
►► Les nuisances sont nombreuses selon ce riverain
https://www.sudinfo.be/id105637/article/2019-03-05/le-projet-dimplantation-de-6-eoliennes-mons-et-frameries-ne-fait-pas-que-des
05/03/19 : Frameries/Mons : pétition lancée contre le projet des 6 éoliennes
Début février, une réunion citoyenne a eu lieu en l’auditoire de la maison des pharmaciens à Frameries. Le projet d’implantation de six nouvelles éoliennes le long du R5 sur les communes de Mons et Frameries y a été présenté aux citoyens qui avaient fait le déplacement. Mais ce projet ne fait pas que des heureux.
Les deux premières éoliennes devraient être situées sur le territoire de Mons et les quatre suivantes sur Frameries, dont une sur le zoning. Leur but est de couvrir la consommation électrique de 10.500 ménages, soit la production de 42 millions de kwh d’énergie renouvelable....
05/03/19 : Frameries/Mons : pétition lancée contre le projet des 6 éoliennes
Début février, une réunion citoyenne a eu lieu en l’auditoire de la maison des pharmaciens à Frameries. Le projet d’implantation de six nouvelles éoliennes le long du R5 sur les communes de Mons et Frameries y a été présenté aux citoyens qui avaient fait le déplacement. Mais ce projet ne fait pas que des heureux.
Les deux premières éoliennes devraient être situées sur le territoire de Mons et les quatre suivantes sur Frameries, dont une sur le zoning. Leur but est de couvrir la consommation électrique de 10.500 ménages, soit la production de 42 millions de kwh d’énergie renouvelable....
https://www.laprovince.be/355656/article/2019-03-05/frameriesmons-petition-lancee-contre-le-projet-des-6-eoliennes
04/03/19 : Le permis des éoliennes de Pessoux annulé
Namur - Elles fonctionnent donc illégalement et pourraient être arrêtées.
Les six éoliennes du parc Eneco de Pessoux fonctionnent sans permis depuis quelques semaines, rapportait La Meuse dans son édition de ce lundi. Le Conseil d’État a en effet annulé le permis en janvier.
La situation peut paraître ubuesque : alors qu’il avait été délivré en 2015, le permis des six éoliennes de Pessoux, placées en bordure de la N4, a été annulé en janvier dernier par le Conseil d’État. En cause ? Les normes de bruit sont dépassées. Si 43 décibels sont autorisés, des mesures récentes font état de 43,3 décibels.
Les éoliennes continuent pour le moment de tourner. Mais jusqu’à quand ? Me Brusselmans, avocat d’Eneco, explique à La Meuse que le dossier va revenir entre les mains du ministre de tutelle qui a délivré le permis. Par contre, le fait que les éoliennes fonctionnent pour le moment sans permis pourrait donner des idées aux proches riverains, qui ont toujours été farouchement opposés au projet. Ceux-ci pourraient par exemple introduire une action devant un tribunal pénal ou civil afin de demander l’arrêt ou le démantèlement du parc éolien. Ce qui ne serait pas totalement improbable, quand on sait que de tous proches riverains ont déjà introduit en 2017 une action en justice devant le tribunal de première instance de Namur…. action qui était suspendue car liée à la décision qu’a prise le Conseil d’État en janvier.
Si le bruit des éoliennes pourrait être évoqué comme dommage subi par les riverains, cette situation est corrigible techniquement.
Contactée par nos soins, Cécile Cornet d’Elzius, qui a introduit une action en 2017, précise qu’elle " ne souhaite pas commenter la décision avant au moins plusieurs semaines ".
04/03/19 : Le permis des éoliennes de Pessoux annulé
Namur - Elles fonctionnent donc illégalement et pourraient être arrêtées.
Les six éoliennes du parc Eneco de Pessoux fonctionnent sans permis depuis quelques semaines, rapportait La Meuse dans son édition de ce lundi. Le Conseil d’État a en effet annulé le permis en janvier.
La situation peut paraître ubuesque : alors qu’il avait été délivré en 2015, le permis des six éoliennes de Pessoux, placées en bordure de la N4, a été annulé en janvier dernier par le Conseil d’État. En cause ? Les normes de bruit sont dépassées. Si 43 décibels sont autorisés, des mesures récentes font état de 43,3 décibels.
Les éoliennes continuent pour le moment de tourner. Mais jusqu’à quand ? Me Brusselmans, avocat d’Eneco, explique à La Meuse que le dossier va revenir entre les mains du ministre de tutelle qui a délivré le permis. Par contre, le fait que les éoliennes fonctionnent pour le moment sans permis pourrait donner des idées aux proches riverains, qui ont toujours été farouchement opposés au projet. Ceux-ci pourraient par exemple introduire une action devant un tribunal pénal ou civil afin de demander l’arrêt ou le démantèlement du parc éolien. Ce qui ne serait pas totalement improbable, quand on sait que de tous proches riverains ont déjà introduit en 2017 une action en justice devant le tribunal de première instance de Namur…. action qui était suspendue car liée à la décision qu’a prise le Conseil d’État en janvier.
Si le bruit des éoliennes pourrait être évoqué comme dommage subi par les riverains, cette situation est corrigible techniquement.
Contactée par nos soins, Cécile Cornet d’Elzius, qui a introduit une action en 2017, précise qu’elle " ne souhaite pas commenter la décision avant au moins plusieurs semaines ".
https://www.dhnet.be/regions/namur/le-permis-des-eoliennes-de-pessoux-annule-5c7d70b19978e2710e910484
04/03/19 : Sans permis, six éoliennes tournent toujours à Pessoux
04/03/19 : Sans permis, six éoliennes tournent toujours à Pessoux
Le permis du parc éolien géré par la société Eneco est annulé depuis le 24 janvier. Pourtant les 6 éoliennes continuent de produire de l’électricité. Selon la société, les problèmes de nuisances sont d'ores et déjà corrigés et rien n'impose l'arrêt de la production.
Les normes de bruits fixées à 43 décibels en Wallonie sont atteintes voire dépassées par ce parc de 15 mégawatts, une situation qui justifie la décision du Conseil d'état. Un récepteur a mesuré des émissions de bruit montant jusqu'à... 43,3 décibels. Pourtant les pales des hélices continuent de tourner près de Ciney: "Le Conseil d'état a remis en cause la forme et pas le fond. Il faut réécrire le permis, l'adapter pour le rendre conforme et c'est désormais entre les mains de l'administration wallonne et du ministre de tutelle (le cdH Carlo Di Antonio) d'émettre un nouveau permis", explique Arnaud Janvier, responsable du développement éolien pour la Wallonie chez Eneco. L'Administration wallonne dispose de 100 à 130 jours pour délivrer un nouveau permis.
Déjà plus un problème
Pour justifier la poursuite de la production électrique, Eneco explique notamment que la situation de nuisance envers les riverains est d'ores et déjà corrigée: "La moitié des éoliennes du parc peuvent être bridées pour émettre moins de bruit en fonction de la force et direction du vent et donc diminuer l'impact dans toutes les directions de la rose des vents".
A ce stade, la société affirme ne pas trop craindre un démantèlement de l'installation malgré une action en ce sens déposée au au tribunal de première instance de Namur en 2017 par une des plus ferventes opposante au projet. Une action qui était d'ailleurs suspendue à la décision du Conseil d'état.
La jeune histoire du parc de Pessoux ressemble de plus en plus à une saga, sa première version ayant déjà été retravaillée en 2009. L'inauguration en 2015 a de son côté été perturbée par des riverains. L'affaire devrait passer au tribunal en avril. Les avocats d'Eneco demanderont un report... afin d'attendre la nouvelle version du permis unique visant la construction et l'exploitation du parc.
Déjà plus un problème
Pour justifier la poursuite de la production électrique, Eneco explique notamment que la situation de nuisance envers les riverains est d'ores et déjà corrigée: "La moitié des éoliennes du parc peuvent être bridées pour émettre moins de bruit en fonction de la force et direction du vent et donc diminuer l'impact dans toutes les directions de la rose des vents".
A ce stade, la société affirme ne pas trop craindre un démantèlement de l'installation malgré une action en ce sens déposée au au tribunal de première instance de Namur en 2017 par une des plus ferventes opposante au projet. Une action qui était d'ailleurs suspendue à la décision du Conseil d'état.
La jeune histoire du parc de Pessoux ressemble de plus en plus à une saga, sa première version ayant déjà été retravaillée en 2009. L'inauguration en 2015 a de son côté été perturbée par des riverains. L'affaire devrait passer au tribunal en avril. Les avocats d'Eneco demanderont un report... afin d'attendre la nouvelle version du permis unique visant la construction et l'exploitation du parc.
https://www.rtbf.be/info/regions/detail_sans-permis-six-eoliennes-tournent-toujours-a-pessoux?id=10161579
04/03/19 : Une motion contre une éolienne géante
Haute de 230 mètres, celle-ci pourrait sortir de terre à Renaix et impacter visuellement le Pays des Collines.
Le groupe EDF Luminus a introduit une demande de permis en vue de construire et d’exploiter dans le zoning industriel de la ville flamande de Renaix (Petite France) une éolienne culminant à 230m d’altitude ! Si celle-ci devait sortir de terre, elle n’aurait aucune concurrente en Belgique.
Rien que dans la cité des Bommels, l’enquête publique a donné lieu à plus d’un millier de réclamations. De par son gigantisme, ce projet éolien suscite également une forte opposition de l’autre côté de la frontière linguistique, notamment dans les communes francophones d’Ellezelles et Flobecq situées au cœur du parc naturel du Pays des Collines.
Le conseil communal de Flobecq vient d’ailleurs d’adopter à l’unanimité une motion contre l’implantation d’une éolienne de cette ampleur susceptible de défigurer les paysages de cette magnifique région et d’impacter le cadre de vie de ses habitants.
"Avec son parc photovoltaïque notamment, Flobecq est une commune pilote dans le domaine des énergies durables et renouvelables auxquelles contribuent les éoliennes. Le souci, ici, concerne le caractère disproportionné du projet qui a pour seule ambition le profit économique", commente le bourgmestre Philippe Mettens.
Déplorant que sa commune et celle d’Ellezelles toute proche n’aient pas été consultées dans le cadre d’un tel dossier, le maïeur s’est livré à un exercice comparatif en faisant le parallèle avec la Tour Eiffel (300m) ainsi qu’avec l’antenne se dressant sur le site de La Houppe (Radar). Haute de seulement 80m, celle-ci est déjà visible d’un peu partout.
Via cette motion, les mandataires flobecquois rappellent que ce projet éolien ne tient pas compte des prescriptions de la Région Wallonne tout en soulignant qu’il ne s’intègre pas à l’échelle et à la structure du parc naturel du Pays des Collines qui possède une forte valeur paysagère.
Pour eux, celui-ci engendrera une pollution visuelle inacceptable depuis les environs immédiats et plus lointains. Et ce au détriment du patrimoine culturel et architectural ainsi que des paysages protégés sur le territoire flobecquois.
Les autorités ellezelloises regrettent elles aussi d’avoir été mises devant le fait accompli. Dans la cité des sorcières, il faut savoir que l’habitation la plus proche se situe à 700m de l’emplacement où l’éolienne de Luminus pourrait s’ériger. Cette dernière engendrerait, en outre, un ombrage quotidien de 33 minutes dans la zone impactée.
04/03/19 : Une motion contre une éolienne géante
Haute de 230 mètres, celle-ci pourrait sortir de terre à Renaix et impacter visuellement le Pays des Collines.
Le groupe EDF Luminus a introduit une demande de permis en vue de construire et d’exploiter dans le zoning industriel de la ville flamande de Renaix (Petite France) une éolienne culminant à 230m d’altitude ! Si celle-ci devait sortir de terre, elle n’aurait aucune concurrente en Belgique.
Rien que dans la cité des Bommels, l’enquête publique a donné lieu à plus d’un millier de réclamations. De par son gigantisme, ce projet éolien suscite également une forte opposition de l’autre côté de la frontière linguistique, notamment dans les communes francophones d’Ellezelles et Flobecq situées au cœur du parc naturel du Pays des Collines.
Le conseil communal de Flobecq vient d’ailleurs d’adopter à l’unanimité une motion contre l’implantation d’une éolienne de cette ampleur susceptible de défigurer les paysages de cette magnifique région et d’impacter le cadre de vie de ses habitants.
"Avec son parc photovoltaïque notamment, Flobecq est une commune pilote dans le domaine des énergies durables et renouvelables auxquelles contribuent les éoliennes. Le souci, ici, concerne le caractère disproportionné du projet qui a pour seule ambition le profit économique", commente le bourgmestre Philippe Mettens.
Déplorant que sa commune et celle d’Ellezelles toute proche n’aient pas été consultées dans le cadre d’un tel dossier, le maïeur s’est livré à un exercice comparatif en faisant le parallèle avec la Tour Eiffel (300m) ainsi qu’avec l’antenne se dressant sur le site de La Houppe (Radar). Haute de seulement 80m, celle-ci est déjà visible d’un peu partout.
Via cette motion, les mandataires flobecquois rappellent que ce projet éolien ne tient pas compte des prescriptions de la Région Wallonne tout en soulignant qu’il ne s’intègre pas à l’échelle et à la structure du parc naturel du Pays des Collines qui possède une forte valeur paysagère.
Pour eux, celui-ci engendrera une pollution visuelle inacceptable depuis les environs immédiats et plus lointains. Et ce au détriment du patrimoine culturel et architectural ainsi que des paysages protégés sur le territoire flobecquois.
Les autorités ellezelloises regrettent elles aussi d’avoir été mises devant le fait accompli. Dans la cité des sorcières, il faut savoir que l’habitation la plus proche se situe à 700m de l’emplacement où l’éolienne de Luminus pourrait s’ériger. Cette dernière engendrerait, en outre, un ombrage quotidien de 33 minutes dans la zone impactée.
https://www.dhnet.be/regions/tournai-ath-mouscron/une-motion-contre-une-eolienne-geante-5c7cc7669978e2710e8d64f8
02/03/19 : Les habitants de Tourpes inquiets de l'extension du parc éolien
Evoqué récemment au conseil communal de Leuze, l'extension du parc éolien proche de Tourpes inquiète les habitants du village. 9 éoliennes ont été érigées en 2013 mais il est question de venir y ajouter 3 éoliennes. Après moultes péripéties, le Mininstre Carlo di Antonio a finalement donné son feu vert au projet des promoteurs d'E-Nos vents.
02/03/19 : Les habitants de Tourpes inquiets de l'extension du parc éolien
Evoqué récemment au conseil communal de Leuze, l'extension du parc éolien proche de Tourpes inquiète les habitants du village. 9 éoliennes ont été érigées en 2013 mais il est question de venir y ajouter 3 éoliennes. Après moultes péripéties, le Mininstre Carlo di Antonio a finalement donné son feu vert au projet des promoteurs d'E-Nos vents.
https://www.notele.be/it9-media63592-les-habitants-de-tourpes-inquiets-de-l-extension-du-parc-eolien.html
02/03/19 : LIERNEUX - Encore des éoliennes : on s’interroge
02/03/19 : LIERNEUX - Encore des éoliennes : on s’interroge
Un mois après l'inauguration d'un parc éolien, un avant-projet pour un second vient d'être présenté lors d'une réunion.
02/03/19 : Dix éoliennes en plus pour 2030 en Wallonie picarde
Le parc naturel des plaines de l’Escaut vient de sortir un outil pour éviter les abus.
Le parc naturel des plaines de l’Escaut (PNPE) a conçu un document qui doit fixer un cadre en matière de développement des parcs éoliens sur son territoire. Cet outil a été présenté et validé par le conseil communal de Péruwelz, qui était le premier au sein des 7 communes du parc (Antoing, Beloeil, Bernissart, Brunehaut, Péruwelz, Rumes et Tournai) à se positionner. Le but est double : fixer une ligne de conduite aux développeurs et aider les communes à décider.
"Nous sommes pour l’éolien, mais pas à n’importe quel prix. Maintenant, la commune reste une instance d’avis, tout comme cet outil, non contraignant", a fait remarquer le bourgmestre, Vincent Palermo.
Le directeur du PNPE, Reinold Leplat, a confirmé que la Wallonie picarde était "une région venteuse propice à l’éolien. Pour l’instant, 28 sont installées sur le territoire du parc, 13 sont en recours et 37 en projet."
Il s’agit ici de répondre à trois enjeux. Où implanter les éoliennes ? Comment ? Et enfin combien ? Le tout en suivant les objectifs wallons et en sachant, comme le martèle le directeur du PNPE, que "la ruralité a une valeur."
Ce cadre wallon doit être adapté localement, en tenant compte de la biodiversité, du paysage, si on se trouve sur un site Natura 2000, une zone d’attractivité des oiseaux migratoires, un périmètre d’intérêt paysager, dans des cônes de vue de points de vue remarquables.
Reinold Leplat prend comme exemple les pépinières de Lesdain. "Une zone de 300 hectares tout à fait originale. Ce type de paysage doit être préservé."
Par rapport aux objectifs fixés par la Wallonie, à savoir 105 GWh en 2020, ils sont déjà atteints par le PNPE. "Et même dépassés, précise Reinold Leplat. Par contre, par rapport à ceux fixés à l’horizon 2030 et pour autant que ceux-ci ne changent pas, à savoir 177 GWh, il faudrait encore une dizaine d’éoliennes sur le territoire."
Le directeur a aussi rappelé l’importance d’impliquer le citoyen, toujours crispé quand une éolienne est implantée près de son quartier. "La distance autour de la zone d’habitat doit être de minimum 600 mètres et de minimum 400 mètres autour des habitations isolées."
Le citoyen perçoit toujours le projet comme un business favorable aux promoteurs uniquement. Ouvrir une participation citoyenne, notamment financière, est donc un enjeu. "Idéalement, la formule la plus adéquate est celle d’un projet porté par les pouvoirs publics avec une participation citoyenne."
https://www.dhnet.be/regions/tournai-ath-mouscron/dix-eoliennes-en-plus-pour-2030-en-wallonie-picarde-5c7993c57b50a6072424acc2
02/03/19 : Le projet de parc éolien au bois de Groûmont contesté
Le parc naturel des plaines de l’Escaut vient de sortir un outil pour éviter les abus.
Le parc naturel des plaines de l’Escaut (PNPE) a conçu un document qui doit fixer un cadre en matière de développement des parcs éoliens sur son territoire. Cet outil a été présenté et validé par le conseil communal de Péruwelz, qui était le premier au sein des 7 communes du parc (Antoing, Beloeil, Bernissart, Brunehaut, Péruwelz, Rumes et Tournai) à se positionner. Le but est double : fixer une ligne de conduite aux développeurs et aider les communes à décider.
"Nous sommes pour l’éolien, mais pas à n’importe quel prix. Maintenant, la commune reste une instance d’avis, tout comme cet outil, non contraignant", a fait remarquer le bourgmestre, Vincent Palermo.
Le directeur du PNPE, Reinold Leplat, a confirmé que la Wallonie picarde était "une région venteuse propice à l’éolien. Pour l’instant, 28 sont installées sur le territoire du parc, 13 sont en recours et 37 en projet."
Il s’agit ici de répondre à trois enjeux. Où implanter les éoliennes ? Comment ? Et enfin combien ? Le tout en suivant les objectifs wallons et en sachant, comme le martèle le directeur du PNPE, que "la ruralité a une valeur."
Ce cadre wallon doit être adapté localement, en tenant compte de la biodiversité, du paysage, si on se trouve sur un site Natura 2000, une zone d’attractivité des oiseaux migratoires, un périmètre d’intérêt paysager, dans des cônes de vue de points de vue remarquables.
Reinold Leplat prend comme exemple les pépinières de Lesdain. "Une zone de 300 hectares tout à fait originale. Ce type de paysage doit être préservé."
Par rapport aux objectifs fixés par la Wallonie, à savoir 105 GWh en 2020, ils sont déjà atteints par le PNPE. "Et même dépassés, précise Reinold Leplat. Par contre, par rapport à ceux fixés à l’horizon 2030 et pour autant que ceux-ci ne changent pas, à savoir 177 GWh, il faudrait encore une dizaine d’éoliennes sur le territoire."
Le directeur a aussi rappelé l’importance d’impliquer le citoyen, toujours crispé quand une éolienne est implantée près de son quartier. "La distance autour de la zone d’habitat doit être de minimum 600 mètres et de minimum 400 mètres autour des habitations isolées."
Le citoyen perçoit toujours le projet comme un business favorable aux promoteurs uniquement. Ouvrir une participation citoyenne, notamment financière, est donc un enjeu. "Idéalement, la formule la plus adéquate est celle d’un projet porté par les pouvoirs publics avec une participation citoyenne."
https://www.dhnet.be/regions/tournai-ath-mouscron/dix-eoliennes-en-plus-pour-2030-en-wallonie-picarde-5c7993c57b50a6072424acc2
02/03/19 : Le projet de parc éolien au bois de Groûmont contesté
LUXEMBOURG - Les habitants de Regné et de Fraiture n’en veulent pas. Un comité de défense se met en place.
Le projet de parc éolien, à implanter au lieu-dit bois de Groûmont, à l’est de l’autoroute E25 entre Baneux (Lierneux) et Fraiture (Vielsalm) suscite une levée de boucliers.
Lors de la première réunion d’information, organisée par la société EDF Luminus, ils étaient nombreux à manifester leur opposition à l’implantation de cinq éoliennes sur ce site. Les habitants de Regné et de Fraiture, deux villages de la commune de Vielsalm, sont particulièrement remontés.
"Des éoliennes de 200 mètres de haut, soit 20 mètres de plus que celles du Lambiester, vont détruire le patrimoine paysager", tonne un habitant de Fraiture. " Ce projet, qui équivaut à construire cinq immeubles de 45 étages, en zone rurale, est tout à fait inacceptable. L’impact environnemental sera désastreux, tant sur les paysages que sur les oiseaux migrateurs, comme le milan royal ou la grue cendrée. "
Les nuisances sonores et visuelles, liées aux effets stroboscopiques, de même que la dévaluation immobilière et l’impact négatif sur le tourisme, ont également été évoqués. "Ce projet entraînera un manque à gagner pour les propriétaires de gîtes mais aussi pour les gestionnaires des pistes de ski de La Baraque de Fraiture", déplore-t-on. "Les activités de tous les acteurs touristiques de la région seront impactés négativement."
Les riverains sont d’autant plus en colère qu’un deuxième projet de parc éolien, à cheval sur les communes de Lierneux et de Manhay, porté par la société Storm, est à l’étude. S’il est mené à son terme, il se réalisera en deux phases avec, au total, neuf éoliennes supplémentaires.
Dans la commune de Vielsalm, un comité de défense se met en place. Le bourgmestre de Lierneux, André Samray, souligne, pour sa part, qu’il attend d’avoir pris connaissance des réclamations écrites avant de prendre position sur le projet à développer au bois de Groûmont. Les courriers sont à adresser à l’administration communale de Lierneux avant le 15 mars.
Le projet de parc éolien, à implanter au lieu-dit bois de Groûmont, à l’est de l’autoroute E25 entre Baneux (Lierneux) et Fraiture (Vielsalm) suscite une levée de boucliers.
Lors de la première réunion d’information, organisée par la société EDF Luminus, ils étaient nombreux à manifester leur opposition à l’implantation de cinq éoliennes sur ce site. Les habitants de Regné et de Fraiture, deux villages de la commune de Vielsalm, sont particulièrement remontés.
"Des éoliennes de 200 mètres de haut, soit 20 mètres de plus que celles du Lambiester, vont détruire le patrimoine paysager", tonne un habitant de Fraiture. " Ce projet, qui équivaut à construire cinq immeubles de 45 étages, en zone rurale, est tout à fait inacceptable. L’impact environnemental sera désastreux, tant sur les paysages que sur les oiseaux migrateurs, comme le milan royal ou la grue cendrée. "
Les nuisances sonores et visuelles, liées aux effets stroboscopiques, de même que la dévaluation immobilière et l’impact négatif sur le tourisme, ont également été évoqués. "Ce projet entraînera un manque à gagner pour les propriétaires de gîtes mais aussi pour les gestionnaires des pistes de ski de La Baraque de Fraiture", déplore-t-on. "Les activités de tous les acteurs touristiques de la région seront impactés négativement."
Les riverains sont d’autant plus en colère qu’un deuxième projet de parc éolien, à cheval sur les communes de Lierneux et de Manhay, porté par la société Storm, est à l’étude. S’il est mené à son terme, il se réalisera en deux phases avec, au total, neuf éoliennes supplémentaires.
Dans la commune de Vielsalm, un comité de défense se met en place. Le bourgmestre de Lierneux, André Samray, souligne, pour sa part, qu’il attend d’avoir pris connaissance des réclamations écrites avant de prendre position sur le projet à développer au bois de Groûmont. Les courriers sont à adresser à l’administration communale de Lierneux avant le 15 mars.
https://www.dhnet.be/regions/luxembourg/le-projet-de-parc-eolien-au-bois-de-groumont-conteste-5c7974747b50a60724238d16
01/03/19 : Un projet de 4 nouvelles éoliennes à Silly et Enghien
Quatre nouvelles éoliennes devraient voir le jour à l'horizon 2020 dans les communes de Silly et d'Enghien. C'est en tout cas le projet du groupe Eoly, filiale énergétique du groupe Colruyt et producteur d'énergie verte. Ce mercredi soir, une réunion d'information, préalable à une étude d'incidence sur l'environnement était organisée dans la salle Herman Moreau à Silly.
01/03/19 : Un projet de 4 nouvelles éoliennes à Silly et Enghien
Quatre nouvelles éoliennes devraient voir le jour à l'horizon 2020 dans les communes de Silly et d'Enghien. C'est en tout cas le projet du groupe Eoly, filiale énergétique du groupe Colruyt et producteur d'énergie verte. Ce mercredi soir, une réunion d'information, préalable à une étude d'incidence sur l'environnement était organisée dans la salle Herman Moreau à Silly.
https://www.notele.be/it9-media63571-un-projet-de-4-nouvelles-eoliennes-a-silly-et-enghien.html01/03/19 : Éoliennes dans le Tournaisis : un guide pour mieux décider
La commune de Péruwelz a décidé, à son tour, d’adhérer à cet outil et de le suivre. En effet, il ne se passe pas un mois sans qu’une demande d’installation de nouvelles éoliennes soit introduite. «Nous sommes prêts à soutenir une politique d’énergie renouvelable… mais pas à n’importe quel prix», clame le bourgmestre, Vincent Palermo.
La commune de Péruwelz a décidé, à son tour, d’adhérer à cet outil et de le suivre. En effet, il ne se passe pas un mois sans qu’une demande d’installation de nouvelles éoliennes soit introduite. «Nous sommes prêts à soutenir une politique d’énergie renouvelable… mais pas à n’importe quel prix», clame le bourgmestre, Vincent Palermo.
https://www.nordeclair.be/354213/article/2019-03-01/eoliennes-dans-le-tournaisis-un-guide-pour-mieux-decider
01/03/19 : Ouffet/Clavier : voici le quatrième projet éolien
Lors du conseil à huis clos, la bourgmestre a informé d'un 4ème projet éolien sur Ouffet : 4 mâts sur la N66 et 1 mât sur Clavier.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190228_01303485/voici-le-quatrieme-projet-eolien
01/03/19 : Léglise - Schéma éolien: unanimité
Comme annoncé, la décision de principe d’élaborer un schéma d’orientation locale (SOL) est passée mercredi soir, au conseil communal de Léglise, avec adoption à l’unanimité.
01/03/19 : Ouffet/Clavier : voici le quatrième projet éolien
Lors du conseil à huis clos, la bourgmestre a informé d'un 4ème projet éolien sur Ouffet : 4 mâts sur la N66 et 1 mât sur Clavier.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190228_01303485/voici-le-quatrieme-projet-eolien
01/03/19 : Léglise - Schéma éolien: unanimité
Comme annoncé, la décision de principe d’élaborer un schéma d’orientation locale (SOL) est passée mercredi soir, au conseil communal de Léglise, avec adoption à l’unanimité.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190228_01303339/schema-eolien-unanimite
28/02/19 : Un nouveau parc éolien offshore alimente désormais le réseau belge
Norther sera d’ici la fin de l’été le sixième et le plus grand parc éolien offshore en mer du Nord.
27/02/19 : FLOBECQ : Les Collines contre une éolienne géante
28/02/19 : Un nouveau parc éolien offshore alimente désormais le réseau belge
Norther sera d’ici la fin de l’été le sixième et le plus grand parc éolien offshore en mer du Nord.
Le parc éolien en mer Norther fournit de l’électricité à notre pays depuis mardi. Quatre des 44 éoliennes ont été connectées au réseau énergétique belge.
Norther sera d’ici la fin de l’été le sixième et le plus grand parc éolien offshore en mer du Nord. Il comptera en effet 44 éoliennes pour une capacité de production de 8,4 MW. Ce sera également le parc le plus lointain de la côte, à 23 kilomètres au large de Zeebrugge. Pour le moment, 12 éoliennes sont opérationnelles. Les quatre premières ont été raccordées au réseau mardi via la nouvelle liaison à haute-tension d’Elia, Stevin.
L’ensemble du parc devrait fournir de l’électricité à près de 400.000 familles. L’ensemble des parcs éoliens en mer du Nord fourniront alors 1,4 million de ménages.
► Elia branchera sa prise électrique marine en septembre prochain
L’ensemble du parc devrait fournir de l’électricité à près de 400.000 familles. L’ensemble des parcs éoliens en mer du Nord fourniront alors 1,4 million de ménages.
► Elia branchera sa prise électrique marine en septembre prochain
https://www.lesoir.be/209406/article/2019-02-28/un-nouveau-parc-eolien-offshore-alimente-desormais-le-reseau-belge
28/02/19 : Flobecq ne veut pas d'une éolienne géante dans son paysage
28/02/19 : Flobecq ne veut pas d'une éolienne géante dans son paysage
La commune vient de voter une motion contre l'implantation d'une éolienne de 230 mètres de haut sur le territoire flamand, à Renaix.
Un vote négatif, écrit le Courrier de l'Escaut, pour faire comprendre aussi à la commune voisine de Renaix qu'il serait utile de consulter les communes toutes proches dans ce type de projet qui dénature le paysage, avec "pour seule ambition, le profit économique".
https://www.rtbf.be/info/regions/detail_flobecq-ne-veut-pas-d-une-eolienne-geante-dans-son-paysage?id=1015788327/02/19 : FLOBECQ : Les Collines contre une éolienne géante
Le conseil communal de Flobecq a voté à l'unanimité une motion contre l'implantation d'une éolienne gigantesque...
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190227_01302906/les-collines-contre-une-eolienne-geante
27/02/19 : Chafour : ils disent non aux 4 éoliennes
Namur - En vertu du principe de précaution, ils ont sensibilisé la population.
Les riverains du Chafour, à Assesse, ont invité les citoyens à se mobiliser dans le cadre d’une enquête publique relative à la création d’un parc éolien par la société Aspiravi.
Deux projets de deux éoliennes, soit 16 MW sont concernés : un rue du Chafour près de la ferme Fastré et l’autre rue des Fermes/Hameau, côté autoroute. "La production annuelle d’électricité verte serait estimée à environ 41 000 MWh, soit l’équivalent de la consommation de plus de 11 800 familles", explique Aspiravi.
Les riverains disent non à la prolifération anarchique des parcs éoliens dans leurs campagnes et mettent en avant la hauteur maximale de mâts : 185 mètres de hauteur, alors que le clocher de l’église du village s’élève lui à seulement 30 mètres de haut.
Les riverains mettent également en avant le balisage lumineux de l’éolienne et ses désagréments, l’effet stroboscopique des pales en plein dans l’axe du soleil. Ils évoquent aussi une exposition au bruit accrue, tout comme la dévalorisation de leur cadre de vie, mais aussi des terrains et habitations, tout comme de la future Zacc du Hameau. La dévalorisation de la zone agricole et touristique est également pointée du doigt.
Le peu d’intérêt pour les riverains est également évoqué. "Il s’agit d’un projet 100 % privé, qui ne présente aucun intérêt pour les riverains : la participation citoyenne est possible via l’acquisition de parts mais aucune compensation financière n’est prévue."
Autre argument : le plan de secteur utilisé pour le projet serait obsolète et les mesures erronées. "Le promoteur ne prend pas en compte les habitations de la rue du pré à l’Aune dont la vue plonge sur les potentielles éoliennes. Par ailleurs, s’il tient compte des 600 mètres de distance pour les zones d’habitat au plan de secteur, il ne le fait pas pour les habitants de Mière." "Dans l’incertitude, refusons l’irréversible", concluent les riverains.
L’étude d’incidence se déroulera à la fin de l’année.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190227_01302906/les-collines-contre-une-eolienne-geante
27/02/19 : Chafour : ils disent non aux 4 éoliennes
Namur - En vertu du principe de précaution, ils ont sensibilisé la population.
Les riverains du Chafour, à Assesse, ont invité les citoyens à se mobiliser dans le cadre d’une enquête publique relative à la création d’un parc éolien par la société Aspiravi.
Deux projets de deux éoliennes, soit 16 MW sont concernés : un rue du Chafour près de la ferme Fastré et l’autre rue des Fermes/Hameau, côté autoroute. "La production annuelle d’électricité verte serait estimée à environ 41 000 MWh, soit l’équivalent de la consommation de plus de 11 800 familles", explique Aspiravi.
Les riverains disent non à la prolifération anarchique des parcs éoliens dans leurs campagnes et mettent en avant la hauteur maximale de mâts : 185 mètres de hauteur, alors que le clocher de l’église du village s’élève lui à seulement 30 mètres de haut.
Les riverains mettent également en avant le balisage lumineux de l’éolienne et ses désagréments, l’effet stroboscopique des pales en plein dans l’axe du soleil. Ils évoquent aussi une exposition au bruit accrue, tout comme la dévalorisation de leur cadre de vie, mais aussi des terrains et habitations, tout comme de la future Zacc du Hameau. La dévalorisation de la zone agricole et touristique est également pointée du doigt.
Le peu d’intérêt pour les riverains est également évoqué. "Il s’agit d’un projet 100 % privé, qui ne présente aucun intérêt pour les riverains : la participation citoyenne est possible via l’acquisition de parts mais aucune compensation financière n’est prévue."
Autre argument : le plan de secteur utilisé pour le projet serait obsolète et les mesures erronées. "Le promoteur ne prend pas en compte les habitations de la rue du pré à l’Aune dont la vue plonge sur les potentielles éoliennes. Par ailleurs, s’il tient compte des 600 mètres de distance pour les zones d’habitat au plan de secteur, il ne le fait pas pour les habitants de Mière." "Dans l’incertitude, refusons l’irréversible", concluent les riverains.
L’étude d’incidence se déroulera à la fin de l’année.
https://www.dhnet.be/regions/namur/chafour-ils-disent-non-aux-4-eoliennes-5c76c8c79978e2710e75537e
27/02/19 : Bientôt 3 nouvelles éoliennes à Rebecq ?
Et si 3 nouvelles éoliennes faisaient leur apparition dans le paysage rebecquois? C'est en tout cas le souhait d'Engie Electrabel qui voudrait les installer au sud de la ligne de chemin de fer à grande vitesse. Le fournisseur et producteur d'électricité prévoit d'introduire un dossier, procédure qui nécessitait au préalable la tenue d'une réunion d'information.
Celle-ci s'est déroulée le 20 février dernier dans la salle communale de Wisbecq où environ 120 habitants étaient présents pour poser leurs questions, avec toujours les mêmes inquiétudes dans ce genre de situation : Quelles nuisances sonores? Quel impact sur la faune? Et sur le paysage?
Tous ne sont évidemment pas favorable à ce projet. Néanmoins, Electrabel est tenu de respecter quelques règles en la matière, à savoir : maintenir une distance de 720 mètres avec les zones habitables et de 400 mètres avec les habitations isolées.
L'autre point qui faisait débat portait sur les bénéfices que retireraient les Rebecquois de cette production électrique. Si Engie Electrabel ne se dit pas fermée à la participation des privés, un tel dispositif ne semble pas à l'ordre du jour en ce qui concerne ce nouvel espace éolien. Les seuls bénéficiaires de cette installation sont donc les propriétaires des terrains concernés.
Des éoliennes à l'horizon 2020?
Le fournisseur et producteur d'électricité espère obtenir un permis dans un délai de 12 à 24 mois. Si celui-ci aboutit, l'implantation de trois mâts d'une hauteur maximale de 180 mètres pour une puissance maximale de 4 mégawatts par éolienne. Le trio éolien sera en mesure d'alimenter environ 6500 ménages et épargnera la production de 10.000 tonnes de CO2 par an.
L'atmosphère de la réunion d'information laisse à penser que le dossier d'Electrabel aboutira sans peine. La réunion a marqué l'ouverture d'une nouvelle étape dans la procédure avec le début de l'étude d'incidences. Les citoyens et la commune ont jusqu'au 7 mars prochain pour adresser leurs remarques au collège communal. Dans ce processus, la commune de Rebecq n'a aucun pouvoir décisionnel puisque c'est la Région wallonne qui délivrera, ou non, le permis à l'issue de l'enquête publique qui suivra l'étude d'incidences.
27/02/19 : Bientôt 3 nouvelles éoliennes à Rebecq ?
Et si 3 nouvelles éoliennes faisaient leur apparition dans le paysage rebecquois? C'est en tout cas le souhait d'Engie Electrabel qui voudrait les installer au sud de la ligne de chemin de fer à grande vitesse. Le fournisseur et producteur d'électricité prévoit d'introduire un dossier, procédure qui nécessitait au préalable la tenue d'une réunion d'information.
Celle-ci s'est déroulée le 20 février dernier dans la salle communale de Wisbecq où environ 120 habitants étaient présents pour poser leurs questions, avec toujours les mêmes inquiétudes dans ce genre de situation : Quelles nuisances sonores? Quel impact sur la faune? Et sur le paysage?
Tous ne sont évidemment pas favorable à ce projet. Néanmoins, Electrabel est tenu de respecter quelques règles en la matière, à savoir : maintenir une distance de 720 mètres avec les zones habitables et de 400 mètres avec les habitations isolées.
L'autre point qui faisait débat portait sur les bénéfices que retireraient les Rebecquois de cette production électrique. Si Engie Electrabel ne se dit pas fermée à la participation des privés, un tel dispositif ne semble pas à l'ordre du jour en ce qui concerne ce nouvel espace éolien. Les seuls bénéficiaires de cette installation sont donc les propriétaires des terrains concernés.
Des éoliennes à l'horizon 2020?
Le fournisseur et producteur d'électricité espère obtenir un permis dans un délai de 12 à 24 mois. Si celui-ci aboutit, l'implantation de trois mâts d'une hauteur maximale de 180 mètres pour une puissance maximale de 4 mégawatts par éolienne. Le trio éolien sera en mesure d'alimenter environ 6500 ménages et épargnera la production de 10.000 tonnes de CO2 par an.
L'atmosphère de la réunion d'information laisse à penser que le dossier d'Electrabel aboutira sans peine. La réunion a marqué l'ouverture d'une nouvelle étape dans la procédure avec le début de l'étude d'incidences. Les citoyens et la commune ont jusqu'au 7 mars prochain pour adresser leurs remarques au collège communal. Dans ce processus, la commune de Rebecq n'a aucun pouvoir décisionnel puisque c'est la Région wallonne qui délivrera, ou non, le permis à l'issue de l'enquête publique qui suivra l'étude d'incidences.
https://www.tvcom.be/article/info/economie/bientot-3-nouvelles-eoliennes-a-rebecq-_23549_89.html#
27/02/19 : La Commune de Bastogne en appel pour une éolienne
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190226_01302470/la-commune-en-appel-pour-une-eolienne
27/02/19 : PALISEUL : Un vent plutôt favorable pour le parc de cinq éoliennes entre Our et Maissin
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190226_01302467/un-vent-plutot-favorable-pour-les-eoliennes
26/02/19 : Paliseul. Un projet de cinq éoliennes à Our
La commune de Paliseul aura-t-elle droit elle-aussi à ses éoliennes ?
Porté par la société Engie Electrabel, le projet en est au tout début et a été dévoilé lors de la première réunion d’information publique qui s’est tenue ce lundi soir. Il s'agit de la première étape qui lance l'étude d'incidence. Les citoyens ont jusqu'au 12 mars pour émettre des premières remarques. Ils pourront à nouveau intervenir d'ici une bonne année, au terme de l'étude d'incidence.
D’une puissance totale de 37000 mégawatt/heure par an, les cinq éoliennes produiront de quoi alimenter l’équivalent des besoins de 10500 habitants.
Outre le montant des taxations -environ 75.000€ par an pendant 25 ans à 30 ans- la commune et les citoyens de Paliseul pourront également profiter du rendement des éoliennes en s’associant directement au projet.
27/02/19 : La Commune de Bastogne en appel pour une éolienne
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190226_01302470/la-commune-en-appel-pour-une-eolienne
27/02/19 : PALISEUL : Un vent plutôt favorable pour le parc de cinq éoliennes entre Our et Maissin
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190226_01302467/un-vent-plutot-favorable-pour-les-eoliennes
26/02/19 : Paliseul. Un projet de cinq éoliennes à Our
La commune de Paliseul aura-t-elle droit elle-aussi à ses éoliennes ?
Porté par la société Engie Electrabel, le projet en est au tout début et a été dévoilé lors de la première réunion d’information publique qui s’est tenue ce lundi soir. Il s'agit de la première étape qui lance l'étude d'incidence. Les citoyens ont jusqu'au 12 mars pour émettre des premières remarques. Ils pourront à nouveau intervenir d'ici une bonne année, au terme de l'étude d'incidence.
D’une puissance totale de 37000 mégawatt/heure par an, les cinq éoliennes produiront de quoi alimenter l’équivalent des besoins de 10500 habitants.
Outre le montant des taxations -environ 75.000€ par an pendant 25 ans à 30 ans- la commune et les citoyens de Paliseul pourront également profiter du rendement des éoliennes en s’associant directement au projet.
https://www.tvlux.be/video/info/economie/paliseul-un-projet-de-cinq-eoliennes-a-our-_31180.html
26/02/19 : La Belgique au top 3 européen de la production d'électricité verte offshore
Ils poussent comme des champignons au large de nos côtes, six parcs d’éoliennes offshore sont désormais alignés sur l’horizon. Ce mardi, Norther, le 6ème parc construit en Belgique s’est connecté au réseau électrique. Pour l’instant, 12 de ses éoliennes produisent de l’électricité mais d’ici la fin de l’année, l’ensemble de ses 44 éoliennes offshore pourra produire 370 MW. Ce sera le plus grand parc construit en Belgique.
26/02/19 : La Belgique au top 3 européen de la production d'électricité verte offshore
Ils poussent comme des champignons au large de nos côtes, six parcs d’éoliennes offshore sont désormais alignés sur l’horizon. Ce mardi, Norther, le 6ème parc construit en Belgique s’est connecté au réseau électrique. Pour l’instant, 12 de ses éoliennes produisent de l’électricité mais d’ici la fin de l’année, l’ensemble de ses 44 éoliennes offshore pourra produire 370 MW. Ce sera le plus grand parc construit en Belgique.
Grâce à sa mise en service, la capacité de production totale d’électricité provenant de la mer du nord atteindra alors 1556 MW. Cela correspond à la consommation d’électricité d’environ 1.300.000 ménages et à la production moyenne d’une centrale nucléaire de 1000 MW en sachant qu’une centrale tourne à 80% du temps par an pour seulement 45 % pour une éolienne offshore.
Fait assez rare pour être souligné, la Belgique est dans le top 3 européen de la production d’électricité provenant de l’offshore juste derrière le Danemark et l’Allemagne.
Mais si nous sommes bien placés, c’est surtout parce que l’État belge a soutenu massivement sous forme de subsides la construction de ces éoliennes offshore.
L'éolien offshore a bénéficié d'une manne de subsides de l'Etat
Les trois premiers parcs éoliens offshore, C-Power, Belwind, Northwind sont subsidiés à raison de 149 euros / MWh produits. Pour autant, les certificats verts qu’ils envoient à Elia, le gestionnaire du réseau électrique belge, ne vont pas créer de bulles financières car contrairement aux certificats verts provenant des propriétaires de panneaux photovoltaïques, ceux de l’éolien offshore sont déjà actuellement comptabilisés dans les factures d’électricité de tous les Belges. Aujourd’hui, les parcs éoliens C-Power, Belwind et Nothwind sont très rentables pour leurs actionnaires car ils bénéficient à la fois de subsides et de taux d’intérêts très bas actualisés en fonction du marché. Mais, il faut convenir aussi que ce sont les trois parcs qui ont payé les coûts d’investissement les plus élevés.
En juin 2017, la Belgique accorde encore 124 euros de subvention par MWH produit aux parcs Norther et Rental. Mais un mois plus tard, les Pays-Bas concèdent un prix bien moins élevé pour ses parcs de Borsele 72 euros et 54 euros du MWH. Le prix est divisé par deux lorsque l’on passe la frontière. Un rapport de la Creg, le régulateur fédéral belge, a transposé le système néerlandais à nos réalité belges et considère que nous devrions plafonner à une subvention de 62 à 64 eur/MWH.
Les investisseurs se justifient en affirmant que leurs éoliennes se répartissent sur des parcelles plus petites. Résultat, elles prennent moins de vent. Par ailleurs, les sociétés des Pays-Bas bénéficient d’une fiscalité moins élevée ainsi que d’un risque de développement et d’une connexion au réseau prise en charge par l’État néerlandais. La société Norther précise aussi qu’elle a reçu ses concessions domaniales en 2009 et qu’elle avait déjà engagé 40 millions d'euros depuis plus de neuf ans.
Une chose est sûre, à la suite de ces accords, les subsides accordés aux parcs suivants ont été considérablement réduits : 79 euros par MWH produit.
La Belgique a-t-elle investi trop et trop tôt dans l’éolien offshore ?
Selon Dominique Woitrin, ex-directeur de la Creg et observateur du marché de l’énergie, le placement précoce de la Belgique sur ce marché était très positif. "Ça a permis, nous explique-t-il, de donner une expertise aux entreprises belges. Des sociétés comme Deme ou Jan de Nul, de grosses sociétés de dragage, sont reconnues dans le monde entier pour leur expertise en offshore. Elles travaillent actuellement aux quatre coins du monde ".
D’ici 2030, 20% de notre électricité sera produite grâce à nos éoliennes offshore. Une électricité verte qui génère aussi entre 15.000 et 16.000 emplois directs et indirects en Belgique et en Europe.
Fait assez rare pour être souligné, la Belgique est dans le top 3 européen de la production d’électricité provenant de l’offshore juste derrière le Danemark et l’Allemagne.
Mais si nous sommes bien placés, c’est surtout parce que l’État belge a soutenu massivement sous forme de subsides la construction de ces éoliennes offshore.
L'éolien offshore a bénéficié d'une manne de subsides de l'Etat
Les trois premiers parcs éoliens offshore, C-Power, Belwind, Northwind sont subsidiés à raison de 149 euros / MWh produits. Pour autant, les certificats verts qu’ils envoient à Elia, le gestionnaire du réseau électrique belge, ne vont pas créer de bulles financières car contrairement aux certificats verts provenant des propriétaires de panneaux photovoltaïques, ceux de l’éolien offshore sont déjà actuellement comptabilisés dans les factures d’électricité de tous les Belges. Aujourd’hui, les parcs éoliens C-Power, Belwind et Nothwind sont très rentables pour leurs actionnaires car ils bénéficient à la fois de subsides et de taux d’intérêts très bas actualisés en fonction du marché. Mais, il faut convenir aussi que ce sont les trois parcs qui ont payé les coûts d’investissement les plus élevés.
En juin 2017, la Belgique accorde encore 124 euros de subvention par MWH produit aux parcs Norther et Rental. Mais un mois plus tard, les Pays-Bas concèdent un prix bien moins élevé pour ses parcs de Borsele 72 euros et 54 euros du MWH. Le prix est divisé par deux lorsque l’on passe la frontière. Un rapport de la Creg, le régulateur fédéral belge, a transposé le système néerlandais à nos réalité belges et considère que nous devrions plafonner à une subvention de 62 à 64 eur/MWH.
Les investisseurs se justifient en affirmant que leurs éoliennes se répartissent sur des parcelles plus petites. Résultat, elles prennent moins de vent. Par ailleurs, les sociétés des Pays-Bas bénéficient d’une fiscalité moins élevée ainsi que d’un risque de développement et d’une connexion au réseau prise en charge par l’État néerlandais. La société Norther précise aussi qu’elle a reçu ses concessions domaniales en 2009 et qu’elle avait déjà engagé 40 millions d'euros depuis plus de neuf ans.
Une chose est sûre, à la suite de ces accords, les subsides accordés aux parcs suivants ont été considérablement réduits : 79 euros par MWH produit.
La Belgique a-t-elle investi trop et trop tôt dans l’éolien offshore ?
Selon Dominique Woitrin, ex-directeur de la Creg et observateur du marché de l’énergie, le placement précoce de la Belgique sur ce marché était très positif. "Ça a permis, nous explique-t-il, de donner une expertise aux entreprises belges. Des sociétés comme Deme ou Jan de Nul, de grosses sociétés de dragage, sont reconnues dans le monde entier pour leur expertise en offshore. Elles travaillent actuellement aux quatre coins du monde ".
D’ici 2030, 20% de notre électricité sera produite grâce à nos éoliennes offshore. Une électricité verte qui génère aussi entre 15.000 et 16.000 emplois directs et indirects en Belgique et en Europe.
https://www.rtbf.be/info/societe/detail_la-belgique-au-top-3-europeen-de-la-production-d-electricite-verte-offshore?id=10155182
26/02/19 : Un nouveau parc éolien bientôt construit à Ecaussinnes
Trois éoliennes devraient voir le jour dans le zoning industriel.
Il y a quelques semaines, trois mâts éoliens de 150 mètres de hauteur ont fait leur apparition à Marche-lez-Ecaussinnes, le long de la RN57. Ce nouveau parc éolien a été financé et construit par un partenariat public-privé entre Engie Electrabel et six intercommunales wallonnes. Mais le paysage de la campagne écaussinnoise sera encore prochainement modifié. Car trois nouvelles éoliennes devraient voir le jour dans les prochaines années, sous réserve que le permis soit octroyé évidemment.
Cette fois, le projet est propulsé par EDF-Luminus. D'une puissance de 3,6 MW chacune, les trois éoliennes seront installées dans le zoning industriel zone C, juste à côté de Feluy, à proximité de la rue de Nivelles. Deux seront implantées sur le site du dépôt pétrolier Total et la troisième sur le site de l'usine Katoen Natie. La construction des trois mâts sera accompagnée de tous leurs auxiliaires avec modification du relief du sol, aménagement des chemins d’accès, création d’aires de travail, pose de câbles électriques et construction de trois cabines de tête.
La demande de permis unique a été introduite mais le dossier est actuellement au stade de l'enquête publique. Le dossier complet peut être consulté dès à présent auprès des administrations de Braine-le-Comte, Ecaussinnes, La Louvière, Le Roeulx, Manage, Nivelles et Soignies. Un avis sera ensuite rendu à la Région wallonne en charge de la délivrance du permis via le Fonctionnaire Technique et le Fonctionnaire Délégué.
La commune d'Ecaussinnes, qui devra rendre un avis, attend les observations des riverains. "Il n'y a encore rien de fait", assure Arnaud Guérard (Ecolo), échevin de l'environnement et du développement durable. "Nous ne sommes qu'à la phase de consultation. Notre position est que nous sommes favorables au développement éolien mais nous voulons que le projet intègre une composante citoyenne. Le zoning a un vrai impact sur les citoyens donc il serait logique que les projets qui s'y développent puissent faire bénéficier les Ecaussinnois en retour. Des discussions sont en cours avec EDF-Luminus."
26/02/19 : Un nouveau parc éolien bientôt construit à Ecaussinnes
Trois éoliennes devraient voir le jour dans le zoning industriel.
Il y a quelques semaines, trois mâts éoliens de 150 mètres de hauteur ont fait leur apparition à Marche-lez-Ecaussinnes, le long de la RN57. Ce nouveau parc éolien a été financé et construit par un partenariat public-privé entre Engie Electrabel et six intercommunales wallonnes. Mais le paysage de la campagne écaussinnoise sera encore prochainement modifié. Car trois nouvelles éoliennes devraient voir le jour dans les prochaines années, sous réserve que le permis soit octroyé évidemment.
Cette fois, le projet est propulsé par EDF-Luminus. D'une puissance de 3,6 MW chacune, les trois éoliennes seront installées dans le zoning industriel zone C, juste à côté de Feluy, à proximité de la rue de Nivelles. Deux seront implantées sur le site du dépôt pétrolier Total et la troisième sur le site de l'usine Katoen Natie. La construction des trois mâts sera accompagnée de tous leurs auxiliaires avec modification du relief du sol, aménagement des chemins d’accès, création d’aires de travail, pose de câbles électriques et construction de trois cabines de tête.
La demande de permis unique a été introduite mais le dossier est actuellement au stade de l'enquête publique. Le dossier complet peut être consulté dès à présent auprès des administrations de Braine-le-Comte, Ecaussinnes, La Louvière, Le Roeulx, Manage, Nivelles et Soignies. Un avis sera ensuite rendu à la Région wallonne en charge de la délivrance du permis via le Fonctionnaire Technique et le Fonctionnaire Délégué.
La commune d'Ecaussinnes, qui devra rendre un avis, attend les observations des riverains. "Il n'y a encore rien de fait", assure Arnaud Guérard (Ecolo), échevin de l'environnement et du développement durable. "Nous ne sommes qu'à la phase de consultation. Notre position est que nous sommes favorables au développement éolien mais nous voulons que le projet intègre une composante citoyenne. Le zoning a un vrai impact sur les citoyens donc il serait logique que les projets qui s'y développent puissent faire bénéficier les Ecaussinnois en retour. Des discussions sont en cours avec EDF-Luminus."
https://www.dhnet.be/regions/centre/un-nouveau-parc-eolien-bientot-construit-a-ecaussinnes-5c7532c2d8ad5878f0f2aa1c
23/02/19 : Bientôt des éoliennes à Chastre ?
Par trois fois, le collège a refusé les projets proposés par Aspiravi.
Dans sa note de politique générale, la nouvelle majorité chastroise Ecolo/Chastre 20 + a levé un coin de voile sur ses ambitions politiques d’ici 2024. Le collège veut, entre autres, offrir une seconde jeunesse au quartier de la gare, réduire la vitesse sur la N4 et la N273, ouvrir une maison des jeunes et un espace numérique ou bien encore construire un bassin d’orage non loin de l’ONE.
Par ailleurs, la majorité veut aussi rouvrir le dossier éolien. Mais en refusant le projet présenté par Aspiravi qui traîne depuis douze ans. En effet, dès 2007, la société Aspiravi avait comme projet d’implanter dix éoliennes à Chastre, sur le plateau entre Saint-Géry et Cortil. Un dossier recalé. On a ensuite parlé de huit éoliennes. Recalé également. Puis six éoliennes. A trois reprises, le Conseil d’État avait cassé le permis. Bref, plusieurs tours de carrousel… pour rien.
Mais aujourd’hui , la vague verte d’octobre dernier est passée par là. Ce qui semble donner un nouvel élan au collège communal pour en discuter à nouveau. Au grand étonnement de l’opposition, Chastre@avenir. " Nous sommes surpris que la nouvelle majorité emmenée par Chastre 20 + soit favorable au développement de l’éolien à Chastre. Quand on sait le sentiment d’une grande partie de la population face à ce sujet, a-t-elle fait part au dernier conseil communal. Quelles sont les ambitions de la commune ? Quelle est l’implantation choisie ? Nous n’avons aucune précision de Chastre20 +/Ecolo. Si Chastre doit se doter d’un champ éolien, les Chastrois doivent en connaître les modalités ! ", ont-ils conclu. Affaire à suivre…
23/02/19 : Bientôt des éoliennes à Chastre ?
Par trois fois, le collège a refusé les projets proposés par Aspiravi.
Dans sa note de politique générale, la nouvelle majorité chastroise Ecolo/Chastre 20 + a levé un coin de voile sur ses ambitions politiques d’ici 2024. Le collège veut, entre autres, offrir une seconde jeunesse au quartier de la gare, réduire la vitesse sur la N4 et la N273, ouvrir une maison des jeunes et un espace numérique ou bien encore construire un bassin d’orage non loin de l’ONE.
Par ailleurs, la majorité veut aussi rouvrir le dossier éolien. Mais en refusant le projet présenté par Aspiravi qui traîne depuis douze ans. En effet, dès 2007, la société Aspiravi avait comme projet d’implanter dix éoliennes à Chastre, sur le plateau entre Saint-Géry et Cortil. Un dossier recalé. On a ensuite parlé de huit éoliennes. Recalé également. Puis six éoliennes. A trois reprises, le Conseil d’État avait cassé le permis. Bref, plusieurs tours de carrousel… pour rien.
Mais aujourd’hui , la vague verte d’octobre dernier est passée par là. Ce qui semble donner un nouvel élan au collège communal pour en discuter à nouveau. Au grand étonnement de l’opposition, Chastre@avenir. " Nous sommes surpris que la nouvelle majorité emmenée par Chastre 20 + soit favorable au développement de l’éolien à Chastre. Quand on sait le sentiment d’une grande partie de la population face à ce sujet, a-t-elle fait part au dernier conseil communal. Quelles sont les ambitions de la commune ? Quelle est l’implantation choisie ? Nous n’avons aucune précision de Chastre20 +/Ecolo. Si Chastre doit se doter d’un champ éolien, les Chastrois doivent en connaître les modalités ! ", ont-ils conclu. Affaire à suivre…
https://www.dhnet.be/regions/brabant/bientot-des-eoliennes-a-chastre-5c705aea7b50a60724ed4467
22/02/19 : Le parc éolien de Pessoux et les conditions sectorielles applicables aux éoliennes
Question à M. Carlo DI ANTONIO, Ministre de l’Environnement, de l’Aménagement du Territoire, de la Mobilité et des Transports et du Bien-être animal, sur « le parc éolien de Pessoux et les conditions sectorielles applicables aux éoliennes ». 22/02/19 : Le parc éolien de Pessoux et les conditions sectorielles applicables aux éoliennes
Le temps n’est malheureusement pas favorable aux éoliennes. En effet, une riveraine du parc éolien de Pessoux aurait introduit une action judiciaire à l’encontre de la Région wallonne et d’Eneco. L’objet de cette action serait d’obtenir la mise à l’arrêt des six éoliennes du parc. La raison de cette action serait le dépassement des normes sonores autorisées. Le conseil de la demanderesse a déclaré à la presse que « Le gouvernement n’est pas en mesure de démontrer que ces mesures ne sont pas correctes ou moins fiables que celles qui ont été prises en compte pour attribuer le permis. Le principe de précaution doit donc être d’application et le parc mis à l’arrêt ».
Monsieur le Ministre pourrait-il nous indiquer si la citation judiciaire a été signifiée à la Région wallonne ? Dans l’affirmative, quelle est la date de l’audience d’introduction ? Par ailleurs, pourrait-il nous donner plus de précisions sur les raisons de cette action ?
Les riverains, et plus précisément la demanderesse, ont-ils dénoncé la situation auprès du département de la police et des contrôles ? Des mesures ont-elles été tentées par les riverains préalablement à l’introduction de l’action judiciaire ?
Le recours en annulation introduit à l’encontre de l’arrêté du Gouvernement wallon du 13 février 2014 portant sur les conditions sectorielles pour les éoliennes est toujours pendant devant le Conseil d’Etat.
En réponse à une question qui a été posée précédemment à Monsieur le Ministre, il a indiqué que l’auditeur au Conseil d’Etat a rendu son rapport. Quelle est la conclusion de l’auditeur ? Propose-t-il l’annulation de l’arrêté ? Serait-il possible de publier le rapport de l’auditeur sur la plateforme ?
Réponse du 22/02/2017
Réponse de M. Carlo DI ANTONIO, Ministre de l’Environnement, de l’Aménagement du Territoire, de la Mobilité et des Transports et du Bien-être animal.
Monsieur le Ministre pourrait-il nous indiquer si la citation judiciaire a été signifiée à la Région wallonne ? Dans l’affirmative, quelle est la date de l’audience d’introduction ? Par ailleurs, pourrait-il nous donner plus de précisions sur les raisons de cette action ?
Les riverains, et plus précisément la demanderesse, ont-ils dénoncé la situation auprès du département de la police et des contrôles ? Des mesures ont-elles été tentées par les riverains préalablement à l’introduction de l’action judiciaire ?
Le recours en annulation introduit à l’encontre de l’arrêté du Gouvernement wallon du 13 février 2014 portant sur les conditions sectorielles pour les éoliennes est toujours pendant devant le Conseil d’Etat.
En réponse à une question qui a été posée précédemment à Monsieur le Ministre, il a indiqué que l’auditeur au Conseil d’Etat a rendu son rapport. Quelle est la conclusion de l’auditeur ? Propose-t-il l’annulation de l’arrêté ? Serait-il possible de publier le rapport de l’auditeur sur la plateforme ?
Réponse du 22/02/2017
Réponse de M. Carlo DI ANTONIO, Ministre de l’Environnement, de l’Aménagement du Territoire, de la Mobilité et des Transports et du Bien-être animal.
La citation a été signifiée à la Région wallonne le vendredi 10 février 2017. Cette dernière soulève le constat de dépassements des normes acoustiques autorisées. Sur base d’une première analyse juridique, il y a lieu de constater le caractère général de l’argumentation et l’absence d’élément permettant d’individualiser le dommage vanté, et ce sous réserve des pièces que la demanderesse pourra produire.
Il est observé que cette citation a été intentée, et qu’aucune plainte n’a été introduite auprès du Département de la Police et des Contrôles concernant l’exploitation de ce parc éolien. De ce fait, aucune mesure sonométrique n’a été effectuée par ce Département.
Par ailleurs, cette riveraine a également introduit un recours en annulation devant le Conseil d’État à l’encontre du permis unique couvrant ce parc éolien. Ce recours est toujours pendant devant le Conseil d’État.
Actuellement, l’exploitant dudit parc effectue une campagne de suivi acoustique par une société agréée, comme imposé par les conditions sectorielles. Les résultats de ce suivi seront disponibles dans environ deux mois.
En ce qui concerne le contentieux portant sur l’AGW « conditions sectorielles bruit », la Région wallonne a déposé son mémoire le 12 janvier dernier. Il convient d’attendre les étapes de la procédure, incluant vraisemblablement de nouveaux échanges et une audience, avant de savoir si l’arrêté encourt un risque d’annulation et si oui, dans quelle mesure le Conseil d’État limiterait ou non dans le temps les effets de cette annulation, ce qui reste une option envisageable.
Concernant le parc de Pessoux, le Département de la Police et des Contrôles n’a pas effectué de constat préliminaire à ce stade du dossier. Il est plus sage d’attendre à tout le moins de connaître l’ensemble des pièces produites par la demanderesse avant de procéder à une telle mesure.
http://www.veroniquewaroux.info/parc-eolien-de-pessoux-conditions-sectorielles-applicables-aux-eoliennes/?fbclid=IwAR2Xxy9wb4ZUrFU2VcDAYOycx_f6VKQ2oG4EpiUAit06saAUxbd-eqe8Yxk
Il est observé que cette citation a été intentée, et qu’aucune plainte n’a été introduite auprès du Département de la Police et des Contrôles concernant l’exploitation de ce parc éolien. De ce fait, aucune mesure sonométrique n’a été effectuée par ce Département.
Par ailleurs, cette riveraine a également introduit un recours en annulation devant le Conseil d’État à l’encontre du permis unique couvrant ce parc éolien. Ce recours est toujours pendant devant le Conseil d’État.
Actuellement, l’exploitant dudit parc effectue une campagne de suivi acoustique par une société agréée, comme imposé par les conditions sectorielles. Les résultats de ce suivi seront disponibles dans environ deux mois.
En ce qui concerne le contentieux portant sur l’AGW « conditions sectorielles bruit », la Région wallonne a déposé son mémoire le 12 janvier dernier. Il convient d’attendre les étapes de la procédure, incluant vraisemblablement de nouveaux échanges et une audience, avant de savoir si l’arrêté encourt un risque d’annulation et si oui, dans quelle mesure le Conseil d’État limiterait ou non dans le temps les effets de cette annulation, ce qui reste une option envisageable.
Concernant le parc de Pessoux, le Département de la Police et des Contrôles n’a pas effectué de constat préliminaire à ce stade du dossier. Il est plus sage d’attendre à tout le moins de connaître l’ensemble des pièces produites par la demanderesse avant de procéder à une telle mesure.
http://www.veroniquewaroux.info/parc-eolien-de-pessoux-conditions-sectorielles-applicables-aux-eoliennes/?fbclid=IwAR2Xxy9wb4ZUrFU2VcDAYOycx_f6VKQ2oG4EpiUAit06saAUxbd-eqe8Yxk
22/02/19 : Un projet de cinq éoliennes à Erquelinnes
La procédure en vue d'installer 5 éoliennes entre Erquelinnes et Grand-Reng vient d'être lancée....
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190222_01300200/un-projet-de-cinq-eoliennes-a-erquelinnes
22/02/19 : Des ingénieurs créent des éoliennes plus grandes, plus efficaces, plus durables
Au large de la côte belge s’élève un parc éolien qui abritera les plus grandes éoliennes du monde. Une équipe multidisciplinaire de Jan De Nul fait preuve d’une incroyable ingéniosité pour mener à bien cette mission de manière efficace et rentable. Avec une bonne dose de créativité et une communication optimale, soulignent quatre ingénieurs impliqués dans ce projet.
1. Prix
La procédure en vue d'installer 5 éoliennes entre Erquelinnes et Grand-Reng vient d'être lancée....
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190222_01300200/un-projet-de-cinq-eoliennes-a-erquelinnes
22/02/19 : Des ingénieurs créent des éoliennes plus grandes, plus efficaces, plus durables
Au large de la côte belge s’élève un parc éolien qui abritera les plus grandes éoliennes du monde. Une équipe multidisciplinaire de Jan De Nul fait preuve d’une incroyable ingéniosité pour mener à bien cette mission de manière efficace et rentable. Avec une bonne dose de créativité et une communication optimale, soulignent quatre ingénieurs impliqués dans ce projet.
1. Prix
“Établir des offres ne se limite pas à remplir des feuilles de calcul”
Fabian Vinck, Tender Engineer
À 48 kilomètres au large de Zeebruges, Jan De Nul Group construit le septième parc éolien belge en mer, Northwester 2. “Les 23 turbines ont chacune une capacité de 9,5 mégawatts, alors que le diamètre des rotors atteint 164 mètres: ce sont les plus grandes éoliennes du monde”, souligne Fabian Vinck, Tender Engineer au sein de la division offshore de Jan De Nul, qui construit notamment des parcs éoliens en mer. Ces dernières années, l’entreprise a fait œuvre de pionnier en participant à la construction de parcs éoliens au large des côtes belges mais aussi anglaises, finlandaises, danoises, allemandes et taiwanaises.
Northwester 2 est une initiative de Parkwind, devenu, avec l’aide de la famille Colruyt, le leader de l’industrie éolienne offshore belge. C’est la troisième fois que le groupe choisit de s’engager avec Jan De Nul, notamment grâce au travail accompli par l’équipe en charge des appels d’offres, dont fait partie Fabian. “Nous établissons un dossier technico-commercial étendu. Dans un tel dossier, nous présentons la solution la plus appropriée. Pour ce faire, nous faisons appel aux autres équipes de l’entreprise, du département Production au service juridique. C’est sur la base de notre dossier que le client décidera s’il s’associe avec Jan De Nul. Nous sommes également son interlocuteur commercial.”
“Ce mélange de nationalités dans l’équipe est intéressant et utile parce que nous travaillons pour des clients du monde entier.”
FABIAN VINCK-TENDER ENGINEER
“Notre équipe compte plusieurs nationalités. Ce mix est intéressant et utile parce que nous travaillons pour des clients du monde entier. Chaque projet exige du sur-mesure. En outre, nous nous touchons à tous les aspects d’un projet. Nous nous intéressons au côté technique évidemment, mais nous devons également intégrer les assurances dans notre proposition, par exemple.”
“Mes collègues ont suivi des formations très variées: personnellement, j’ai fait des études de géomatique et de géomètre”, précise encore Fabian Vinck. “D’ailleurs, notre fonction est nettement plus passionnante que vous pourriez le penser. Un responsable des offres n’est pas un calculateur qui se contente d’intégrer des chiffres dans un tableau Excel. Cette activité ne représente qu’une petite partie de notre planning. Nous établissons des documents techniques, contactons des sous-traitants, assistons à des réunions avec des spécialistes…”
2. Design
“Nous devons toujours garder la dimension ‘coût’ dans un coin de notre esprit”
Tom Vermeersch, Project Lead Design & Engineering Department
L’équipe en charge des appels d’offres est constamment en contact avec Tom Vermeersch, du service d’études – un ingénieur pur jus. Il a mené toute sa carrière chez Jan De Nul, où il est entré voici 10 ans. “J’ai débuté comme ingénieur stabilité dans leur division Génie civil. Pendant les six premières années, j’ai calculé des ponts, des écluses, des murs de quai… Cette expérience m’est très utile au sein du département offshore. Dans un premier temps, nous fournissons un avant-projet architectural auquel les Tender Engineers peuvent accoler un prix. Si nous décrochons le marché, nous commençons à établir le projet détaillé des structures offshore.”
“Nous faisons plus que simplement calculer: nous entretenons des contacts étroits avec les autres départements ainsi qu’avec le client.”
TOM VERMEERSCH-PROJECT LEAD DESIGN & ENGINEERING DEPARTMENT
Jan De Nul a remporté l’appel d’offres pour Northwester 2 l’an dernier. “Jusqu’à présent, nous sous-traitions l’élaboration du projet détaillé à des concepteurs externes, mais l’objectif est de la prendre en charge. Parce que nous aimons disposer de toutes les connaissances en interne, nous recherchons toujours du personnel compétent. Mon équipe assure le suivi des contacts avec les designers externes, ainsi que la communication avec l’équipe de conception du client. En fin de parcours, nous fournissons un projet certifié. Pour y parvenir, nous devons évaluer les risques, imaginer des solutions en tenant compte des exigences de fabrication et d’installation, et veiller à ce que le projet reste rentable. L’aspect commercial est très important. En théorie, nous pouvons tout faire. Mais nous devons garder en permanence un œil sur les coûts.”
Tom Vermeersch insiste au passage sur l’importance d’une bonne communication. “Nous faisons plus que simplement calculer: nous entretenons des contacts étroits avec les autres départements de Jan De Nul, les clients et la société chargée de la certification du projet. Et notre travail n’est pas terminé quand les plans entrent en production: nous continuons à tout contrôler. Nous avons régulièrement des retours de l’installation, on nous demande d’intégrer des vérifications supplémentaires, d’exécuter de nouveaux contrôles, etc.”
“Nous participons aux réflexions sur les solutions de demain”
Geert Weymeis, Teamlead Installation Analysis
Cet été, Jan De Nul entamera l’installation des fondations de Northwester 2. Il s’agira ensuite de poser les câbles et enfin de disposer les turbines sur les fondations. Les éoliennes doivent entrer en service avant la fin de l’année. Le parc sera totalement opérationnel au début de l’an prochain; il produira alors de l’électricité verte pour 220.000 ménages.
Cette volonté de réduire autant que possible la durée d’exécution des travaux est le fruit d’une stratégie délibérée, notamment pour limiter le coût d’un matériel très onéreux. Ce qui constitue un énorme défi pour l’équipe de Geert Weymeis, chargée de l’installation. “Nous recherchons les solutions les plus appropriées pour exécuter notre travail. En contact étroit avec Tom, nous voyons par exemple sur quel navire nous chargerons les fondations. Où pouvons-nous les poser à bord? Le navire est-il stable? Le pont pourra-t-il supporter ces monopiles de 1.000 tonnes? La grue sera-t-elle capable de hisser ces énormes pieux, d’abord du quai sur le pont, puis du navire dans la mer? La clé du succès réside dans la préparation.”
“Les éoliennes en mer seront bientôt aussi grandes que la tour Eiffel.”
GEERT WEYMEIS-TEAMLEAD INSTALLATION ANALYSIS
Geert Weymeis se projette dans l’avenir: “Lorsque nous avons fait nos premiers pas dans l’offshore, nous installions en mer les mêmes éoliennes que sur terre. Or, les éoliennes continueront à grandir au fil des années, avec des rotors de 250 mètres de diamètre. Elles seront presque aussi grandes que la tour Eiffel! Les fondations elles aussi grossissent de manière spectaculaire. Voici quelques années, nous avons débuté avec des monopiles de 600 tonnes; aujourd’hui, les monopiles offshore pèsent le double. À l’avenir, nous atteindrons rapidement les 2.000 tonnes. En étroit contact avec tous les acteurs du secteur, nous réfléchissons aux solutions de demain, par exemple concernant les navires que nous utiliserons pour poser de telles masses en mer. Nous travaillons dès lors en étroite collaboration avec le département Construction afin d’adapter aux besoins de l’industrie les nouveaux navires qui se trouvent encore sur la table à dessin.”
3. Exécution
“La collaboration est essentielle”
Benjamin Foubert, Operations Manager
“L’énergie offshore réunit plusieurs disciplines. Le transport maritime, car on utilise des bateaux. La mécanique terrestre, en raison de l’interaction avec les fonds marins. Parfois aussi des travaux de dragage. Cela nécessite donc des ingénieurs aux parcours très variés.” Benjamin Foubert, Operations Manager, a débuté sa carrière dans le département Génie civil. “Quand j’ai voulu partir à l’étranger, j’ai atterri dans le département responsable de la pose des câbles nécessaires pour acheminer jusqu’au réseau terrestre l’électricité produite par les éoliennes offshore. Ce département se composait alors de cinq collaborateurs. J’ai travaillé à bord de navires d’installation dans le monde entier et j’ai été impliqué dans la construction de notre plus grand câblier, l’Isaac Newton.”
“Pour un ingénieur, la qualité la plus importante est la capacité à résoudre les problèmes, à faire preuve de créativité et à sortir des sentiers battus.”
BENJAMIN FOUBERT-OPERATIONS MANAGER
Quelques années plus tard, Benjamin Foubert est revenu au bureau. Aujourd’hui, son département totalise une trentaine de collaborateurs. “Il ne faut pas nécessairement séjourner en permanence à l’étranger pour les travaux d’exécution. Je me déplace régulièrement pour me rendre compte de la situation, mais cela en reste là. De plus, nous réalisons de nombreux projets dans nos régions. Ainsi, les bureaux de Northwester 2 se trouvent à Ostende. Et nous sommes une équipe très complète. Ma tâche consiste à gérer toutes ces personnes. Pour ce faire, nous mettons en place une structure rigide et offrons à nos collaborateurs les outils nécessaires pour accomplir leur travail de la manière la plus efficace possible. Je m’occupe de la supervision et je surveille l’avancée de nos projets, mais je ne suis pas impliqué dans tous les détails. Mon rôle consiste surtout à coordonner les activités et à placer les bonnes personnes au bon endroit.”
Pour Benjamin Foubert, il est crucial de prendre en compte l’expérience et les centres d’intérêt de chacun. “Chaque ingénieur développe des préférences personnelles dès ses études. Moi-même, je suis plus à l’aise dans l’approche que dans les calculs. Une entreprise comme la nôtre recèle des possibilités pour tout le monde. Il s’agit surtout de se montrer apte à résoudre des problèmes, à faire preuve de créativité et à sortir des sentiers battus. Et il ne faut pas rester dans sa tour d’ivoire: la collaboration ne cesse de gagner en importance à présent que nous entreprenons de plus en plus souvent des projets clés sur porte, où nous sommes responsables de l’ensemble des opérations, de la conception et de l’installation des fondations à la pose des turbines et des câbles.”
https://www.lecho.be/connect/ingenieur-du-futur/jan-de-nul/Des-ingenieurs-creent-des-eoliennes-plus-grandes-plus-efficaces-plus-durables/10100671
22/02/19 : REBECQ - Réunion positive sur le projet éolien
Quelque 120 personnes étaient à la salle de Wisbecq pour écouter les détails du projet et surtout poser des questions.
Fabian Vinck, Tender Engineer
À 48 kilomètres au large de Zeebruges, Jan De Nul Group construit le septième parc éolien belge en mer, Northwester 2. “Les 23 turbines ont chacune une capacité de 9,5 mégawatts, alors que le diamètre des rotors atteint 164 mètres: ce sont les plus grandes éoliennes du monde”, souligne Fabian Vinck, Tender Engineer au sein de la division offshore de Jan De Nul, qui construit notamment des parcs éoliens en mer. Ces dernières années, l’entreprise a fait œuvre de pionnier en participant à la construction de parcs éoliens au large des côtes belges mais aussi anglaises, finlandaises, danoises, allemandes et taiwanaises.
Northwester 2 est une initiative de Parkwind, devenu, avec l’aide de la famille Colruyt, le leader de l’industrie éolienne offshore belge. C’est la troisième fois que le groupe choisit de s’engager avec Jan De Nul, notamment grâce au travail accompli par l’équipe en charge des appels d’offres, dont fait partie Fabian. “Nous établissons un dossier technico-commercial étendu. Dans un tel dossier, nous présentons la solution la plus appropriée. Pour ce faire, nous faisons appel aux autres équipes de l’entreprise, du département Production au service juridique. C’est sur la base de notre dossier que le client décidera s’il s’associe avec Jan De Nul. Nous sommes également son interlocuteur commercial.”
“Ce mélange de nationalités dans l’équipe est intéressant et utile parce que nous travaillons pour des clients du monde entier.”
FABIAN VINCK-TENDER ENGINEER
“Notre équipe compte plusieurs nationalités. Ce mix est intéressant et utile parce que nous travaillons pour des clients du monde entier. Chaque projet exige du sur-mesure. En outre, nous nous touchons à tous les aspects d’un projet. Nous nous intéressons au côté technique évidemment, mais nous devons également intégrer les assurances dans notre proposition, par exemple.”
“Mes collègues ont suivi des formations très variées: personnellement, j’ai fait des études de géomatique et de géomètre”, précise encore Fabian Vinck. “D’ailleurs, notre fonction est nettement plus passionnante que vous pourriez le penser. Un responsable des offres n’est pas un calculateur qui se contente d’intégrer des chiffres dans un tableau Excel. Cette activité ne représente qu’une petite partie de notre planning. Nous établissons des documents techniques, contactons des sous-traitants, assistons à des réunions avec des spécialistes…”
2. Design
“Nous devons toujours garder la dimension ‘coût’ dans un coin de notre esprit”
Tom Vermeersch, Project Lead Design & Engineering Department
L’équipe en charge des appels d’offres est constamment en contact avec Tom Vermeersch, du service d’études – un ingénieur pur jus. Il a mené toute sa carrière chez Jan De Nul, où il est entré voici 10 ans. “J’ai débuté comme ingénieur stabilité dans leur division Génie civil. Pendant les six premières années, j’ai calculé des ponts, des écluses, des murs de quai… Cette expérience m’est très utile au sein du département offshore. Dans un premier temps, nous fournissons un avant-projet architectural auquel les Tender Engineers peuvent accoler un prix. Si nous décrochons le marché, nous commençons à établir le projet détaillé des structures offshore.”
“Nous faisons plus que simplement calculer: nous entretenons des contacts étroits avec les autres départements ainsi qu’avec le client.”
TOM VERMEERSCH-PROJECT LEAD DESIGN & ENGINEERING DEPARTMENT
Jan De Nul a remporté l’appel d’offres pour Northwester 2 l’an dernier. “Jusqu’à présent, nous sous-traitions l’élaboration du projet détaillé à des concepteurs externes, mais l’objectif est de la prendre en charge. Parce que nous aimons disposer de toutes les connaissances en interne, nous recherchons toujours du personnel compétent. Mon équipe assure le suivi des contacts avec les designers externes, ainsi que la communication avec l’équipe de conception du client. En fin de parcours, nous fournissons un projet certifié. Pour y parvenir, nous devons évaluer les risques, imaginer des solutions en tenant compte des exigences de fabrication et d’installation, et veiller à ce que le projet reste rentable. L’aspect commercial est très important. En théorie, nous pouvons tout faire. Mais nous devons garder en permanence un œil sur les coûts.”
Tom Vermeersch insiste au passage sur l’importance d’une bonne communication. “Nous faisons plus que simplement calculer: nous entretenons des contacts étroits avec les autres départements de Jan De Nul, les clients et la société chargée de la certification du projet. Et notre travail n’est pas terminé quand les plans entrent en production: nous continuons à tout contrôler. Nous avons régulièrement des retours de l’installation, on nous demande d’intégrer des vérifications supplémentaires, d’exécuter de nouveaux contrôles, etc.”
“Nous participons aux réflexions sur les solutions de demain”
Geert Weymeis, Teamlead Installation Analysis
Cet été, Jan De Nul entamera l’installation des fondations de Northwester 2. Il s’agira ensuite de poser les câbles et enfin de disposer les turbines sur les fondations. Les éoliennes doivent entrer en service avant la fin de l’année. Le parc sera totalement opérationnel au début de l’an prochain; il produira alors de l’électricité verte pour 220.000 ménages.
Cette volonté de réduire autant que possible la durée d’exécution des travaux est le fruit d’une stratégie délibérée, notamment pour limiter le coût d’un matériel très onéreux. Ce qui constitue un énorme défi pour l’équipe de Geert Weymeis, chargée de l’installation. “Nous recherchons les solutions les plus appropriées pour exécuter notre travail. En contact étroit avec Tom, nous voyons par exemple sur quel navire nous chargerons les fondations. Où pouvons-nous les poser à bord? Le navire est-il stable? Le pont pourra-t-il supporter ces monopiles de 1.000 tonnes? La grue sera-t-elle capable de hisser ces énormes pieux, d’abord du quai sur le pont, puis du navire dans la mer? La clé du succès réside dans la préparation.”
“Les éoliennes en mer seront bientôt aussi grandes que la tour Eiffel.”
GEERT WEYMEIS-TEAMLEAD INSTALLATION ANALYSIS
Geert Weymeis se projette dans l’avenir: “Lorsque nous avons fait nos premiers pas dans l’offshore, nous installions en mer les mêmes éoliennes que sur terre. Or, les éoliennes continueront à grandir au fil des années, avec des rotors de 250 mètres de diamètre. Elles seront presque aussi grandes que la tour Eiffel! Les fondations elles aussi grossissent de manière spectaculaire. Voici quelques années, nous avons débuté avec des monopiles de 600 tonnes; aujourd’hui, les monopiles offshore pèsent le double. À l’avenir, nous atteindrons rapidement les 2.000 tonnes. En étroit contact avec tous les acteurs du secteur, nous réfléchissons aux solutions de demain, par exemple concernant les navires que nous utiliserons pour poser de telles masses en mer. Nous travaillons dès lors en étroite collaboration avec le département Construction afin d’adapter aux besoins de l’industrie les nouveaux navires qui se trouvent encore sur la table à dessin.”
3. Exécution
“La collaboration est essentielle”
Benjamin Foubert, Operations Manager
“L’énergie offshore réunit plusieurs disciplines. Le transport maritime, car on utilise des bateaux. La mécanique terrestre, en raison de l’interaction avec les fonds marins. Parfois aussi des travaux de dragage. Cela nécessite donc des ingénieurs aux parcours très variés.” Benjamin Foubert, Operations Manager, a débuté sa carrière dans le département Génie civil. “Quand j’ai voulu partir à l’étranger, j’ai atterri dans le département responsable de la pose des câbles nécessaires pour acheminer jusqu’au réseau terrestre l’électricité produite par les éoliennes offshore. Ce département se composait alors de cinq collaborateurs. J’ai travaillé à bord de navires d’installation dans le monde entier et j’ai été impliqué dans la construction de notre plus grand câblier, l’Isaac Newton.”
“Pour un ingénieur, la qualité la plus importante est la capacité à résoudre les problèmes, à faire preuve de créativité et à sortir des sentiers battus.”
BENJAMIN FOUBERT-OPERATIONS MANAGER
Quelques années plus tard, Benjamin Foubert est revenu au bureau. Aujourd’hui, son département totalise une trentaine de collaborateurs. “Il ne faut pas nécessairement séjourner en permanence à l’étranger pour les travaux d’exécution. Je me déplace régulièrement pour me rendre compte de la situation, mais cela en reste là. De plus, nous réalisons de nombreux projets dans nos régions. Ainsi, les bureaux de Northwester 2 se trouvent à Ostende. Et nous sommes une équipe très complète. Ma tâche consiste à gérer toutes ces personnes. Pour ce faire, nous mettons en place une structure rigide et offrons à nos collaborateurs les outils nécessaires pour accomplir leur travail de la manière la plus efficace possible. Je m’occupe de la supervision et je surveille l’avancée de nos projets, mais je ne suis pas impliqué dans tous les détails. Mon rôle consiste surtout à coordonner les activités et à placer les bonnes personnes au bon endroit.”
Pour Benjamin Foubert, il est crucial de prendre en compte l’expérience et les centres d’intérêt de chacun. “Chaque ingénieur développe des préférences personnelles dès ses études. Moi-même, je suis plus à l’aise dans l’approche que dans les calculs. Une entreprise comme la nôtre recèle des possibilités pour tout le monde. Il s’agit surtout de se montrer apte à résoudre des problèmes, à faire preuve de créativité et à sortir des sentiers battus. Et il ne faut pas rester dans sa tour d’ivoire: la collaboration ne cesse de gagner en importance à présent que nous entreprenons de plus en plus souvent des projets clés sur porte, où nous sommes responsables de l’ensemble des opérations, de la conception et de l’installation des fondations à la pose des turbines et des câbles.”
https://www.lecho.be/connect/ingenieur-du-futur/jan-de-nul/Des-ingenieurs-creent-des-eoliennes-plus-grandes-plus-efficaces-plus-durables/10100671
22/02/19 : REBECQ - Réunion positive sur le projet éolien
Quelque 120 personnes étaient à la salle de Wisbecq pour écouter les détails du projet et surtout poser des questions.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190221_01299986/reunion-positive-sur-le-projet-eolien
21/02/19 : Parc éolien à Ham-sur-Heure-Nalinnes : la majorité communale se réunira lundi
A Ham-sur-Heure-Nalinnes, la majorité communale se réunira lundi pour prendre sa décision sur l’avis qu’il rendra pour le projet de parc éolien qui pourrait s’installer sur la commune et sur Thuin. L’enquête publique s’est clôturée le 14 février. L’avis d’Ham-sur-Heure-Nalinnes devrait, sans surprise, être défavorable puisque la commune et Thuin avaient déjà rendus un avis négatif précédemment. Le bourgmestre Yves Binon estime que la commune fait déjà assez d’efforts pour le développement durable, avec les éclairages LED et l’isolation, entre autres. Plutôt que les éoliennes, il préférerait qu’on injecte cet argent dans le développement du réseau de gaz.
21/02/19 : Parc éolien à Ham-sur-Heure-Nalinnes : la majorité communale se réunira lundi
A Ham-sur-Heure-Nalinnes, la majorité communale se réunira lundi pour prendre sa décision sur l’avis qu’il rendra pour le projet de parc éolien qui pourrait s’installer sur la commune et sur Thuin. L’enquête publique s’est clôturée le 14 février. L’avis d’Ham-sur-Heure-Nalinnes devrait, sans surprise, être défavorable puisque la commune et Thuin avaient déjà rendus un avis négatif précédemment. Le bourgmestre Yves Binon estime que la commune fait déjà assez d’efforts pour le développement durable, avec les éclairages LED et l’isolation, entre autres. Plutôt que les éoliennes, il préférerait qu’on injecte cet argent dans le développement du réseau de gaz.
https://www.telesambre.be/parc-eolien-ham-sur-heure-nalinnes-la-majorite-communale-se-reunira-lundi
21/02/19 : Chastre : Une Maison des jeunes, des éoliennes...
Parmi les nombreux dossiers, il y a la création d’une Maison des jeunes ou la possibilité d’installer des éoliennes à Chastre.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190220_01299332/une-maison-des-jeunes-des-eoliennes
21/02/19 : Trois nouvelles éoliennes en projet sur Antoing et Péruwelz
La société Eneco Wind Belgium envisage d’implanter un parc éolien sur le territoire des entités de Péruwelz et Antoing. La population pourra prendre connaissance de ce projet mercredi prochain lors d’une réunion qui se tiendra au centre administratif d’Antoing.
Ce mercredi 27 février à 18h, une réunion est prévue à l’administration communale d’Antoing : la société Eneco Wind Belgium viendra détailler son projet de parc éolien dans une zone qui longe l’autoroute E42, à cheval sur le ...
21/02/19 : Chastre : Une Maison des jeunes, des éoliennes...
Parmi les nombreux dossiers, il y a la création d’une Maison des jeunes ou la possibilité d’installer des éoliennes à Chastre.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190220_01299332/une-maison-des-jeunes-des-eoliennes
21/02/19 : Trois nouvelles éoliennes en projet sur Antoing et Péruwelz
La société Eneco Wind Belgium envisage d’implanter un parc éolien sur le territoire des entités de Péruwelz et Antoing. La population pourra prendre connaissance de ce projet mercredi prochain lors d’une réunion qui se tiendra au centre administratif d’Antoing.
Ce mercredi 27 février à 18h, une réunion est prévue à l’administration communale d’Antoing : la société Eneco Wind Belgium viendra détailler son projet de parc éolien dans une zone qui longe l’autoroute E42, à cheval sur le ...
https://www.nordeclair.be/349708/article/2019-02-21/trois-nouvelles-eoliennes-en-projet-sur-antoing-et-peruwelz
21/02/19 : Erquelinnes: cinq éoliennes souhaitent s’implanter le long de la N54
21/02/19 : Erquelinnes: cinq éoliennes souhaitent s’implanter le long de la N54
La société EE Erquelinnes a rencontré les citoyens afin de présenter l’avant-projet éolien.
Les projets éoliens poussent dans la région. Si à Thuin, les habitants refusent catégoriquement les éoliennes sur leur territoire, à quelques kilomètres de là d’autres projets risquent de voir le jour.
La société EE Erquelinnes a présenté son avant-projet d’implantation de cinq éoliennes sur la commune d’Erquelinnes aux riverains concernés. L’avant-projet concerne donc cinq éoliennes de 180 mètres avec un diamètre de rotor entre 110 et 136 m, installées entre les villages de Grand-Reng et d’Erquelinnes. "Aujourd’hui, la sortie du nucléaire prévue pour 2025 et la transition énergétique devant permettre une réduction des émissions de gaz à effet de serre sont au cœur de tous les débats", explique la société EE Erquelinnes. Les objectifs belges sont d’atteindre 20,9 % d’énergies renouvelables d’ici 2020. L’énergie éolienne représente un investissement sûr.
La région d’Erquelinnes est idéale pour implanter les éoliennes, elle possède un haut potentiel venteux et bénéficie d’un espace le long de la national 54. La puissance d’une éolienne est entre 3 MW et 4 MW pour une puissance maximale de 25 MW. La production annuelle des cinq machines équivaut à la consommation électrique de 17 000 ménages, c’est-à-dire plus de la totalité de la population de la commune.
L’idée de la réunion est de présenter le projet aux riverains, les rassurer, et surtout répondre à leurs questions. Les suggestions proposées par les citoyens seront prises en compte par le bureau d’études. Pour l’instant, le projet n’est qu’au commencement. À la suite de la réunion d’information au sujet de cet avant-projet, le bureau d’études prendra en compte les remarques, et une étude des incidences sera lancée. Par après, une demande de permis sera lancée par la société, l’enquête publique sera ouverte et une décision sera finalement prise. Un recours peut également être demandé. Les citoyens peuvent envoyer leurs remarques, questions ou suggestions jusqu’au 8 mars.
Si le projet passe toutes les étapes, il pourra débuter la construction en 2021.
Les projets éoliens poussent dans la région. Si à Thuin, les habitants refusent catégoriquement les éoliennes sur leur territoire, à quelques kilomètres de là d’autres projets risquent de voir le jour.
La société EE Erquelinnes a présenté son avant-projet d’implantation de cinq éoliennes sur la commune d’Erquelinnes aux riverains concernés. L’avant-projet concerne donc cinq éoliennes de 180 mètres avec un diamètre de rotor entre 110 et 136 m, installées entre les villages de Grand-Reng et d’Erquelinnes. "Aujourd’hui, la sortie du nucléaire prévue pour 2025 et la transition énergétique devant permettre une réduction des émissions de gaz à effet de serre sont au cœur de tous les débats", explique la société EE Erquelinnes. Les objectifs belges sont d’atteindre 20,9 % d’énergies renouvelables d’ici 2020. L’énergie éolienne représente un investissement sûr.
La région d’Erquelinnes est idéale pour implanter les éoliennes, elle possède un haut potentiel venteux et bénéficie d’un espace le long de la national 54. La puissance d’une éolienne est entre 3 MW et 4 MW pour une puissance maximale de 25 MW. La production annuelle des cinq machines équivaut à la consommation électrique de 17 000 ménages, c’est-à-dire plus de la totalité de la population de la commune.
L’idée de la réunion est de présenter le projet aux riverains, les rassurer, et surtout répondre à leurs questions. Les suggestions proposées par les citoyens seront prises en compte par le bureau d’études. Pour l’instant, le projet n’est qu’au commencement. À la suite de la réunion d’information au sujet de cet avant-projet, le bureau d’études prendra en compte les remarques, et une étude des incidences sera lancée. Par après, une demande de permis sera lancée par la société, l’enquête publique sera ouverte et une décision sera finalement prise. Un recours peut également être demandé. Les citoyens peuvent envoyer leurs remarques, questions ou suggestions jusqu’au 8 mars.
Si le projet passe toutes les étapes, il pourra débuter la construction en 2021.
https://www.dhnet.be/regions/charleroi/erquelinnes-cinq-eoliennes-souhaitent-s-implanter-le-long-de-la-n54-5c6dbb2ed8ad5878f0dea70b
20/02/19 : Projet de parc éolien à Erquelinnes : réunion d'information
A Erquelinnes, un projet d’éoliennes devrait voir le jour. Les habitants sont amenés à prendre connaissance du projet d’installation de 5 éoliennes dans la commune, le long de la Nationale 4. En effet, une réunion d’information a lieu ce soir au centre culturel de Solre-Sur-Sambre. Les habitants auront ensuite jusqu’au 8 mars pour s’exprimer auprès de l’administration communale.
20/02/19 : Projet de parc éolien à Erquelinnes : réunion d'information
A Erquelinnes, un projet d’éoliennes devrait voir le jour. Les habitants sont amenés à prendre connaissance du projet d’installation de 5 éoliennes dans la commune, le long de la Nationale 4. En effet, une réunion d’information a lieu ce soir au centre culturel de Solre-Sur-Sambre. Les habitants auront ensuite jusqu’au 8 mars pour s’exprimer auprès de l’administration communale.
https://www.telesambre.be/projet-de-parc-eolien-erquelinnes-reunion-dinformation
20/02/19 : Grandrieu: le chantier du parc éolien a commencé
A Sivry-Rance, le chantier du futur parc éolien vient de débuter. Les premiers travaux de terrassement pour la construction de voiries et la pose des câbles ont commencé, et on envisage la production d’électricité dès septembre. Un projet de quatre éoliennes dont la commune est partenaire. Et le financement est participatif et pourra rapporter à certains habitants de la Botte.
20/02/19 : Grandrieu: le chantier du parc éolien a commencé
A Sivry-Rance, le chantier du futur parc éolien vient de débuter. Les premiers travaux de terrassement pour la construction de voiries et la pose des câbles ont commencé, et on envisage la production d’électricité dès septembre. Un projet de quatre éoliennes dont la commune est partenaire. Et le financement est participatif et pourra rapporter à certains habitants de la Botte.
https://www.telesambre.be/grandrieu-le-chantier-du-parc-eolien-commence
20/02/19 : Courcelles : octroi du permis pour le parc éolien
L’échevin de l’Energie et du Développement durable de Courcelles, Christophe Clersy se réjouit. Le parc éolien porté par l’opérateur Ventis va finalement voir le jour à la croisée de l’autoroute E42 et du ring R3.
Ces trois éoliennes permettront d’alimenter en électricité près de 6000 ménages (hors chauffage). Le tout pour un investissement de 10 millions d’euros.
De plus, grâce à cette convention, la Commune et les Courcellois pourront prendre des parts jusqu’à 25 % !
Une information de nos confrères de la Nouvelle Gazette.
20/02/19 : Courcelles : octroi du permis pour le parc éolien
L’échevin de l’Energie et du Développement durable de Courcelles, Christophe Clersy se réjouit. Le parc éolien porté par l’opérateur Ventis va finalement voir le jour à la croisée de l’autoroute E42 et du ring R3.
Ces trois éoliennes permettront d’alimenter en électricité près de 6000 ménages (hors chauffage). Le tout pour un investissement de 10 millions d’euros.
De plus, grâce à cette convention, la Commune et les Courcellois pourront prendre des parts jusqu’à 25 % !
Une information de nos confrères de la Nouvelle Gazette.
https://www.telesambre.be/courcelles-octroi-du-permis-pour-le-parc-eolien
19/02/19 : Courcelles : permis octroyé pour le parc éolien de l’échangeur
Tous les feux sont désormais au vert pour le projet de parc éolien porté par l’opérateur tournaisien Ventis à la croisée de l’autoroute E42 et du ring R3.
19/02/19 : Courcelles : permis octroyé pour le parc éolien de l’échangeur
Tous les feux sont désormais au vert pour le projet de parc éolien porté par l’opérateur tournaisien Ventis à la croisée de l’autoroute E42 et du ring R3.
« Ces trois éoliennes nous seront très utiles pour remplir nos objectifs inscrits dans le plan climat », se réjouit Christophe Clersy, l’échevin Ecolo en charge de l’Énergie et du Développement durable.
►Grâce à une convention signée avec Ventis, la Commune et les Courcellois pourront prendre des parts jusqu’à 20 %.
►Ce parc éolien permettra d’alimenter en électricité près de 6.000 ménages, hors chauffage. Le tout pour un investissement global de 10 millions d’euros.
►Grâce à une convention signée avec Ventis, la Commune et les Courcellois pourront prendre des parts jusqu’à 20 %.
►Ce parc éolien permettra d’alimenter en électricité près de 6.000 ménages, hors chauffage. Le tout pour un investissement global de 10 millions d’euros.
https://www.sudinfo.be/id102978/article/2019-02-19/courcelles-permis-octroye-pour-le-parc-eolien-de-lechangeur
18/02/19 : Silly-Enghien : implantation d’un parc de quatre éoliennes
TOURNAI-ATH-MOUSCRON
Eoly (Colruyt Group) prévoit d’introduire une demande de permis unique de classe 1 relative à l’implantation d’un parc de quatre éoliennes.
La Ville signale que la s.a. Eoly (Colruyt Group) prévoit d’introduire une demande de permis unique de classe 1 relative à l’implantation d’un parc de quatre éoliennes d’une puissance totale supérieure à 3 MW.
Le projet se situe en partie sur la commune de Silly (trois éo- liennes) et sur Enghien (une éolienne), le long de l’autoroute A8/E429, au nord du village de Bassilly. À cet effet, une réunion d’information préalable sera organisée le mercredi 27 février 2019 à 19 heures en la salle Herman Moreau, rue de la Procession, 2 à Silly.
https://www.dhnet.be/regions/tournai-ath-mouscron/silly-enghien-implantation-d-un-parc-de-quatre-eoliennes-5c698dddd8ad5878f0c30545
18/02/19 : Tous à la voiture électrique ? Pas pour demain
Les voitures électriques, c'est l'avenir. Nous sommes nombreux à le penser mais si tout le monde décidait de rouler demain avec une voiture électrique, il n'est pas sûr que notre réseau d'électricité serait à même de le supporter.
18/02/19 : Silly-Enghien : implantation d’un parc de quatre éoliennes
TOURNAI-ATH-MOUSCRON
Eoly (Colruyt Group) prévoit d’introduire une demande de permis unique de classe 1 relative à l’implantation d’un parc de quatre éoliennes.
La Ville signale que la s.a. Eoly (Colruyt Group) prévoit d’introduire une demande de permis unique de classe 1 relative à l’implantation d’un parc de quatre éoliennes d’une puissance totale supérieure à 3 MW.
Le projet se situe en partie sur la commune de Silly (trois éo- liennes) et sur Enghien (une éolienne), le long de l’autoroute A8/E429, au nord du village de Bassilly. À cet effet, une réunion d’information préalable sera organisée le mercredi 27 février 2019 à 19 heures en la salle Herman Moreau, rue de la Procession, 2 à Silly.
https://www.dhnet.be/regions/tournai-ath-mouscron/silly-enghien-implantation-d-un-parc-de-quatre-eoliennes-5c698dddd8ad5878f0c30545
18/02/19 : Tous à la voiture électrique ? Pas pour demain
Les voitures électriques, c'est l'avenir. Nous sommes nombreux à le penser mais si tout le monde décidait de rouler demain avec une voiture électrique, il n'est pas sûr que notre réseau d'électricité serait à même de le supporter.
Laurent conduit une Tesla depuis 5 ans alors qu’Olivier roule avec une i3 BMW depuis 18 mois. Leurs deux voitures cumulent 160.000 km au compteur. Tous les deux rechargent leur voiture à la maison. Il s’agit d’une prise classique et le temps de recharge totale, selon les batteries, varie de quatre à dix heures. Cependant, il existe aussi des "superchargeurs", plus rapides. A titre d’exemple, ceux du réseau Tesla permettent notamment de faire le plein en 40 minutes. Très pratique pour Laurent lorsqu’il décide de partir en vacances à l’étranger. Il a pu comparer son temps de parcours avec celui d’une voiture traditionnelle : il perd à peine une heure sur un parcours entre la Belgique et le Midi de la France.
Premier handicap: le temps de recharge
Avec 200 km d’autonomie, Olivier, lui, privilégie les déplacements urbains. Tous les deux n’ont pratiquement plus d'entretien de véhicule, ni d'achat de carburant. C’est ainsi qu’ils rentabilisent leur choix.
Mais que se passerait-il si nous passions tous demain à la voiture électrique? Les experts sont unanimes: notre réseau d'électricité serait engorgé. Ce que confirme Damien Ernst, spécialiste des réseaux électriques et professeur à l’ULiège : "Si tout le monde rentrait le soir et commençait à brancher son véhicule électrique, nous aurions de gros problèmes au niveau du réseau de basse tension".
Autrement dit, nous aurions une multiplication de blackouts dans certaines rues. Et pas seulement ça prévient Joeri Van Mierlo, professeur à la VUB et spécialiste en technologie de la mobilité : "Avec 10% de voiture électrique sur le marché, on doit produire seulement 2% d'électricité supplémentaire. Mais si en 2050, le parc de voiture est 100% électriques, nous devrons produire 20% d'électricité supplémentaire."
Deux centrales nucléaires supplémentaires?
Pour se faire une idée, 20 % d'électricité de plus à produire, c'est l'équivalent de deux centrales nucléaires supplémentaires ou encore 1200 éoliennes offshore, la superficie de 24.000 terrains de foot couverts de panneaux photovoltaïques. Un défi technologique et financier énorme. Il n’empêche, nos experts sont confiants pour l’avenir. Ils préconisent notamment une gestion intelligente des recharges de voitures électriques, comme l'explique Damien Ernst: "Vous brancheriez simplement votre voiture le soir dans votre garage et automatiquement un ordinateur gérerait sa recharge afin qu’il n’y ait pas de problème d’approvisionnement en électricité sur le réseau électrique."
Dans le laboratoire de Joeri Van Mierlo à la VUB, les chercheurs mettent au point de nouveaux types de batteries plus légères. Elles stockent plus d'énergie et allègent la charge de la voiture.
Le tout à la voiture électrique, ce n’est pas pour demain mais les chercheurs et les gestionnaires de réseaux électriques y travaillent. Avec l’arrivée des énergies renouvelables, le véritable défi de demain sera de parvenir à les stocker en grandes quantité pour ensuite pouvoir les utiliser à des moments appropriés sans saturer nos réseaux électriques.
Premier handicap: le temps de recharge
Avec 200 km d’autonomie, Olivier, lui, privilégie les déplacements urbains. Tous les deux n’ont pratiquement plus d'entretien de véhicule, ni d'achat de carburant. C’est ainsi qu’ils rentabilisent leur choix.
Mais que se passerait-il si nous passions tous demain à la voiture électrique? Les experts sont unanimes: notre réseau d'électricité serait engorgé. Ce que confirme Damien Ernst, spécialiste des réseaux électriques et professeur à l’ULiège : "Si tout le monde rentrait le soir et commençait à brancher son véhicule électrique, nous aurions de gros problèmes au niveau du réseau de basse tension".
Autrement dit, nous aurions une multiplication de blackouts dans certaines rues. Et pas seulement ça prévient Joeri Van Mierlo, professeur à la VUB et spécialiste en technologie de la mobilité : "Avec 10% de voiture électrique sur le marché, on doit produire seulement 2% d'électricité supplémentaire. Mais si en 2050, le parc de voiture est 100% électriques, nous devrons produire 20% d'électricité supplémentaire."
Deux centrales nucléaires supplémentaires?
Pour se faire une idée, 20 % d'électricité de plus à produire, c'est l'équivalent de deux centrales nucléaires supplémentaires ou encore 1200 éoliennes offshore, la superficie de 24.000 terrains de foot couverts de panneaux photovoltaïques. Un défi technologique et financier énorme. Il n’empêche, nos experts sont confiants pour l’avenir. Ils préconisent notamment une gestion intelligente des recharges de voitures électriques, comme l'explique Damien Ernst: "Vous brancheriez simplement votre voiture le soir dans votre garage et automatiquement un ordinateur gérerait sa recharge afin qu’il n’y ait pas de problème d’approvisionnement en électricité sur le réseau électrique."
Dans le laboratoire de Joeri Van Mierlo à la VUB, les chercheurs mettent au point de nouveaux types de batteries plus légères. Elles stockent plus d'énergie et allègent la charge de la voiture.
Le tout à la voiture électrique, ce n’est pas pour demain mais les chercheurs et les gestionnaires de réseaux électriques y travaillent. Avec l’arrivée des énergies renouvelables, le véritable défi de demain sera de parvenir à les stocker en grandes quantité pour ensuite pouvoir les utiliser à des moments appropriés sans saturer nos réseaux électriques.
https://www.rtbf.be/info/societe/detail_tous-a-la-voiture-electrique-pas-pour-demain?id=10148060
16/02/19 : Leuze : Trois mâts qui constituent la goutte de trop
TOURNAI-ATH-MOUSCRON : La commune va étudier la possibilité d’une action juridique.
Le premier échevin Christian Brotcorne (Idées), en charge de l’aménagement du territoire, a fait le point sur l’extension du parc éolien à Tourpes-Thumaide. Les riverains se battent pour stopper cette multiplication des éoliennes dans une zone qui en compte déjà beaucoup. C’est la SA e-NosVents (EDF Luminus et Ideta) qui avait introduit la demande. "Nous avons mené ce combat avec les Tourpiers. Cette extension à quatre mâts avait dans un premier temps été refusée par le ministre", a souligné l’échevin.
Mais le promoteur, EDF Luminus, dont Ideta s’est désolidarisée eu égard aux réactions émises par les communes concernées et les riverains, est allé en recours devant le Conseil d’État et a obtenu l’annulation du refu s . Après un complément d’enquête, le ministre a retiré une éolienne, mais le permis a été accordé. Il en reste trois, à proximité de la ligne TGV.
la commune n’a peut-être pas dit son dernier mot. Elle vise ainsi une des éoliennes qui serait trop proche de cette ligne TGV. "Et comme la SNCB n’avait pas remis d’avis, nous allons voir un avocat pour étudier la possibilité d’un recours, a expliqué Christian Brotcorne. Il y a déjà 16 éoliennes sur notre territoire et les riverains sont sujets aux nuisances, comme le bruit ou les effets stroboscopiques."
Le bourgmestre, Lucien Rawart (MR), a précisé qu’un courrier a été envoyé à la SNCB pour voir comment elle entend se positionner sur le dossier. "Il faut savoir que si ce fameux mât en question se couche, il va arriver sur la ligne TGV."
16/02/19 : Leuze : Trois mâts qui constituent la goutte de trop
TOURNAI-ATH-MOUSCRON : La commune va étudier la possibilité d’une action juridique.
Le premier échevin Christian Brotcorne (Idées), en charge de l’aménagement du territoire, a fait le point sur l’extension du parc éolien à Tourpes-Thumaide. Les riverains se battent pour stopper cette multiplication des éoliennes dans une zone qui en compte déjà beaucoup. C’est la SA e-NosVents (EDF Luminus et Ideta) qui avait introduit la demande. "Nous avons mené ce combat avec les Tourpiers. Cette extension à quatre mâts avait dans un premier temps été refusée par le ministre", a souligné l’échevin.
Mais le promoteur, EDF Luminus, dont Ideta s’est désolidarisée eu égard aux réactions émises par les communes concernées et les riverains, est allé en recours devant le Conseil d’État et a obtenu l’annulation du refu s . Après un complément d’enquête, le ministre a retiré une éolienne, mais le permis a été accordé. Il en reste trois, à proximité de la ligne TGV.
la commune n’a peut-être pas dit son dernier mot. Elle vise ainsi une des éoliennes qui serait trop proche de cette ligne TGV. "Et comme la SNCB n’avait pas remis d’avis, nous allons voir un avocat pour étudier la possibilité d’un recours, a expliqué Christian Brotcorne. Il y a déjà 16 éoliennes sur notre territoire et les riverains sont sujets aux nuisances, comme le bruit ou les effets stroboscopiques."
Le bourgmestre, Lucien Rawart (MR), a précisé qu’un courrier a été envoyé à la SNCB pour voir comment elle entend se positionner sur le dossier. "Il faut savoir que si ce fameux mât en question se couche, il va arriver sur la ligne TGV."
https://www.dhnet.be/regions/tournai-ath-mouscron/leuze-trois-mats-qui-constituent-la-goutte-de-trop-5c671f21d8ad5878f0b0ecf3
16/02/19 : Un projet éolien sur les hauteurs de Bande
16/02/19 : Un projet éolien sur les hauteurs de Bande
Sept éoliennes pourraient être installées entre les villages de Bande et Roy.
Les campagnes de Nassogne n’en ont pas totalement terminé avec les projets éoliens. Alors qu’une vague de protestation citoyenne avait entraîné le rejet du permis sollicité par Électrabel en 2016 pour l’implantation de cinq éoliennes au lieu-dit du Tiersain entre Nassogne et Grune, un nouvel opérateur vient de faire son entrée dans l’arène.
La société allemande Vortex souhaite développer un nouveau parc éolien sur les hauteurs du village de Bande, au lieu-dit du Point Zéro. Le dispositif se composerait de 7 éoliennes d’une hauteur avoisinant les 200 mètres. Le conseil communal a récemment approuvé l’accord de principe pour une mise à disposition des terrains.
"La procédure est différente des précédents dossiers éoliens dans la mesure où nous sommes ici dans une perspective d’implantation des pieds éoliens sur des propriétés communales", explique le bourgmestre Marc Quirynen. "Nous n’en sommes encore qu’aux prémisses du dossier. Des amendements doivent encore être apportés au projet de convention relative aux droits de superficie, que nous devons encore soumettre à un bureau d’étude juridique. À cela s’ajoutent encore les premiers contacts avec les propriétaires concernés et l’étude d’incidence qui doit déterminer la faisabilité du projet."
Le dossier n’en a pas moins éveillé l’intérêt de certains habitants de la commune. Comme Guy Loozen, un Nassognard particulièrement sensible à la question du développement éolien. Il a réalisé une projection à la latte et au crayon permettant de se représenter l’impact visuel d’un parc éolien sur les hauteurs de Bande.
"Les dessins ont été réalisés à l’échelle en prenant la hauteur des arbres (25 mètres) du site comme référence", écrit-il sur son compte Facebook. Les réactions n’ont pas tardé. "Pour l’instant, les retours ne sont pas très positifs", explique-t-il. "Mais c’est aux habitants des quartiers concernés de se mobiliser s’ils souhaitent exprimer leur mécontentement." Le dossier est appelé à revenir devant le conseil communal.
Les campagnes de Nassogne n’en ont pas totalement terminé avec les projets éoliens. Alors qu’une vague de protestation citoyenne avait entraîné le rejet du permis sollicité par Électrabel en 2016 pour l’implantation de cinq éoliennes au lieu-dit du Tiersain entre Nassogne et Grune, un nouvel opérateur vient de faire son entrée dans l’arène.
La société allemande Vortex souhaite développer un nouveau parc éolien sur les hauteurs du village de Bande, au lieu-dit du Point Zéro. Le dispositif se composerait de 7 éoliennes d’une hauteur avoisinant les 200 mètres. Le conseil communal a récemment approuvé l’accord de principe pour une mise à disposition des terrains.
"La procédure est différente des précédents dossiers éoliens dans la mesure où nous sommes ici dans une perspective d’implantation des pieds éoliens sur des propriétés communales", explique le bourgmestre Marc Quirynen. "Nous n’en sommes encore qu’aux prémisses du dossier. Des amendements doivent encore être apportés au projet de convention relative aux droits de superficie, que nous devons encore soumettre à un bureau d’étude juridique. À cela s’ajoutent encore les premiers contacts avec les propriétaires concernés et l’étude d’incidence qui doit déterminer la faisabilité du projet."
Le dossier n’en a pas moins éveillé l’intérêt de certains habitants de la commune. Comme Guy Loozen, un Nassognard particulièrement sensible à la question du développement éolien. Il a réalisé une projection à la latte et au crayon permettant de se représenter l’impact visuel d’un parc éolien sur les hauteurs de Bande.
"Les dessins ont été réalisés à l’échelle en prenant la hauteur des arbres (25 mètres) du site comme référence", écrit-il sur son compte Facebook. Les réactions n’ont pas tardé. "Pour l’instant, les retours ne sont pas très positifs", explique-t-il. "Mais c’est aux habitants des quartiers concernés de se mobiliser s’ils souhaitent exprimer leur mécontentement." Le dossier est appelé à revenir devant le conseil communal.
https://www.dhnet.be/regions/luxembourg/un-projet-eolien-sur-les-hauteurs-de-bande-5c66fca6d8ad5878f0afe4f8
16/02/19 : Bientôt un 2e parc éolien en zone forestière
Luminus projette d’implanter cinq éoliennes à l’est de la E25, au lieu-dit Bois de Groûmont.
En janvier dernier, le chantier du premier parc éolien en zone d’exploitation forestière de Belgique, porté par la société EDF Luminus, débutait au lieu-dit Lambiester dans la commune de Lirneux.
Aujourd’hui, alors que le nouveau parc de six éoliennes est en rodage - deux mats produisent déjà de l’électricité -, la même société annonce qu’elle prévoit d’introduire une demande de permis unique pour implanter un deuxième parc éolien en zone forestière, au lieu-dit Bois de Groûmont, à l’est de l’autoroute E25 entre Baneux (Lierneux) et Fraiture (Vielsalm).
" Ce projet s’inscrit dans le cadre de la politique européenne, nationale et régionale de réduction des émissions de gaz à effet de serre ", souligne André Samray, le bourgmestre de Lierneux. " Il porte sur l’implantation de cinq éoliennes et d’une cabine de tête, la pose de câbles électriques ainsi que sur la création de chemins d’accès et d’aires de montage."
La première réunion publique d’information se déroulera à la salle Le Vicinal, à Lierneux, le 28 février à 19 heures. La procédure prévoit qu’un mât soit placé pendant un an à l’endroit retenu afin de mesurer les vents. Ensuite, une étude d’incidences sera réalisée.
Le bourgmestre de Lierneux annonce qu’un troisième projet de parc éolien, porté par la société Storm, est à l’étude dans sa commune, à la sortie de l’autoroute E25 en direction de Bra-sur-Lienne. " Ce troisième projet est à cheval sur les communes de Lierneux et de Manhay. La première réunion d’information est programmée le 13 mars à Jevigné ", conclut-il.
16/02/19 : Bientôt un 2e parc éolien en zone forestière
Luminus projette d’implanter cinq éoliennes à l’est de la E25, au lieu-dit Bois de Groûmont.
En janvier dernier, le chantier du premier parc éolien en zone d’exploitation forestière de Belgique, porté par la société EDF Luminus, débutait au lieu-dit Lambiester dans la commune de Lirneux.
Aujourd’hui, alors que le nouveau parc de six éoliennes est en rodage - deux mats produisent déjà de l’électricité -, la même société annonce qu’elle prévoit d’introduire une demande de permis unique pour implanter un deuxième parc éolien en zone forestière, au lieu-dit Bois de Groûmont, à l’est de l’autoroute E25 entre Baneux (Lierneux) et Fraiture (Vielsalm).
" Ce projet s’inscrit dans le cadre de la politique européenne, nationale et régionale de réduction des émissions de gaz à effet de serre ", souligne André Samray, le bourgmestre de Lierneux. " Il porte sur l’implantation de cinq éoliennes et d’une cabine de tête, la pose de câbles électriques ainsi que sur la création de chemins d’accès et d’aires de montage."
La première réunion publique d’information se déroulera à la salle Le Vicinal, à Lierneux, le 28 février à 19 heures. La procédure prévoit qu’un mât soit placé pendant un an à l’endroit retenu afin de mesurer les vents. Ensuite, une étude d’incidences sera réalisée.
Le bourgmestre de Lierneux annonce qu’un troisième projet de parc éolien, porté par la société Storm, est à l’étude dans sa commune, à la sortie de l’autoroute E25 en direction de Bra-sur-Lienne. " Ce troisième projet est à cheval sur les communes de Lierneux et de Manhay. La première réunion d’information est programmée le 13 mars à Jevigné ", conclut-il.
https://www.dhnet.be/regions/luxembourg/bientot-un-2e-parc-eolien-en-zone-forestiere-5c66f51bd8ad5878f0afad3d
15/02/19 : Fini les subventions pour les futures éoliennes offshores belges
15/02/19 : Fini les subventions pour les futures éoliennes offshores belges
Le nouveau cadre réglementaire approuvé ce vendredi en conseil de ministres devrait permettre à la Belgique de doubler les capacités de son parc éolien offshore, et cela sans subventions.
Vidéo en ligne
https://canalz.levif.be/news/fini-les-subventions-pour-les-futures-eoliennes-offshores-belges/video-normal-1093113.html
13/02/19 : Les éoliennes à Leuze-en-Hainaut: ça suffit!
Comment empêcher l’implantation de trois éoliennes supplémentaires à Tourpes? La commune de Leuze-en-Hainaut va consulter un avocat pour savoir s’il est pertinent d’introduire un recours contre le permis accordé par le ministre Carlo Di Antonio à EDF Luminus. La majorité MR-Idées soutient les riverains qui s’opposent à l’extension du parc existant. «Trop is te veel» pour les Leuzois qui estiment avoir déjà donné en matière d’énergie renouvelable....
13/02/19 : Les éoliennes à Leuze-en-Hainaut: ça suffit!
Comment empêcher l’implantation de trois éoliennes supplémentaires à Tourpes? La commune de Leuze-en-Hainaut va consulter un avocat pour savoir s’il est pertinent d’introduire un recours contre le permis accordé par le ministre Carlo Di Antonio à EDF Luminus. La majorité MR-Idées soutient les riverains qui s’opposent à l’extension du parc existant. «Trop is te veel» pour les Leuzois qui estiment avoir déjà donné en matière d’énergie renouvelable....
https://www.nordeclair.be/346504/article/2019-02-13/les-eoliennes-leuze-en-hainaut-ca-suffit
13/02/19 : Rebecq : Une demande de permis unique va être déposée pour l’implantation de trois éoliennes
Une réunion d’information sera organisée le mercredi 20 février
13/02/19 : Rebecq : Une demande de permis unique va être déposée pour l’implantation de trois éoliennes
Une réunion d’information sera organisée le mercredi 20 février
La Ville d'Enghien signale que la s.a. Electrabel prévoit d’introduire une demande de permis unique relative à l’implantation de trois éoliennes accompagnées de leurs auxiliaires, d’une cabine de tête, de chemins d’accès, d’aires de montage et la pose de câbles électriques sur la commune de Rebecq. Le projet se situe le long de l’autoroute E429, au sud de la ligne de chemin de fer à grande vitesse. “ Ce projet s’inscrit dans le cadre de la politique européenne, nationale et régionale de réduction des émissions de gaz à effet de serre”, précise la ville. A cet effet, une réunion d’information préalable sera organisée le mercredi 20 février à 19 h en la salle communale de Wisbecq, place de Wisbecq, 15 à Rebecq.
https://www.dhnet.be/regions/tournai-ath-mouscron/rebecq-une-demande-de-permis-unique-va-etre-deposee-pour-l-implantation-de-trois-eoliennes-5c641b719978e2710e4de6d0
13/02/19 : HANNUT/BRAIVES : Les éoliennes sont déjà là, avant la décision du Conseil d'État
Même si le Conseil d’État n’a pas encore remis sa décision finale, les différents éléments des éoliennes arrivent déjà sur place.
13/02/19 : HANNUT/BRAIVES : Les éoliennes sont déjà là, avant la décision du Conseil d'État
Même si le Conseil d’État n’a pas encore remis sa décision finale, les différents éléments des éoliennes arrivent déjà sur place.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190212_01296396/les-eoliennes-sont-deja-la
12/02/19 : Deux enquêtes publiques pour 5 éoliennes le long de l'A8 à Ollignies et Hellebecq
Storm, Eoly, Engie Electrabel et Clef ont introduit une demande de permis pour un parc de 5 éoliennes.
Ce vendredi 15 février, deux enquêtes publiques s'ouvrent dans les communes de Lessines, Silly, Enghien, Ath et Brugelette. Elles concernent deux demandes de permis pour la construction d'éoliennes.
La première demande émane de Storm et Eoly, la filiale énergie du groupe Colruyt. Le projet consiste en la création de trois éoliennes au nord de l'A8, à proximité de l'éolienne déjà existante sur le site de distribution Colruyt à Ollignies. Ces éoliennes auront une hauteur maximale de 150 mètres, pales comprises. Elles permettront d'alimenter 4.500 à 6.400 ménages.
La deuxième demande est effectuée par Engie Electrabel et la coopérative Clef. Ce projet, au sud de l'autoroute, se situe à proximité de l'aire d'Hellebecq et comprend deux éoliennes de maximum 130 mètres de haut. Elles permettront d'alimenter 3.000 ménages. Ces deux parcs combinés permettront d'éviter l’émission de 10 tonnes de CO2.
Ces deux projets étant très proches l'un de l'autre, les demandeurs ont collaboré. Ils ont par exemple réaliser les études d'incidence ensemble. C'est une première dans ce type de projet. En collaborant, les partenaires ont d'ailleurs décidé de chacun diminuer le nombre d'éoliennes par rapport à leur projet initial. Avec deux éoliennes de plus, la productivité maximale n'était en effet pas assurée.
Des citoyens participent également à ce projet. Via Eoly Cooopérative pour le projet nord. Et via Clef pour le projet sud. Dans ce projet, une éolienne sera d'ailleurs 100% citoyenne. Clef organisera une réunion d'information sur la coopérative le 12 mars prochain à Silly. Les enquêtes publiques sont ouvertes jusqu'au 18 mars. Les demandeurs espèrent avoir une réponse à leur demande de permis cet été.
12/02/19 : Deux enquêtes publiques pour 5 éoliennes le long de l'A8 à Ollignies et Hellebecq
Storm, Eoly, Engie Electrabel et Clef ont introduit une demande de permis pour un parc de 5 éoliennes.
Ce vendredi 15 février, deux enquêtes publiques s'ouvrent dans les communes de Lessines, Silly, Enghien, Ath et Brugelette. Elles concernent deux demandes de permis pour la construction d'éoliennes.
La première demande émane de Storm et Eoly, la filiale énergie du groupe Colruyt. Le projet consiste en la création de trois éoliennes au nord de l'A8, à proximité de l'éolienne déjà existante sur le site de distribution Colruyt à Ollignies. Ces éoliennes auront une hauteur maximale de 150 mètres, pales comprises. Elles permettront d'alimenter 4.500 à 6.400 ménages.
La deuxième demande est effectuée par Engie Electrabel et la coopérative Clef. Ce projet, au sud de l'autoroute, se situe à proximité de l'aire d'Hellebecq et comprend deux éoliennes de maximum 130 mètres de haut. Elles permettront d'alimenter 3.000 ménages. Ces deux parcs combinés permettront d'éviter l’émission de 10 tonnes de CO2.
Ces deux projets étant très proches l'un de l'autre, les demandeurs ont collaboré. Ils ont par exemple réaliser les études d'incidence ensemble. C'est une première dans ce type de projet. En collaborant, les partenaires ont d'ailleurs décidé de chacun diminuer le nombre d'éoliennes par rapport à leur projet initial. Avec deux éoliennes de plus, la productivité maximale n'était en effet pas assurée.
Des citoyens participent également à ce projet. Via Eoly Cooopérative pour le projet nord. Et via Clef pour le projet sud. Dans ce projet, une éolienne sera d'ailleurs 100% citoyenne. Clef organisera une réunion d'information sur la coopérative le 12 mars prochain à Silly. Les enquêtes publiques sont ouvertes jusqu'au 18 mars. Les demandeurs espèrent avoir une réponse à leur demande de permis cet été.
https://www.notele.be/it9-media63147-deux-enquetes-publiques-pour-5-eoliennes-le-long-de-l-a8-a-ollignies-et-hellebecq.html
08/02/19 : Un comité contre les 10 futures éoliennes du zoning Tournai Ouest
Un projet de 10 éoliennes devrait voir le jour en 2020 aux côtés des 8 machines déjà existantes sur le site du zoning Tournai ouest. Ce qui ferait de ce lieu l'un des plus grand parcs éoliens de Wallonie voire même du royaume. Un comité de riverains s'est créé contre ce projet qu'ils jugent pharaonique et dangereux d'un point de vue sanitaire et sécuritaire.
08/02/19 : Un comité contre les 10 futures éoliennes du zoning Tournai Ouest
Un projet de 10 éoliennes devrait voir le jour en 2020 aux côtés des 8 machines déjà existantes sur le site du zoning Tournai ouest. Ce qui ferait de ce lieu l'un des plus grand parcs éoliens de Wallonie voire même du royaume. Un comité de riverains s'est créé contre ce projet qu'ils jugent pharaonique et dangereux d'un point de vue sanitaire et sécuritaire.
https://www.notele.be/it9-media63055-un-comite-contre-les-10-futures-eoliennes-du-zoning-tournai-ouest.html
08/02/19 : Frameries: les 6 éoliennes le long du R5 en débat
C’est en l’auditoire de la maison des pharmaciens à l’avenue des Nouvelles Technologies à Frameries qu’a eu lieu, ce jeudi soir, la présentation du projet d’implantation de six nouvelles éoliennes le long du R5 sur les communes de Mons et Frameries. Une centaine de personnes étaient présentes.
L’objet de cette réunion était triple : permettre au demandeur de présenter son projet, permettre au public de s’informer et d’émettre des observations, mettre en évidence des points particuliers qui pourraient être abordés dans l’étude d’incidences....
08/02/19 : Frameries: les 6 éoliennes le long du R5 en débat
C’est en l’auditoire de la maison des pharmaciens à l’avenue des Nouvelles Technologies à Frameries qu’a eu lieu, ce jeudi soir, la présentation du projet d’implantation de six nouvelles éoliennes le long du R5 sur les communes de Mons et Frameries. Une centaine de personnes étaient présentes.
L’objet de cette réunion était triple : permettre au demandeur de présenter son projet, permettre au public de s’informer et d’émettre des observations, mettre en évidence des points particuliers qui pourraient être abordés dans l’étude d’incidences....
https://www.laprovince.be/343959/article/2019-02-08/frameries-les-6-eoliennes-le-long-du-r5-en-debat
08/02/19 : Projet éolien à Grand-Reng: c’est la grogne!
Grand-Reng, petit village de l’entité d’Erquelinnes, est particulièrement attaché à son caractère champêtre. Pourtant, il est souvent convoité par les entreprises souhaitant y développer l’un ou l’autre projet. Cette fois, c’est un projet éolien qui est proposé. Mais, il semble que les riverains n’embrassent pas tout à fait l’idée…
Une demande de permis unique pour la construction et l’exploitation de 5 éoliennes sur le territoire de Grand-Reng a été introduite à la Commune d’Erquelinnes. Ces géants de fer auront une puissance maximale de 25mw et se situeront sur des terrains agricoles, entre le chemin de Grand-Reng et la rue Paul Pastur. Ce projet fait encore l’objet d’une évaluation de l’impact sur l’environnement....
08/02/19 : Projet éolien à Grand-Reng: c’est la grogne!
Grand-Reng, petit village de l’entité d’Erquelinnes, est particulièrement attaché à son caractère champêtre. Pourtant, il est souvent convoité par les entreprises souhaitant y développer l’un ou l’autre projet. Cette fois, c’est un projet éolien qui est proposé. Mais, il semble que les riverains n’embrassent pas tout à fait l’idée…
Une demande de permis unique pour la construction et l’exploitation de 5 éoliennes sur le territoire de Grand-Reng a été introduite à la Commune d’Erquelinnes. Ces géants de fer auront une puissance maximale de 25mw et se situeront sur des terrains agricoles, entre le chemin de Grand-Reng et la rue Paul Pastur. Ce projet fait encore l’objet d’une évaluation de l’impact sur l’environnement....
https://www.lanouvellegazette.be/343957/article/2019-02-08/projet-eolien-grand-reng-cest-la-grogne
08/02/19 : NASSOGNE : Sept éoliennes à Bande ?
Un projet de parc éoliensur les hauteurs de Bande a été présenté lors du conseil communal de Nassogne.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190207_01294118/sept-eoliennes-a-bande
08/02/19 : LÉGLISE ET NEUFCHÂTEAU : Les cinq éoliennes de plus au bord de l'E411 inquiètent les riverains
Aspiravi a présenté un projet de 5 éoliennes, qui pourrait passer à quatre. Les riverains s’inquiètent de ce 5e projet éolien.https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190207_01294006/les-cinq-eoliennes-de-plus-inquietent
08/02/19 : "On vendra notre maison si les éoliennes sont là"
08/02/19 : NASSOGNE : Sept éoliennes à Bande ?
Un projet de parc éoliensur les hauteurs de Bande a été présenté lors du conseil communal de Nassogne.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190207_01294118/sept-eoliennes-a-bande
08/02/19 : LÉGLISE ET NEUFCHÂTEAU : Les cinq éoliennes de plus au bord de l'E411 inquiètent les riverains
Aspiravi a présenté un projet de 5 éoliennes, qui pourrait passer à quatre. Les riverains s’inquiètent de ce 5e projet éolien.https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190207_01294006/les-cinq-eoliennes-de-plus-inquietent
08/02/19 : "On vendra notre maison si les éoliennes sont là"
Mercredi soir, le promoteur flamand Aspiravi a présenté son projet pour implanter 5 éoliennes.
Le village de Nivelet a tout d’un endroit charmant. Du moins, tant qu’il n’a pas les éoliennes prévues dans le cadre des projets portés notamment par Storm ou EDF/Luminus/Alternative Green. Didier Barrière habite en effet en face d’une future implantation.
Le projet en question est encore au stade des études d’incidence mais cet habitat n’est guère optimiste. "On aurait au moins une éolienne, située à 800 mètres de notre jardin. Quelle belle vue directe sur ce machin. Mais je vous avoue qu’on s’en passerait bien", confie-t-il dépité. Cela fait maintenant quatre ans qu’il a déposé ses valises dans la commune.
Après avoir goûté aux joies de la construction, la famille se plaît très bien dans cet environnement et a pris ses habitudes au fil du temps. Mais la probable arrivée d’éoliennes change tout. "On ne vit pas trop bien cette situation. On pense sérieusement à déménager si un des projets aboutit. C’est vraiment dommage mais on ne saurait pas vivre avec les éoliennes en face de chez soi. Outre le fait d’avoir un visuel gâché, n’oublions pas les effets secondaires qu’engendrent les éoliennes (effet stroboscopique, bruit, etc.)."
Bref, sa solution ultime serait le déménagement. Dans l’aventure, Didier subirait aussi une énorme perte financière. "Un expert immobilier est venu la semaine dernière. On attend encore l’estimation de notre maison. En étant réaliste, on sait qu’un bien situé en face d’une éolienne perd environ 30 % de sa valeur réelle. Et si nous devons acheter un terrain, construire une nouvelle maison et remeubler, j’estime la perte à au moins 100 000 euros dans l’aventure. Sans compter l’aspect moral et humain que cela va engendrer", conclut-il.
Avant d’en arriver là, pas mal de vent peut encore souffler. Didier et son épouse savent que personne n’est à l’abri d’un tel scénario et espèrent que la commune pourra trouver une solution pour freiner les différents projets en cours à Léglise. Du côté de la commune, on annonce la mise en place d’un S.O.L. (Schéma d’Orientation local) qui, d’une certaine façon, pourrait freiner l’évolution de certains projets au cours des trois prochaines années.
Le village de Nivelet a tout d’un endroit charmant. Du moins, tant qu’il n’a pas les éoliennes prévues dans le cadre des projets portés notamment par Storm ou EDF/Luminus/Alternative Green. Didier Barrière habite en effet en face d’une future implantation.
Le projet en question est encore au stade des études d’incidence mais cet habitat n’est guère optimiste. "On aurait au moins une éolienne, située à 800 mètres de notre jardin. Quelle belle vue directe sur ce machin. Mais je vous avoue qu’on s’en passerait bien", confie-t-il dépité. Cela fait maintenant quatre ans qu’il a déposé ses valises dans la commune.
Après avoir goûté aux joies de la construction, la famille se plaît très bien dans cet environnement et a pris ses habitudes au fil du temps. Mais la probable arrivée d’éoliennes change tout. "On ne vit pas trop bien cette situation. On pense sérieusement à déménager si un des projets aboutit. C’est vraiment dommage mais on ne saurait pas vivre avec les éoliennes en face de chez soi. Outre le fait d’avoir un visuel gâché, n’oublions pas les effets secondaires qu’engendrent les éoliennes (effet stroboscopique, bruit, etc.)."
Bref, sa solution ultime serait le déménagement. Dans l’aventure, Didier subirait aussi une énorme perte financière. "Un expert immobilier est venu la semaine dernière. On attend encore l’estimation de notre maison. En étant réaliste, on sait qu’un bien situé en face d’une éolienne perd environ 30 % de sa valeur réelle. Et si nous devons acheter un terrain, construire une nouvelle maison et remeubler, j’estime la perte à au moins 100 000 euros dans l’aventure. Sans compter l’aspect moral et humain que cela va engendrer", conclut-il.
Avant d’en arriver là, pas mal de vent peut encore souffler. Didier et son épouse savent que personne n’est à l’abri d’un tel scénario et espèrent que la commune pourra trouver une solution pour freiner les différents projets en cours à Léglise. Du côté de la commune, on annonce la mise en place d’un S.O.L. (Schéma d’Orientation local) qui, d’une certaine façon, pourrait freiner l’évolution de certains projets au cours des trois prochaines années.
https://www.dhnet.be/regions/luxembourg/on-vendra-notre-maison-si-les-eoliennes-sont-la-5c5c673b9978e2710e1f3bf1
07/02/19 : La Belgique, pionnière de l’éolien offshore😟
La Belgique est dans le peloton de tête européen du développement de l’éolien offshore, avec l’Allemagne et le Royaume-Uni. Les autres États se lancent, encouragés par des coûts en chute libre.
07/02/19 : La Belgique, pionnière de l’éolien offshore😟
La Belgique est dans le peloton de tête européen du développement de l’éolien offshore, avec l’Allemagne et le Royaume-Uni. Les autres États se lancent, encouragés par des coûts en chute libre.
La Belgique n’est pas en avance dans le développement des énergies renouvelables. Alors que l’Europe nous impose d’atteindre 13 % d’énergie renouvelable en 2020, on en était, lors du dernier comptage officiel, à 8,7 % (2016). Au sein de l’Union, il n’y a que Malte, les Pays-Bas et le Luxembourg qui font pire…
Pour parvenir à ses fins, la Belgique doit notamment doper sa production d’électricité renouvelable. Mais certains secteurs souffrent, comme le photovoltaïque (déficit d’image) ou l’éolien terrestre (sans cesse attaqué en justice par des riverains mécontents). Mais un secteur se porte à merveille : l’éolien en mer du Nord (les poissons peuvent difficilement introduire un recours pour outrage au...
Pour parvenir à ses fins, la Belgique doit notamment doper sa production d’électricité renouvelable. Mais certains secteurs souffrent, comme le photovoltaïque (déficit d’image) ou l’éolien terrestre (sans cesse attaqué en justice par des riverains mécontents). Mais un secteur se porte à merveille : l’éolien en mer du Nord (les poissons peuvent difficilement introduire un recours pour outrage au...
https://plus.lesoir.be/205367/article/2019-02-07/la-belgique-pionniere-de-leolien-offshore
07/02/19 : Implantation d'éoliennes à Léglise : "On est la vache à lait de la Wallonie"
Point de tension palpable ce mercredi soir dans la salle qui accueillait les habitants de la commune et le promoteur ASPIRAVI. Au menu, une présentation du projet éolien par la société flamande. Pourtant, des questions habituelles de la part des riverains qui ne veulent aujourd’hui plus entendre parler du moindre projet éolien sur leur territoire ont fusé.
« Mon sentiment? Dans l’absolu, je ne suis pas contre l’éolien. Ce qui me dérange, c’est la mainmise des sociétés qui savent que l’éolien actuel n’est pas rentable. On nous prend vraiment pour des idiots. Je dis que ces promoteurs sont chez uniquement nous pour chasser des certificats verts. Cela me met en rage, quand on sait que c’est le peuple qui paye au final », confie André Henrotte. Ce dernier habite à quelques centaines de mètres d’une future éolienne…si le projet aboutit un jour.
Hier soir, il n’a pas eu le sentiment d’avoir été écouté par le promoteur. « Ils se foutent tous de nous. ASPIRAVI nous a même présenté des clichés que nous avions vu la semaine précédente. Clichés pris et présentés par EDF/Luminus (un autre promoteur). Ils ont fait du copier/coller et nous disent être à notre écoute. Quand on leur a posé la question de savoir s’ils allaient prendre en compte nos revendications, ils ont d’abord répondu qu’ils étaient là parce que la loi les y oblige. Incroyable. Et pourquoi déjà signer des contrats avec les propriétaires de terrain si l’étude d’incidence n’a pas encore démarré? On se sent vraiment abandonné dans ce pays. La Province de Luxembourg, c’est devenu la colonie de la Région wallonne. On aime bien y venir en vacances. Pour le reste, c’est : démerdez-vous! », conclut-il. Heureusement, la commune de Léglise est à l’écoute de ses citoyens.
Le bourgmestre apporte plus de précisions sur la suite des opérations. « Le collège a recherché une solution et, renseignements pris, il en existe une : c'est le S.O.L. (Schéma d'Orientation Local). La vérification est en cours au service de l'urbanisme à Arlon. Il y a des étapes à respecter. Le collège prend ce vendredi la décision de principe de lancer le SOL, confirmée par le Conseil Communal du 27 février. Une modification budgétaire sera mise en place pour financer ce SOL, avec subside possible de 60 %. Ce schéma d'orientation doit être mis en oeuvre dans les 3 ans. Ce sont donc 3 années de blocage. Le Schéma d'Orientation Local a pour but, comme les habitants, de mettre de l'ordre dans ces projets. Cela permettra au Conseil Communal de voter un nouveau cadre éolien communal et réadapter l'argumentation ( NDLR: l’ancien a été voté en 2013 et les conditions ont changé, cfr la taille des machines). En conclusion, pas de permis avant un bon moment. Et quand un permis sera délivré, il sera la suite d'une réflexion globale permettant une vue d'ensemble de tous les éléments », confie Francis Demasy.
07/02/19 : Implantation d'éoliennes à Léglise : "On est la vache à lait de la Wallonie"
Point de tension palpable ce mercredi soir dans la salle qui accueillait les habitants de la commune et le promoteur ASPIRAVI. Au menu, une présentation du projet éolien par la société flamande. Pourtant, des questions habituelles de la part des riverains qui ne veulent aujourd’hui plus entendre parler du moindre projet éolien sur leur territoire ont fusé.
« Mon sentiment? Dans l’absolu, je ne suis pas contre l’éolien. Ce qui me dérange, c’est la mainmise des sociétés qui savent que l’éolien actuel n’est pas rentable. On nous prend vraiment pour des idiots. Je dis que ces promoteurs sont chez uniquement nous pour chasser des certificats verts. Cela me met en rage, quand on sait que c’est le peuple qui paye au final », confie André Henrotte. Ce dernier habite à quelques centaines de mètres d’une future éolienne…si le projet aboutit un jour.
Hier soir, il n’a pas eu le sentiment d’avoir été écouté par le promoteur. « Ils se foutent tous de nous. ASPIRAVI nous a même présenté des clichés que nous avions vu la semaine précédente. Clichés pris et présentés par EDF/Luminus (un autre promoteur). Ils ont fait du copier/coller et nous disent être à notre écoute. Quand on leur a posé la question de savoir s’ils allaient prendre en compte nos revendications, ils ont d’abord répondu qu’ils étaient là parce que la loi les y oblige. Incroyable. Et pourquoi déjà signer des contrats avec les propriétaires de terrain si l’étude d’incidence n’a pas encore démarré? On se sent vraiment abandonné dans ce pays. La Province de Luxembourg, c’est devenu la colonie de la Région wallonne. On aime bien y venir en vacances. Pour le reste, c’est : démerdez-vous! », conclut-il. Heureusement, la commune de Léglise est à l’écoute de ses citoyens.
Le bourgmestre apporte plus de précisions sur la suite des opérations. « Le collège a recherché une solution et, renseignements pris, il en existe une : c'est le S.O.L. (Schéma d'Orientation Local). La vérification est en cours au service de l'urbanisme à Arlon. Il y a des étapes à respecter. Le collège prend ce vendredi la décision de principe de lancer le SOL, confirmée par le Conseil Communal du 27 février. Une modification budgétaire sera mise en place pour financer ce SOL, avec subside possible de 60 %. Ce schéma d'orientation doit être mis en oeuvre dans les 3 ans. Ce sont donc 3 années de blocage. Le Schéma d'Orientation Local a pour but, comme les habitants, de mettre de l'ordre dans ces projets. Cela permettra au Conseil Communal de voter un nouveau cadre éolien communal et réadapter l'argumentation ( NDLR: l’ancien a été voté en 2013 et les conditions ont changé, cfr la taille des machines). En conclusion, pas de permis avant un bon moment. Et quand un permis sera délivré, il sera la suite d'une réflexion globale permettant une vue d'ensemble de tous les éléments », confie Francis Demasy.
https://www.dhnet.be/regions/luxembourg/implantation-d-eoliennes-a-leglise-on-est-la-vache-a-lait-de-la-wallonie-5c5c11fd9978e2710e1cd805
07/02/19 : Un nouveau projet éolien à Léglise et Neufchâteau
Les projets éoliens se multiplient dans la commune de Léglise. Le dernier en date a été présenté hier soir dans le village de Les Fossés. Cinq éoliennes pourraient être prochainement érigées le long de l’autoroute. Du côté de certains riverains, on craint un impact trop important au vu du nombre de projets en cours de développement.
07/02/19 : Un nouveau projet éolien à Léglise et Neufchâteau
Les projets éoliens se multiplient dans la commune de Léglise. Le dernier en date a été présenté hier soir dans le village de Les Fossés. Cinq éoliennes pourraient être prochainement érigées le long de l’autoroute. Du côté de certains riverains, on craint un impact trop important au vu du nombre de projets en cours de développement.
Voir vidéo en ligne
https://www.tvlux.be/video/info/un-nouveau-projet-eolien-a-leglise-et-neufchateau_31017.html
07/02/19 : Un nouveau projet éolien est lancé dans les communes de Neufchâteau et de Léglise
Cinq éoliennes pourraient être prochainement implantées le long de l’autoroute E25 au nord et au sud de l’aire de repos de Léglise.
Pour cette commune en particulier, c’est le troisième projet d’envergure qui est en cours de développement.
Le promoteur Aspiravi a rencontré les riverains hier soir...
07/02/19 : Un nouveau projet éolien est lancé dans les communes de Neufchâteau et de Léglise
Cinq éoliennes pourraient être prochainement implantées le long de l’autoroute E25 au nord et au sud de l’aire de repos de Léglise.
Pour cette commune en particulier, c’est le troisième projet d’envergure qui est en cours de développement.
Le promoteur Aspiravi a rencontré les riverains hier soir...
https://www.rtbf.be/info/regions/luxembourg/detail_un-nouveau-projet-eolien-est-lance-dans-les-communes-de-neufchateau-et-de-leglise?id=10139299
06/02/19 : Le chantier du parc éolien d'Ecaussinnes est terminé
Les trois éoliennes ont été installées en l'espace de d'une vingtaine de jours.
Trois mâts éoliens de 150 mètres de hauteur trônent désormais sur toute l'entité d'Ecaussinnes. La dernière des trois éoliennes a été installée ce mardi soir le long de la RN57 après une journée de travaux intensifs ponctuée par le placement de la gigantesque hélice. Le tout avec l'aide d'une grue aussi imposante que l'éolienne elle-même. Le parc éolien d'Ecaussinnes est donc désormais terminé, deux semaines après que la première éolienne ait été placée. Il ne reste plus qu'à effectuer les dernières installations techniques afin de lancer les éoliennes et de produire les premiers watts.
Chacune de ces constructions sera capable de produire 3,2 MW. Le parc éolien produira ainsi annuellement près de 19 250 MWh, soit l'équivalent de la consommation de 5500 ménages wallons. En théorie, Ecaussinnes pourrait donc être autosuffisante. En théorie seulement, car en pratique, l'énergie produite sera injectée sur tout le réseau.
Ce nouveau parc éolien est financé et construit par Wind4Wallonia 2, un partenariat public-privé entre Engie Electrabel et six intercommunales wallonnes dont IDEA. "La construction de ce parc confirme les ambitions d'Engie Electrabel d'exploiter plus de 550 MW éoliens terrestres à l'horizon 2020", indiquait Olivier Desclée, porte-parole du fournisseur d'énergie, lors du début des travaux en mai 2018. "Nous fournissons déjà une capacité de production éolienne de 316 MW en Belgique et nous sommes bien partis pour atteindre nos objectifs de 2020 avec en ce moment, la concrétisation de nombreux projets."
Pour Ecaussinnes, c'est une première. La SWDE a bien érigé une éolienne, mais pour sa consommation propre. Total projette également d'ériger trois mâts pour ses besoins. Ici, les trois éoliennes installées le long de la RN57 produiront de l'électricité pour le réseau public et alimenteront les ménages. Les éoliennes permettront d’éviter l’émission de 7.700 tonnes de CO2 par an.
06/02/19 : Le chantier du parc éolien d'Ecaussinnes est terminé
Les trois éoliennes ont été installées en l'espace de d'une vingtaine de jours.
Trois mâts éoliens de 150 mètres de hauteur trônent désormais sur toute l'entité d'Ecaussinnes. La dernière des trois éoliennes a été installée ce mardi soir le long de la RN57 après une journée de travaux intensifs ponctuée par le placement de la gigantesque hélice. Le tout avec l'aide d'une grue aussi imposante que l'éolienne elle-même. Le parc éolien d'Ecaussinnes est donc désormais terminé, deux semaines après que la première éolienne ait été placée. Il ne reste plus qu'à effectuer les dernières installations techniques afin de lancer les éoliennes et de produire les premiers watts.
Chacune de ces constructions sera capable de produire 3,2 MW. Le parc éolien produira ainsi annuellement près de 19 250 MWh, soit l'équivalent de la consommation de 5500 ménages wallons. En théorie, Ecaussinnes pourrait donc être autosuffisante. En théorie seulement, car en pratique, l'énergie produite sera injectée sur tout le réseau.
Ce nouveau parc éolien est financé et construit par Wind4Wallonia 2, un partenariat public-privé entre Engie Electrabel et six intercommunales wallonnes dont IDEA. "La construction de ce parc confirme les ambitions d'Engie Electrabel d'exploiter plus de 550 MW éoliens terrestres à l'horizon 2020", indiquait Olivier Desclée, porte-parole du fournisseur d'énergie, lors du début des travaux en mai 2018. "Nous fournissons déjà une capacité de production éolienne de 316 MW en Belgique et nous sommes bien partis pour atteindre nos objectifs de 2020 avec en ce moment, la concrétisation de nombreux projets."
Pour Ecaussinnes, c'est une première. La SWDE a bien érigé une éolienne, mais pour sa consommation propre. Total projette également d'ériger trois mâts pour ses besoins. Ici, les trois éoliennes installées le long de la RN57 produiront de l'électricité pour le réseau public et alimenteront les ménages. Les éoliennes permettront d’éviter l’émission de 7.700 tonnes de CO2 par an.
https://www.dhnet.be/regions/centre/le-chantier-du-parc-eolien-d-ecaussinnes-est-termine-5c5aabfed8ad5878f06db179
06/02/19 : Rebecq: Un projet de trois éoliennes le long de l’E429
Une réunion d’information préalable au projet sera organisée le mercredi 20 février prochain.
Le paysage rebecquois comptera-t-il prochainement trois nouveaux habitants ? C’est en tout cas l’objectif de la S.A. Electrabel, qui a l’intention d’introduire une demande de permis en vue d’implanter trois éoliennes le long de l’autoroute E 429. Les trois mâts seraient accompagnés de leurs auxiliaires, d’une cabine de tête, de chemins d’accès et d’aires de montage.
Situé au sud de la ligne de chemin de fer à grande vitesse, le projet s’inscrit dans le cadre de la politique européenne, nationale et régionale de réduction des émissions de gaz à effet de serre. "Pour le moment, je n’en sais pas beaucoup plus sur le projet", confie Dimitri Legasse, le bourgmestre de Rebecq.
Mais pas de panique : Electrabel a prévu d’organiser une réunion d’information préalable au dépôt de la demande de permis. Cette réunion se tiendra le mercredi 20 février prochain, à 19 h, dans la salle communale de Wisbecq. "J’y assisterai avec beaucoup d’attention afin d’y obtenir les informations nécessaires. A priori, la commune n’est pas opposée aux énergies renouvelables, d’autant plus qu’on possède également un projet électrique sur la Senne."
Mais au stade actuel, impossible pour le maïeur de se prononcer sur le bien-fondé, ou non, de cette future demande de permis. "Actuellement, nous n’avons pas d’avis et je tiens à préciser que la commune n’est pas porteuse du projet et que, d’après ce que j’ai compris, nous n’avons pas le dernier mot non plus."
En effet, visiblement , si la commune peut donner son avis à l’issue de l’enquête publique, celui-ci ne sera pas restrictif. Ce n’est pas parce que la commune rendrait un avis négatif que le projet tomberait à l’eau, et inversement. "D’après mes informations, c’est le fonctionnaire délégué et le fonctionnaire technique qui décideront au final", ajoute Dimitri Legasse.
Et si ces trois éoliennes devaient être installées, ce serait une grande première pour Rebecq. "J’ai en tête certaines intentions d’installer des éoliennes par le passé, mais aucune ne s’est matérialisée pour diverses raisons", conclut le maïeur rebecquois.
06/02/19 : Rebecq: Un projet de trois éoliennes le long de l’E429
Une réunion d’information préalable au projet sera organisée le mercredi 20 février prochain.
Le paysage rebecquois comptera-t-il prochainement trois nouveaux habitants ? C’est en tout cas l’objectif de la S.A. Electrabel, qui a l’intention d’introduire une demande de permis en vue d’implanter trois éoliennes le long de l’autoroute E 429. Les trois mâts seraient accompagnés de leurs auxiliaires, d’une cabine de tête, de chemins d’accès et d’aires de montage.
Situé au sud de la ligne de chemin de fer à grande vitesse, le projet s’inscrit dans le cadre de la politique européenne, nationale et régionale de réduction des émissions de gaz à effet de serre. "Pour le moment, je n’en sais pas beaucoup plus sur le projet", confie Dimitri Legasse, le bourgmestre de Rebecq.
Mais pas de panique : Electrabel a prévu d’organiser une réunion d’information préalable au dépôt de la demande de permis. Cette réunion se tiendra le mercredi 20 février prochain, à 19 h, dans la salle communale de Wisbecq. "J’y assisterai avec beaucoup d’attention afin d’y obtenir les informations nécessaires. A priori, la commune n’est pas opposée aux énergies renouvelables, d’autant plus qu’on possède également un projet électrique sur la Senne."
Mais au stade actuel, impossible pour le maïeur de se prononcer sur le bien-fondé, ou non, de cette future demande de permis. "Actuellement, nous n’avons pas d’avis et je tiens à préciser que la commune n’est pas porteuse du projet et que, d’après ce que j’ai compris, nous n’avons pas le dernier mot non plus."
En effet, visiblement , si la commune peut donner son avis à l’issue de l’enquête publique, celui-ci ne sera pas restrictif. Ce n’est pas parce que la commune rendrait un avis négatif que le projet tomberait à l’eau, et inversement. "D’après mes informations, c’est le fonctionnaire délégué et le fonctionnaire technique qui décideront au final", ajoute Dimitri Legasse.
Et si ces trois éoliennes devaient être installées, ce serait une grande première pour Rebecq. "J’ai en tête certaines intentions d’installer des éoliennes par le passé, mais aucune ne s’est matérialisée pour diverses raisons", conclut le maïeur rebecquois.
https://www.dhnet.be/regions/brabant/rebecq-un-projet-de-trois-eoliennes-le-long-de-l-e429-5c59fbdb7b50a60724762d6c
06/02/19 : PALISEUL - Bientôt cinq éoliennes du côté d’Our?
06/02/19 : PALISEUL - Bientôt cinq éoliennes du côté d’Our?
Engie-Electrabel souhaite introduire un permis pour implanter cinq éoliennes à Our, sur le territoire de Paliseul.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190205_01292062/bientot-cinq-eoliennes-du-cote-d-our
04/02/19 : Les promoteurs éoliens salivent sur Estinnes
04/02/19 : Les promoteurs éoliens salivent sur Estinnes
Bien située sur la carte du potentiel éolien, Estinnes voit poindre de nombreux projets.
Estinnes, une commune dans le vent ? Oui, et pas qu’un peu. La commune rurale et ses alentours sont en effet traversés par des courants qui leur ont valu une place de choix sur la carte du potentiel éolien dessinée par la Wallonie. De quoi faire saliver les promoteurs.
Actuellement, Estinnes abrite déjà les plus grandes éoliennes d’Europe. Mais voilà que de nouveaux projets pointent le bout du mât. Certains ne concernent pas directement Estinnes, mais des communes voisines. Si bien que s’ils aboutissent, les éoliennes pourraient se dresser à perte de vue dans le paysage estinnois.
Sur un terrain agricole situé entre le chemin de Grand Reng et la rue Paul Pasture à Erquellines, un parc de 5 éoliennes pour une puissance totale de 25 MW pourrait sortir de terre. Une séance d’information sera organisée le 20 février au centre culturel de Solre-sur-Sambre.
Un autre projet est par ailleurs sur les rails, à cheval sur Merbes, Erquelinnes et Estinnes. Il porte sur 7 éoliennes, dont une serait plantée sur le territoire estinnois. La commune a déjà manifesté son opposition sur ce dossier.
Enfin, un troisième projet est évoqué pour le village d’Harmignies. Il s’agit en fait de l’extension du parc existant. Trois éoliennes verraient le jour dans le hameau montois, tandis qu’une autre serait plantée sur Estinnes. Pour ce projet, une réunion d’information sera organisée le 14 février à la salle Calva d’Harmignies.
Les Estinnois sont invités à se prononcer sur ces trois projets. L’avis du collège est clair. "Nous sommes très favorables à l’énergie verte évidemment, mais notre position a toujours été claire. Nous ne pouvons pas nous faire encercler d’éoliennes et avoir des problèmes de covisibilité", indique la bourgmestre Aurore Tourneur. "Nous sommes donc opposés à l’implantation de nouveaux projets. Par contre, l’extension du parc existant semble plus pertinente. Ca n’aurait pas de sens de s’opposer à ces éoliennes-là, car le parc existe déjà."
Reste à voir dans quelle mesure la voix d’Estinnes sera entendue…
Electricité gratuite? Pourquoi pas!
L’information a fait le buzz la semaine dernière. À Crisnée, les habitants pourraient bien bénéficier de l’électricité gratuite grâce à une éolienne installée par la commune. Les quelque 3400 habitants du village devraient tout de même payer encore les frais de transport et l’utilisation du réseau. Mais ils pourraient ainsi voir leur facture diminuer de 30 %.
Possible à Estinnes ? Actuellement, le grand parc éolien fait l’objet d’une convention à travers laquelle le promoteur Windvision s’engage à financer sur la commune des projets liés au développement durable. "On pourrait soit négocier une nouvelle convention. Nous sommes d’ailleurs déjà en train de discuter à ce propos", confie la bourgmestre Aurore Tourneur. "Soit on envisage pour l’extension du parc une éolienne un peu différente avec, pourquoi pas, une participation de la commune. Il n’y a pas encore eu de discussion avec Windvision sur ce sujet. Mais si l’extension devait aboutir, nous pourrions en parler."
Estinnes, une commune dans le vent ? Oui, et pas qu’un peu. La commune rurale et ses alentours sont en effet traversés par des courants qui leur ont valu une place de choix sur la carte du potentiel éolien dessinée par la Wallonie. De quoi faire saliver les promoteurs.
Actuellement, Estinnes abrite déjà les plus grandes éoliennes d’Europe. Mais voilà que de nouveaux projets pointent le bout du mât. Certains ne concernent pas directement Estinnes, mais des communes voisines. Si bien que s’ils aboutissent, les éoliennes pourraient se dresser à perte de vue dans le paysage estinnois.
Sur un terrain agricole situé entre le chemin de Grand Reng et la rue Paul Pasture à Erquellines, un parc de 5 éoliennes pour une puissance totale de 25 MW pourrait sortir de terre. Une séance d’information sera organisée le 20 février au centre culturel de Solre-sur-Sambre.
Un autre projet est par ailleurs sur les rails, à cheval sur Merbes, Erquelinnes et Estinnes. Il porte sur 7 éoliennes, dont une serait plantée sur le territoire estinnois. La commune a déjà manifesté son opposition sur ce dossier.
Enfin, un troisième projet est évoqué pour le village d’Harmignies. Il s’agit en fait de l’extension du parc existant. Trois éoliennes verraient le jour dans le hameau montois, tandis qu’une autre serait plantée sur Estinnes. Pour ce projet, une réunion d’information sera organisée le 14 février à la salle Calva d’Harmignies.
Les Estinnois sont invités à se prononcer sur ces trois projets. L’avis du collège est clair. "Nous sommes très favorables à l’énergie verte évidemment, mais notre position a toujours été claire. Nous ne pouvons pas nous faire encercler d’éoliennes et avoir des problèmes de covisibilité", indique la bourgmestre Aurore Tourneur. "Nous sommes donc opposés à l’implantation de nouveaux projets. Par contre, l’extension du parc existant semble plus pertinente. Ca n’aurait pas de sens de s’opposer à ces éoliennes-là, car le parc existe déjà."
Reste à voir dans quelle mesure la voix d’Estinnes sera entendue…
Electricité gratuite? Pourquoi pas!
L’information a fait le buzz la semaine dernière. À Crisnée, les habitants pourraient bien bénéficier de l’électricité gratuite grâce à une éolienne installée par la commune. Les quelque 3400 habitants du village devraient tout de même payer encore les frais de transport et l’utilisation du réseau. Mais ils pourraient ainsi voir leur facture diminuer de 30 %.
Possible à Estinnes ? Actuellement, le grand parc éolien fait l’objet d’une convention à travers laquelle le promoteur Windvision s’engage à financer sur la commune des projets liés au développement durable. "On pourrait soit négocier une nouvelle convention. Nous sommes d’ailleurs déjà en train de discuter à ce propos", confie la bourgmestre Aurore Tourneur. "Soit on envisage pour l’extension du parc une éolienne un peu différente avec, pourquoi pas, une participation de la commune. Il n’y a pas encore eu de discussion avec Windvision sur ce sujet. Mais si l’extension devait aboutir, nous pourrions en parler."
https://www.dhnet.be/regions/centre/les-promoteurs-eoliens-salivent-sur-estinnes-5c5722717b50a6072451b3a7
02/02/19 : Habay : Scepticisme autour du projet éolien
Le projet de construction de deux éoliennes sur l’aire de Nantimont a été présenté jeudi soir au public.
02/02/19 : Habay : Scepticisme autour du projet éolien
Le projet de construction de deux éoliennes sur l’aire de Nantimont a été présenté jeudi soir au public.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190201_01290655/scepticisme-autour-du-projet-eolien
01/02/19 : Pourquoi la Wallonie installe des éoliennes démodées
01/02/19 : Pourquoi la Wallonie installe des éoliennes démodées
Michel de Schaetzen, le CEO d’Eneco Wind, connaît bien les freins au développement de l’énergie éolienne en Wallonie. Et il ne mâche pas ses mots sur le cadre régulatoire changeant. Il n’esquive pas non plus les questions qui fâchent comme les nuisances dénoncées par certains riverains, les accusations de surentabilité à l’encontre du secteur… Étant donné qu’il dirige également le développement éolien en Flandre, Miguel de Schaetzen est bien placé pour comparer les deux régions du pays.
https://www.lalibre.be/economie/conjoncture/pourquoi-la-wallonie-installe-des-eoliennes-demodees-5c534fd07b50a607243a50ca
31/01/19 : Sivry: début des travaux pour la construction du parc éolien
Le démarrage des travaux de construction du parc éolien de la commune de Sivry-Rance a été autorisé par le permis unique.
Les travaux commenceront le lundi 4 février 2019 et seront exécutés par l’entreprise Nonet S.A. missionnée par le porteur de projet, la société EDPR Belgium.
Les dits travaux consistent dans un premier temps au terrassement des voiries et aux excavations. S’en suivront la réalisation des fondations des 4 éoliennes puis la livraison des turbines et leurs montages. La mise en service du parc éolien est prévue en septembre 2019. .....
31/01/19 : Sivry: début des travaux pour la construction du parc éolien
Le démarrage des travaux de construction du parc éolien de la commune de Sivry-Rance a été autorisé par le permis unique.
Les travaux commenceront le lundi 4 février 2019 et seront exécutés par l’entreprise Nonet S.A. missionnée par le porteur de projet, la société EDPR Belgium.
Les dits travaux consistent dans un premier temps au terrassement des voiries et aux excavations. S’en suivront la réalisation des fondations des 4 éoliennes puis la livraison des turbines et leurs montages. La mise en service du parc éolien est prévue en septembre 2019. .....
https://www.telesambre.be/sivry-debut-des-travaux-pour-la-construction-du-parc-eolien
31/01/19 : Un cinquième projet éolien sur Léglise
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190130_01288848/un-cinquieme-projet-eolien-sur-leglise
30/01/19 : Juprelle – Bassenge – Projet d’EDF Luminus. Une cagnotte contre les éoliennes
Les riverains veulent introduire un nouveau recours au Conseil d’État
Alors que le ministre de l’Environnement, Carlo Di Antonio, a accordé un nouveau permis au projet d’installation de cinq éoliennes entre Paifve et Glons, les riverains opposés ne comptent pas baisser les bras. Une cagnotte collective est lancée afin de financer un nouveau recours au Conseil d’État.
Les riverains de Paifve-Glons n’ont pas dit leur dernier mot ! Ils sont près de 200 à s’opposer fermement au projet de construction et d’implantation de cinq éoliennes par EDF Luminus à proximité de l’établissement de défense sociale.
Mi-novembre, ils apprenaient que le ministre de l’Environnement et de la Transition écologique, Carlo Di Antonio (cdH), accordait un permis (de 30 ans !) audit projet. Un permis octroyé alors même qu’ils venaient de gagner une bataille : celle d’un recours au Conseil d’État.
L’article complet dans votre journal La Meuse de ce mercredi 30 janvier 2019 ou en suivant le lien ci-dessous :
https://journal.sudinfo.be/journal.php#Sudpresse/web,2019-01-30,BASSE-MEUSE|SU_QUOTIDIENS,2019-01-30,BASSE-MEUSE,1|10
31/01/19 : Un cinquième projet éolien sur Léglise
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190130_01288848/un-cinquieme-projet-eolien-sur-leglise
30/01/19 : Juprelle – Bassenge – Projet d’EDF Luminus. Une cagnotte contre les éoliennes
Les riverains veulent introduire un nouveau recours au Conseil d’État
Alors que le ministre de l’Environnement, Carlo Di Antonio, a accordé un nouveau permis au projet d’installation de cinq éoliennes entre Paifve et Glons, les riverains opposés ne comptent pas baisser les bras. Une cagnotte collective est lancée afin de financer un nouveau recours au Conseil d’État.
Les riverains de Paifve-Glons n’ont pas dit leur dernier mot ! Ils sont près de 200 à s’opposer fermement au projet de construction et d’implantation de cinq éoliennes par EDF Luminus à proximité de l’établissement de défense sociale.
Mi-novembre, ils apprenaient que le ministre de l’Environnement et de la Transition écologique, Carlo Di Antonio (cdH), accordait un permis (de 30 ans !) audit projet. Un permis octroyé alors même qu’ils venaient de gagner une bataille : celle d’un recours au Conseil d’État.
L’article complet dans votre journal La Meuse de ce mercredi 30 janvier 2019 ou en suivant le lien ci-dessous :
https://journal.sudinfo.be/journal.php#Sudpresse/web,2019-01-30,BASSE-MEUSE|SU_QUOTIDIENS,2019-01-30,BASSE-MEUSE,1|10
http://bassenge.blogs.sudinfo.be/archive/2019/01/30/juprelle-bassenge-projet-d-edf-luminus-une-cagnotte-contre-l-272351.html
29/01/19 : Une commune belge veut une éolienne pour en faire profiter ses habitants
Objectif de Crisnée : que la production d'électricité devienne gratuite pour ses habitants et ses entreprises. Comment compte-t-elle faire ? Réponse.
29/01/19 : Une commune belge veut une éolienne pour en faire profiter ses habitants
Objectif de Crisnée : que la production d'électricité devienne gratuite pour ses habitants et ses entreprises. Comment compte-t-elle faire ? Réponse.
La transition énergétique est souvent considérée comme une charge au coût insurmontable. Pourtant, elle est aussi l’occasion de réaliser quelques substantielles économies. Exemple À Crisnée, commune belge de 3 400 habitants, où l’électricité s’apprête à devenir gratuite. Pourquoi ? Parce que le maire a tout simplement décidé d’installer une éolienne qui profitera à tout le monde. Explications.
La nouvelle, annoncée lundi 28 janvier 2019, concerne aussi bien les particuliers que les entreprises. Grâce à un investissement de 2,5 millions d’euros supporté par la collectivité, les abonnés n’auront plus à payer la production d’électricité. Ils devront uniquement s’acquitter des taxes et des frais de distribution soit, au final, une économie d’environ 30% sur une facture classique.
Grâce à un minimum de volonté politique, ce maire accélère la transition énergétique de sa commune en lui offrant une électricité verte et renouvelable à l’infini. Est-ce que cela se fait dans la douleur ? Non. Chaque habitant y trouvera son compte sur un plan financier. Une nouvelle preuve que la transition ne doit pas être perçue comme une épreuve ou une contrainte mais comme une opportunité à saisir.La nouvelle, annoncée lundi 28 janvier 2019, concerne aussi bien les particuliers que les entreprises. Grâce à un investissement de 2,5 millions d’euros supporté par la collectivité, les abonnés n’auront plus à payer la production d’électricité. Ils devront uniquement s’acquitter des taxes et des frais de distribution soit, au final, une économie d’environ 30% sur une facture classique.
28/01/19 : Mons : quatre éoliennes prévues entre Harmignies et St-Symphorien
Avis à la population… La société EDF Luminus informe la population qu’elle prévoit d’introduire une demande de permis unique pour l’implantation de quatre éoliennes. EDF Luminus, producteur d’électricité et fournisseur d’énergie sur le marché belge, a entamé la phase d’information à l’égard de la population concernée en diffusant plusieurs publications légales, étape préalable au projet.
L’installation de ce petit parc éolien, comprenant aussi des chemins d’accès, des aires de montage et la pose de câbles électriques, est prévue au lieu-dit Les Montagnes, entre la chaussée de Beaumont et la chaussée du Roi Baudouin.« Nous sommes ici sur le territoire de la Ville de Mons, précise Morgane Tock, développeuse de projets éoliens chez...
L’installation de ce petit parc éolien, comprenant aussi des chemins d’accès, des aires de montage et la pose de câbles électriques, est prévue au lieu-dit Les Montagnes, entre la chaussée de Beaumont et la chaussée du Roi Baudouin.« Nous sommes ici sur le territoire de la Ville de Mons, précise Morgane Tock, développeuse de projets éoliens chez...
https://www.laprovince.be/338990/article/2019-01-28/mons-quatre-eoliennes-prevues-entre-harmignies-et-st-symphorien
28/01/19 : Six éoliennes ont été implantées sur le territoire communal de Lierneux, au lieu-dit Lambiester
Six éoliennes ont été implantées sur le territoire communal de Lierneux, au lieu-dit Lambiester. Il s'agit d'une zone d'exploitation forestière, c'est une première en Belgique. Deux hectares de bois ont été coupés pour réaliser ce projet qui était dans les cartons depuis 2015.https://www.rtbf.be/info/regions/luxembourg/detail_six-eoliennes-ont-ete-implantees-sur-le-territoire-communal-de-lierneux-au-lieu-dit-lambiester?id=10130315
26/01/19 : Un parc éolien en forêt près de Vielsalm : un projet unique en Belgique😡
28/01/19 : Six éoliennes ont été implantées sur le territoire communal de Lierneux, au lieu-dit Lambiester
Six éoliennes ont été implantées sur le territoire communal de Lierneux, au lieu-dit Lambiester. Il s'agit d'une zone d'exploitation forestière, c'est une première en Belgique. Deux hectares de bois ont été coupés pour réaliser ce projet qui était dans les cartons depuis 2015.https://www.rtbf.be/info/regions/luxembourg/detail_six-eoliennes-ont-ete-implantees-sur-le-territoire-communal-de-lierneux-au-lieu-dit-lambiester?id=10130315
26/01/19 : Un parc éolien en forêt près de Vielsalm : un projet unique en Belgique😡
Dans les forêts de Lierneux se dressent depuis peu cinq immenses éoliennes. Au total elles seront 6 à produire chaque année de l’électricité pour 9200 ménages
Par beau temps, on peut les voir à des kilomètres. Lorsque le brouillard est de sortie, le tournoiement incessant des palmes à travers les nuages attire malgré tout le regard au loin. 6 tiges métalliques se dressent à présent dans les forêts de Lierneux. Hautes de 180 mètres, elles dominent largement les arbres environnants. Pour la première fois en Belgique des éoliennes tournent en zone forestière. Une première qui s’explique pour une raison bien précise.
André Samray, le bourgmestre de Lierneux, a déjà été interpellé par plusieurs citoyens mécontents.
André Samray, le bourgmestre de Lierneux, a déjà été interpellé par plusieurs citoyens mécontents.
https://www.sudinfo.be/id98302/article/2019-01-26/un-parc-eolien-en-foret-pres-de-vielsalm-un-projet-unique-en-belgique
26/01/19 : LIERNEUX - Éoliennes: «Un plus pour la commune»😡
Le site de «Lambiester», dans la commune de Lierneux restera dans l’histoire énergétique de notre pays comme le premier qui a accueilli un parc éolien en zone forestière.....
26/01/19 : LIERNEUX - Éoliennes: «Un plus pour la commune»😡
Le site de «Lambiester», dans la commune de Lierneux restera dans l’histoire énergétique de notre pays comme le premier qui a accueilli un parc éolien en zone forestière.....
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190125_01286554/eoliennes-un-plus-pour-la-commune
25/01/19 : VIDÉO | À Lierneux, l’éolien investit nos forêts: une première en Belgique 😡
Sur le territoire de la commune de Lierneux, Luminus a inauguré son premier parc éolien installé en zone d’activité forestière: une première en Belgique.
Après les plaines de Hesbaye ou encore les crêtes des Ardennes, voici que les éoliennes investissent nos forêts.
Pour Grégoire Dallemagne, C.E.O. de Luminus, entreprise à la tête du projet, «le changement climatique ne fait plus débat aujourd’hui. Les 35 000 jeunes qui ont marché jeudi nous montrent qu’il existe une mobilisation forte en faveur du climat. Mais à côté de la mobilisation, il y a une nécessité d’action.»
C’est pourquoi le régulateur énergétique a décidé, depuis plusieurs années à présent, de miser sur l’énergie verte: «La lutte contre le réchauffement climatique est véritablement au centre de notre action, poursuit-il. La priorité de nos priorités est d’emmener le consommateur à réduire sa consommation d’énergie. C’est la raison pour laquelle nous avons décidé d’investir massivement dans les énergies renouvelables.»
Quels risques pour la nature?
Bien sûr, la présence même d’une activité de ce type au cœur de nos forêts soulève quelques questions, comme par exemple l’incidence que cela peut avoir sur la faune et la flore locales. Des questions rapidement levées tant le projet semble avoir été conçu en osmose avec son environnement: «Mais il ne s’agit pas non plus ici d’une forêt primaire, chaque projet doit bien sûr être évalué individuellement, car il y a des endroits qui se prêtent mieux que d’autres à ce type d’implantation», souligne ainsi Pierre Hermans, fondateur et manager de Sylva Nova, société spécialisée dans tout ce qui touche de prêt ou de loin à la sylviculture et aux forêts, partenaire par ailleurs du projet. «Dans le cadre de ce parc à Lierneux, vraiment, on a reçu toutes les garanties nécessaires. Il s’agit de plus d’une forêt artificielle, une monoculture d’épicéa, pauvre en biodiversité et qui permet de répondre aux impératifs en matière de réduction de C02.»
Pour le bien des… chauves-souris
Lorsque l’on évoque la biodiversité, on pense bien sûr à la flore, mais aussi à la faune qui peuple nos forêts. «C’est notre pétrole, tout le monde nous l’envie», souligne d’ailleurs le ministre Crucke.
Le projet a donc été pensé et réalisé pour prendre en compte l’intérêt des animaux, insectes et autres organismes vivants présents dans ces lieux.
C’est ainsi, par exemple, que les éoliennes sont équipées d’un mécanisme qui stoppe automatiquement la rotation des pales lorsque la luminosité se fait moindre et que sortent alors les chauves-souris! Mais ce n’est pas tout. «Outre les 35 mètres entre la canopée et le bout des pales qui permet le vol de ces chauves-souris et autres oiseaux, de petites marres ont par exemple été aménagées pour les insectes et les grenouilles rousses, une espèce protégée que l’on retrouve sur le site», apprenait-on, entre autres initiatives du même genre.
«Efficacité d’1 pour 1000»
25/01/19 : VIDÉO | À Lierneux, l’éolien investit nos forêts: une première en Belgique 😡
Sur le territoire de la commune de Lierneux, Luminus a inauguré son premier parc éolien installé en zone d’activité forestière: une première en Belgique.
Après les plaines de Hesbaye ou encore les crêtes des Ardennes, voici que les éoliennes investissent nos forêts.
Pour Grégoire Dallemagne, C.E.O. de Luminus, entreprise à la tête du projet, «le changement climatique ne fait plus débat aujourd’hui. Les 35 000 jeunes qui ont marché jeudi nous montrent qu’il existe une mobilisation forte en faveur du climat. Mais à côté de la mobilisation, il y a une nécessité d’action.»
C’est pourquoi le régulateur énergétique a décidé, depuis plusieurs années à présent, de miser sur l’énergie verte: «La lutte contre le réchauffement climatique est véritablement au centre de notre action, poursuit-il. La priorité de nos priorités est d’emmener le consommateur à réduire sa consommation d’énergie. C’est la raison pour laquelle nous avons décidé d’investir massivement dans les énergies renouvelables.»
Quels risques pour la nature?
Bien sûr, la présence même d’une activité de ce type au cœur de nos forêts soulève quelques questions, comme par exemple l’incidence que cela peut avoir sur la faune et la flore locales. Des questions rapidement levées tant le projet semble avoir été conçu en osmose avec son environnement: «Mais il ne s’agit pas non plus ici d’une forêt primaire, chaque projet doit bien sûr être évalué individuellement, car il y a des endroits qui se prêtent mieux que d’autres à ce type d’implantation», souligne ainsi Pierre Hermans, fondateur et manager de Sylva Nova, société spécialisée dans tout ce qui touche de prêt ou de loin à la sylviculture et aux forêts, partenaire par ailleurs du projet. «Dans le cadre de ce parc à Lierneux, vraiment, on a reçu toutes les garanties nécessaires. Il s’agit de plus d’une forêt artificielle, une monoculture d’épicéa, pauvre en biodiversité et qui permet de répondre aux impératifs en matière de réduction de C02.»
Pour le bien des… chauves-souris
Lorsque l’on évoque la biodiversité, on pense bien sûr à la flore, mais aussi à la faune qui peuple nos forêts. «C’est notre pétrole, tout le monde nous l’envie», souligne d’ailleurs le ministre Crucke.
Le projet a donc été pensé et réalisé pour prendre en compte l’intérêt des animaux, insectes et autres organismes vivants présents dans ces lieux.
C’est ainsi, par exemple, que les éoliennes sont équipées d’un mécanisme qui stoppe automatiquement la rotation des pales lorsque la luminosité se fait moindre et que sortent alors les chauves-souris! Mais ce n’est pas tout. «Outre les 35 mètres entre la canopée et le bout des pales qui permet le vol de ces chauves-souris et autres oiseaux, de petites marres ont par exemple été aménagées pour les insectes et les grenouilles rousses, une espèce protégée que l’on retrouve sur le site», apprenait-on, entre autres initiatives du même genre.
«Efficacité d’1 pour 1000»
Situé dans une zone présentée ainsi comme de «faible valeur biologique», ce parc éolien a pour vocation de produire l’énergie nécessaire à la consommation de 9 000 foyers, mais aussi participer pleinement aux réductions d’émissions de dioxyde de carbone: «Il faudrait en effet plus de 4 millions d’arbres répartis sur plus de 2000 hectares de forêt pour absorber le même taux de C02 que ce parc éolien va permettre d’économiser. Or, le parc s’étend sur 2 hectares à peine. C’est donc un rapport d’efficacité d’un pour mille», se félicite encore Grégoire Dallemagne.
«On vit une époque formidable»
À l’heure où les enjeux climatiques n’ont jamais semblé aussi prégnants au sein de la société, particulièrement auprès des jeunes, ce projet trouve naturellement un écho dans la mobilisation citoyenne telle qu’observée depuis plusieurs semaines. «On vit une époque formidable, se réjouit le ministre wallon en charge de ces thématiques, Jean-Luc Crucke. L’environnement, l’écologie et la durabilité forment aujourd’hui la pointe d’un triangle où les deux autres extrémités sont l’économie et le social. L’un ne peut pas aller sans les autres. Les 35 000 jeunes venus marcher dans les rues jeudi, c’est mai 68 en plus beau! Soit vous subissez le changement, soit vous l’accompagnez. Et je peux vous garantir que la Wallonie aura atteint les objectifs européens demandés pour 2020 en matière de photovoltaïque, d’éolien mais aussi de bornes électriques.»
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190125_01286526/video-a-lierneux-l-eolien-investit-nos-forets-une-premiere-en-belgique
25/01/19 : Des éoliennes en zone forestière, une première en Belgique
«On vit une époque formidable»
À l’heure où les enjeux climatiques n’ont jamais semblé aussi prégnants au sein de la société, particulièrement auprès des jeunes, ce projet trouve naturellement un écho dans la mobilisation citoyenne telle qu’observée depuis plusieurs semaines. «On vit une époque formidable, se réjouit le ministre wallon en charge de ces thématiques, Jean-Luc Crucke. L’environnement, l’écologie et la durabilité forment aujourd’hui la pointe d’un triangle où les deux autres extrémités sont l’économie et le social. L’un ne peut pas aller sans les autres. Les 35 000 jeunes venus marcher dans les rues jeudi, c’est mai 68 en plus beau! Soit vous subissez le changement, soit vous l’accompagnez. Et je peux vous garantir que la Wallonie aura atteint les objectifs européens demandés pour 2020 en matière de photovoltaïque, d’éolien mais aussi de bornes électriques.»
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190125_01286526/video-a-lierneux-l-eolien-investit-nos-forets-une-premiere-en-belgique
25/01/19 : Des éoliennes en zone forestière, une première en Belgique
Le premier parc éolien en zone d’exploitation forestière de Wallonie porté par Luminus est en plein chantier à Lierneux. L’occasion de comprendre comment un tel investissement doit allier intégration paysagère, gestion durable et multifonctionnelle de la forêt.
Six éoliennes ont été implantées sur la commune de Lierneux, au lieu-dit Lambiester. La parc éolien a pris place en zone d'exploitation forestière, une première en Belgique.
En 2015 déjà, Luminus avait introduit une demande de permis auprès de la Région Wallonne. Une demande refusée à l'époque mais aujourd'hui, le chantier touche à sa fin avec l'installation de la dernière éolienne.
"Si les zones forestières seront davantage prisées dans un futur proche, c'est parce que nous souhaitons lutter contre le réchauffement climatique et développer davantage les énergies vertes, explique Grégoire Dallemagne, CEO de Luminus. Le site de Lambiester a été choisi car il se situe près d'une ligne haute tension, qu'il est affecté à la production de bois résineux et qu'il a une faible valeur biologique. Pas de risque donc pour la biodiversité".
Les zones forestières seront davantage choisies aussi pour ne pas être à proximité des habitations. Ici, la première zone d'habitations se situe à plus de 900 mètres. De plus, le tourisme sera renforcé dans la région puisque deux parcours, l'un pédestre et l'autre VTT, seront aménagés.
Niveau déboisement, deux hectares de bois ont été rasés. D'après le directeur général de Luminus, ce projet en appelle à d'autres en Belgique.
Le projet a été contesté par les riverains inquiets pour l'impact sur les paysages mais également par les nuisances sonores ou l'impact sur l’hélicoptère médical stationné à quelques encablures à peine du site. Ces craintes avaient été formulées dans un recours rejeté par le Conseil d’Etat.
Reportage à Lierneux (Province de Liège) - JT 13h : à voir en ligne
En 2015 déjà, Luminus avait introduit une demande de permis auprès de la Région Wallonne. Une demande refusée à l'époque mais aujourd'hui, le chantier touche à sa fin avec l'installation de la dernière éolienne.
"Si les zones forestières seront davantage prisées dans un futur proche, c'est parce que nous souhaitons lutter contre le réchauffement climatique et développer davantage les énergies vertes, explique Grégoire Dallemagne, CEO de Luminus. Le site de Lambiester a été choisi car il se situe près d'une ligne haute tension, qu'il est affecté à la production de bois résineux et qu'il a une faible valeur biologique. Pas de risque donc pour la biodiversité".
Les zones forestières seront davantage choisies aussi pour ne pas être à proximité des habitations. Ici, la première zone d'habitations se situe à plus de 900 mètres. De plus, le tourisme sera renforcé dans la région puisque deux parcours, l'un pédestre et l'autre VTT, seront aménagés.
Niveau déboisement, deux hectares de bois ont été rasés. D'après le directeur général de Luminus, ce projet en appelle à d'autres en Belgique.
Le projet a été contesté par les riverains inquiets pour l'impact sur les paysages mais également par les nuisances sonores ou l'impact sur l’hélicoptère médical stationné à quelques encablures à peine du site. Ces craintes avaient été formulées dans un recours rejeté par le Conseil d’Etat.
Reportage à Lierneux (Province de Liège) - JT 13h : à voir en ligne
https://www.rtbf.be/info/regions/detail_des-eoliennes-en-foret-mieux-integrees-et-moins-contestees-par-les-riverains?id=10128168
25/01/19 : Première en Belgique : un parc éolien en pleine forêt, à Lierneux
Le ministre wallon de l’Énergie et du Climat Jean-Luc Crucke s’est rendu dans la commune de Lierneux, ce vendredi, pour y visiter le premier parc éolien en zone d’exploitation forestière de Belgique. Ces installations permettront d’alimenter 9.200 ménages en énergie verte, assure le groupe EDF-Luminus.
Implanté sur des terrains communaux de Lierneux, le parc devrait entrer en fonction pour la fin du mois de février. Sa production annuelle de 36,7 GWh permettra d’alimenter 9.200 ménages et d’éviter l’émission d’environ 16.000 tonnes de CO2 par rapport à une centrale thermique classique, indique EDF-Luminus.
L’entreprise ayant ouvert son projet à la participation publique, une des éoliennes devrait, à terme, devenir la propriété d’une coopérative locale.
« Ce parc se situe dans une zone de faible intérêt biologique en raison de son affectation à la production de bois résineux et de sa localisation à proximité d’une ligne haute tension », souligne Anne Grandjean, directrice de la communication chez EDF-Luminus. « Il présente également l’avantage d’être éloigné des habitations, à 900 mètres du hameau le plus proche, et de se situer dans une zone particulièrement venteuse. »
25/01/19 : Première en Belgique : un parc éolien en pleine forêt, à Lierneux
Le ministre wallon de l’Énergie et du Climat Jean-Luc Crucke s’est rendu dans la commune de Lierneux, ce vendredi, pour y visiter le premier parc éolien en zone d’exploitation forestière de Belgique. Ces installations permettront d’alimenter 9.200 ménages en énergie verte, assure le groupe EDF-Luminus.
Implanté sur des terrains communaux de Lierneux, le parc devrait entrer en fonction pour la fin du mois de février. Sa production annuelle de 36,7 GWh permettra d’alimenter 9.200 ménages et d’éviter l’émission d’environ 16.000 tonnes de CO2 par rapport à une centrale thermique classique, indique EDF-Luminus.
L’entreprise ayant ouvert son projet à la participation publique, une des éoliennes devrait, à terme, devenir la propriété d’une coopérative locale.
« Ce parc se situe dans une zone de faible intérêt biologique en raison de son affectation à la production de bois résineux et de sa localisation à proximité d’une ligne haute tension », souligne Anne Grandjean, directrice de la communication chez EDF-Luminus. « Il présente également l’avantage d’être éloigné des habitations, à 900 mètres du hameau le plus proche, et de se situer dans une zone particulièrement venteuse. »
Luminus insiste par ailleurs sur l’intérêt biologique de telles installations, les zones ouvertes au pied des éoliennes favorisant notamment la régénération naturelle. « On peut parler d’une gestion multifonctionnelle de la forêt », estime enfin l’entreprise, évoquant la possibilité d’activités didactiques à destination du public et le maintien de la production de bois dans des conditions optimisées.
https://www.sudinfo.be/id98247/article/2019-01-25/premiere-en-belgique-un-parc-eolien-en-pleine-foret-lierneux
24/01/19 : L’implantation de six éoliennes envisagée à Frameries et à Mons
Une réunion d’information sera organisée le 7 février prochain.
Les éoliennes feront-elles bientôt leur apparition sur le territoire des communes de Mons et de Frameries ? C’est possible. C’est en tout cas le souhait d’EDF Luminus, d’Engie et d’Eneco, qui prévoient d’introduire une demande de permis unique relative à l’implantation d’un parc d’éoliennes, d’une cabine de tête, de chemins d’accès, d’aires de montage et à la pose de câbles électriques sur les deux communes, à proximité immédiate du zoning de Frameries et du R5.
Ce n’est pas la première fois que pareil projet est évoqué. Début 2017 déjà, l’arrivée prochaine de six éoliennes sur les communes de Frameries et de Mons était envisagée. Une réunion d’information préalable avait même été organisée. Mais force est de constater que le processus n’est pas arrivé à termes.
La procédure est aujourd’hui totalement relancée et une nouvelle réunion d’information au public sera organisée le jeudi 7 février prochain à 19 h 30 (salle UP HOC à Frameries). “C’est un tout nouveau projet. Quatre éoliennes seront implantées sur Frameries et deux sur Mons. Nous sommes à nouveau au tout début des démarches, il ne s’agit vraiment pas d’une continuité.”, précise-t-on du côté d’EDF Luminus. Ces éoliennes, si elles deviennent réalité, auront une puissance maximum de 2,2 à 3,6 mégawattheures pour une production annuelle qui reste à déterminer.
De son côté, la commune de Frameries se dit favorable au projet, à plusieurs conditions. “Les terrains convoités sont des terrains privés mais nous avons demandé à ce que les trois entreprises travaillent de concert avec l’IDEA puisqu’ils se trouvent à proximité d’entreprises qui pourraient être intéressées de nouer un partenariat”, précise Jean-Marc Dupont (PS).
“Nous demandons également aux trois acteurs de venir avec des propositions à travers lesquelles les citoyens pourraient être associés. Au niveau du collège communal, nous sommes favorables à ce type de projets tant que les normes sont respectées, ce qui semble aujourd'hui être le cas.” Suite à cette réunion, chacun sera invité à adresser, jusqu'au 22 février, ses observations et suggestions destinées à la réalisation de l’étude d’incidences par écrit au Collège Communal de Frameries. La commune devra rendre un avis à l’issue de la procédure mais c’est bien la Région wallonne qui tranchera.
24/01/19 : L’implantation de six éoliennes envisagée à Frameries et à Mons
Une réunion d’information sera organisée le 7 février prochain.
Les éoliennes feront-elles bientôt leur apparition sur le territoire des communes de Mons et de Frameries ? C’est possible. C’est en tout cas le souhait d’EDF Luminus, d’Engie et d’Eneco, qui prévoient d’introduire une demande de permis unique relative à l’implantation d’un parc d’éoliennes, d’une cabine de tête, de chemins d’accès, d’aires de montage et à la pose de câbles électriques sur les deux communes, à proximité immédiate du zoning de Frameries et du R5.
Ce n’est pas la première fois que pareil projet est évoqué. Début 2017 déjà, l’arrivée prochaine de six éoliennes sur les communes de Frameries et de Mons était envisagée. Une réunion d’information préalable avait même été organisée. Mais force est de constater que le processus n’est pas arrivé à termes.
La procédure est aujourd’hui totalement relancée et une nouvelle réunion d’information au public sera organisée le jeudi 7 février prochain à 19 h 30 (salle UP HOC à Frameries). “C’est un tout nouveau projet. Quatre éoliennes seront implantées sur Frameries et deux sur Mons. Nous sommes à nouveau au tout début des démarches, il ne s’agit vraiment pas d’une continuité.”, précise-t-on du côté d’EDF Luminus. Ces éoliennes, si elles deviennent réalité, auront une puissance maximum de 2,2 à 3,6 mégawattheures pour une production annuelle qui reste à déterminer.
De son côté, la commune de Frameries se dit favorable au projet, à plusieurs conditions. “Les terrains convoités sont des terrains privés mais nous avons demandé à ce que les trois entreprises travaillent de concert avec l’IDEA puisqu’ils se trouvent à proximité d’entreprises qui pourraient être intéressées de nouer un partenariat”, précise Jean-Marc Dupont (PS).
“Nous demandons également aux trois acteurs de venir avec des propositions à travers lesquelles les citoyens pourraient être associés. Au niveau du collège communal, nous sommes favorables à ce type de projets tant que les normes sont respectées, ce qui semble aujourd'hui être le cas.” Suite à cette réunion, chacun sera invité à adresser, jusqu'au 22 février, ses observations et suggestions destinées à la réalisation de l’étude d’incidences par écrit au Collège Communal de Frameries. La commune devra rendre un avis à l’issue de la procédure mais c’est bien la Région wallonne qui tranchera.
https://www.dhnet.be/regions/mons/l-implantation-de-six-eoliennes-envisagee-a-frameries-et-a-mons-5c49e2c79978e2710eead45d
24/01/19 : NANTIMONT : Nouveau projet de deux éoliennes
Dans le cadre de l’appel à projets lancé par la Sofico, deux éoliennes pourraient s’implanter le long de l’E411 à Nantimont (Habay).
24/01/19 : NANTIMONT : Nouveau projet de deux éoliennes
Dans le cadre de l’appel à projets lancé par la Sofico, deux éoliennes pourraient s’implanter le long de l’E411 à Nantimont (Habay).
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190123_01285747/nouveau-projet-de-deux-eoliennes
23/01/19 : Tournai-Ouest: deux permis demandés pour 18 éoliennes au final
8, 11 ou 18 éoliennes à Tournai-Ouest? Le débat agite les réseaux sociaux avec beaucoup d’inquiétude dans le chef de nombreux riverains qui estiment que trop, c’est trop. Alors qu’en est-il exactement? Il y a actuellement huit éoliennes sur le site de Tournai-Ouest III, le parc d’activités économiques qui est en cours de réalisation. Elles dépendent de EDF-Luminus et de la filiale énergétique d’Ideta. Comme nous l’expliquions dans notre édition du 17 janvier, EDF-Luminus sollicite l’autorisation d’implanter trois éoliennes de plus, de même hauteur (180 m) et de même puissance (3,5 MW), sur le zoning de Tournai-Ouest II à proximité de l’embranchement autoroutier qui mène à Mouscron. Ce n’était pas tout à fait nouveau, nous avait expliqué l’agence de développement territorial Ideta, partenaire du projet: l’annonce remonte à septembre 2017.
Un autre dossier refait surface : le projet Ventis qui consiste en l’implantation de 7 éoliennes supplémentaires sur le zoning de Tournai Ouest I cette fois, ce qui porterait la capacité totale du parc éolien de Tournai Ouest à 18 mâts. S’il aboutit, le parc serait aussi grand que celui de Dour, le plus important de Wallonie à l’heure actuelle, selon nos confrères de la RTBF.....
23/01/19 : Tournai-Ouest: deux permis demandés pour 18 éoliennes au final
8, 11 ou 18 éoliennes à Tournai-Ouest? Le débat agite les réseaux sociaux avec beaucoup d’inquiétude dans le chef de nombreux riverains qui estiment que trop, c’est trop. Alors qu’en est-il exactement? Il y a actuellement huit éoliennes sur le site de Tournai-Ouest III, le parc d’activités économiques qui est en cours de réalisation. Elles dépendent de EDF-Luminus et de la filiale énergétique d’Ideta. Comme nous l’expliquions dans notre édition du 17 janvier, EDF-Luminus sollicite l’autorisation d’implanter trois éoliennes de plus, de même hauteur (180 m) et de même puissance (3,5 MW), sur le zoning de Tournai-Ouest II à proximité de l’embranchement autoroutier qui mène à Mouscron. Ce n’était pas tout à fait nouveau, nous avait expliqué l’agence de développement territorial Ideta, partenaire du projet: l’annonce remonte à septembre 2017.
Un autre dossier refait surface : le projet Ventis qui consiste en l’implantation de 7 éoliennes supplémentaires sur le zoning de Tournai Ouest I cette fois, ce qui porterait la capacité totale du parc éolien de Tournai Ouest à 18 mâts. S’il aboutit, le parc serait aussi grand que celui de Dour, le plus important de Wallonie à l’heure actuelle, selon nos confrères de la RTBF.....
https://www.nordeclair.be/336722/article/2019-01-23/tournai-ouest-deux-permis-demandes-pour-18-eoliennes-au-final
23/01/19 : Une éolienne privée de plus de 150 mètres de haut: le rêve d'une famille à Eghezée 😱
23/01/19 : Une éolienne privée de plus de 150 mètres de haut: le rêve d'une famille à Eghezée 😱
Construire une éolienne sur son terrain, c'est possible et c'est même devenu le rêve d'une famille namuroise... Les six frères de la famille Agie se sont associés pour faire construire une éolienne sur leur terrain de Saint-Germain, à Eghezée. Ils ne veulent pas se contenter d'une petite éolienne privée. Ils comptent plutôt acheter une grande éolienne comme celles qu'on croise au bord des autoroutes. Elle dépassera donc les 150 mètres de haut.
Des contraintes à respecter
Avant de choisir le terrain de Saint-Germain, Michel Agie, qui coordonne ce projet familial, a dû vérifier qu'il respectait bien une série de conditions propres aux éoliennes. "La contrainte principale est d'être à 600 mètres des zones d'habitat et à 450 mètres des habitations isolées", explique-t-il. Le terrain doit aussi se trouver à proximité d'un raccordement électrique de grosse puissance afin de ne pas devoir tirer des câbles sur plusieurs kilomètres. Selon Michel Agie, un seul terrain déjà en la possession de la famille respecte ces conditions. Il s'agit de celui de Saint-Germain, dans la commune d'Eghezée.
Le terrain trouvé, il faut maintenant demander l'accord de la commune et de la Région pour implanter cette éolienne dans le paysage wallon. Deux permis sont nécessaires : un permis d'exploitation de l'éolienne et un permis d'environnement. "Dans le cadre de l'implantation d'une éolienne seule, il faut seulement rédiger une notice d'évaluation qui reprend l'ensemble des impacts sur l'environnement que pourraient avoir l'éolienne", précise Johanna D'Hernoncourt, experte dans l'éolien à l'ASBL APERe. Dans le cas de l'éolienne de la famille Agie, le dossier devrait bientôt être rendu. Il ne reste que quelques documents pour le volet environnemental à récupérer.
Devenir un investisseur dans l'éolien
Poser une éolienne de cette taille, ça a un coût : environ trois millions d'euros. Pour financer un tel projet, la famille Agie propose aux habitants de la commune d'investir avec eux et d'en partager les bénéfices.
Pour Michel Agie, l'éolienne sera rentabilisée d'ici cinq à six ans. Il espère pouvoir commencer à la faire tourner avant la fin de l'année.
Un bourgmestre optimiste
La famille Agie a rencontré le bourgmestre d'Eghezée ce lundi pour lui exposer le projet. Après cette rencontre, Rudy Delhaise s'est dit réjoui par l'idée. Ce qui lui plaît le plus : le côté familial et citoyen de cette aventure. Cela change des gros investisseurs éoliens étrangers qui ont construit massivement à Eghezée.
Avant de choisir le terrain de Saint-Germain, Michel Agie, qui coordonne ce projet familial, a dû vérifier qu'il respectait bien une série de conditions propres aux éoliennes. "La contrainte principale est d'être à 600 mètres des zones d'habitat et à 450 mètres des habitations isolées", explique-t-il. Le terrain doit aussi se trouver à proximité d'un raccordement électrique de grosse puissance afin de ne pas devoir tirer des câbles sur plusieurs kilomètres. Selon Michel Agie, un seul terrain déjà en la possession de la famille respecte ces conditions. Il s'agit de celui de Saint-Germain, dans la commune d'Eghezée.
Le terrain trouvé, il faut maintenant demander l'accord de la commune et de la Région pour implanter cette éolienne dans le paysage wallon. Deux permis sont nécessaires : un permis d'exploitation de l'éolienne et un permis d'environnement. "Dans le cadre de l'implantation d'une éolienne seule, il faut seulement rédiger une notice d'évaluation qui reprend l'ensemble des impacts sur l'environnement que pourraient avoir l'éolienne", précise Johanna D'Hernoncourt, experte dans l'éolien à l'ASBL APERe. Dans le cas de l'éolienne de la famille Agie, le dossier devrait bientôt être rendu. Il ne reste que quelques documents pour le volet environnemental à récupérer.
Devenir un investisseur dans l'éolien
Poser une éolienne de cette taille, ça a un coût : environ trois millions d'euros. Pour financer un tel projet, la famille Agie propose aux habitants de la commune d'investir avec eux et d'en partager les bénéfices.
Pour Michel Agie, l'éolienne sera rentabilisée d'ici cinq à six ans. Il espère pouvoir commencer à la faire tourner avant la fin de l'année.
Un bourgmestre optimiste
La famille Agie a rencontré le bourgmestre d'Eghezée ce lundi pour lui exposer le projet. Après cette rencontre, Rudy Delhaise s'est dit réjoui par l'idée. Ce qui lui plaît le plus : le côté familial et citoyen de cette aventure. Cela change des gros investisseurs éoliens étrangers qui ont construit massivement à Eghezée.
https://www.rtbf.be/info/regions/detail_une-eolienne-familiale-de-plus-de-150-metres-de-haut-a-eghezee-c-est-le-reve-des-agie?id=10126079
21/01/19 : Sivry-Rance: financement participatif pour un projet éolien
La campagne de financement participatif initiée par EDPR avec le soutien de la Commune de Sivry-Rance vise à financer la construction d’un nouveau parc éolien sur la commune développé par EDPR Belgium, filiale d’EDP Renewables avec l’appui de la société de consultance WattElse active dans le développement et la maitrise d’ouvrage du projet éolien de Sivry- Rance. Cette opération est ouverte à tous et propose des conditions préférentielles aux citoyens de la commune de Sivry-Rance ainsi qu’aux habitants des communes de la botte du Hainaut (Froidchapelle, Momignies, Chimay et Beaumont).
Toutes les informations sont disponibles: ici
21/01/19 : Sivry-Rance: financement participatif pour un projet éolien
La campagne de financement participatif initiée par EDPR avec le soutien de la Commune de Sivry-Rance vise à financer la construction d’un nouveau parc éolien sur la commune développé par EDPR Belgium, filiale d’EDP Renewables avec l’appui de la société de consultance WattElse active dans le développement et la maitrise d’ouvrage du projet éolien de Sivry- Rance. Cette opération est ouverte à tous et propose des conditions préférentielles aux citoyens de la commune de Sivry-Rance ainsi qu’aux habitants des communes de la botte du Hainaut (Froidchapelle, Momignies, Chimay et Beaumont).
Toutes les informations sont disponibles: ici
https://www.telesambre.be/sivry-rance-financement-participatif-pour-un-projet-eolien
21/01/19 : Un nouveau projet de parc éolien à Frameries
La Région wallonne vient d'introduire une demande pour implanter six éoliennes à Frameries, à proximité du zoning et du R5.
A ce stade, aucune date n'est prévue ; les réunions citoyennes vont seulement avoir lieu, avec enquête publique à la clé.
Le parc est un projet mené en commun par EDF Luminus, Eneco Wind et Engie.
Les autorités communales de Frameries vont demander s'il est possible aux citoyens de participer, via une coopérative par exemple, comme c'est le cas à Dour.
https://www.rtbf.be/info/regions/detail_un-nouveau-projet-de-parc-eolien-a-frameries?id=10123871
20/01/19 : Il y aura bien 5 éoliennes le long de la N63
Le Collège l’a appris ce mardi : il y aura des éoliennes à Tinlot. Et il n’y a plus rien à faire pour l’empêcher. Le Conseil d’Etat a rendu sa décision quatre ans après le recours introduit par des citoyens.
La nouvelle est tombée sans crier gare sur le Collège communal, qui ne s’attendait pas du tout à cette réponse de la part du Conseil d’Etat. Le dernier recours ayant été épuisé, cinq éoliennes sortiront de terre d’ici 2020, le long de la nationale 63, à côté du village d’Abbé. « Nous ne nous attendions pas à cette réponse. C’est Engie Electrabel qui nous a fait part de cette information lors d’une réunion plus tôt cette semaine. L’échevine de l’énergie et le conseiller communal attaché à l’énergie m’ont prévenu. J’ai immédiatement appelé l’avocat en charge du dossier qui m’a confirmé l’information », confie la bourgmestre, Christine Guyot. N’étant ni l’auteure du projet, ni la partie requérante, le Conseil d’Etat n’était pas dans l’obligation de prévenir la commune. En réalité, la décision daterait du mois de septembre 2018.
Un coup dur pour les Tinlotois qui s’étaient massivement prononcés contre les multiples projets de construction d’éoliennes sur le territoire de la commune. Ces éoliennes, personne n’en voulait en 2014 quand le projet a été accepté par la Région wallonne. Et personne ne voulait des cinq autres projets avant celui-là. La décision aura pris quatre ans avant d’être rendue. En cause ? Des citoyens avaient également déposés un recours devant le Conseil d’Etat. Leur dossier contenait une étude d’incidence, destinée à évaluer les répercussions des éoliennes sur la vie des riverains. Mais cette étude nécessitait un complément d’information, ce qui a retardé la procédure. Des riverains s’étaient également opposés à cette étude car elle avait été établie avant le dépôt du permis.
Vers une autre mentalité ?
Entre 2014 et 2019, les mentalités ont évolué en matière d’environnement. A l’heure où des centaines de jeunes inondent la capitale pour protester contre le réchauffement climatique, la bourgmestre et l’échevine de l’énergie espèrent que les Tinlotois verront les bienfaits à long terme de ces éoliennes. « Nous avons demandé des informations supplémentaires à Engie pour étudier les options possibles. Et voir ce qu’il y a de mieux pour les Tinlotois. Mais il n’y a plus rien à faire. En 2020, elles seront là », avoue l’échevine, Laurence Medaerts.http://nandrin.blogs.sudinfo.be/archive/2019/01/20/il-y-aura-bien-5-eoliennes-le-long-de-la-n63-271537.html
20/01/19 : Ecaussinnes: la première éolienne est installée
Deux autres mâts de 150m de hauteur seront prochainement installés.
Cela n'a échappé à personne à Ecaussinnes : une éolienne a été installée cette semaine au milieu d'un champ le long de la RN57. Le mât s'est érigé en à peine deux jours avant d'être ponctué par l'arrivée de la gigantesque hélice ce samedi après-midi. L'opération a duré plusieurs heures avec l'aide d'une impressionnante grue de plus de 150 mètres de hauteur, soit la taille de l'éolienne.
Mais cette éolienne ne sera pas seule très longtemps. Dans les prochaines semaines, deux autres mâts viendront s'installer à proximité pour former un parc de trois éoliennes de 3,2 MW chacune. Il produira annuellement 19 250 MWh, soit l'équivalent de la consommation de 5500 ménages wallons. En théorie, Écaussinnes pourrait donc être autosuffisante. En théorie seulement, car en pratique, l'énergie produite sera injectée sur tout le réseau.
Ce nouveau parc éolien est financé et construit par Wind4Wallonia 2, un partenariat public-privé entre Engie Electrabel et six intercommunales wallonnes dont IDEA. "La construction de ce parc confirme les ambitions d'Engie Electrabel d'exploiter plus de 550 MW éoliens terrestres à l'horizon 2020", indiquait Olivier Desclée, porte-parole du fournisseur d'énergie, lors du début des travaux en mai 2018. "Nous fournissons déjà une capacité de production éolienne de 316 MW en Belgique et nous sommes bien partis pour atteindre nos objectifs de 2020 avec en ce moment, la concrétisation de nombreux projets."
Pour Écaussinnes, c'est une première. La SWDE a bien érigé une éolienne, mais pour sa consommation propre. Total projette également d'ériger trois mâts pour ses besoins. Ici, les trois éoliennes installées le long de la RN57 produiront de l'électricité pour le réseau public et alimenteront les ménages. Les éoliennes permettront d’éviter l’émission de 7.700 tonnes de CO2 par an.
Notons que les riverains du parc ont toujours la possibilité de prendre des participations dans les trois éoliennes via la coopérative Electrabel CoGreen. Cette coopérative a été créée en 2013 avec pour objectif de construire un dialogue ouvert et un partenariat durable avec les riverains des parcs éoliens d’ENGIE Electrabel. Concrètement, les riverains contribuent à la réalisation des objectifs belges de production verte tout en bénéficiant du dividende distribué par Electrabel CoGreen.
21/01/19 : Un nouveau projet de parc éolien à Frameries
La Région wallonne vient d'introduire une demande pour implanter six éoliennes à Frameries, à proximité du zoning et du R5.
A ce stade, aucune date n'est prévue ; les réunions citoyennes vont seulement avoir lieu, avec enquête publique à la clé.
Le parc est un projet mené en commun par EDF Luminus, Eneco Wind et Engie.
Les autorités communales de Frameries vont demander s'il est possible aux citoyens de participer, via une coopérative par exemple, comme c'est le cas à Dour.
https://www.rtbf.be/info/regions/detail_un-nouveau-projet-de-parc-eolien-a-frameries?id=10123871
20/01/19 : Il y aura bien 5 éoliennes le long de la N63
Le Collège l’a appris ce mardi : il y aura des éoliennes à Tinlot. Et il n’y a plus rien à faire pour l’empêcher. Le Conseil d’Etat a rendu sa décision quatre ans après le recours introduit par des citoyens.
La nouvelle est tombée sans crier gare sur le Collège communal, qui ne s’attendait pas du tout à cette réponse de la part du Conseil d’Etat. Le dernier recours ayant été épuisé, cinq éoliennes sortiront de terre d’ici 2020, le long de la nationale 63, à côté du village d’Abbé. « Nous ne nous attendions pas à cette réponse. C’est Engie Electrabel qui nous a fait part de cette information lors d’une réunion plus tôt cette semaine. L’échevine de l’énergie et le conseiller communal attaché à l’énergie m’ont prévenu. J’ai immédiatement appelé l’avocat en charge du dossier qui m’a confirmé l’information », confie la bourgmestre, Christine Guyot. N’étant ni l’auteure du projet, ni la partie requérante, le Conseil d’Etat n’était pas dans l’obligation de prévenir la commune. En réalité, la décision daterait du mois de septembre 2018.
Un coup dur pour les Tinlotois qui s’étaient massivement prononcés contre les multiples projets de construction d’éoliennes sur le territoire de la commune. Ces éoliennes, personne n’en voulait en 2014 quand le projet a été accepté par la Région wallonne. Et personne ne voulait des cinq autres projets avant celui-là. La décision aura pris quatre ans avant d’être rendue. En cause ? Des citoyens avaient également déposés un recours devant le Conseil d’Etat. Leur dossier contenait une étude d’incidence, destinée à évaluer les répercussions des éoliennes sur la vie des riverains. Mais cette étude nécessitait un complément d’information, ce qui a retardé la procédure. Des riverains s’étaient également opposés à cette étude car elle avait été établie avant le dépôt du permis.
Vers une autre mentalité ?
Entre 2014 et 2019, les mentalités ont évolué en matière d’environnement. A l’heure où des centaines de jeunes inondent la capitale pour protester contre le réchauffement climatique, la bourgmestre et l’échevine de l’énergie espèrent que les Tinlotois verront les bienfaits à long terme de ces éoliennes. « Nous avons demandé des informations supplémentaires à Engie pour étudier les options possibles. Et voir ce qu’il y a de mieux pour les Tinlotois. Mais il n’y a plus rien à faire. En 2020, elles seront là », avoue l’échevine, Laurence Medaerts.http://nandrin.blogs.sudinfo.be/archive/2019/01/20/il-y-aura-bien-5-eoliennes-le-long-de-la-n63-271537.html
20/01/19 : Ecaussinnes: la première éolienne est installée
Deux autres mâts de 150m de hauteur seront prochainement installés.
Cela n'a échappé à personne à Ecaussinnes : une éolienne a été installée cette semaine au milieu d'un champ le long de la RN57. Le mât s'est érigé en à peine deux jours avant d'être ponctué par l'arrivée de la gigantesque hélice ce samedi après-midi. L'opération a duré plusieurs heures avec l'aide d'une impressionnante grue de plus de 150 mètres de hauteur, soit la taille de l'éolienne.
Mais cette éolienne ne sera pas seule très longtemps. Dans les prochaines semaines, deux autres mâts viendront s'installer à proximité pour former un parc de trois éoliennes de 3,2 MW chacune. Il produira annuellement 19 250 MWh, soit l'équivalent de la consommation de 5500 ménages wallons. En théorie, Écaussinnes pourrait donc être autosuffisante. En théorie seulement, car en pratique, l'énergie produite sera injectée sur tout le réseau.
Ce nouveau parc éolien est financé et construit par Wind4Wallonia 2, un partenariat public-privé entre Engie Electrabel et six intercommunales wallonnes dont IDEA. "La construction de ce parc confirme les ambitions d'Engie Electrabel d'exploiter plus de 550 MW éoliens terrestres à l'horizon 2020", indiquait Olivier Desclée, porte-parole du fournisseur d'énergie, lors du début des travaux en mai 2018. "Nous fournissons déjà une capacité de production éolienne de 316 MW en Belgique et nous sommes bien partis pour atteindre nos objectifs de 2020 avec en ce moment, la concrétisation de nombreux projets."
Pour Écaussinnes, c'est une première. La SWDE a bien érigé une éolienne, mais pour sa consommation propre. Total projette également d'ériger trois mâts pour ses besoins. Ici, les trois éoliennes installées le long de la RN57 produiront de l'électricité pour le réseau public et alimenteront les ménages. Les éoliennes permettront d’éviter l’émission de 7.700 tonnes de CO2 par an.
Notons que les riverains du parc ont toujours la possibilité de prendre des participations dans les trois éoliennes via la coopérative Electrabel CoGreen. Cette coopérative a été créée en 2013 avec pour objectif de construire un dialogue ouvert et un partenariat durable avec les riverains des parcs éoliens d’ENGIE Electrabel. Concrètement, les riverains contribuent à la réalisation des objectifs belges de production verte tout en bénéficiant du dividende distribué par Electrabel CoGreen.
https://www.dhnet.be/regions/centre/ecaussinnes-la-premiere-eolienne-est-installee-5c437d557b50a60724d745ca
19/01/19 : Perwez : Pour sept éoliennes plus puissantes
Eneco entame la procédure pour un parc plus performant: la société a rencontré les citoyens qui ont pu exposer leurs soucis.
Le parc éolien de Perwez est situé près de l’autoroute E411 et a un impact essentiellement sur les habitants de la rue du Mont, sur ceux de la ferme du Gadave, sur ceux du hameau du Ponceau, mais également sur ceux de Grand-Leez (Gembloux). Eneco a exposé son projet, à savoir le remplacement complet de huit éoliennes dont la société hollandaise est déjà propriétaire par sept engins dont la puissance sera quasiment trois fois plus importante que celle des éoliennes existantes, soit 4,2 MW pour chacun des nouveaux engins. Autres caractéristiques essentielles: ces nouvelles éoliennes culmineraient à 180 mètres de haut (contre 122 mètres actuellement); quant au cercle dessiné par les pales, son diamètre atteindrait 140 mètres au maximum. La production annuelle totale de ces sept engins serait de 70 000 MWh, soit de quoi assurer la consommation électrique de quelque 20 000 familles.
Eneco a compris que la meilleure façon de réussir son projet est d’y associer les riverains et l’administration communale. Il propose donc de les associer au déroulement des opérations au sein d’un comité de suivi. Il leur propose même d’y participer financièrement via un crowdfunding et cite à titre d’exemple Neufchâteau où les riverains ont investi 300 000€. Il rappelle aussi les retombées en matière d’emploi et de taxes communales.
Venu nombreux, le public a obtenu déjà un certain nombre de réponses à ses questions qui portaient essentiellement sur les nuisances qu’engendrent les éoliennes. Une étude d’incidences menée par la société Sertius (Louvain-la-Neuve) devra évaluer tout cela et faire rapport.
Parmi les citoyens intervenants, il y a les questions sur le changement paysager qu’implique ce projet. Certes, les éoliennes existantes font déjà l’objet de doléances, mais quid de la nouvelle hauteur proposée, de l’ombre stroboscopique? Le milieu physique et biologique sera encore plus impacté. L’un des intervenants, un habitant du Ponceau, a dit ses craintes pour les sources du ruisseau du Thorembais. Quid également des travaux de démantèlement des éoliennes existantes? Par ailleurs, le problème de la nuisance sonore est revenu plusieurs fois dans les questions des riverains. Car si actuellement le bruit est couvert par celui de l’autoroute, deux éoliennes existantes s posent quand même des problèmes. Quand à l’impact sur la santé en général, on n’est pas d’accord dans le public sur des rapports d’expertise de l’Organisation mondiale de la santé. D’après un ingénieur civil, le bruit n’est pas très nocif. Il cite un rapport que deux autres intervenants contredisent.
Il est encore possible de réagir en envoyant ses remarques à l’administration communale jusqu’au 1er février avec copie à Eneco (chaussée de Huy, 120A, à 1300 Wavre). Quant à l’étape suivante, elle comprendra une enquête publique avant la décision finale de la Région.
Comme quelqu’un qui cherche une auto plus performante
Les échevins de l’Urbanisme et de l’Environnement étaient présents à la réunion.
Au sortir de celle-ci, Étienne Rigo (urbanisme) nous a dit comprendre la démarche du promoteur, la comparant à quelqu’un qui cherche une voiture plus performante. Mais il faudra aussi tenir compte des autres éléments du dossier et donc trouver un équilibre, ajoute-t-il.
Véronique De Brouwer (environnement), elle, souligne qu’il y a encore des étapes et que la Commune doit attendre de recevoir la demande de permis. Mais elle se félicite du climat dans lequel s’est déroulée cette réunion au cours de laquelle chacun a pu s’exprimer et au cours de laquelle aussi on a pu parler à la fois des côtés positifs et des côtés négatifs du projet présenté. Elle ajoute qu’une réunion informelle préalable entre le collège et Eneco s’est déroulée dans le même esprit.
19/01/19 : Perwez : Pour sept éoliennes plus puissantes
Eneco entame la procédure pour un parc plus performant: la société a rencontré les citoyens qui ont pu exposer leurs soucis.
Le parc éolien de Perwez est situé près de l’autoroute E411 et a un impact essentiellement sur les habitants de la rue du Mont, sur ceux de la ferme du Gadave, sur ceux du hameau du Ponceau, mais également sur ceux de Grand-Leez (Gembloux). Eneco a exposé son projet, à savoir le remplacement complet de huit éoliennes dont la société hollandaise est déjà propriétaire par sept engins dont la puissance sera quasiment trois fois plus importante que celle des éoliennes existantes, soit 4,2 MW pour chacun des nouveaux engins. Autres caractéristiques essentielles: ces nouvelles éoliennes culmineraient à 180 mètres de haut (contre 122 mètres actuellement); quant au cercle dessiné par les pales, son diamètre atteindrait 140 mètres au maximum. La production annuelle totale de ces sept engins serait de 70 000 MWh, soit de quoi assurer la consommation électrique de quelque 20 000 familles.
Eneco a compris que la meilleure façon de réussir son projet est d’y associer les riverains et l’administration communale. Il propose donc de les associer au déroulement des opérations au sein d’un comité de suivi. Il leur propose même d’y participer financièrement via un crowdfunding et cite à titre d’exemple Neufchâteau où les riverains ont investi 300 000€. Il rappelle aussi les retombées en matière d’emploi et de taxes communales.
Venu nombreux, le public a obtenu déjà un certain nombre de réponses à ses questions qui portaient essentiellement sur les nuisances qu’engendrent les éoliennes. Une étude d’incidences menée par la société Sertius (Louvain-la-Neuve) devra évaluer tout cela et faire rapport.
Parmi les citoyens intervenants, il y a les questions sur le changement paysager qu’implique ce projet. Certes, les éoliennes existantes font déjà l’objet de doléances, mais quid de la nouvelle hauteur proposée, de l’ombre stroboscopique? Le milieu physique et biologique sera encore plus impacté. L’un des intervenants, un habitant du Ponceau, a dit ses craintes pour les sources du ruisseau du Thorembais. Quid également des travaux de démantèlement des éoliennes existantes? Par ailleurs, le problème de la nuisance sonore est revenu plusieurs fois dans les questions des riverains. Car si actuellement le bruit est couvert par celui de l’autoroute, deux éoliennes existantes s posent quand même des problèmes. Quand à l’impact sur la santé en général, on n’est pas d’accord dans le public sur des rapports d’expertise de l’Organisation mondiale de la santé. D’après un ingénieur civil, le bruit n’est pas très nocif. Il cite un rapport que deux autres intervenants contredisent.
Il est encore possible de réagir en envoyant ses remarques à l’administration communale jusqu’au 1er février avec copie à Eneco (chaussée de Huy, 120A, à 1300 Wavre). Quant à l’étape suivante, elle comprendra une enquête publique avant la décision finale de la Région.
Comme quelqu’un qui cherche une auto plus performante
Les échevins de l’Urbanisme et de l’Environnement étaient présents à la réunion.
Au sortir de celle-ci, Étienne Rigo (urbanisme) nous a dit comprendre la démarche du promoteur, la comparant à quelqu’un qui cherche une voiture plus performante. Mais il faudra aussi tenir compte des autres éléments du dossier et donc trouver un équilibre, ajoute-t-il.
Véronique De Brouwer (environnement), elle, souligne qu’il y a encore des étapes et que la Commune doit attendre de recevoir la demande de permis. Mais elle se félicite du climat dans lequel s’est déroulée cette réunion au cours de laquelle chacun a pu s’exprimer et au cours de laquelle aussi on a pu parler à la fois des côtés positifs et des côtés négatifs du projet présenté. Elle ajoute qu’une réunion informelle préalable entre le collège et Eneco s’est déroulée dans le même esprit.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190118_01283800/pour-sept-eoliennes-plus-puissantes
19/01/19 : Mons et Frameries: le parc d’éoliennes verra le jour
19/01/19 : Mons et Frameries: le parc d’éoliennes verra le jour
En avril 2017, nous vous annoncions que deux sociétés, EDF Luminus et Eneco Wind, lorgnaient sur le même site, à peu de choses près, pour y installer des éoliennes. Deux réunions d’informations différentes avaient eu lieu à quelques semaines d’intervalle. Mais au final, les deux sociétés sont tombées d’accord sur un seul et même projet. Une demande a été introduite à la Région wallonne pour implanter un parc à éoliennes à proximité du R5 et du zoning de Frameries, le long de la route de Bavay. Six éoliennes doivent être installées.
Un vent écologique va souffler sur les communes de Mons et de Frameries ! Un parc d’éoliennes devrait bientôt voir le jour à proximité du R5 et du zoning de Frameries. Une réunion d’information aura lieu, le jeudi 7 février à 19h30 à la salle UPHOC, au 58 avenue des Nouvelles Technologies à Frameries, afin de permettre aux citoyens de s’informer..................
Un vent écologique va souffler sur les communes de Mons et de Frameries ! Un parc d’éoliennes devrait bientôt voir le jour à proximité du R5 et du zoning de Frameries. Une réunion d’information aura lieu, le jeudi 7 février à 19h30 à la salle UPHOC, au 58 avenue des Nouvelles Technologies à Frameries, afin de permettre aux citoyens de s’informer..................
https://www.laprovince.be/334456/article/2019-01-19/mons-et-frameries-le-parc-deoliennes-verra-le-jour
18/01/19 : Tinlot: le permis du parc éolien est délivré
18/01/19 : Tinlot: le permis du parc éolien est délivré
Controversé parmi la population, le parc éolien verra bien le jour à Tinlot. Et l’annonce de la nouvelle a surpris les autorités communales.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190117_01283341/le-permis-du-parc-eolien-est-delivre
16/01/19 : Beaumont: enquête publique pour l’installation de 7 éoliennes
La société New Wind SPRL a introduit une demande à la ville de Beaumont en vue d’obtenir un permis unique relatif à la construction et l’exploitation de 7 éoliennes qui seront situées au chemin de Renlies et de l’Agaise.
Le dossier peut-être consulté à l’administration communale à partir du 18 janvier 2019, jusqu’au 18 février 2019.
Du lundi au vendredi de 8h30 à 12h et du mercredi au vendredi de 13h30 à 16h. Le vendredi ou après 17h, sur RDV !
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190117_01283341/le-permis-du-parc-eolien-est-delivre
16/01/19 : Beaumont: enquête publique pour l’installation de 7 éoliennes
La société New Wind SPRL a introduit une demande à la ville de Beaumont en vue d’obtenir un permis unique relatif à la construction et l’exploitation de 7 éoliennes qui seront situées au chemin de Renlies et de l’Agaise.
Le dossier peut-être consulté à l’administration communale à partir du 18 janvier 2019, jusqu’au 18 février 2019.
Du lundi au vendredi de 8h30 à 12h et du mercredi au vendredi de 13h30 à 16h. Le vendredi ou après 17h, sur RDV !
https://www.telesambre.be/beaumont-enquete-publique-pour-linstallation-de-7-eoliennes
16/01/19 : Les éoliennes citoyennes gagnent sur le terrain fiscal
16/01/19 : Les éoliennes citoyennes gagnent sur le terrain fiscal
Même si la Wallonie appelle à la clémence, des éoliennes citoyennes peuvent être taxées comme les commerciales pourtant nettement plus puissantes. La ministre De Bue recommande que les communes ne les taxent pas du tout.
C’est un combat singulier qui aura duré plusieurs années, entre la commune de Houyet – entre Dinant et Rochefort – et une ASBL pionnière en matière d’éolien citoyen, celle qui a implanté à côté du village de Mesnil-Eglise ce qu’on a appelé la première « éolienne des enfants » de Wallonie. Un projet totalement coopératif. Il s’accompagnait d’ailleurs d’un business plan qui tenait la route, a été longtemps prospère. Jusqu’à ce que la commune en manque de moyens décide, comme le permettait la législation wallonne, de taxer ce type d’éoliennes plus petites au même titre que celles que l’on croise habituellement dans le paysage, et qui rapporte 5 fois plus à leurs propriétaires. Vent de colère au sein de l’ASBL. Et action en justice dans la foulée. La commune – qui, depuis octobre, a changé de majorité – fait marche arrière. Avec effet rétroactif, la taxe pour les années litigieuses étant ramenée de 12.500 à 4.000 euros. Et à partir de 2019, il n’y aura plus de taxe ....
https://plus.lesoir.be/200919/article/2019-01-16/les-eoliennes-citoyennes-gagnent-sur-le-terrain-fiscal
15/01/19 : Trois éoliennes de plus à Tournai-Ouest
Ce n’est pas tout à fait un projet nouveau puisque l’agence de développement territorial Ideta l’avait annoncé en septembre 2017, mais le dossier va revenir sur le devant de l’actualité : trois éoliennes supplémentaires vont être érigées dans le prolongement du parc éolien existant, fort de huit mâts. Elles seront davantage localisées du côté de Tournai Ouest II à proximité de l’embranchement autoroutier qui mène à Mouscron. L’enquête publique sera lancée d’ici quelques semaines. Il y aura des réclamations parce que plusieurs citoyens de Marquain nous ont déjà fait part de leur courroux.
15/01/19 : Trois éoliennes de plus à Tournai-Ouest
Ce n’est pas tout à fait un projet nouveau puisque l’agence de développement territorial Ideta l’avait annoncé en septembre 2017, mais le dossier va revenir sur le devant de l’actualité : trois éoliennes supplémentaires vont être érigées dans le prolongement du parc éolien existant, fort de huit mâts. Elles seront davantage localisées du côté de Tournai Ouest II à proximité de l’embranchement autoroutier qui mène à Mouscron. L’enquête publique sera lancée d’ici quelques semaines. Il y aura des réclamations parce que plusieurs citoyens de Marquain nous ont déjà fait part de leur courroux.
Le dossier est porté par EDF Luminus comme pour le parc éolien existant. Les éoliennes sont de même dimension avec la même capacité : 180 mètres et 3,5 MW. La précédente implantation avait entraîné une levée de boucliers. L’administration communale de Tournai avait reçu 680 courriers à la clôture de l’enquête publique....
https://www.nordeclair.be/333048/article/2019-01-15/trois-eoliennes-de-plus-tournai-ouest
15/01/19 : Une première éolienne dans le zoning des Hauts-Sarts
La future éolienne aux Hauts-Sarts ne sera pas une première en Wallonie mais presque. Depuis quelques semaines en effet, une éolienne se dresse dans le ciel de Gembloux dont le mât est posé… à même un zoning industriel, celui de Crealys en l’occurrence.
Si en Flandre la pratique est courante, en Wallonie, cette éolienne érigée en milieu industriel et directement au service d’une entreprise est encore rare. Aujourd’hui, c’est pour l’entreprise spécialisée dans le domaine informatique NRB, située aux Hauts-Sarts et qui emploie 2.000 personnes dont 600 sur le site (Data center), que l’éolienne doit être construite. À la manœuvre, on retrouve la société Luminus.
"Il est vrai qu’en Wallonie, le fait de construire une éolienne dans un parc industriel est encore assez rare mais en Flandre, où la place manque, c’est une pratique déjà courante", explique Nico De Bie, porte-parole de Luminus, "il en existe actuellement 51 au Nord du pays". En Wallonie, celle qui sera construite aux Hauts-Sarts sera LA première du genre en province de Liège.
Physiquement, l’éolienne aura une capacité maximale de 2,7 MW et pourra produire 7 300 MW par an. Au sommet d’une pale, à son point culminant, la hauteur sera de 180 mètres… "C’est déjà une certaine hauteur et cette éolienne sera visible depuis l’autoroute", remarque Daniel Eycken, directeur marketing chez NRB, mais vu son emplacement en zone industrielle, l’éolienne respectera bien sûr tous les prescrits légaux en matière de nuisances et de sécurité. Non sans permettre l’économie de quelque 3.097 tonnes de CO2 par an !
Chez NRB, on se félicite déjà de cette acquisition ou plutôt de cette location. "Le terrain appartient à NRB en effet mais nous le louons à Lumnius qui reste propriétaire de l’éolienne, poursuit Daniel Eycken. Par contre l’idée est bien de bénéficier de l’énergie produite". 90 % de la production seront directement utilisés par NRB, "principalement pour refroidir nos installations et nos serveurs". Les 10 % restants seront redirigés vers le réseau. Et Daniel Eycken de préciser qu’il s’agit d’une étape importante dans la politique "d’énergie verte" menée par NRB qui compte déjà, aux Hauts-Sarts, 940 panneaux photovoltaïques. "Nous récupérons également la chaleur de nos serveurs pour chauffer les bureaux".
L’enquête publique relative à l’éolienne a débuté ce lundi et durera jusqu’au 28 janvier inclus. La demande et les plans peuvent être consultés au Service des Permis d’Environnement, espace Guillemins, rue des Guillemins, 26, 7e étage, local 705 à 4000 Liège, du lundi au vendredi de 9 à 12 h ou sur rendez-vous : 04.221.83.70.
https://www.nordeclair.be/333048/article/2019-01-15/trois-eoliennes-de-plus-tournai-ouest
15/01/19 : Une première éolienne dans le zoning des Hauts-Sarts
La future éolienne aux Hauts-Sarts ne sera pas une première en Wallonie mais presque. Depuis quelques semaines en effet, une éolienne se dresse dans le ciel de Gembloux dont le mât est posé… à même un zoning industriel, celui de Crealys en l’occurrence.
Si en Flandre la pratique est courante, en Wallonie, cette éolienne érigée en milieu industriel et directement au service d’une entreprise est encore rare. Aujourd’hui, c’est pour l’entreprise spécialisée dans le domaine informatique NRB, située aux Hauts-Sarts et qui emploie 2.000 personnes dont 600 sur le site (Data center), que l’éolienne doit être construite. À la manœuvre, on retrouve la société Luminus.
"Il est vrai qu’en Wallonie, le fait de construire une éolienne dans un parc industriel est encore assez rare mais en Flandre, où la place manque, c’est une pratique déjà courante", explique Nico De Bie, porte-parole de Luminus, "il en existe actuellement 51 au Nord du pays". En Wallonie, celle qui sera construite aux Hauts-Sarts sera LA première du genre en province de Liège.
Physiquement, l’éolienne aura une capacité maximale de 2,7 MW et pourra produire 7 300 MW par an. Au sommet d’une pale, à son point culminant, la hauteur sera de 180 mètres… "C’est déjà une certaine hauteur et cette éolienne sera visible depuis l’autoroute", remarque Daniel Eycken, directeur marketing chez NRB, mais vu son emplacement en zone industrielle, l’éolienne respectera bien sûr tous les prescrits légaux en matière de nuisances et de sécurité. Non sans permettre l’économie de quelque 3.097 tonnes de CO2 par an !
Chez NRB, on se félicite déjà de cette acquisition ou plutôt de cette location. "Le terrain appartient à NRB en effet mais nous le louons à Lumnius qui reste propriétaire de l’éolienne, poursuit Daniel Eycken. Par contre l’idée est bien de bénéficier de l’énergie produite". 90 % de la production seront directement utilisés par NRB, "principalement pour refroidir nos installations et nos serveurs". Les 10 % restants seront redirigés vers le réseau. Et Daniel Eycken de préciser qu’il s’agit d’une étape importante dans la politique "d’énergie verte" menée par NRB qui compte déjà, aux Hauts-Sarts, 940 panneaux photovoltaïques. "Nous récupérons également la chaleur de nos serveurs pour chauffer les bureaux".
L’enquête publique relative à l’éolienne a débuté ce lundi et durera jusqu’au 28 janvier inclus. La demande et les plans peuvent être consultés au Service des Permis d’Environnement, espace Guillemins, rue des Guillemins, 26, 7e étage, local 705 à 4000 Liège, du lundi au vendredi de 9 à 12 h ou sur rendez-vous : 04.221.83.70.
https://www.lalibre.be/regions/liege/une-premiere-eolienne-dans-le-zoning-des-hauts-sarts-5c3ca54b9978e2710eb13bde
14/01/19 : Colruyt va vendre de l'électricité en plus des pots de yaourts
L'une des filiales du groupe de distribution Colruyt a obtenu en Wallonie, après la Flandre, une licence générale de fournisseur d'électricité à des industriels et à des particuliers. Dats24 est déjà actif dans l'énergie, distribution de carburants et développement depuis un peu plus d'un an d'un réseau de bornes de recharge pour voitures électriques. Depuis 2009, le groupe lui-même produit une électricité verte via ses éoliennes, ses panneaux solaires et une centrale de cogénération. A l'heure actuelle, il assure un tiers de sa consommation totale.
14/01/19 : Colruyt va vendre de l'électricité en plus des pots de yaourts
L'une des filiales du groupe de distribution Colruyt a obtenu en Wallonie, après la Flandre, une licence générale de fournisseur d'électricité à des industriels et à des particuliers. Dats24 est déjà actif dans l'énergie, distribution de carburants et développement depuis un peu plus d'un an d'un réseau de bornes de recharge pour voitures électriques. Depuis 2009, le groupe lui-même produit une électricité verte via ses éoliennes, ses panneaux solaires et une centrale de cogénération. A l'heure actuelle, il assure un tiers de sa consommation totale.
Une stratégie encore secrète
Le groupe semble prêt aujourd'hui à s'adresser à des partenaires extérieurs, tant industriels (il le fait déjà via une autre filiale, Eoly) que résidentiels. Maintenant qu'il en a l'autorisation en Flandre et en Wallonie, quand va-t-il effectivement entrer sur le marché, quel est son plan d'affaires, quelle est sa stratégie de déploiement? Colruyt n'a pas souhaité répondre à nos questions, se contentant de l'envoi d'un communiqué confirmant l'octroi de cette licence générale par le régulateur wallon. En tout cas, aucun délai n'est fixé pour exploiter effectivement cette licence gratuite.
Critères d'admission et obligations
Président de la commission wallonne pour l'énergie, Stéphane Renier précise quelques critères d'admission: "des critères en terme de capacités techniques et financières, d'honorabilité par exemple. Ces obligations sont nettement simplifiées lorsque le demandeur a déjà obtenu une licence de fournitures, soit dans un État membre de l'espace économique européen, soit dans une autre région du pays." En l'occurrence, Dats24 a obtenu en novembre 2018 une licence de fourniture en Flandres. Une société qui exploite une licence est régulièrement contrôlée: entre autres obligations, celle de transmettre au régulateur le nombre de clients approvisionnés, la quantité d'électricité (ou de gaz) délivrés.
Un marché stabilisé
Avec une douzaine de fournisseurs en Wallonie, le marché est stabilisé depuis plus d'un an, après des années successives de croissance. Une société liégeoise a récemment abandonné le terrain. Le marché intéresse autant les acteurs traditionnels (qui se diversifient quelquefois, par exemple en proposant des entretiens de chaudières) que des sociétés pour lesquelles la production et/ou la fourniture d'électricité (ou de gaz) ne sont pas le cœur de métier. Peu de novices s'adressent directement aux industriels. Ils doivent souvent faire leur preuve dans le résidentiel, dans la basse tension, et en tout état de cause offrir des garanties de service et d'approvisionnement, qu'ils produisent eux-mêmes l'énergie ou qu'ils soient des revendeurs.
Le groupe semble prêt aujourd'hui à s'adresser à des partenaires extérieurs, tant industriels (il le fait déjà via une autre filiale, Eoly) que résidentiels. Maintenant qu'il en a l'autorisation en Flandre et en Wallonie, quand va-t-il effectivement entrer sur le marché, quel est son plan d'affaires, quelle est sa stratégie de déploiement? Colruyt n'a pas souhaité répondre à nos questions, se contentant de l'envoi d'un communiqué confirmant l'octroi de cette licence générale par le régulateur wallon. En tout cas, aucun délai n'est fixé pour exploiter effectivement cette licence gratuite.
Critères d'admission et obligations
Président de la commission wallonne pour l'énergie, Stéphane Renier précise quelques critères d'admission: "des critères en terme de capacités techniques et financières, d'honorabilité par exemple. Ces obligations sont nettement simplifiées lorsque le demandeur a déjà obtenu une licence de fournitures, soit dans un État membre de l'espace économique européen, soit dans une autre région du pays." En l'occurrence, Dats24 a obtenu en novembre 2018 une licence de fourniture en Flandres. Une société qui exploite une licence est régulièrement contrôlée: entre autres obligations, celle de transmettre au régulateur le nombre de clients approvisionnés, la quantité d'électricité (ou de gaz) délivrés.
Un marché stabilisé
Avec une douzaine de fournisseurs en Wallonie, le marché est stabilisé depuis plus d'un an, après des années successives de croissance. Une société liégeoise a récemment abandonné le terrain. Le marché intéresse autant les acteurs traditionnels (qui se diversifient quelquefois, par exemple en proposant des entretiens de chaudières) que des sociétés pour lesquelles la production et/ou la fourniture d'électricité (ou de gaz) ne sont pas le cœur de métier. Peu de novices s'adressent directement aux industriels. Ils doivent souvent faire leur preuve dans le résidentiel, dans la basse tension, et en tout état de cause offrir des garanties de service et d'approvisionnement, qu'ils produisent eux-mêmes l'énergie ou qu'ils soient des revendeurs.
https://www.rtbf.be/info/societe/detail_colruyt-va-vendre-de-l-electricite-en-plus-des-pots-de-yaourts?id=10118329
12/01/19 : Sept éoliennes sur Nassogne, La Roche, Tenneville dans 2,5 ans?
On n’en est qu’aux premiers balbutiements. Eneco étudie le projet de placer sept grandes éoliennes dans les bois.
11/01/19 : Éoliennes de Sprimont : il va falloir être patient !
Un nouveau recours a été introduit auprès du Conseil d’État.
Il y a près d’un an déjà, le permis était accordé pour ce qui devait devenir le tout premier parc éolien de l’agglomération liégeoise. En mars dernier en effet, la commune de Sprimont était informée de l’octroi du permis relatif à la construction de cinq éoliennes sur son territoire, au niveau du zoning de Damré, par la société Green Tech Wind.
Aujourd’hui toutefois, le projet semble avoir pris du plomb dans l’aile. Un deuxième recours pourrait en effet reporter aux calendes grecques la concrétisation du parc éolien.
Suite à la délivrance du permis, un comité de riverains avait en effet introduit un premier recours, au printemps 2018. En juillet de la même année, le ministre Carlo Di Antonio tranchait pourtant en validant le dossier. Depuis… les opposants ont décidé d’introduire un nouveau recours, auprès du Conseil d’État cette fois. Les délais d’analyse s’annoncent ici plus conséquents.
Pour rappel, les cinq éoliennes doivent voir le jour à gauche de l’autoroute, dans le sens Liège-Luxembourg. Si deux mâts doivent être érigés dans le zoning de Damré, les trois autres mâts doivent être placés sur des terrains situés entre l’autoroute et le village de Cornémont. Au niveau de la production d’énergie, chaque éolienne devrait avoir une puissance maximale de 3,4 MW.
Du côté de la commune de Sprimont, qui avait jadis remis un avis positif conditionné (notamment pour réduire les possibles nuisances, dont les effets stroboscopiques), on reste confiant. Luc Delvaux, bourgmestre, rappelle d’ailleurs que ce délai supplémentaire sera exploité pour préparer correctement le projet d’éolienne "citoyenne" ; une des cinq éoliennes est en effet "réservée" pour un projet de participation citoyenne.
12/01/19 : Sept éoliennes sur Nassogne, La Roche, Tenneville dans 2,5 ans?
On n’en est qu’aux premiers balbutiements. Eneco étudie le projet de placer sept grandes éoliennes dans les bois.
11/01/19 : Éoliennes de Sprimont : il va falloir être patient !
Un nouveau recours a été introduit auprès du Conseil d’État.
Il y a près d’un an déjà, le permis était accordé pour ce qui devait devenir le tout premier parc éolien de l’agglomération liégeoise. En mars dernier en effet, la commune de Sprimont était informée de l’octroi du permis relatif à la construction de cinq éoliennes sur son territoire, au niveau du zoning de Damré, par la société Green Tech Wind.
Aujourd’hui toutefois, le projet semble avoir pris du plomb dans l’aile. Un deuxième recours pourrait en effet reporter aux calendes grecques la concrétisation du parc éolien.
Suite à la délivrance du permis, un comité de riverains avait en effet introduit un premier recours, au printemps 2018. En juillet de la même année, le ministre Carlo Di Antonio tranchait pourtant en validant le dossier. Depuis… les opposants ont décidé d’introduire un nouveau recours, auprès du Conseil d’État cette fois. Les délais d’analyse s’annoncent ici plus conséquents.
Pour rappel, les cinq éoliennes doivent voir le jour à gauche de l’autoroute, dans le sens Liège-Luxembourg. Si deux mâts doivent être érigés dans le zoning de Damré, les trois autres mâts doivent être placés sur des terrains situés entre l’autoroute et le village de Cornémont. Au niveau de la production d’énergie, chaque éolienne devrait avoir une puissance maximale de 3,4 MW.
Du côté de la commune de Sprimont, qui avait jadis remis un avis positif conditionné (notamment pour réduire les possibles nuisances, dont les effets stroboscopiques), on reste confiant. Luc Delvaux, bourgmestre, rappelle d’ailleurs que ce délai supplémentaire sera exploité pour préparer correctement le projet d’éolienne "citoyenne" ; une des cinq éoliennes est en effet "réservée" pour un projet de participation citoyenne.
https://www.dhnet.be/regions/liege/eoliennes-de-sprimont-il-va-falloir-etre-patient-5c3775a67b50a6072497dfa2
10/01/19 : Emines : la relance pour trois mâts
Luminus ne se couche pas et relance. Depuis plus de cinq ans, l’opérateur énergétique veut implanter trois (quatre au départ) éoliennes, le long de l’E42, entre Emines et Rhisnes.
Ces dernières années, un bras de fer s’est clairement engagé avec la commune.
Lors d’une première demande, le collège MR-PS avait rendu un avis négatif. Les fonctionnaires délégué et technique s’étaient cependant montrés favorables au projet, le permis étant finalement délivré.
La commune avait introduit un recours auprès du ministre régional Di Antonio qui décidait de confirmer l’avis de ses délégués.
Mais la commune n’abdique pas. Un riverain s’oppose également au projet. Un nouveau recours est introduit auprès du conseil d’Etat. Et cette fois, les opposants obtiennent gain de cause. C’était le 19 novembre dernier. L’instance administrative attaque plus précisément le contenu et les arguments repris dans l’étude d’incidences. Le permis est cassé.
Luminus a donc décidé de revoir sa copie. L’étude d’incidences doit être revue et complétée.
Une nouvelle demande est introduite pour trois éoliennes. Et l’enquête publique est relancée. Chacun peut à nouveau s’exprimer sur le projet, jusqu’au 11 février prochain.
Depuis la première demande, la majorité a changé de couleur (PS-D&B-Ecolo). Le vent a-t-il tourné?
10/01/19 : Emines : la relance pour trois mâts
Luminus ne se couche pas et relance. Depuis plus de cinq ans, l’opérateur énergétique veut implanter trois (quatre au départ) éoliennes, le long de l’E42, entre Emines et Rhisnes.
Ces dernières années, un bras de fer s’est clairement engagé avec la commune.
Lors d’une première demande, le collège MR-PS avait rendu un avis négatif. Les fonctionnaires délégué et technique s’étaient cependant montrés favorables au projet, le permis étant finalement délivré.
La commune avait introduit un recours auprès du ministre régional Di Antonio qui décidait de confirmer l’avis de ses délégués.
Mais la commune n’abdique pas. Un riverain s’oppose également au projet. Un nouveau recours est introduit auprès du conseil d’Etat. Et cette fois, les opposants obtiennent gain de cause. C’était le 19 novembre dernier. L’instance administrative attaque plus précisément le contenu et les arguments repris dans l’étude d’incidences. Le permis est cassé.
Luminus a donc décidé de revoir sa copie. L’étude d’incidences doit être revue et complétée.
Une nouvelle demande est introduite pour trois éoliennes. Et l’enquête publique est relancée. Chacun peut à nouveau s’exprimer sur le projet, jusqu’au 11 février prochain.
Depuis la première demande, la majorité a changé de couleur (PS-D&B-Ecolo). Le vent a-t-il tourné?
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190109_01279443/emines-la-relance-pour-trois-mats
10/01/19 : Aische / Perwez : Éoliennes: plus hautes, plus puissantes
10/01/19 : Aische / Perwez : Éoliennes: plus hautes, plus puissantes
Eneco travaille au renouvellement de son parc éolien, entre Aische et Perwez. Avec des machines qui culmineraient à 180 m.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190109_01279442/eoliennes-plus-hautes-plus-puissantes
09/01/19 : Encore un projet éolien à Léglise
LUXEMBOURG : Il a été présenté par la société Storm mais certains riverains n’en veulent pas.
Un nouveau projet pour l’implantation de 7 nouvelles éoliennes a été présenté par la société Storm. Ce projet fait actuellement débat au sein du village. Des riverains sont inquiets et montrent leur mécontentement.
"Il y a déjà un premier projet qui prévoit l’implantation de quatre éoliennes. Ce qui ferait donc onze avec celui-ci. On parle d’une hauteur de 180 à 200 mètres. C’est énorme. C’est vraiment gigantesque et c’est la porte ouverte vers n’importe quoi. Sans compter qu’une fois installées, outre le fait qu’elles seront chez nous, les promoteurs s’en mettront plein les poches. Ce n’est pas eux qui auront les inconvénients", exprime l’un d’entre eux.
Pour le moment , on n’en est qu’à l’étude d’incidence qui durera encore quelques mois. La commune se range du côté des citoyens si les conditions ne sont pas respectées. "Nous ne sommes pas contre l’éolien. Il faut bien penser à l’avenir et trouver de nouvelles énergies. Mais attention, nous serons opposés aux différents projets s’ils présentent un caractère négatif/un impact sur la santé des riverains. Je comprends qu’il faut les mettre le long des autoroutes mais onze, cela fait quand même beaucoup pour la commune", ajoute le bourgmestre, Francis Demasy. Sans compter l’impact sur l’environnement, la faune et la flore. Bref, il y a pour le moment pas mal de questions soulevées par les riverains qui risquent sans doute de freiner les projets.
"C’est peut-être réducteur de dire ça mais pourquoi ne pas les mettre ailleurs ? En pleine forêt par exemple. Mais là, les promoteurs nous répondent que les conditions sont différentes et que ce n’est pas intéressant. Qu’ils devront investir en divers aménagements car l’environnement n’est pas meilleur que le long des autoroutes. Bref, ce n’est pas aux communes de les aider. S’ils doivent améliorer les équipements pour y arriver, c’est leur problème", dit-il. Et ce n’est pas fini !
Un nouveau projet éolien devrait bientôt être présenté aux riverains. Ce qui a le don (d’un peu) agacé le bourgmestre. "Encore une étude d’incidence à venir. Pourquoi les promoteurs ne se regroupent-ils pas pour nous en présenter une seule ? Ce serait plus facile et plus clair si l’on veut vraiment analyser tous les risques possibles et ensuite les présenter à la population", conclut-il.
https://www.dhnet.be/regions/luxembourg/encore-un-projet-eolien-a-leglise-5c34ce2d7b50a607247a8421
07/01/19 : Pourquoi la Belgique n'a jamais importé autant d'électricité (et pourquoi ça va continuer)
09/01/19 : Encore un projet éolien à Léglise
LUXEMBOURG : Il a été présenté par la société Storm mais certains riverains n’en veulent pas.
Un nouveau projet pour l’implantation de 7 nouvelles éoliennes a été présenté par la société Storm. Ce projet fait actuellement débat au sein du village. Des riverains sont inquiets et montrent leur mécontentement.
"Il y a déjà un premier projet qui prévoit l’implantation de quatre éoliennes. Ce qui ferait donc onze avec celui-ci. On parle d’une hauteur de 180 à 200 mètres. C’est énorme. C’est vraiment gigantesque et c’est la porte ouverte vers n’importe quoi. Sans compter qu’une fois installées, outre le fait qu’elles seront chez nous, les promoteurs s’en mettront plein les poches. Ce n’est pas eux qui auront les inconvénients", exprime l’un d’entre eux.
Pour le moment , on n’en est qu’à l’étude d’incidence qui durera encore quelques mois. La commune se range du côté des citoyens si les conditions ne sont pas respectées. "Nous ne sommes pas contre l’éolien. Il faut bien penser à l’avenir et trouver de nouvelles énergies. Mais attention, nous serons opposés aux différents projets s’ils présentent un caractère négatif/un impact sur la santé des riverains. Je comprends qu’il faut les mettre le long des autoroutes mais onze, cela fait quand même beaucoup pour la commune", ajoute le bourgmestre, Francis Demasy. Sans compter l’impact sur l’environnement, la faune et la flore. Bref, il y a pour le moment pas mal de questions soulevées par les riverains qui risquent sans doute de freiner les projets.
"C’est peut-être réducteur de dire ça mais pourquoi ne pas les mettre ailleurs ? En pleine forêt par exemple. Mais là, les promoteurs nous répondent que les conditions sont différentes et que ce n’est pas intéressant. Qu’ils devront investir en divers aménagements car l’environnement n’est pas meilleur que le long des autoroutes. Bref, ce n’est pas aux communes de les aider. S’ils doivent améliorer les équipements pour y arriver, c’est leur problème", dit-il. Et ce n’est pas fini !
Un nouveau projet éolien devrait bientôt être présenté aux riverains. Ce qui a le don (d’un peu) agacé le bourgmestre. "Encore une étude d’incidence à venir. Pourquoi les promoteurs ne se regroupent-ils pas pour nous en présenter une seule ? Ce serait plus facile et plus clair si l’on veut vraiment analyser tous les risques possibles et ensuite les présenter à la population", conclut-il.
https://www.dhnet.be/regions/luxembourg/encore-un-projet-eolien-a-leglise-5c34ce2d7b50a607247a8421
07/01/19 : Pourquoi la Belgique n'a jamais importé autant d'électricité (et pourquoi ça va continuer)
La progression est fulgurante. 22% de l'énergie consommée en Belgique en 2018 a été importée. Et selon ces chiffres du gestionnaire de réseau Elia, c'est donc presque trois fois plus que les 8% importés en 2017. Avec Doel 3 pour seul réacteur opérationnel (sur les 7 réacteur belges) pendant les mois de novembre et décembre, la part du nucléaire dans la production énergétique en Belgique a diminué, elle, de 15% par rapport à 2017. Le nucléaire reste, certes, la première source d'approvisionnement énergétique, mais elle a atteint un niveau historiquement bas en 2018.
Du nucléaire à l'arrêt et plus de capacités d'importations
Le record des importations d'électricité s'explique aussi parce par moment, les prix de l'énergie sur les marchés sont moins chers à l'étranger, en France, aux Pays-Bas et en Allemagne. "Les fournisseurs tentent toujours de se fournir au meilleur prix afin de formuler une offre compétitive pour leurs clients", nous explique la FEBEG, Fédération des fournisseurs belges d'énergie. Ou pour le dire autrement, les fournisseurs se tournent alors vers de l'énergie produite hors Belgique pour des raisons commerciales: "Lorsque l’énergie est moins chère à l’étranger, les fournisseurs achètent sur ces marchés à concurrence des possibilités physiques d’importation. Ils tiennent donc compte dans leurs prix de vente des possibilités qui leurs sont offertes à cet égard. La possibilité d’importer et la concurrence sur les marchés internationaux ont donc naturellement tendance à tirer les prix vers le bas sur les marchés interconnectés. Sans importations, les prix seraient certainement plus élevés et plus volatils".
De nouveaux records en perspectives
Beaucoup d’importation, ça ne veut donc pas nécessairement dire que la Belgique a besoin d’importer aujourd’hui une électricité qu’elle n’est pas à même de produire. D'autant que les capacités d'importations vers la Belgique ont augmenté. "On peut aujourd'hui facilement importer 4500 à 5000 MW de l’étranger, ce qui était absolument impossible il y a quatre ans où nous étions limité à 3000 MW. Donc c'est bien notre capacité d'importation, combinée avec ces offres de prix intéressantes à l'étranger qui font qu'on a battu le record d'importation", explique Damien Ernst, spécialiste de l'énergie et professeur à l'ULG.
Des importations qui vont encore augmenter
Et ces possibilités d'importations vont encore augmenter dans les années qui viennent. Parce que l’interconnexion entre la Belgique et ses voisins augmente. Pensez au lien "Nemo" double câble sous-marin d'une capacité de 1000 MW entre le Royaume-Uni et la Belgique, qui devrait être pleinement opérationnel dans le courant du premier trimestre 2019.
Mais l'augmentation la plus significative des importations se fera quand la Belgique fermera ses centrales nucléaires, selon Damien Ernst: "avec un début de fermeture vers 2022, on va probablement arriver à plus de 50, voire 60% d'importation d’électricité à l'avenir. Ça ne m'étonnerait pas du tout, parce que nous sommes fort limités en Belgique, en termes de ressources renouvelables, et en éolien, et en solaire. Donc on peut penser qu'à terme, même l'énergie renouvelable sera importée d'autres pays".
Ce qui n'augure rien de bon pour l'avenir du secteur énergétique en Belgique. Avec quelle conséquence pour la facture? Difficile à dire. Aujourd'hui, les fournisseurs assurent que les importations, ça rend les prix plus stables et plus bas. Mais voire une partie du secteur disparaître chez nous, et importer de l'électricité massivement de l'étranger, cela annonce - si cela se réalise, de sacrées incertitudes sur les prix, et potentiellement, un déficit dans la balance commerciale, une contraction du secteur,...et des pertes d'emploi.
Le record des importations d'électricité s'explique aussi parce par moment, les prix de l'énergie sur les marchés sont moins chers à l'étranger, en France, aux Pays-Bas et en Allemagne. "Les fournisseurs tentent toujours de se fournir au meilleur prix afin de formuler une offre compétitive pour leurs clients", nous explique la FEBEG, Fédération des fournisseurs belges d'énergie. Ou pour le dire autrement, les fournisseurs se tournent alors vers de l'énergie produite hors Belgique pour des raisons commerciales: "Lorsque l’énergie est moins chère à l’étranger, les fournisseurs achètent sur ces marchés à concurrence des possibilités physiques d’importation. Ils tiennent donc compte dans leurs prix de vente des possibilités qui leurs sont offertes à cet égard. La possibilité d’importer et la concurrence sur les marchés internationaux ont donc naturellement tendance à tirer les prix vers le bas sur les marchés interconnectés. Sans importations, les prix seraient certainement plus élevés et plus volatils".
De nouveaux records en perspectives
Beaucoup d’importation, ça ne veut donc pas nécessairement dire que la Belgique a besoin d’importer aujourd’hui une électricité qu’elle n’est pas à même de produire. D'autant que les capacités d'importations vers la Belgique ont augmenté. "On peut aujourd'hui facilement importer 4500 à 5000 MW de l’étranger, ce qui était absolument impossible il y a quatre ans où nous étions limité à 3000 MW. Donc c'est bien notre capacité d'importation, combinée avec ces offres de prix intéressantes à l'étranger qui font qu'on a battu le record d'importation", explique Damien Ernst, spécialiste de l'énergie et professeur à l'ULG.
Des importations qui vont encore augmenter
Et ces possibilités d'importations vont encore augmenter dans les années qui viennent. Parce que l’interconnexion entre la Belgique et ses voisins augmente. Pensez au lien "Nemo" double câble sous-marin d'une capacité de 1000 MW entre le Royaume-Uni et la Belgique, qui devrait être pleinement opérationnel dans le courant du premier trimestre 2019.
Mais l'augmentation la plus significative des importations se fera quand la Belgique fermera ses centrales nucléaires, selon Damien Ernst: "avec un début de fermeture vers 2022, on va probablement arriver à plus de 50, voire 60% d'importation d’électricité à l'avenir. Ça ne m'étonnerait pas du tout, parce que nous sommes fort limités en Belgique, en termes de ressources renouvelables, et en éolien, et en solaire. Donc on peut penser qu'à terme, même l'énergie renouvelable sera importée d'autres pays".
Ce qui n'augure rien de bon pour l'avenir du secteur énergétique en Belgique. Avec quelle conséquence pour la facture? Difficile à dire. Aujourd'hui, les fournisseurs assurent que les importations, ça rend les prix plus stables et plus bas. Mais voire une partie du secteur disparaître chez nous, et importer de l'électricité massivement de l'étranger, cela annonce - si cela se réalise, de sacrées incertitudes sur les prix, et potentiellement, un déficit dans la balance commerciale, une contraction du secteur,...et des pertes d'emploi.
https://www.rtbf.be/info/economie/detail_pourquoi-la-belgique-n-a-jamais-importe-autant-d-electricite-et-pourquoi-ca-va-continuer?id=10112315
07/01/19 : Léglise: des craintes face aux divers projets éoliens
A Léglise, deux projets éoliens sont actuellement à l'étude le long de l'autoroute. L'un de 4 éoliennes et l'autre de 7. Situés l'un à côté de l'autre, ces deux projets suscitent des craintes au sein de la population. Le promoteur EDF Luminus avait planifié une réunion informelle entre les fêtes. Vu la période, la réunion a été annulée à la demande de la commune, mais les riverains ne sont pas plus apaisés d'autant qu'un troisième projet s'annonce...
Ils ont créé un groupe FB pour diffuser l'information. Plusieurs projets éoliens sont à l'étude autour de leur village... Un premier projet de 4 éoliennes initié par EDF Luminus depuis l'an dernier et un second juste à côté de 7 éoliennes a été dévoilé en novembre par le promoteur Storm .
Les riverains ne se réjouissent pas de voir ces éoliennes de 180 et 200 m culminer à plus de 600m d'altitude dans l'axe du soleil et des vents dominants vers Léglise. Ils craignent aussi pour l'environnement, la faune et la flore. Ces 2 projets cumulés ne rassurent pas non plus le bourgmestre Francis Demasy. Sans pouvoir décisionnel, la commune remettra un avis sur base des études et des réclamations. Elle sera attentive à défendre la santé des citoyens concernant le bruit, les effets stromboscopiques et les infrasons.
La question que tout le monde se pose est de savoir si les projets vont tenir compte l'un de l'autre dans leur étude d'incidence. Car les impacts seront nécessairement différents.
Ces études ne sont pas terminées qu'un troisième projet s'annonce pour 3 éoliennes à la sortie de l'autoroute de Léglise. Un troisième promoteur Aspiravi le présentera ce jeudi au Collège avant une prochaine réunion d'information publique. On n'a vraiment pas fini de parler des éoliennes à Léglise.
https://www.tvlux.be/video/info/leglise-des-craintes-face-aux-divers-projets-eoliens_30738.html
07/01/19 : Les éoliennes de Perwez démontées et remplacées par des mâts plus hauts et plus puissants
07/01/19 : Léglise: des craintes face aux divers projets éoliens
A Léglise, deux projets éoliens sont actuellement à l'étude le long de l'autoroute. L'un de 4 éoliennes et l'autre de 7. Situés l'un à côté de l'autre, ces deux projets suscitent des craintes au sein de la population. Le promoteur EDF Luminus avait planifié une réunion informelle entre les fêtes. Vu la période, la réunion a été annulée à la demande de la commune, mais les riverains ne sont pas plus apaisés d'autant qu'un troisième projet s'annonce...
Ils ont créé un groupe FB pour diffuser l'information. Plusieurs projets éoliens sont à l'étude autour de leur village... Un premier projet de 4 éoliennes initié par EDF Luminus depuis l'an dernier et un second juste à côté de 7 éoliennes a été dévoilé en novembre par le promoteur Storm .
Les riverains ne se réjouissent pas de voir ces éoliennes de 180 et 200 m culminer à plus de 600m d'altitude dans l'axe du soleil et des vents dominants vers Léglise. Ils craignent aussi pour l'environnement, la faune et la flore. Ces 2 projets cumulés ne rassurent pas non plus le bourgmestre Francis Demasy. Sans pouvoir décisionnel, la commune remettra un avis sur base des études et des réclamations. Elle sera attentive à défendre la santé des citoyens concernant le bruit, les effets stromboscopiques et les infrasons.
La question que tout le monde se pose est de savoir si les projets vont tenir compte l'un de l'autre dans leur étude d'incidence. Car les impacts seront nécessairement différents.
Ces études ne sont pas terminées qu'un troisième projet s'annonce pour 3 éoliennes à la sortie de l'autoroute de Léglise. Un troisième promoteur Aspiravi le présentera ce jeudi au Collège avant une prochaine réunion d'information publique. On n'a vraiment pas fini de parler des éoliennes à Léglise.
https://www.tvlux.be/video/info/leglise-des-craintes-face-aux-divers-projets-eoliens_30738.html
07/01/19 : Les éoliennes de Perwez démontées et remplacées par des mâts plus hauts et plus puissants
C’est un chantier d’envergure qui s'annonce à Perwez, dans les champs qui bordent la E411. Huit éoliennes implantées entre l’aire autoroutière d’Aische-en-Refail et la sortie 11 (Gembloux-Thorembais) vont être démontées et remplacées par sept mâts de nouvelle génération, plus hauts et plus puissants.
Les nouvelles éoliennes feront 180 mètres de haut (pales comprises), au lieu de 122 pour les engins actuels. Quant à la puissance, on passera de 1,5 à 4,2 mégawatts par éolienne. Avec une éolienne de moins, le parc sera donc plus de deux fois plus puissant.
"Les huit éoliennes actuelles produisent de l’énergie pour environ 10.000 familles et les sept éoliennes qui les remplaceront produiront de l’énergie pour 20.000 familles", explique Miguel de Schaetzen, administrateur délégué de la SA Eneco Wind Belgium qui est à la manœuvre.
De nouveaux emplacements pour respecter les distances
Les nouvelles éoliennes ne seront pas implantées exactement aux endroits actuels, en raison d’un changement de la réglementation. "Les distances entre les maisons et les éoliennes, de même que les distances entre les éoliennes ne sont pas les mêmes. Donc on partira sur de nouveaux emplacements, ce qui veut dire qu’on va démolir les fondations des éoliennes actuelles et remettre les emplacements en état pour les rendre à la culture".
Pour Eneco, ce chantier est une première. Les éoliennes de Perwez ont été mises en service en 2005, elles arrivent doucement en fin de vie. Compte tenu de la longueur des procédures administratives pour leur remplacement, l’entreprise a décidé d’entamer les démarches sans plus attendre, en organisant une réunion d’information publique le 17 janvier (elle aura lieu au Perwez à 19 heures), préalablement à l’introduction d’une demande de permis. "On parle facilement de cinq ans de procédure, poursuit Miguel de Schaetzen, on sera donc au bout d’une période de vingt ans de service pour ces éoliennes".
D’ores-et-déjà, Eneco se veut rassurant, notamment à propos de la hauteur des nouveaux mats. "Il y déjà sur le site des éoliennes de 150 mètres de hauteur et c’est très difficile de voir la différence, par un effet d'optique. Donc le changement sera peu perceptible".https://www.rtbf.be/info/regions/brabant-wallon/detail_les-eoliennes-de-perwez-demontees-et-remplacees-par-des-mats-plus-hauts-et-plus-puissants?id=10112480
05/01/19 : L'année 2018 qualifiée "d'historique" pour l'éolien en mer du Nord 😰
Au 1er janvier, cinq parcs éoliens étaient opérationnels en mer du Nord belge, soit 274 éoliennes représentant une capacité totale de 1.186 MW. En 2018, ces parcs (C-Power, Belwind, Northwind, Nobelwind et Rentel) ont produit 3.408 gigawattheures d'électricité, ce qui équivaut à la consommation d'électricité d'environ un million de familles, indique vendredi la Belgian Offshore Platform (BOP).
Cette association, regroupant les investisseurs et propriétaires de parcs éoliens en mer du Nord belge, évoque une année 2018 "historique", qui a vu la capacité installée franchir le cap des 1.000 MW, ce qui "place à nouveau la Belgique dans le top cinq mondial de l'éolien en mer".
Des projets s'achèvent encore en 2019
Plusieurs projets de nouveaux parcs éoliens sont déjà bien avancés puisque au cours du second semestre 2019, le projet Norther, d'une capacité de 370 MW, actuellement dans sa dernière phase de construction, commencera à produire de l'électricité. "La capacité de production totale atteindra alors 1.556 MW, et la production d'électricité des parcs éoliens s'élèvera à 4.500 gigawattheures par an. Cela correspond à la consommation d'électricité d'environ 1.300.000 familles", souligne la BOP.
En outre, les parcs Northwester 2 (219 MW) et Seamade (le plus grand parc avec une capacité de 487 MW), dont le financement a été clôturé en décembre 2018, devraient commencer à produire leurs premiers électrons à partir de 2020.
D'ici 2020, les huit parcs éoliens auront une capacité totale de 2.262 MW. Leur production annuelle devrait atteindre 8 TWh, soit environ 10% de la demande totale d'électricité en Belgique, ou la moitié de la consommation électrique des ménages.
16.000 emplois selon l'association belge
La BOP souligne l'importance de l'éolien en mer dans la transition énergétique mais aussi pour l'économie belge puisque l'industrie de l'éolien en mer améliore la balance commerciale et créé de nouveaux emplois: "jusqu'à 16.000 emplois dans les entreprises belges actives dans ce secteur".
https://www.rtl.be/info/belgique/societe/l-annee-2018-qualifiee-d-historique-pour-l-eolien-en-mer-du-nord-1089472.aspx
04/01/19 : L'éolien belge a plus que jamais le vent en poupe en mer du Nord
Les nouvelles éoliennes feront 180 mètres de haut (pales comprises), au lieu de 122 pour les engins actuels. Quant à la puissance, on passera de 1,5 à 4,2 mégawatts par éolienne. Avec une éolienne de moins, le parc sera donc plus de deux fois plus puissant.
"Les huit éoliennes actuelles produisent de l’énergie pour environ 10.000 familles et les sept éoliennes qui les remplaceront produiront de l’énergie pour 20.000 familles", explique Miguel de Schaetzen, administrateur délégué de la SA Eneco Wind Belgium qui est à la manœuvre.
De nouveaux emplacements pour respecter les distances
Les nouvelles éoliennes ne seront pas implantées exactement aux endroits actuels, en raison d’un changement de la réglementation. "Les distances entre les maisons et les éoliennes, de même que les distances entre les éoliennes ne sont pas les mêmes. Donc on partira sur de nouveaux emplacements, ce qui veut dire qu’on va démolir les fondations des éoliennes actuelles et remettre les emplacements en état pour les rendre à la culture".
Pour Eneco, ce chantier est une première. Les éoliennes de Perwez ont été mises en service en 2005, elles arrivent doucement en fin de vie. Compte tenu de la longueur des procédures administratives pour leur remplacement, l’entreprise a décidé d’entamer les démarches sans plus attendre, en organisant une réunion d’information publique le 17 janvier (elle aura lieu au Perwez à 19 heures), préalablement à l’introduction d’une demande de permis. "On parle facilement de cinq ans de procédure, poursuit Miguel de Schaetzen, on sera donc au bout d’une période de vingt ans de service pour ces éoliennes".
D’ores-et-déjà, Eneco se veut rassurant, notamment à propos de la hauteur des nouveaux mats. "Il y déjà sur le site des éoliennes de 150 mètres de hauteur et c’est très difficile de voir la différence, par un effet d'optique. Donc le changement sera peu perceptible".https://www.rtbf.be/info/regions/brabant-wallon/detail_les-eoliennes-de-perwez-demontees-et-remplacees-par-des-mats-plus-hauts-et-plus-puissants?id=10112480
05/01/19 : L'année 2018 qualifiée "d'historique" pour l'éolien en mer du Nord 😰
Au 1er janvier, cinq parcs éoliens étaient opérationnels en mer du Nord belge, soit 274 éoliennes représentant une capacité totale de 1.186 MW. En 2018, ces parcs (C-Power, Belwind, Northwind, Nobelwind et Rentel) ont produit 3.408 gigawattheures d'électricité, ce qui équivaut à la consommation d'électricité d'environ un million de familles, indique vendredi la Belgian Offshore Platform (BOP).
Cette association, regroupant les investisseurs et propriétaires de parcs éoliens en mer du Nord belge, évoque une année 2018 "historique", qui a vu la capacité installée franchir le cap des 1.000 MW, ce qui "place à nouveau la Belgique dans le top cinq mondial de l'éolien en mer".
Des projets s'achèvent encore en 2019
Plusieurs projets de nouveaux parcs éoliens sont déjà bien avancés puisque au cours du second semestre 2019, le projet Norther, d'une capacité de 370 MW, actuellement dans sa dernière phase de construction, commencera à produire de l'électricité. "La capacité de production totale atteindra alors 1.556 MW, et la production d'électricité des parcs éoliens s'élèvera à 4.500 gigawattheures par an. Cela correspond à la consommation d'électricité d'environ 1.300.000 familles", souligne la BOP.
En outre, les parcs Northwester 2 (219 MW) et Seamade (le plus grand parc avec une capacité de 487 MW), dont le financement a été clôturé en décembre 2018, devraient commencer à produire leurs premiers électrons à partir de 2020.
D'ici 2020, les huit parcs éoliens auront une capacité totale de 2.262 MW. Leur production annuelle devrait atteindre 8 TWh, soit environ 10% de la demande totale d'électricité en Belgique, ou la moitié de la consommation électrique des ménages.
16.000 emplois selon l'association belge
La BOP souligne l'importance de l'éolien en mer dans la transition énergétique mais aussi pour l'économie belge puisque l'industrie de l'éolien en mer améliore la balance commerciale et créé de nouveaux emplois: "jusqu'à 16.000 emplois dans les entreprises belges actives dans ce secteur".
https://www.rtl.be/info/belgique/societe/l-annee-2018-qualifiee-d-historique-pour-l-eolien-en-mer-du-nord-1089472.aspx
04/01/19 : L'éolien belge a plus que jamais le vent en poupe en mer du Nord
Au 1er janvier, cinq parcs éoliens étaient opérationnels en mer du Nord belge, soit 274 éoliennes représentant une capacité totale de 1186 MW. En 2018, ces parcs (C-Power, Belwind, Northwind, Nobelwind et Rentel) ont produit 3408 gigawattheures d'électricité, ce qui équivaut à la consommation d'électricité d'environ un million de familles, indique vendredi la Belgian Offshore Platform (BOP).
Cette association, regroupant les investisseurs et propriétaires de parcs éoliens en mer du Nord belge, évoque une année 2018 "historique", qui a vu la capacité installée franchir le cap des 1.000 MW, ce qui "place à nouveau la Belgique dans le top cinq mondial de l'éolien en mer".
Les premiers électrons de Northwester 2 et Seamade à partir de 2020
Plusieurs projets de nouveaux parcs éoliens sont déjà bien avancés puisque au cours du second semestre 2019, le projet Norther, d'une capacité de 370 MW, actuellement dans sa dernière phase de construction, commencera à produire de l'électricité. "La capacité de production totale atteindra alors 1.556 MW, et la production d'électricité des parcs éoliens s'élèvera à 4.500 gigawattheures par an. Cela correspond à la consommation d'électricité d'environ 1.300.000 familles", souligne la BOP.
En outre, les parcs Northwester 2 (219 MW) et Seamade (le plus grand parc avec une capacité de 487 MW), dont le financement a été clôturé en décembre 2018, devraient commencer à produire leurs premiers électrons à partir de 2020.
10% de la demande totale d'électricité en Belgique
D'ici 2020, les huit parcs éoliens auront une capacité totale de 2262 MW. Leur production annuelle devrait atteindre 8 TWh, soit environ 10% de la demande totale d'électricité en Belgique, ou la moitié de la consommation électrique des ménages.
La BOP souligne l'importance de l'éolien en mer dans la transition énergétique mais aussi pour l'économie belge puisque l'industrie de l'éolien en mer améliore la balance commerciale et créé de nouveaux emplois: "jusqu'à 16.000 emplois dans les entreprises belges actives dans ce secteur".
Archives : Journal télévisé 17/08/2018 (en ligne)
Les premiers électrons de Northwester 2 et Seamade à partir de 2020
Plusieurs projets de nouveaux parcs éoliens sont déjà bien avancés puisque au cours du second semestre 2019, le projet Norther, d'une capacité de 370 MW, actuellement dans sa dernière phase de construction, commencera à produire de l'électricité. "La capacité de production totale atteindra alors 1.556 MW, et la production d'électricité des parcs éoliens s'élèvera à 4.500 gigawattheures par an. Cela correspond à la consommation d'électricité d'environ 1.300.000 familles", souligne la BOP.
En outre, les parcs Northwester 2 (219 MW) et Seamade (le plus grand parc avec une capacité de 487 MW), dont le financement a été clôturé en décembre 2018, devraient commencer à produire leurs premiers électrons à partir de 2020.
10% de la demande totale d'électricité en Belgique
D'ici 2020, les huit parcs éoliens auront une capacité totale de 2262 MW. Leur production annuelle devrait atteindre 8 TWh, soit environ 10% de la demande totale d'électricité en Belgique, ou la moitié de la consommation électrique des ménages.
La BOP souligne l'importance de l'éolien en mer dans la transition énergétique mais aussi pour l'économie belge puisque l'industrie de l'éolien en mer améliore la balance commerciale et créé de nouveaux emplois: "jusqu'à 16.000 emplois dans les entreprises belges actives dans ce secteur".
Archives : Journal télévisé 17/08/2018 (en ligne)
https://www.rtbf.be/info/economie/detail_l-eolien-belge-a-plus-que-jamais-le-vent-en-poupe-en-mer-du-nord?id=1011079904/01/19 : ORP-JAUCHE, HÉLÉCINE : Des permis périmés menacent un investissement de 30 millions d’euros dans l’éolien
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190103_01277263/des-permis-perimes-menacent-un-investissement-de-30-millions-d-euros-dans-l-eolien
03/01/19 : Le chaos électrique belge
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190103_01277263/des-permis-perimes-menacent-un-investissement-de-30-millions-d-euros-dans-l-eolien
03/01/19 : Le chaos électrique belge
European Scientist a lancé une série sur l’énergie en Europe. Retrouvez les deux autres articles de la série, l’un du Ministre Polonais de l’Energie sur « Pourquoi la Pologne a besoin du nucléaire ? » et l’autre de notre expert énergie Jean-Pierre Riou sur « Les Français et le nucléaire ». Si vous souhaitez contribuer sur votre pays respectif, n’hésitez pas à nous contacter.
L’approvisionnement électrique de la Belgique est devenu un sérieux problème. Sans investissements dans de nouvelles capacités de production, la sécurité́ d’approvisionnement en électricité́ se dégradera dans les années à venir. Or la situation du pays ne permet pas d’être optimiste à cet égard.
La Belgique n’est pas un pays simple. On peut qualifier sa structure institutionnelle de sui generis. Ce pays fédéral est divisé en trois régions chacune avec son propre gouvernement régional : Flandre, Bruxelles, Wallonie. En matière d’énergie les compétences sont partagées entre le gouvernement fédéral et les régionaux ; ils doivent se coordonner pour parler d’une seule voix tant au niveau européen que dans les COPs, ce qui bloque souvent la décision comme ce fut le cas pour la COP24 qui vient de se tenir à Katowice. De plus, il existe un profond clivage socio-politique entre les Flamands et les francophones. Une très large majorité de Flamands vote au centre-droit avec même une quarantaine de pourcent qui se qualifie de nationaliste. À Bruxelles et en Wallonie c’est l’inverse, pratiquement tous les partis sont de gauche avec même la résurgence significative d’un parti qui se revendique fièrement du marxisme. Ce fouillis se manifeste bien entendu aussi dans la politique énergétique.
Pendant quatre ans et demi le gouvernement dirigé par le francophone Charles Michel a conduit une politique de centre-droit pour la première fois depuis longtemps. Son parti, le Mouvement réformateur (MR), qui était qualifié de centre-droit par une grande partie des francophones avait eu le courage d’affirmer des choix économiques libéraux voulus par les Flamands, s’attirant ainsi des critiques véhémentes de la part des autres partis francophones. Mais en décembre 2018, de manière incompréhensible, au point que des éditorialistes ont parlé de « suicide politique », le même Charles Michel a fait tomber son gouvernement car il n’a pas accepté l’ultimatum de son principal partenaire flamand (la N-VA) qui ne voulait pas que le pays signe le Pacte de Marrakech sur les migrants. À peine son gouvernement avec la N-VA fut-il tombé que « le climat » devenait une priorité au point que le MR offrait sa collaboration aux partis de gauche pour diriger le pays. Il est vrai que l’on sortait de la COP24. Or en Belgique tous les médias matraquent quotidiennement la population sur l’imminence de la catastrophe que va créer le changement climatique d’origine humaine. Les partis – sauf la N-VA – sont donc contraints de faire de la surenchère sur le climat afin de ne pas être rappelés à l’ordre par les médias.
Il est également vrai que le parti du premier ministre dirige le gouvernement wallon, lequel suit une politique fortement écologique qui déplaît pourtant à la plus grande partie de son électorat. On s’attend à une déroute de ce parti lors des élections du 26 mai 2019 car son virage écologiste lui enlèvera des électeurs à droite sans lui apporter des voix à gauche. Selon l’expression consacrée « on préfère l’original (écologiste) à la copie (centre) ». Par exemple, Jean-Luc Crucke, le ministre wallon de l’énergie renforce le soutien aux installations d’énergie renouvelable intermittente, il est un ardent défenseur de la fermeture de centrales nucléaires. Pire, il décide d’interdire les voitures diesels et même à essence parce qu’il entend promouvoir les véhicules électriques alors que le remplacement de seulement dix pourcent des automobiles thermiques par des véhicules électriques exigerait en charge rapide le doublement de la puissance installée actuelle et bien entendu qu’elle ne soit pas intermittente c’est-à-dire pas d’origine renouvelable. Cette folle précipitation induit des implications énergétiques préoccupantes.
Flash-back.
Grâce au système électoral proportionnel malgré son score oscillant autour d’une dizaine de pourcents, le parti écologiste monnaie chèrement sa participation aux gouvernements fédéral ou régionaux. Dans un précèdent gouvernement fédéral, il est parvenu à imposer une sortie pour 2025 du nucléaire, qui représente environ la moitié de l’électricité générée dans le pays, en faisant croire qu’il était possible de remplacer la génération nucléaire par l’électricité renouvelable intermittente (éolien et photovoltaïque). Des financements inconsidérés ont été accordés par les régions notamment à gauche, afin de démontrer à la population qu’il était possible d’abandonner le nucléaire grâce à l’éolien et aux panneaux photovoltaïques. Pour sa part, le gouvernement fédéral afin de répondre à l’obligation de la directive européenne 2009/28, subsidie généreusement l’éolien en mer du Nord car ce territoire maritime est sous sa juridiction. Dans un des pays de l’UE qui possède la plus petite surface, on se retrouve avec quatre systèmes de financement des énergies renouvelables alors que le soleil brille partout de la même manière, « brille » ne convenant d’ailleurs que très imparfaitement puisque la Belgique est très peu ensoleillée : le facteur de capacité solaire[a] est de 12% (le facteur éolien est de 19%). Le fiasco est total au point que les gouvernements successifs doivent revoir chacun à leur tour les mécanismes de financements car tout cela devient trop cher sans pour autant que les émissions de CO2 ne chutent. Cette « bulle du photovoltaïque » est devenue une pantomime dans le pays qui a créé le surréalisme.
La Belgique possède deux sites nucléaires, Doel près d’Anvers et Tihange non loin de Liège. La puissance installée totale des 7 réacteurs est de 5 919 MW. Bien que la loi prévoie leur fermeture totale pour 2025 – c’est la position officielle du gouvernement en place – les spécialistes de l’électricité affirment tous, bien que pas toujours de manière publique, qu’il sera impossible de maintenir cet objectif.
Ce chaos résulte de la politique invraisemblable en la matière. Dernièrement, Claude Desama, un ancien député européen qui était rapporteur des premiers textes législatifs sur l’ouverture du marché électrique et donc bien compétent a écrit « Le débat énergétique reste pollué par l’idéologie » en fustigeant le caractère improvisé des choix énergétiques belges résultant de la captation politique d’une question qui aurait dû rester économique et technique. Cette dérive est partie de la haine du nucléaire avec un parti écologiste parmi les plus virulents d’Europe en la matière. Ensuite, il y a l’utopie de vouloir limiter les émissions de CO2 ce qui justifie et génère une politique de subventionnement de la production renouvelable intermittente. En pleine contradiction, le gouvernement prétend réduire les émissions (il en fait d’ailleurs un des trois sujets de la prochaine campagne électorale) tout en remplaçant les centrales nucléaires par neuf centrales au gaz naturel. Sans doute les politiciens n’aimaient pas leur cours de chimie dont ils semblent n’avoir pas retenu cette simple équation de la combustion du méthane : CH4+O2 è CO2+H2O.
Dans ce marasme créé depuis une vingtaine d’année par des politiciens ignorants et irresponsables, les producteurs d’électricité tergiversent non seulement pour prendre des décisions pourtant nécessaires pour construire des nouvelles centrales, mais tardent aussi à investir dans le maintien des centrales existantes ce qui conduit à leur vieillissement prématuré et créé des pannes à répétition. Du 15 octobre au 11 novembre 2018 seul un réacteur nucléaire était en fonctionnement soit 1 006 MW sur les 5 919 MW en place. Finalement, un contexte de marché défavorable caractérisé par des prix de gros bas qui sont eux même la conséquence en partie du développement du renouvelable subsidié, impacte négativement sur l’économie de la génération électrique pilotable.
Marie-Christine Marghem (MR), la ministre fédérale de l’énergie prépare un projet de loi de de financement des nouvelles centrales au gaz naturel qui devront se substituer aux centrales nucléaires sensées être arrêtées en 2025 ainsi que quelques vielles unités thermiques pour un total de 7,4 GW. Ce mécanisme de rémunération de capacité (capacity mechanism) sera ensuite soumis pour acceptation à la Commission européenne. De sorte qu’il est probable qu’il ne sera pas possible de lancer les appels d’offres, construire et démarrer ces nouvelles centrales avant 2025. Il est donc vraisemblable que la durée de vie des centrales nucléaires sera prolongée de quelques années voire plus et cela de nouveau en totale contradiction avec ce qu’affirme le Premier ministre actuel depuis la formation de son gouvernement il y a quatre ans et demi.
En tout état de cause, si elle se concrétise cette situation s’accompagnera d’un surcoût du prix de gros estimé entre 56 et 90 €/MWh selon les études, puisque la Belgique arrêtera des centrales nucléaires amorties produisant de l’électricité bon marché et devra subsidier à la fois les énergies renouvelables et les centrales au gaz. Certes, le surcoût pour ce mécanisme de soutien aux centrales au gaz n’aura qu’une répercussion faible sur la facture des ménages mais il aura néanmoins d’un impact macroéconomique non négligeable qui pénalisera une économie belge déjà à bout de souffle.
Or le prix de l’électricité en Belgique est déjà énorme. Dans l’UE, le Danemark et l’Allemagne ont le prix de vente aux ménages les plus élevé (0,30 €/kWh) mais la Belgique est juste derrière avec 0,28 €/kWh. Le graphique en annexe construit à partir des données d’Eurostat montre que le prix de l’électricité est corrélé avec la production d’électricité intermittente. On observera que la Belgique se distingue (en mal) par rapport à la droite de régression. La principale raison est que la distribution de l’électricité vers les ménages est essentiellement contrôlée par des sociétés appelées intercommunales cogérées par des communes qui, au su de tout le monde, transfèrent une partie du prix de vente vers le budget des communes (et la rémunération de leurs administrateurs).
Sortir du nucléaire de manière aussi unilatérale et brutale, va ‘assécher’ les énormes compétences acquises en Belgique dans ce domaine scientifique et technique. Rappelons que le premier réacteur PWR hors USA fut construit en Belgique. Grâce à cette compétence les centrales belges ont toujours très bien fonctionné. Les déboires récents ne sont dus ni à l’incompétence des techniciens en charge ni au manque de suivi des autorités de contrôle. Ils montrent au contraire qu’en matière de sécurité nucléaire le laxisme n’est pas de mise. L’assèchement des compétences vient du fait qu’il va y avoir en effet un désintérêt complet pour ce domaine parmi les jeunes les plus talentueux dont le domaine a un pressant besoin. Or, on ne forme pas des spécialistes dans un domaine aussi pointu que le nucléaire aisément. Les compétences parties le seront définitivement et il faudra un jour se résigner à acheter russe ou chinois.
Certes en matière de recherche il y a un élément positif que l’on doit signaler en Belgique mais il ne sera sans doute pas suffisant pour sauver l’industrie nucléaire. En effet, le gouvernement fédéral a accordé au centre nucléaire SCK/CEN de Mol un financement de 558 millions d’euro pour construire MYRRHA, une installation de ‘Génération-IV’ pour l’élimination par la ‘voie physique’ des actinides mineurs (déchets à très longue demi-vie). Mais cela c’est pour après-demain.
Pour aujourd’hui et pour demain, il est à craindre que le politiquement correct poursuivi par des décision politiques dénuées de tout fondement économique continuera d’enfoncer la Belgique énergétique dans le marasme. Et bien entendu, le prix de l’électricité continuera à croître et l’économie belge à en pâtir lourdement. Alors qu’il y a un siècle ce pays était à la pointe, parfois le premier, de toutes les industries et des techniques grâce à l’énergie fossile, sa quête de croissance économique et de création d’emplois ne se réalisera pas avec les politiques suivies actuellement. Il est urgent que le monde politique belge se ressaisisse au lieu de poursuivre des chimères vertes qui sont purement idéologiques et jamais n’adviendront dans le monde réel. Jamais ! On est loin des promesses quant aux bienfaits de l’ouverture du marché de l’électricité décidée au début des années 80. Non pas que ce qui avait été annoncé n’était pas bien pensé. Ce qui a causé le marasme actuel – et pas seulement en Belgique – c’est qu’alors qu’on essayait péniblement d’ouvrir le marché électrique à la concurrence, l’idéologie verte est venue casser le mécanisme en obligeant le subventionnement de la forme la plus chère d’électricité tout en pénalisant le nucléaire qui est moins cher surtout lorsqu’il est déjà amorti.
La Belgique est un cas d’école de la destruction d’un secteur énergétique sain produisant une énergie bon marché, par de folles errances idéologiques et politiques.
[a] Le facteur de charge est le pourcentage d’heures de l’année au cours desquelles les installations génèrent à leur puissance nominale.
Le dernier ouvrage de Samuele Furfari est une œuvre de 1200 pages en deux volume « The changing world of energy and the geopolitical challenges« . Voir furfari.wordpress.com
L’approvisionnement électrique de la Belgique est devenu un sérieux problème. Sans investissements dans de nouvelles capacités de production, la sécurité́ d’approvisionnement en électricité́ se dégradera dans les années à venir. Or la situation du pays ne permet pas d’être optimiste à cet égard.
La Belgique n’est pas un pays simple. On peut qualifier sa structure institutionnelle de sui generis. Ce pays fédéral est divisé en trois régions chacune avec son propre gouvernement régional : Flandre, Bruxelles, Wallonie. En matière d’énergie les compétences sont partagées entre le gouvernement fédéral et les régionaux ; ils doivent se coordonner pour parler d’une seule voix tant au niveau européen que dans les COPs, ce qui bloque souvent la décision comme ce fut le cas pour la COP24 qui vient de se tenir à Katowice. De plus, il existe un profond clivage socio-politique entre les Flamands et les francophones. Une très large majorité de Flamands vote au centre-droit avec même une quarantaine de pourcent qui se qualifie de nationaliste. À Bruxelles et en Wallonie c’est l’inverse, pratiquement tous les partis sont de gauche avec même la résurgence significative d’un parti qui se revendique fièrement du marxisme. Ce fouillis se manifeste bien entendu aussi dans la politique énergétique.
Pendant quatre ans et demi le gouvernement dirigé par le francophone Charles Michel a conduit une politique de centre-droit pour la première fois depuis longtemps. Son parti, le Mouvement réformateur (MR), qui était qualifié de centre-droit par une grande partie des francophones avait eu le courage d’affirmer des choix économiques libéraux voulus par les Flamands, s’attirant ainsi des critiques véhémentes de la part des autres partis francophones. Mais en décembre 2018, de manière incompréhensible, au point que des éditorialistes ont parlé de « suicide politique », le même Charles Michel a fait tomber son gouvernement car il n’a pas accepté l’ultimatum de son principal partenaire flamand (la N-VA) qui ne voulait pas que le pays signe le Pacte de Marrakech sur les migrants. À peine son gouvernement avec la N-VA fut-il tombé que « le climat » devenait une priorité au point que le MR offrait sa collaboration aux partis de gauche pour diriger le pays. Il est vrai que l’on sortait de la COP24. Or en Belgique tous les médias matraquent quotidiennement la population sur l’imminence de la catastrophe que va créer le changement climatique d’origine humaine. Les partis – sauf la N-VA – sont donc contraints de faire de la surenchère sur le climat afin de ne pas être rappelés à l’ordre par les médias.
Il est également vrai que le parti du premier ministre dirige le gouvernement wallon, lequel suit une politique fortement écologique qui déplaît pourtant à la plus grande partie de son électorat. On s’attend à une déroute de ce parti lors des élections du 26 mai 2019 car son virage écologiste lui enlèvera des électeurs à droite sans lui apporter des voix à gauche. Selon l’expression consacrée « on préfère l’original (écologiste) à la copie (centre) ». Par exemple, Jean-Luc Crucke, le ministre wallon de l’énergie renforce le soutien aux installations d’énergie renouvelable intermittente, il est un ardent défenseur de la fermeture de centrales nucléaires. Pire, il décide d’interdire les voitures diesels et même à essence parce qu’il entend promouvoir les véhicules électriques alors que le remplacement de seulement dix pourcent des automobiles thermiques par des véhicules électriques exigerait en charge rapide le doublement de la puissance installée actuelle et bien entendu qu’elle ne soit pas intermittente c’est-à-dire pas d’origine renouvelable. Cette folle précipitation induit des implications énergétiques préoccupantes.
Flash-back.
Grâce au système électoral proportionnel malgré son score oscillant autour d’une dizaine de pourcents, le parti écologiste monnaie chèrement sa participation aux gouvernements fédéral ou régionaux. Dans un précèdent gouvernement fédéral, il est parvenu à imposer une sortie pour 2025 du nucléaire, qui représente environ la moitié de l’électricité générée dans le pays, en faisant croire qu’il était possible de remplacer la génération nucléaire par l’électricité renouvelable intermittente (éolien et photovoltaïque). Des financements inconsidérés ont été accordés par les régions notamment à gauche, afin de démontrer à la population qu’il était possible d’abandonner le nucléaire grâce à l’éolien et aux panneaux photovoltaïques. Pour sa part, le gouvernement fédéral afin de répondre à l’obligation de la directive européenne 2009/28, subsidie généreusement l’éolien en mer du Nord car ce territoire maritime est sous sa juridiction. Dans un des pays de l’UE qui possède la plus petite surface, on se retrouve avec quatre systèmes de financement des énergies renouvelables alors que le soleil brille partout de la même manière, « brille » ne convenant d’ailleurs que très imparfaitement puisque la Belgique est très peu ensoleillée : le facteur de capacité solaire[a] est de 12% (le facteur éolien est de 19%). Le fiasco est total au point que les gouvernements successifs doivent revoir chacun à leur tour les mécanismes de financements car tout cela devient trop cher sans pour autant que les émissions de CO2 ne chutent. Cette « bulle du photovoltaïque » est devenue une pantomime dans le pays qui a créé le surréalisme.
La Belgique possède deux sites nucléaires, Doel près d’Anvers et Tihange non loin de Liège. La puissance installée totale des 7 réacteurs est de 5 919 MW. Bien que la loi prévoie leur fermeture totale pour 2025 – c’est la position officielle du gouvernement en place – les spécialistes de l’électricité affirment tous, bien que pas toujours de manière publique, qu’il sera impossible de maintenir cet objectif.
Ce chaos résulte de la politique invraisemblable en la matière. Dernièrement, Claude Desama, un ancien député européen qui était rapporteur des premiers textes législatifs sur l’ouverture du marché électrique et donc bien compétent a écrit « Le débat énergétique reste pollué par l’idéologie » en fustigeant le caractère improvisé des choix énergétiques belges résultant de la captation politique d’une question qui aurait dû rester économique et technique. Cette dérive est partie de la haine du nucléaire avec un parti écologiste parmi les plus virulents d’Europe en la matière. Ensuite, il y a l’utopie de vouloir limiter les émissions de CO2 ce qui justifie et génère une politique de subventionnement de la production renouvelable intermittente. En pleine contradiction, le gouvernement prétend réduire les émissions (il en fait d’ailleurs un des trois sujets de la prochaine campagne électorale) tout en remplaçant les centrales nucléaires par neuf centrales au gaz naturel. Sans doute les politiciens n’aimaient pas leur cours de chimie dont ils semblent n’avoir pas retenu cette simple équation de la combustion du méthane : CH4+O2 è CO2+H2O.
Dans ce marasme créé depuis une vingtaine d’année par des politiciens ignorants et irresponsables, les producteurs d’électricité tergiversent non seulement pour prendre des décisions pourtant nécessaires pour construire des nouvelles centrales, mais tardent aussi à investir dans le maintien des centrales existantes ce qui conduit à leur vieillissement prématuré et créé des pannes à répétition. Du 15 octobre au 11 novembre 2018 seul un réacteur nucléaire était en fonctionnement soit 1 006 MW sur les 5 919 MW en place. Finalement, un contexte de marché défavorable caractérisé par des prix de gros bas qui sont eux même la conséquence en partie du développement du renouvelable subsidié, impacte négativement sur l’économie de la génération électrique pilotable.
Marie-Christine Marghem (MR), la ministre fédérale de l’énergie prépare un projet de loi de de financement des nouvelles centrales au gaz naturel qui devront se substituer aux centrales nucléaires sensées être arrêtées en 2025 ainsi que quelques vielles unités thermiques pour un total de 7,4 GW. Ce mécanisme de rémunération de capacité (capacity mechanism) sera ensuite soumis pour acceptation à la Commission européenne. De sorte qu’il est probable qu’il ne sera pas possible de lancer les appels d’offres, construire et démarrer ces nouvelles centrales avant 2025. Il est donc vraisemblable que la durée de vie des centrales nucléaires sera prolongée de quelques années voire plus et cela de nouveau en totale contradiction avec ce qu’affirme le Premier ministre actuel depuis la formation de son gouvernement il y a quatre ans et demi.
En tout état de cause, si elle se concrétise cette situation s’accompagnera d’un surcoût du prix de gros estimé entre 56 et 90 €/MWh selon les études, puisque la Belgique arrêtera des centrales nucléaires amorties produisant de l’électricité bon marché et devra subsidier à la fois les énergies renouvelables et les centrales au gaz. Certes, le surcoût pour ce mécanisme de soutien aux centrales au gaz n’aura qu’une répercussion faible sur la facture des ménages mais il aura néanmoins d’un impact macroéconomique non négligeable qui pénalisera une économie belge déjà à bout de souffle.
Or le prix de l’électricité en Belgique est déjà énorme. Dans l’UE, le Danemark et l’Allemagne ont le prix de vente aux ménages les plus élevé (0,30 €/kWh) mais la Belgique est juste derrière avec 0,28 €/kWh. Le graphique en annexe construit à partir des données d’Eurostat montre que le prix de l’électricité est corrélé avec la production d’électricité intermittente. On observera que la Belgique se distingue (en mal) par rapport à la droite de régression. La principale raison est que la distribution de l’électricité vers les ménages est essentiellement contrôlée par des sociétés appelées intercommunales cogérées par des communes qui, au su de tout le monde, transfèrent une partie du prix de vente vers le budget des communes (et la rémunération de leurs administrateurs).
Sortir du nucléaire de manière aussi unilatérale et brutale, va ‘assécher’ les énormes compétences acquises en Belgique dans ce domaine scientifique et technique. Rappelons que le premier réacteur PWR hors USA fut construit en Belgique. Grâce à cette compétence les centrales belges ont toujours très bien fonctionné. Les déboires récents ne sont dus ni à l’incompétence des techniciens en charge ni au manque de suivi des autorités de contrôle. Ils montrent au contraire qu’en matière de sécurité nucléaire le laxisme n’est pas de mise. L’assèchement des compétences vient du fait qu’il va y avoir en effet un désintérêt complet pour ce domaine parmi les jeunes les plus talentueux dont le domaine a un pressant besoin. Or, on ne forme pas des spécialistes dans un domaine aussi pointu que le nucléaire aisément. Les compétences parties le seront définitivement et il faudra un jour se résigner à acheter russe ou chinois.
Certes en matière de recherche il y a un élément positif que l’on doit signaler en Belgique mais il ne sera sans doute pas suffisant pour sauver l’industrie nucléaire. En effet, le gouvernement fédéral a accordé au centre nucléaire SCK/CEN de Mol un financement de 558 millions d’euro pour construire MYRRHA, une installation de ‘Génération-IV’ pour l’élimination par la ‘voie physique’ des actinides mineurs (déchets à très longue demi-vie). Mais cela c’est pour après-demain.
Pour aujourd’hui et pour demain, il est à craindre que le politiquement correct poursuivi par des décision politiques dénuées de tout fondement économique continuera d’enfoncer la Belgique énergétique dans le marasme. Et bien entendu, le prix de l’électricité continuera à croître et l’économie belge à en pâtir lourdement. Alors qu’il y a un siècle ce pays était à la pointe, parfois le premier, de toutes les industries et des techniques grâce à l’énergie fossile, sa quête de croissance économique et de création d’emplois ne se réalisera pas avec les politiques suivies actuellement. Il est urgent que le monde politique belge se ressaisisse au lieu de poursuivre des chimères vertes qui sont purement idéologiques et jamais n’adviendront dans le monde réel. Jamais ! On est loin des promesses quant aux bienfaits de l’ouverture du marché de l’électricité décidée au début des années 80. Non pas que ce qui avait été annoncé n’était pas bien pensé. Ce qui a causé le marasme actuel – et pas seulement en Belgique – c’est qu’alors qu’on essayait péniblement d’ouvrir le marché électrique à la concurrence, l’idéologie verte est venue casser le mécanisme en obligeant le subventionnement de la forme la plus chère d’électricité tout en pénalisant le nucléaire qui est moins cher surtout lorsqu’il est déjà amorti.
La Belgique est un cas d’école de la destruction d’un secteur énergétique sain produisant une énergie bon marché, par de folles errances idéologiques et politiques.
[a] Le facteur de charge est le pourcentage d’heures de l’année au cours desquelles les installations génèrent à leur puissance nominale.
Le dernier ouvrage de Samuele Furfari est une œuvre de 1200 pages en deux volume « The changing world of energy and the geopolitical challenges« . Voir furfari.wordpress.com
https://www.europeanscientist.com/fr/opinion/le-chaos-electrique-belge/
03/01/19 : PERWEZ - Sept éoliennes modernisées et plus puissantes
Les engins actuels, qui datent de 2005, devraient être modernisés. Le promoteur Eneco Wind Belgium compte déposer une demande de permis unique pour ce faire.
03/01/19 : PERWEZ - Sept éoliennes modernisées et plus puissantes
Les engins actuels, qui datent de 2005, devraient être modernisés. Le promoteur Eneco Wind Belgium compte déposer une demande de permis unique pour ce faire.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20190102_01276897/sept-eoliennes-modernisees-et-plus-puissantes
03/01/19 : Des permis périmés menacent un investissement éolien de 30 millions d’euros en Belgique
Des permis périmés menacent un investissement éolien de 30 millions d'euros dans la région belge de Wallonie, rapportent jeudi les médias, citant une source judiciaire.
Selon la même source, le tribunal de première instance de Bruxelles a estimé que les neuf éoliennes wallonnes du projet dit « Greensky » ne bénéficiaient pas de permis valable au moment de leur construction, mettant en péril un investissement de 30 millions d'euros.
Le projet Greensky consiste en un partenariat entre le fournisseur d'énergie Engie-Electrabel (50%), la ville de Saint-Trond (23%), l'Intercommunale bruxelloise d'électricité (17%) et le gestionnaire de l'infrastructure ferroviaire belge Infrabel (10%).
Les neuf éoliennes qui se situent le long de l'autoroute traversant les communes de Lincent, Hannut (Liège), Orp-Jauche et Hélécine (Brabant wallon), alimentent directement le réseau ferroviaire local.
Leur permis unique, valable deux ans, avait été obtenu auprès de la Région wallonne fin 2011. La construction du parc devait commencer au plus tard fin 2013, mais suite à un recours introduit par des riverains auprès du Conseil d'État contre ces permis, Electrael n'avait pas pu débuter le chantier dans les délais impartis, précise la même source.
Alors que le tribunal juge qu'Electrabel avait construit les neuf éoliennes sans permis, le groupe avance que le délai de deux ans était gelé durant le traitement des recours auprès du Conseil d'État.
03/01/19 : Des permis périmés menacent un investissement éolien de 30 millions d’euros en Belgique
Des permis périmés menacent un investissement éolien de 30 millions d'euros dans la région belge de Wallonie, rapportent jeudi les médias, citant une source judiciaire.
Selon la même source, le tribunal de première instance de Bruxelles a estimé que les neuf éoliennes wallonnes du projet dit « Greensky » ne bénéficiaient pas de permis valable au moment de leur construction, mettant en péril un investissement de 30 millions d'euros.
Le projet Greensky consiste en un partenariat entre le fournisseur d'énergie Engie-Electrabel (50%), la ville de Saint-Trond (23%), l'Intercommunale bruxelloise d'électricité (17%) et le gestionnaire de l'infrastructure ferroviaire belge Infrabel (10%).
Les neuf éoliennes qui se situent le long de l'autoroute traversant les communes de Lincent, Hannut (Liège), Orp-Jauche et Hélécine (Brabant wallon), alimentent directement le réseau ferroviaire local.
Leur permis unique, valable deux ans, avait été obtenu auprès de la Région wallonne fin 2011. La construction du parc devait commencer au plus tard fin 2013, mais suite à un recours introduit par des riverains auprès du Conseil d'État contre ces permis, Electrael n'avait pas pu débuter le chantier dans les délais impartis, précise la même source.
Alors que le tribunal juge qu'Electrabel avait construit les neuf éoliennes sans permis, le groupe avance que le délai de deux ans était gelé durant le traitement des recours auprès du Conseil d'État.
https://maroc-diplomatique.net/des-permis-perimes-menacent-un-investissement-eolien-de-30-millions-deuros-en-belgique/
03/01/19 : L'éolien wallon ralentit par des permis périmés ?
Le tribunal de première instance de Bruxelles a estimé que les neuf éoliennes wallonnes du projet Greensky ne bénéficiaient pas de permis valable au moment de leur construction, mettant en péril un investissement de 30 millions d'euros, écrivait jeudi La Libre Belgique.
03/01/19 : L'éolien wallon ralentit par des permis périmés ?
Le tribunal de première instance de Bruxelles a estimé que les neuf éoliennes wallonnes du projet Greensky ne bénéficiaient pas de permis valable au moment de leur construction, mettant en péril un investissement de 30 millions d'euros, écrivait jeudi La Libre Belgique.
Le projet Greensky consiste en un partenariat entre Engie-Electrabel (50%), la ville de Saint-Trond (23%), l'Intercommunale bruxelloise d'électricité (IBE, 17%) et Infrabel (10%). Les neuf éoliennes du volet wallon se situent le long de l'autoroute E40 dans les communes de Lincent, Hannut (Liège), Orp-Jauche et Hélécine (Brabant wallon) et alimentent directement le réseau ferroviaire local. Leur permis unique, valable deux ans, avait été obtenu auprès de la Région wallonne fin 2011.
La construction du parc devait débuter au plus tard fin 2013 mais un recours des riverains auprès du Conseil d'État contre ces permis avait postposé le début du chantier, lancé finalement hors du délais imparti.
Le tribunal a jugé qu'Electrabel avait construit les neuf éoliennes sans permis. Le groupe estimait pour sa part que le délai de deux ans était gelé durant le traitement des recours auprès du Conseil d'État.
La construction du parc devait débuter au plus tard fin 2013 mais un recours des riverains auprès du Conseil d'État contre ces permis avait postposé le début du chantier, lancé finalement hors du délais imparti.
Le tribunal a jugé qu'Electrabel avait construit les neuf éoliennes sans permis. Le groupe estimait pour sa part que le délai de deux ans était gelé durant le traitement des recours auprès du Conseil d'État.
https://www.rtl.be/info/monde/economie/des-permis-perimes-menacent-un-investissement-de-30-m-d-euros-dans-l-eolien-wallon-1088919.aspx
29/12/18 : Perwez : une demande de modification du parc éolien
29/12/18 : Perwez : une demande de modification du parc éolien
L’idée du porteur de projet n’est pas d’en implanter plus mais de les remplacer.
Verra-t-on prochainement des éoliennes supplémentaires du côté de Perwez ? C’est la question que plusieurs habitants se sont posée lorsqu’ils ont vu cette demande de permis ayant trait au parc éolien de la commune.
Fraîchement élu bourgmestre de Perwez, Jordan Godfriaux rassure les Perwéziens qui seraient inquiets, même s’il est encore un peu tôt pour parler de ce projet. "Il existe effectivement une volonté de certaines entreprises de modifier le parc éolien de Perwez, explique-t-il. L’idée n’est pas d’amener des éoliennes supplémentaires mais bien de remplacer celles qui existent actuellement."
Si la demande a donc effectivement été rentrée auprès de la commune, les autorités communales n’ont pas encore eu le temps de se pencher concrètement et en profondeur sur le dossier en question. "Politiquement, il est encore tôt pour se prononcer car on vient seulement d’arriver au pouvoir, continue Jordan Godfriaux. Nous n’avons pas encore eu l’occasion de rencontrer le porteur de projet et cette rencontre est prévue pour le mois de janvier. Sans oublier qu’il y aura bien évidemment une réunion avec la population afin de l’informer et d’entendre ses remarques."
Actuellement, le nouveau maïeur ne dispose donc pas encore de tous les éléments techniques pour pouvoir se prononcer sur cette demande de permis. "J’ai contacté en urgence les échevins concernés par le projet et il est bien trop tôt pour prendre une décision. Comme je l’ai dit, en janvier, nous prendrons le temps de rencontrer le porteur de projet et la population. Ensuite, nous pourrons nous positionner sur la suite qui sera à donner à la demande des porteurs du projet."
Pour rappel, il y a quelques mois à peine, la première éolienne qui avait été installée sur le territoire de Perwez en 2000 a été désinstallée. En panne depuis plus d’un an à l’époque, les coûts d’entretien et de réparation étaient devenus trop importants pour la remettre en service...
Verra-t-on prochainement des éoliennes supplémentaires du côté de Perwez ? C’est la question que plusieurs habitants se sont posée lorsqu’ils ont vu cette demande de permis ayant trait au parc éolien de la commune.
Fraîchement élu bourgmestre de Perwez, Jordan Godfriaux rassure les Perwéziens qui seraient inquiets, même s’il est encore un peu tôt pour parler de ce projet. "Il existe effectivement une volonté de certaines entreprises de modifier le parc éolien de Perwez, explique-t-il. L’idée n’est pas d’amener des éoliennes supplémentaires mais bien de remplacer celles qui existent actuellement."
Si la demande a donc effectivement été rentrée auprès de la commune, les autorités communales n’ont pas encore eu le temps de se pencher concrètement et en profondeur sur le dossier en question. "Politiquement, il est encore tôt pour se prononcer car on vient seulement d’arriver au pouvoir, continue Jordan Godfriaux. Nous n’avons pas encore eu l’occasion de rencontrer le porteur de projet et cette rencontre est prévue pour le mois de janvier. Sans oublier qu’il y aura bien évidemment une réunion avec la population afin de l’informer et d’entendre ses remarques."
Actuellement, le nouveau maïeur ne dispose donc pas encore de tous les éléments techniques pour pouvoir se prononcer sur cette demande de permis. "J’ai contacté en urgence les échevins concernés par le projet et il est bien trop tôt pour prendre une décision. Comme je l’ai dit, en janvier, nous prendrons le temps de rencontrer le porteur de projet et la population. Ensuite, nous pourrons nous positionner sur la suite qui sera à donner à la demande des porteurs du projet."
Pour rappel, il y a quelques mois à peine, la première éolienne qui avait été installée sur le territoire de Perwez en 2000 a été désinstallée. En panne depuis plus d’un an à l’époque, les coûts d’entretien et de réparation étaient devenus trop importants pour la remettre en service...
https://www.dhnet.be/regions/brabant/perwez-une-demande-de-modification-du-parc-eolien-5c2698fb9978e2648c1e91ea
29/12/18 : Boneffe: l’armée enraye les plans d’Eneco
Après Plaine de Vie et la Commune de Ramillies, c'est la Défense qui introduit un recours contre le projet d'éoliennes.
29/12/18 : Boneffe: l’armée enraye les plans d’Eneco
Après Plaine de Vie et la Commune de Ramillies, c'est la Défense qui introduit un recours contre le projet d'éoliennes.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20181228_01275949/boneffe-l-armee-enraye-les-plans-d-eneco
29/12/18 : Ramillies : Eneco n’abandonnera pas Boneffe !
Malgré les rumeurs et trois recours, le projet de 9 éoliennes sera maintenu.
Voilà plus de 10 ans maintenant que le dossier défraie la chronique : la société Eneco souhaite implanter des éoliennes dans la plaine de Boneffe, près de Ramillies. Un endroit calme, à la vue (très) agréable et où l’ornithologie a une place de choix.
Alors forcément, le dossier coince. Demande de permis, obtention, recours au Conseil d’État… on ne compte plus les procédures entreprises pour implanter les éoliennes.
Au départ, le dossier prévoyait 16 éoliennes, puis 13 et maintenant, 9, dont une à destination citoyenne. À chaque dossier introduit, la commune de Ramillies d’une part, des citoyens regroupés avec l’ASBL Plaine de vie et Natagora, de l’autre, introduisent un recours au Conseil d’État qui, jusqu’à présent, leur a toujours donné raison.
Le dernier permis en date, octroyé par le ministre Di Antonio, a fait l’objet de deux nouveaux recours des protagonistes habituels. Mais ce qui embête profondément la société Eneco, c’est l’arrivée dans le dossier d’un nouvel intervenant de taille puisqu’il s’agit ni plus ni moins que de la Défense !
L’armée voit en la plaine de Boneffe une zone propice et déjà utilisée régulièrement pour, entre autres, des exercices militaires, dont du dropping.
Du côté d’Eneco, Arnaud Janvier ne cache pas son désappointement. "Voilà 10 ans que le dossier s’éternise et subitement, l’armée y apparaît alors qu’au départ, c’est plutôt elle qui incitait à cibler cette zone délaissée , explique-t-il. Nous ne comptons toutefois pas abandonner le projet, loin de là. Nos actionnaires commencent pourtant, je le reconnais, à s’impatienter."
Il faut dire qu’Eneco a déjà investi près de 900 000 € dans le projet et que rien n’a encore avancé. "Mais le message est clair, nous n’abandonnerons jamais Boneffe, nous avons trop dépensé d’énergie et de moyens pour laisser tomber. On attend par contre une action politique comme il se doit. Voilà trop longtemps que le dossier traîne, il est temps que les autorités prennent cela en main !"
À toutes les personnes qui, du côté de Ramillies, espéraient que le retrait des installations provisoires et du matériel d’Eneco signifiait l’abandon du projet par la société, il y a lieu de déchanter. "Nous avons d’autres chantiers dans les environs, il est inutile de laisser notre matériel à Ramillies à ce stade, il sera utilisé ailleurs, à Liernu notamment, où un chantier débute !"
29/12/18 : Ramillies : Eneco n’abandonnera pas Boneffe !
Malgré les rumeurs et trois recours, le projet de 9 éoliennes sera maintenu.
Voilà plus de 10 ans maintenant que le dossier défraie la chronique : la société Eneco souhaite implanter des éoliennes dans la plaine de Boneffe, près de Ramillies. Un endroit calme, à la vue (très) agréable et où l’ornithologie a une place de choix.
Alors forcément, le dossier coince. Demande de permis, obtention, recours au Conseil d’État… on ne compte plus les procédures entreprises pour implanter les éoliennes.
Au départ, le dossier prévoyait 16 éoliennes, puis 13 et maintenant, 9, dont une à destination citoyenne. À chaque dossier introduit, la commune de Ramillies d’une part, des citoyens regroupés avec l’ASBL Plaine de vie et Natagora, de l’autre, introduisent un recours au Conseil d’État qui, jusqu’à présent, leur a toujours donné raison.
Le dernier permis en date, octroyé par le ministre Di Antonio, a fait l’objet de deux nouveaux recours des protagonistes habituels. Mais ce qui embête profondément la société Eneco, c’est l’arrivée dans le dossier d’un nouvel intervenant de taille puisqu’il s’agit ni plus ni moins que de la Défense !
L’armée voit en la plaine de Boneffe une zone propice et déjà utilisée régulièrement pour, entre autres, des exercices militaires, dont du dropping.
Du côté d’Eneco, Arnaud Janvier ne cache pas son désappointement. "Voilà 10 ans que le dossier s’éternise et subitement, l’armée y apparaît alors qu’au départ, c’est plutôt elle qui incitait à cibler cette zone délaissée , explique-t-il. Nous ne comptons toutefois pas abandonner le projet, loin de là. Nos actionnaires commencent pourtant, je le reconnais, à s’impatienter."
Il faut dire qu’Eneco a déjà investi près de 900 000 € dans le projet et que rien n’a encore avancé. "Mais le message est clair, nous n’abandonnerons jamais Boneffe, nous avons trop dépensé d’énergie et de moyens pour laisser tomber. On attend par contre une action politique comme il se doit. Voilà trop longtemps que le dossier traîne, il est temps que les autorités prennent cela en main !"
À toutes les personnes qui, du côté de Ramillies, espéraient que le retrait des installations provisoires et du matériel d’Eneco signifiait l’abandon du projet par la société, il y a lieu de déchanter. "Nous avons d’autres chantiers dans les environs, il est inutile de laisser notre matériel à Ramillies à ce stade, il sera utilisé ailleurs, à Liernu notamment, où un chantier débute !"
https://www.dhnet.be/regions/brabant/ramillies-eneco-n-abandonnera-pas-boneffe-5c2698fb9978e2648c1e91e8
28/12/18 : Houyet supprime la taxe "éolienne", un revirement fiscal qui profite aux "petites" initiatives
12.500 euros, voilà la somme que doivent payer les propriétaires d'éoliennes à Houyet, en province de Namur. Une taxe qui touche les grands comme les petits moulins à vent. Quelle que soit leur puissance. Une redevance qui sera désormais supprimée en 2019. Tout profit pour les projets citoyens comme l'éolienne des enfants.
Depuis son lancement en 2006, l'éolienne des enfants dégageait chaque année quelques milliers d'euros de bénéfices. Ils étaient utilisés pour verser un dividende aux 950 coopérateurs du projet. Pas de quoi devenir riche, juste assez pour rembourser la petite mise de départ. Le solde des bénéfices était utilisé pour financer des projets de protection de l'environnement.
Mais depuis l'instauration par la commune de Houyet d'une taxe annuelle sur les éoliennes de 12.500 euros, ces bénéfices s'étaient envolés. Une injustice, selon Lionel Van Riellar, le président du CA de l'éolienne des enfants.
"On nous demandait de payer la même chose qu'une éolienne ayant une production cinq fois plus grande, et générant de facto un chiffre d'affaires cinq fois supérieur. Il faut savoir qu'une grande éolienne a un chiffre d'affaires de 500.000 euros (la nôtre : 100.000 euros) mais on payait la même taxe ! (ndlr : à savoir 12.500 euros annuels). C'est un peu comme si, pour la taxe de circulation automobile, on demandait de payer le même montant pour un cyclomoteur et une berline familiale."
Menacée par une action en justice, la commune d'Houyet a fait marche arrière. Pour les quatre années qui viennent de s'écouler, la taxe a été ramenée rétroactivement de 12.500 à 4000 euros. Et elle est tout simplement supprimée à partir de l'année prochaine.
A Houyet, à part l'éolienne des enfants, deux autres éoliennes bénéficieront de ce revirement fiscal.
28/12/18 : Houyet supprime la taxe "éolienne", un revirement fiscal qui profite aux "petites" initiatives
12.500 euros, voilà la somme que doivent payer les propriétaires d'éoliennes à Houyet, en province de Namur. Une taxe qui touche les grands comme les petits moulins à vent. Quelle que soit leur puissance. Une redevance qui sera désormais supprimée en 2019. Tout profit pour les projets citoyens comme l'éolienne des enfants.
Depuis son lancement en 2006, l'éolienne des enfants dégageait chaque année quelques milliers d'euros de bénéfices. Ils étaient utilisés pour verser un dividende aux 950 coopérateurs du projet. Pas de quoi devenir riche, juste assez pour rembourser la petite mise de départ. Le solde des bénéfices était utilisé pour financer des projets de protection de l'environnement.
Mais depuis l'instauration par la commune de Houyet d'une taxe annuelle sur les éoliennes de 12.500 euros, ces bénéfices s'étaient envolés. Une injustice, selon Lionel Van Riellar, le président du CA de l'éolienne des enfants.
"On nous demandait de payer la même chose qu'une éolienne ayant une production cinq fois plus grande, et générant de facto un chiffre d'affaires cinq fois supérieur. Il faut savoir qu'une grande éolienne a un chiffre d'affaires de 500.000 euros (la nôtre : 100.000 euros) mais on payait la même taxe ! (ndlr : à savoir 12.500 euros annuels). C'est un peu comme si, pour la taxe de circulation automobile, on demandait de payer le même montant pour un cyclomoteur et une berline familiale."
Menacée par une action en justice, la commune d'Houyet a fait marche arrière. Pour les quatre années qui viennent de s'écouler, la taxe a été ramenée rétroactivement de 12.500 à 4000 euros. Et elle est tout simplement supprimée à partir de l'année prochaine.
A Houyet, à part l'éolienne des enfants, deux autres éoliennes bénéficieront de ce revirement fiscal.
https://www.rtbf.be/info/regions/detail_houyet-supprime-la-taxe-eolienne-un-revirement-fiscal-qui-profite-aux-petites-initiatives?id=10107077
26/12/18 : Le débat énergétique reste pollué par l'idéologie
La polémique actuelle sur le risque de pénurie d’électricité pendant l’hiver, ne met pas seulement en évidence le caractère improvisé des choix énergétiques belges. Elle est révélatrice des dérives liées à la captation politique, dans notre pays comme dans l’Union européenne, d’un débat qui devrait rester avant tout dans les champs économique et technique.
26/12/18 : Le débat énergétique reste pollué par l'idéologie
La polémique actuelle sur le risque de pénurie d’électricité pendant l’hiver, ne met pas seulement en évidence le caractère improvisé des choix énergétiques belges. Elle est révélatrice des dérives liées à la captation politique, dans notre pays comme dans l’Union européenne, d’un débat qui devrait rester avant tout dans les champs économique et technique.
Claude Desama
Ancien président de la Commission de l'énergie du Parlement européen et ancien président d'Ores scrl
La polémique actuelle sur le risque de pénurie d’électricité pendant l’hiver, ne met pas seulement en évidence le caractère improvisé des choix énergétiques belges. Elle est révélatrice des dérives liées à la captation politique, dans notre pays comme dans l’Union européenne, d’un débat qui devrait rester avant tout dans les champs économique et technique.
Non que la Commission et les gouvernements n’aient d’autre issue que de s’en remettre aux technocrates de l’énergie, mais parce que ce secteur réclame, plus que d’autres, une approche à la fois rationnelle et de long terme à laquelle le monde politique est réfractaire.
Ancien président de la Commission de l'énergie du Parlement européen et ancien président d'Ores scrl
La polémique actuelle sur le risque de pénurie d’électricité pendant l’hiver, ne met pas seulement en évidence le caractère improvisé des choix énergétiques belges. Elle est révélatrice des dérives liées à la captation politique, dans notre pays comme dans l’Union européenne, d’un débat qui devrait rester avant tout dans les champs économique et technique.
Non que la Commission et les gouvernements n’aient d’autre issue que de s’en remettre aux technocrates de l’énergie, mais parce que ce secteur réclame, plus que d’autres, une approche à la fois rationnelle et de long terme à laquelle le monde politique est réfractaire.
Lorsque la Commission a voulu libéraliser le marché de l’énergie, je n’ai eu cesse de rappeler, comme rapporteur de la directive pour le Parlement européen, que la formation des monopoles dans le secteur de l’électricité était un mouvement historique lié davantage à la sécurisation des investissements à long terme qu’à la recherche du profit maximal.
Si j’avais pu convaincre à l’époque le Conseil et le Parlement d’emprunter une démarche progressive en protégeant les missions de services publics ainsi que le monopole territorial de la distribution, force est de constater que les directives suivantes n’ont eu de cesse d’accroître le rôle du marché et de démanteler les entreprises intégrées. La conséquence de ces choix, strictement idéologiques, a été de tarir les investissements et de menacer la sécurité d’approvisionnement sans bénéfice financier pour les consommateurs.
Si j’avais pu convaincre à l’époque le Conseil et le Parlement d’emprunter une démarche progressive en protégeant les missions de services publics ainsi que le monopole territorial de la distribution, force est de constater que les directives suivantes n’ont eu de cesse d’accroître le rôle du marché et de démanteler les entreprises intégrées. La conséquence de ces choix, strictement idéologiques, a été de tarir les investissements et de menacer la sécurité d’approvisionnement sans bénéfice financier pour les consommateurs.
La transition énergétique, que personne n’avait pris en compte en 1996, a aggravé la situation car l’injection d’une part croissante d’énergies renouvelables sur le marché de gros a créé un effet d’éviction au détriment du parc thermique classique et en particulier des centrales au gaz.
Esprits simples
Pour les esprits simples qui prennent volontiers Greenpeace pour l’Académie des Sciences, il serait possible de compenser cette perte de capacité par un accroissement des sources renouvelables pour autant qu’on le veuille et qu’on y consacre les moyens nécessaires. Pour faire bonne mesure, les mêmes dévots proposent également de les substituer aux centrales nucléaires, là où elles existent encore, malgré leur contribution significative à la lutte contre le réchauffement climatique.
Esprits simples
Pour les esprits simples qui prennent volontiers Greenpeace pour l’Académie des Sciences, il serait possible de compenser cette perte de capacité par un accroissement des sources renouvelables pour autant qu’on le veuille et qu’on y consacre les moyens nécessaires. Pour faire bonne mesure, les mêmes dévots proposent également de les substituer aux centrales nucléaires, là où elles existent encore, malgré leur contribution significative à la lutte contre le réchauffement climatique.
Malheureusement pour cette forme de pensée unique, les faits économiques ont la tête dure, puisque dès le moment où l’éolien et le photovoltaïque atteignent des niveaux significatifs, le problème du stockage-déstockage lié à leur caractère intermittent, se pose de façon cruciale. Or là, nous ne sommes nulle part ou peu s’en faut.
Certes les technologies existent, mais elles sont tantôt écologiquement contestables, comme les batteries, tantôt économiquement coûteuses, comme l’hydrogène ou le méthane (power to gas). Tant que ces deux filières n’ont pas remédié à leurs handicaps, il serait risqué d’aller au-delà des 35% de pénétration des renouvelables dans le mix énergétique ainsi que nous y incitent cependant la Commission et le Parlement européen. D’autant qu’on ne peut ignorer l’effet du "clean energy paradox" suivant lequel, plus les besoins d’électricité seront couverts par des énergies renouvelables, plus le prix du marché empêchera tout investissement non subsidié dans le secteur.
Quatre piliers
Certes les technologies existent, mais elles sont tantôt écologiquement contestables, comme les batteries, tantôt économiquement coûteuses, comme l’hydrogène ou le méthane (power to gas). Tant que ces deux filières n’ont pas remédié à leurs handicaps, il serait risqué d’aller au-delà des 35% de pénétration des renouvelables dans le mix énergétique ainsi que nous y incitent cependant la Commission et le Parlement européen. D’autant qu’on ne peut ignorer l’effet du "clean energy paradox" suivant lequel, plus les besoins d’électricité seront couverts par des énergies renouvelables, plus le prix du marché empêchera tout investissement non subsidié dans le secteur.
Quatre piliers
Si l’on veut maintenir un marché libéralisé et réussir une transition écologique socialement supportable, les autorités nationale et européenne doivent s’engager dans un nouveau modèle qui reposera sur quatre piliers.
Le premier est de confier à l’Union la gestion des réseaux de grand transport afin d’assurer une meilleure allocation des capacités et de réguler le développement des interconnexions.
Le deuxième est d’évaluer au mieux la demande future d’électricité et de planifier, sur cette base, la progression des énergies renouvelables.
La troisième est de garantir l’équilibre économique futur des gestionnaires de réseau de distribution (GRD) en les autorisant à intervenir dans les marchés du stockage, de la flexibilité et des infrastructures de rechargement pour les voitures électriques.
Le premier est de confier à l’Union la gestion des réseaux de grand transport afin d’assurer une meilleure allocation des capacités et de réguler le développement des interconnexions.
Le deuxième est d’évaluer au mieux la demande future d’électricité et de planifier, sur cette base, la progression des énergies renouvelables.
La troisième est de garantir l’équilibre économique futur des gestionnaires de réseau de distribution (GRD) en les autorisant à intervenir dans les marchés du stockage, de la flexibilité et des infrastructures de rechargement pour les voitures électriques.
La quatrième enfin est de consolider un socle de production continue qui garantisse la sécurité d’approvisionnement mise en danger pas l’intermittence des énergies renouvelables. À cet égard, et pour autant que la lutte contre le réchauffement climatique soit bien la priorité, aucun fantasme idéologique ne devrait empêcher à terme le déploiement du nouveau nucléaire en lieu et place du gaz et du charbon.
Si l’on veut éviter à l’avenir le dérèglement du système électrique, le temps est venu de faire preuve d’intelligence et de servir enfin l’intérêt général.
Si l’on veut éviter à l’avenir le dérèglement du système électrique, le temps est venu de faire preuve d’intelligence et de servir enfin l’intérêt général.
https://www.lecho.be/opinions/carte-blanche/le-debat-energetique-reste-pollue-par-l-ideologie/10081973.html
26/12/18 : HOUFFALIZE : 35 000€ pour une étude sur un projet éolien: prudence, dit la minorité
Lors du conseil communal, l’étude d’un projet éolien a interpellé l’opposition. Elle appelle à la prudence.https://www.lavenir.net/cnt/dmf20181225_01275022/projet-eolien-prudence-dit-la-minorite
24/12/18 : ASSESSE : Une taxe… pour combien d’éoliennes ?
Lorsque le conseil a dû approuver la taxe sur les éoliennes, Marc Pierson (ALN) a signalé qu’il s’agit d’une arme à double tranchant.
Lors du conseil communal, l’étude d’un projet éolien a interpellé l’opposition. Elle appelle à la prudence.https://www.lavenir.net/cnt/dmf20181225_01275022/projet-eolien-prudence-dit-la-minorite
24/12/18 : ASSESSE : Une taxe… pour combien d’éoliennes ?
Lorsque le conseil a dû approuver la taxe sur les éoliennes, Marc Pierson (ALN) a signalé qu’il s’agit d’une arme à double tranchant.
Elle rapporte à la Commune tout en risquant de décourager certains producteurs. Il a rappelé que lors de la présentation du projet de trois éoliennes par la société Storm, il aurait été intéressant que, comme l’a annoncé le bourgmestre à l’issue de cette présentation, le public ait su qu’il y avait un autre projet. «Il aurait peut-être réagi autrement», conclut le conseiller. Le bourgmestre répond qu’il l’avait appris l’avant-veille de la présentation par Storm et qu’il n’avait pas voulu perturber l’information donnée par cette société.
Toujours du côté d’ALN, le refus d’approuver les procès-verbaux, tant qu’un précédent procès-verbal n’aura pas enregistré la lettre de démission de l’ancien bourgmestre Pierre Tasiaux. Ça risque de durer.
Lors de la réunion du conseil communal, il a aussi été question des jetons de présence des conseillers. Ils sont fixés à 121,89€ pour les réunions du conseil et à 60,95€ pour les commissions. Ce qui pose problème pour Marc Pierson, d’ALN, c’est le double jeton de présence que reçoit le président du conseil, Georges Gilkinet (Écolo). Celui-ci justifie cette décision par le fait que c’est un décret qui fixe le montant du jeton. Le président a rappelé l’importance d’avoir quelqu’un qui gère les débats d’un conseil. «Quand j’étais encore membre du public, j’ai connu un bourgmestre qui, parfois, refusait la parole aux conseillers de l’opposition».
Le conseil a désigné les mandataires communaux au sein de la commission locale de développement rural, à la régie communale des sports et au comité de concertation commune-CPAS. Un groupe de travail Chemins et sentiers communaux, par appel à candidats, va être constitué. Même chose pour la commission consultative d’aménagement du territoire et de la mobilité et pour le conseil consultatif des aînés. Avis aux amateurs.
Le point relatif au subside à la compagnie du milieu du monde n’ayant pas été approuvé lors de la dernière séance, revient sur la table. Le groupe ALN annonce qu’il n’interviendra pas dans le débat et ne participera au vote.
Roger Frippiat (SAD) estime, dans ce dossier, que les prestations ont bien été effectuées et reconnaît la transparence du dossier. Tout en votant avec la majorité sur ce dossier, il souhaite que l’on essaie de trouver d’autres financements, et de lancer l’idée d’un budget citoyen. Le bourgmestre rappelle qu’il faut les pièces justificatives pour payer un subside et se dit d’accord d’examiner toute solution légale.
Toujours du côté d’ALN, le refus d’approuver les procès-verbaux, tant qu’un précédent procès-verbal n’aura pas enregistré la lettre de démission de l’ancien bourgmestre Pierre Tasiaux. Ça risque de durer.
Lors de la réunion du conseil communal, il a aussi été question des jetons de présence des conseillers. Ils sont fixés à 121,89€ pour les réunions du conseil et à 60,95€ pour les commissions. Ce qui pose problème pour Marc Pierson, d’ALN, c’est le double jeton de présence que reçoit le président du conseil, Georges Gilkinet (Écolo). Celui-ci justifie cette décision par le fait que c’est un décret qui fixe le montant du jeton. Le président a rappelé l’importance d’avoir quelqu’un qui gère les débats d’un conseil. «Quand j’étais encore membre du public, j’ai connu un bourgmestre qui, parfois, refusait la parole aux conseillers de l’opposition».
Le conseil a désigné les mandataires communaux au sein de la commission locale de développement rural, à la régie communale des sports et au comité de concertation commune-CPAS. Un groupe de travail Chemins et sentiers communaux, par appel à candidats, va être constitué. Même chose pour la commission consultative d’aménagement du territoire et de la mobilité et pour le conseil consultatif des aînés. Avis aux amateurs.
Le point relatif au subside à la compagnie du milieu du monde n’ayant pas été approuvé lors de la dernière séance, revient sur la table. Le groupe ALN annonce qu’il n’interviendra pas dans le débat et ne participera au vote.
Roger Frippiat (SAD) estime, dans ce dossier, que les prestations ont bien été effectuées et reconnaît la transparence du dossier. Tout en votant avec la majorité sur ce dossier, il souhaite que l’on essaie de trouver d’autres financements, et de lancer l’idée d’un budget citoyen. Le bourgmestre rappelle qu’il faut les pièces justificatives pour payer un subside et se dit d’accord d’examiner toute solution légale.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20181223_01274676/une-taxe-pour-combien-d-eoliennes
24/12/18 : Houffalize : "Des éoliennes de 200 m sont des monstres"
Luxembourg : Le projet de parc éolien à Bonnerue, bien que communal, divise le conseil.
Le projet de parc éolien à Bonnerue, à implanter sur un terrain communal, a suscité une levée de boucliers au conseil communal de Houffalize.
Dans les rangs de la minorité, Albert Lamborelle, l’ancien directeur général, est particulièrement remonté contre ce projet. "Un montant de 35 000 euros est inscrit au budget pour l’étude préalable" , a-t-il relevé. " De l’argent public va être dépensé pour rien. En effet, ce projet éolien provoque déjà un tollé chez les habitants qui seront impactés à Bonnerue mais aussi à Sainte-Anne et dans le haut de Houffalize. S’il rapportera de l’argent à la commune, il va provoquer de gros désagréments."
La hauteur des mats a été mise en exergue. "Des éoliennes de 180 à 200 mètres de haut sont des monstres", a martelé Albert Lamborelle. "Elles seront encore plus hautes que celles de Bourcy et de la Barrière Hinck. L’impact sur les paysages sera catastrophique." Bernard Deumer a renchéri en disant que ce type de projet n’a pas sa place dans une région touristique, mais en mer, où il ne dérange personne. De son côté, l’échevin Philippe Cara a précisé qu’il est prévu de réaliser une étude préalable pour en mesurer l’impact et tenter de limiter les nuisances. "Nous voulons contrecarrer des projets privés qui risquent d’impacter encore davantage les villageois avec l’objectif de faire rentrer de l’argent dans les caisses communales. Tous les citoyens en profiteront."
L’échevin des Finances Marc Knoden a rappelé que dans le cadre du plan climat des solutions doivent être trouvées en matière d’énergies renouvelables.
Dans le même ordre d’idées, il a annoncé, parmi les investissements budgétés en 2019, pour un total de 7 236 620 euros, une étude relative à la création d’un réseau de chaleur. "Nous avons inscrit 25 000 euros au budget" , a complété le bourgmestre Marc Caprasse. "Il est envisagé de doter le centre sportif d’un silo. L’église, le presbytère, Houtopia et la maison communale seraient reliés à ce réseau de chaleur auquel les riverains pourraient être associés."
24/12/18 : Houffalize : "Des éoliennes de 200 m sont des monstres"
Luxembourg : Le projet de parc éolien à Bonnerue, bien que communal, divise le conseil.
Le projet de parc éolien à Bonnerue, à implanter sur un terrain communal, a suscité une levée de boucliers au conseil communal de Houffalize.
Dans les rangs de la minorité, Albert Lamborelle, l’ancien directeur général, est particulièrement remonté contre ce projet. "Un montant de 35 000 euros est inscrit au budget pour l’étude préalable" , a-t-il relevé. " De l’argent public va être dépensé pour rien. En effet, ce projet éolien provoque déjà un tollé chez les habitants qui seront impactés à Bonnerue mais aussi à Sainte-Anne et dans le haut de Houffalize. S’il rapportera de l’argent à la commune, il va provoquer de gros désagréments."
La hauteur des mats a été mise en exergue. "Des éoliennes de 180 à 200 mètres de haut sont des monstres", a martelé Albert Lamborelle. "Elles seront encore plus hautes que celles de Bourcy et de la Barrière Hinck. L’impact sur les paysages sera catastrophique." Bernard Deumer a renchéri en disant que ce type de projet n’a pas sa place dans une région touristique, mais en mer, où il ne dérange personne. De son côté, l’échevin Philippe Cara a précisé qu’il est prévu de réaliser une étude préalable pour en mesurer l’impact et tenter de limiter les nuisances. "Nous voulons contrecarrer des projets privés qui risquent d’impacter encore davantage les villageois avec l’objectif de faire rentrer de l’argent dans les caisses communales. Tous les citoyens en profiteront."
L’échevin des Finances Marc Knoden a rappelé que dans le cadre du plan climat des solutions doivent être trouvées en matière d’énergies renouvelables.
Dans le même ordre d’idées, il a annoncé, parmi les investissements budgétés en 2019, pour un total de 7 236 620 euros, une étude relative à la création d’un réseau de chaleur. "Nous avons inscrit 25 000 euros au budget" , a complété le bourgmestre Marc Caprasse. "Il est envisagé de doter le centre sportif d’un silo. L’église, le presbytère, Houtopia et la maison communale seraient reliés à ce réseau de chaleur auquel les riverains pourraient être associés."
https://www.dhnet.be/regions/luxembourg/houffalize-des-eoliennes-de-200m-sont-des-monstres-5c1fc1d87b50a666f30f5d37
20/12/18 : LINCENT : Les 9 éoliennes de l'E40 sont illégales: faut-il démonter les éoliennes 7 et 8 ?
19/12/18 : Les éoliennes d’Orp, Lincent et Hannut jugées illégales
20/12/18 : LINCENT : Les 9 éoliennes de l'E40 sont illégales: faut-il démonter les éoliennes 7 et 8 ?
Le collège affirme son soutien aux habitants. Pour le bourgmestre, pas question de régulariser les éoliennes 7 et 8.
19/12/18 : Les éoliennes d’Orp, Lincent et Hannut jugées illégales
Pour la Justice, les neuf éoliennes d’Orp-Jauche, Lincent et Hannut sont illégales car leur permis a expiré fin 2013, avant leur installation.
C’est une claque pour le producteur éolien Greensky (regroupant notamment Engie Electrabel et Infrabel) et une belle victoire pour les habitants de Lincent et Pellaines qui se battent depuis des années contre la présence envahissante du parc éolien. Le 6 décembre dernier, le tribunal de 1re instance de Bruxelles a remis son jugement concernant l’action introduite par les riverains de Lincent contre le producteur d’électricité. Le jugement est clair: les 9 éoliennes (5 sur Lincent, 2 sur Orp-Jauche, 2 sur Hannut) sont illégales car lors de leur installation en mars 2016, leur permis n’a pas été prorogé. «Il était arrivé à échéance en décembre 2013, souligne Bénédicte Closset, une riveraine qui a suivi de près le dossier. Le jugement précise qu’il s’agit même d’une double faute de la part de Greensky dans la mesure où le permis n’a pas été prorogé et que malgré ça, les éoliennes ont été mises en exploitation.»
Pour sa défense, le producteur d’électricité verte misait sur le fait que son permis était suspendu durant toutes les procédures introduites devant le Conseil d’État et donc qu’à l’entame des travaux au printemps 2016, le permis unique n’était pas périmé.
Le juge n’a pas eu la même vision du dossier puisqu’il estime que les neuf éoliennes ont été édifiées sans permis et dès lors fonctionnent depuis lors illégalement.
Trop proche de la zone d’habitat
Quid de la suite? «Le promoteur éolien aura 30 jours pour faire appel à partir de la signification du jugement, qui n’a pas encore eu lieu, précise Me Lionel-Albert Baum, conseil des riverains. On va voir comment cela va se passer mais maintenant le jugement va être transmis au procureur du Roi en demandant une expertise judiciaire concernant la perte de patrimoine, les effets sonores et stroboscopiques. Il est probable que Greensky aille en appel ou demande une régularisation de son permis… Mais pour certaines éoliennes, on voit mal comment le permis pourrait être adapté dans la mesure où elles sont trop proches de la zone d’habitat au plan de secteur (jusqu’à 352 mètres). Or, depuis lors, le cadre éolien a été revu et il impose une distance de quatre fois la hauteur des mats. Soit dans le cas présent, jusqu’à 600 mètres des habitations!»
Greensky: «On veut régulariser la situation»
Greensky a pris connaissance du jugement et planche sur la contre-attaque. «C’est un dossier très complexe au point de vue administratif et juridique, souligne Olivier Desclée, porte-parole chez Engie Electrabel. On veut régulariser la situation mais le jugement ne dit pas concrètement ce qu’on doit faire.»Concernant le démontage éventuel des éoliennes 7 et 8 (les plus proches des habitations et donc incompatibles avec le nouveau cadre éolien), le porte-parole refuse de se prononcer pour l’instant: «On est quand même face à une situation inédite. On a ici des éoliennes qui tournent et qui ont été installées en toute légalité. On prend acte de la décision de justice et on réfléchit à la meilleure manière de s’y conformer.»
Pour sa défense, le producteur d’électricité verte misait sur le fait que son permis était suspendu durant toutes les procédures introduites devant le Conseil d’État et donc qu’à l’entame des travaux au printemps 2016, le permis unique n’était pas périmé.
Le juge n’a pas eu la même vision du dossier puisqu’il estime que les neuf éoliennes ont été édifiées sans permis et dès lors fonctionnent depuis lors illégalement.
Trop proche de la zone d’habitat
Quid de la suite? «Le promoteur éolien aura 30 jours pour faire appel à partir de la signification du jugement, qui n’a pas encore eu lieu, précise Me Lionel-Albert Baum, conseil des riverains. On va voir comment cela va se passer mais maintenant le jugement va être transmis au procureur du Roi en demandant une expertise judiciaire concernant la perte de patrimoine, les effets sonores et stroboscopiques. Il est probable que Greensky aille en appel ou demande une régularisation de son permis… Mais pour certaines éoliennes, on voit mal comment le permis pourrait être adapté dans la mesure où elles sont trop proches de la zone d’habitat au plan de secteur (jusqu’à 352 mètres). Or, depuis lors, le cadre éolien a été revu et il impose une distance de quatre fois la hauteur des mats. Soit dans le cas présent, jusqu’à 600 mètres des habitations!»
Greensky: «On veut régulariser la situation»
Greensky a pris connaissance du jugement et planche sur la contre-attaque. «C’est un dossier très complexe au point de vue administratif et juridique, souligne Olivier Desclée, porte-parole chez Engie Electrabel. On veut régulariser la situation mais le jugement ne dit pas concrètement ce qu’on doit faire.»Concernant le démontage éventuel des éoliennes 7 et 8 (les plus proches des habitations et donc incompatibles avec le nouveau cadre éolien), le porte-parole refuse de se prononcer pour l’instant: «On est quand même face à une situation inédite. On a ici des éoliennes qui tournent et qui ont été installées en toute légalité. On prend acte de la décision de justice et on réfléchit à la meilleure manière de s’y conformer.»
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20181219_01273109/les-eoliennes-d-orp-lincent-et-hannut-jugees-illegales
18/12/18 : Deux nouvelles éoliennes à Feluy ?
Engie Electrabel projette d’installer deux éoliennes sur le site de l’entreprise Xtratherm à Feluy. La procédure de consultation vient de se clôturer.https://www.lavenir.net/cnt/dmf20181218_01272761/deux-nouvelles-eoliennes-a-feluy
17/12/18 : MESSANCY : Éoliennes et budgets au conseil
Première séance sous la nouvelle législature pour les élus messancéens le mercredi 19 décembre à 20 h à l’hôtel de ville de Messancy.
Extrait :
Avant ces points, la séance débutera par l’approbation de la convention d’acquisition d’actions entre la Sopaer et la Commune de Messancy dans le cadre d’achats de parts dans la SA Éoliennes de Lorraine et la déclaration d’apparentement des conseillers communaux.
18/12/18 : Deux nouvelles éoliennes à Feluy ?
Engie Electrabel projette d’installer deux éoliennes sur le site de l’entreprise Xtratherm à Feluy. La procédure de consultation vient de se clôturer.https://www.lavenir.net/cnt/dmf20181218_01272761/deux-nouvelles-eoliennes-a-feluy
17/12/18 : MESSANCY : Éoliennes et budgets au conseil
Première séance sous la nouvelle législature pour les élus messancéens le mercredi 19 décembre à 20 h à l’hôtel de ville de Messancy.
Extrait :
Avant ces points, la séance débutera par l’approbation de la convention d’acquisition d’actions entre la Sopaer et la Commune de Messancy dans le cadre d’achats de parts dans la SA Éoliennes de Lorraine et la déclaration d’apparentement des conseillers communaux.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20181216_01271689/eoliennes-et-budgets-au-conseil
17/12/18 : Thuin: enquête publique pour la construction d’un parc éolien
L’enquête publique concernant l’octroi d’un permis pour la construction de 9 éoliennes débutera le 10 janvier prochain.
La demande provient de Luminus, en vue d’obtenir un permis unique relatif à la construction et l’exploitation d’un parc de 9 éoliennes de puissance maximale totale de 32.4 MW , d’une cabine de tête, de chemins d’accès et aires de montage et de la pose de câbles électriques sur les territoires communaux de Thuin et Ham-sur-Heure/Nalinnes aux lieux dits « Florintchamp et vingt bonniers ».
Le projet implique une modification à la voirie communale et implique également, pour certaines éoliennes, une dérogation au plan de secteur.
Le dossier peut être consulté aux administrations communales à partir du 10 janvier 2019 jusqu’au 14 février 2019.
17/12/18 : Thuin: enquête publique pour la construction d’un parc éolien
L’enquête publique concernant l’octroi d’un permis pour la construction de 9 éoliennes débutera le 10 janvier prochain.
La demande provient de Luminus, en vue d’obtenir un permis unique relatif à la construction et l’exploitation d’un parc de 9 éoliennes de puissance maximale totale de 32.4 MW , d’une cabine de tête, de chemins d’accès et aires de montage et de la pose de câbles électriques sur les territoires communaux de Thuin et Ham-sur-Heure/Nalinnes aux lieux dits « Florintchamp et vingt bonniers ».
Le projet implique une modification à la voirie communale et implique également, pour certaines éoliennes, une dérogation au plan de secteur.
Le dossier peut être consulté aux administrations communales à partir du 10 janvier 2019 jusqu’au 14 février 2019.
Tous les détails: ici
https://www.telesambre.be/thuin-enquete-publique-pour-la-construction-dun-parc-eolien
13/12/18 : Ciel plus dégagé pour les éoliennes de Juprelle et Bassenge
Alors qu’on pensait le projet mort, EDF Luminus vient d’obtenir un permis pour installer cinq éoliennes entre Glons et Paifve! Une autorisation qu’elle doit à un changement de procédure de la part de Skeyes (ex-Belgocontrol), qui jusqu’ici bloquait toute éolienne qui aurait pu se trouver à moins de 16 km du radar de l’aéroport.
Depuis quelques années, les demandes de permis d’implantation d’éoliennes sur Juprelle et Bassenge affluent. Sans succès jusqu’ici. À chaque fois se pose le problème de la proximité avec le radar de l’aéroport. Dans un rayon de 16 km, Skeyes (ex-Belgocontrol) émettait à chaque fois un avis négatif. ...
13/12/18 : Ciel plus dégagé pour les éoliennes de Juprelle et Bassenge
Alors qu’on pensait le projet mort, EDF Luminus vient d’obtenir un permis pour installer cinq éoliennes entre Glons et Paifve! Une autorisation qu’elle doit à un changement de procédure de la part de Skeyes (ex-Belgocontrol), qui jusqu’ici bloquait toute éolienne qui aurait pu se trouver à moins de 16 km du radar de l’aéroport.
Depuis quelques années, les demandes de permis d’implantation d’éoliennes sur Juprelle et Bassenge affluent. Sans succès jusqu’ici. À chaque fois se pose le problème de la proximité avec le radar de l’aéroport. Dans un rayon de 16 km, Skeyes (ex-Belgocontrol) émettait à chaque fois un avis négatif. ...