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jeudi 29 mars 2018

Loire-Atlantique : Grève de la faim contre le projet éolien de Vritz

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22/03/14 : Loire-Atlantique - Ferme éolienne : Paul Boultareau entame une grève de la faim
https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/vritz-44540/ferme-eolienne-paul-boultareau-entame-une-greve-de-la-faim-2027848

Paul Boultareau. Riverain du projet de ferme éolienne prévu sur le site de la Grande-Lande, il estime ne pas disposer de toutes les informations concernant cette construction. Depuis lundi, il a cessé de s'alimenter.

Paul Boultareau, pourquoi cette grève de la faim ?
D'abord parce que c'est une action pacifique et pour attirer l'attention des pouvoirs publics afin de susciter un vrai débat contradictoire sur le bien fondé, ou pas, des éoliennes industrielles. Quelle est leur place par rapport aux autres sources d'énergies nouvelles ? Et leur impact sur l'environnement bocager de la commune, la santé et la faune ?


Quelles réponses souhaitez-vous obtenir ?
Je voudrais comprendre comment s'articule le montage financier. Quel sera, d'abord, le coût de l'installation de ces éoliennes puis son coût de fonctionnement et l'impact éventuel sur la création de nouveaux emplois en France ? Je voudrais aussi savoir combien de temps elles fonctionneront et ce qu'elles deviendront ensuite, après que les contrats de rachat d'électricité par EDF seront arrivés à terme, quelle est la production prévue ? Je voudrais aussi mettre en évidence le coût de ce rachat d'électricité sur les factures de tous les abonnés à l'électricité et enfin, quel est l'intérêt de ces machines pour le citoyen-consommateur.


Pratiquement, comment se déroulera l'opération ?
J'ai pris mon dernier repas dimanche soir et depuis, je n'ai absorbé que de l'eau pure. Jeudi, je m'installe, avec ma caravane pliante, dans le bourg de Vritz, devant la mairie. Je répondrai aux questions que me poseront ceux qui viendront me voir et j'espère que cela débouchera sur un vrai débat public, qui présentera objectivement tous les aspects du dossier.

23/03/14 : Loire-Atlantique : Paul Boultareau en grève de la faim pour un débat sur l'éolien
https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/cande-49440/paul-boultareau-en-greve-de-la-faim-pour-un-debat-sur-leolien-2031897
Depuis le 17 mars, Paul Boultareau, 57 ans, conducteur de bus et de tram, riverain du futur parc éolien de Vritz, a entamé une grève de la faim. Il a installé ce 20 mars sa caravane dans la cour de la mairie. Et compte alerter au-delà de la commune sur le combat qu'il mène, sur le manque de concertation qu'il ressent à propos du projet de parc à l'ouest de sa maison, et de façon de plus générale, sur le plan national.
L'avis du maire
L'avis du maire Michel Jeanneau diverge un peu en matière de concertation. Il cite plusieurs étapes. D'abord, en 2002, avec la démarche du promoteur sur le potentiel éolien de la commune. Curieux et parce qu'habitué à voyager en Allemagne, où il en a beaucoup vu, il se rend à une réunion d'information Ademe aux Sables d'Olonnes. « J'y retrouve Pierre Biche, originaire de Vritz, alors directeur de l'agence Pays de Loire », se souvient-il. Une réunion publique est organisée à Vritz. Le conseil est unanime sur la zone choisie. Un mât de mesure est installé, et le promoteur organise un car de 50 personnes pour aller s'en rendre compte à Bouin (85).
« La commune ne voulait pas dépenser un centime pour l'étude ZDE. » C'est la Communauté de communes du pays d'Ancenis (Compa) qui a monté le dossier avec le bureau Alizé. De 8 éoliennes on est retombé à 6« Les conseillers du mandat en cours étaient enchantés du projet. Les avis sont sans doute plus partagés aujourd'hui, à cause de la pollution visuelle » reconnaît le maire. Pour ajouter. « Si ça se fait, ça se fait, je ne me battrais pas pour ça ».
L'aspect financier
« On a négocié », avoue t-il. 25 000 € au début du parc, 25 000 € un an après, et 9 000 € par an pour l'entretien du parc qui sera fait par les employés communaux. Quant à la taxe foncière, il n'y a rien de définitif. « À Pouillé (44) le maire m'a parlé de 20 000 € par an pour 4 éoliennes », avance t-il. « Quant à la Compa elle toucherait 138 000 € par an », selon Paul Boultareau.


06/04/14 : Loire-Atlantique : Éoliennes : Paul Boultareau cesse sa grève de la faim
https://www.ouest-france.fr/eoliennes-paul-boultareau-cesse-sa-greve-de-la-faim-2101076
Après 18 jours de jeûne, Paul Boultareau a arrêté, hier à midi, la grève de la faim qu'il avait commencée pour attirer l'attention des médias et des pouvoirs publics sur « la pertinence, ou non, de la construction d'éoliennes dans les campagnes et sur les montages financiers ».
Malgré la visite du conseiller général, Jean-Yves Ploteau, et du député, Yves Daniel, « les soutiens sont restés frileux et très locaux, même si, grâce à la presse régionale lue à l'étranger, j'ai reçu des soutiens en dehors des frontières».

20/01/17 : Vritz (44) : le projet éolien annulé en justice 😊
http://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/vritz-44540/vritz-le-projet-eolien-annule-en-justice-4748119
Faute de preuve de financement solide, le projet éolien censé s’implanter à Vritz n’est plus légal.
Le tribunal administratif de Nantes a annulé, jeudi, l’autorisation d’exploitation du préfet délivrée le 4 juin 2014. A la demande de riverains résidant à moins d’un kilomètre du lieu où la société Parc éolien les Grandes Landes SAS envisageait d’implanter six aérogénérateurs, le projet a avorté. Le tribunal administratif a suivi le point de vue du rapporteur public. La société requérante, filiale du groupe allemand Energiequelle, avait présenté un montage financier qui prévoyait un investissement à 20% en fonds propres et à 80% par un prêt bancaire. Mais le dossier de demande précisait que l’entreprise ne justifiait pas d’un engagement ferme de la part d’un établissement bancaire. Le tribunal a conclu qu’elle n’était pas en mesure de mener à bien ce genre de projet, qui nécessite des ressources consistantes. L’Etat devra verser aux riverains requérants 1500 €, en remboursement des frais de reprographie et de justice.

A Consulter
Tribunal administratif de Nantes, audience du 1er décembre 2016 - Lecture du 19 janvier 2017
https://www.ventdecolere.org/justice/ICPE-ann-capacite-fin-44-Vritz-TA-Nantes-19-01-2017.pdf
Vu la procédure suivante : 
Par une requête et un mémoire enregistrés les 11 décembre 2014 et 1 er octobre 2015, M. et Mme Paul Boultareau, M. et Mme Patrick Gasnier, Mme Geneviève Massonnet, M. et Mme Serge Chalumeau, M. et Mme Patrick Alenou, M. Philippe Lefrancois, Mme Béatrice Mayet, M. et Mme Pierre Besnard et Mme Anne-Marie Floch, représentés par Me de Bodinat, 
demandent au Tribunal : 
1°) d’annuler l’arrêté du 4 juin 2014 par lequel le préfet de la Loire-Atlantique a autorisé la société Parc Eolien les Grandes Landes SAS à exploiter une installation de production d’électricité et six aérogénérateurs sur le territoire de la commune de Vritz ; 
2°) de mettre à la charge de l’Etat et de la société Parc Eolien les Grandes Landes une somme de 7 000 euros au titre de l’article L. 761-1 du code de justice administrative. 
3°) de condamner l’Etat et la société Parc Eolien les Grandes Landes à leur verser une somme de 907,68 euros au titre des dépens. 
Ils soutiennent que : ­ 
- le signataire de l’arrêté attaqué était incompétent pour ce faire ; ­ 
- le signataire de l’autorisation donnée le 28 août 2013 sur le fondement de l’article R. 244-1 du code de l’aviation civile était incompétent pour ce faire ; ­ 
- il n’est pas suffisamment justifié des capacités financières de l’exploitant, en méconnaissance du 5° de l’article R. 512-3 du code de l’environnement ;
.......

Rapport d'enquête publique (janvier 2014)
http://www.loire-atlantique.gouv.fr/content/download/12334/74231/file/Rapport%20d'enqu%C3%AAte%20publique.pdf

Lettre au préfet par Le comité de soutien à Paul BOULTAREAU
http://parc-eolien-vritz.monsite-orange.fr/2emelettreamrleprefet/index.html
Monsieur le préfet,
Nous nous permettons de vous interpeller encore une fois au sujet du futur parc éolien de Vritz.
En effet, depuis le 17 mars, Paul Boultareau, un riverain qui voit sa maison se retrouver à 500 m d’une éolienne de 126 mètres de haut, a entamé une grève de la faim pour protester contre le manque de concertations et de débats sur les projets éoliens. Il est dommage d'en arriver à une telle action pour commencer à voir s'interroger certains élus.
Nous sommes inquiets de voir que la vie d’un homme passe après le bénéfice de quelques vendeurs de vent peu scrupuleux de l’environnement et de la santé des riverains. Les propriétaires de terrains appâtés par des loyers alléchants sont floués par des baux emphytéotiques. On achète le silence des riverains à coups de menus travaux de terrassement, de plantage de haies, voire même de compensations pécuniaires pour la perte de valeur immobilière.
De qui se moque-t-on ?
Devant le nombre grandissant d’opposants à ces parcs en France mais aussi dans le monde entier, il serait temps de se poser les bonnes questions ! De nombreux témoignages d'éminents ingénieurs tendent à prouver que l’éolien est une énergie dépassée face aux nouvelles technologies.
On s’empresse de toute part de nous planter ces machines avant que le rachat de l’électricité éolienne ne soit revu à la baisse. Les arrêtés de 2008 fixant ce tarif, qui n’ont d'ailleurs pas été notifiés à la Commission européenne, devraient être annulés dans les prochains mois par le Conseil d'État. Ces gâchis financiers ont été reconnus par le Président de la république lui-même lors de la conférence environnementale (Article p.6 « Tempête sur les éoliennes » de l'Economie rurale n°101 de février-mars 2014).
La Grande-Bretagne et l’Espagne ont arrêté la filière éolienne mais ici on continue à empoisonner nos campagnes et la vie de ses habitants.
Nous déplorons que Paul Boultareau se mette ainsi en danger mais nous sommes solidaires et nous soutenons son action. Nous réclamons l’annulation du projet de Vritz tant qu’un véritable débat national sur l’efficacité, la cohérence, la rentabilité, et la réelle utilité publique de l’éolien n’aura pas été instauré.
Monsieur le préfet, ne laissez pas notre beau pays devenir un cimetière d’éoliennes car, dans 15 ans, c’est ce qui risque de se passer. Vous savez très bien que ce n’est pas avec les hypothétiques 50 000 € de dépôt que l’on pourra démonter une éolienne.
Les consciences se réveillent, ne soyez pas le dernier !
Nous comptons sur votre sens des responsabilités et votre bienveillance.
Le comité de soutien à Paul BOULTAREAU

Lettre au préfet par Les riverains du projet du parc éolien de VRITZ
http://parc-eolien-vritz.monsite-orange.fr/
Monsieur le préfet :
Nous ne faisons partie ni d’un groupement politique, ni d’une quelconque association, nous ne sommes que de simples citoyens futurs riverains d’un parc éolien soucieux de notre environnement et de notre cadre de vie.
Aussi, nous nous indignons de la prolifération de ces parcs dans notre belle campagne, en effet, sous couvert d’une soi-disant recommandation européenne, on veut couvrir le territoire d’éoliennes aussi inefficaces que néfastes pour la santé et l’environnement . Qu’on ne vienne pas nous parler d’écologie, entre la fabrication, le transport (elles viennent d’Allemagne) le saccage des haies pour les engins de chantier, les tonnes de béton enfouies dans les sols et le démantèlement pour le peu de production électrique, on peut se poser la question.
 Mais, parlons du démantèlement, les promoteurs ont bloqué une somme de 50 000€ par éolienne pour les démonter, ont-ils simplement prévenu les propriétaires de terrains qu’au bout de 20 ans, ces engins seront leur propriété et qu’ils devront en assumer leur entretien, leur exploitation ou leur démontage, en sachant que les 50 000€ suffiront tout juste à faire venir la grue. La location de leur terre peut paraître attrayante mais ils risquent de se retrouver avec des épaves qui seront devenues dangereuses et des terrains invendables qui n’intéresseront plus personne, car avec le développement des nouvelles énergies plus rentables et surtout plus efficaces, l’éolien sera vite oublié.
 Mais cela vous le savez déjà puisque sur  la question du financement et de la rentabilité du projet la réponse est plus qu’évasive, je cite : « En fait il n’est pas totalement fixé. Le coût du projet est d’environ 21 millions d’euros (1.5 M€ par MW). L’investisseur apporte environ 20%, le reste est financé par des banques. A ce stade la rentabilité est difficile à appréhender. » Il est bien dommage de ne pas pouvoir « appréhender » la rentabilité avant d’investir de telles sommes, c’est ce que l’on appelle mettre la charrue avant les bœufs et c’est ce qui montre également que la rentabilité est tout à fait accessoire !
En attendant, les pays comme l’Allemagne, qui sont d’ailleurs de gros pollueurs avec leurs centrales à charbon, nous imposent leurs éoliennes pour avoir le droit de polluer encore un peu plus grâce à un système scandaleux qui consiste à acheter un droit de polluer en implantant des éoliennes dans n’importe quel pays de la communauté européenne ( certificats verts).
Les médias nous rabâchent à longueur de temps qu’une éolienne c’est beau, c’est écologique, c’est le futur, s’il vous plait, arrêtez de prendre les gens pour des idiots, à l’heure d’internet, tout le monde peut vérifier cette désinformation.
Les éoliennes ne rapportent qu’à ceux qui les installent et surtout pas aux citoyens qui voient leur facture EDF augmenter et leur patrimoine se dévaluer fortement lorsqu’ils sont proches d’un parc, car grâce à la suppression des zones d’implantation, personne n’est plus à l’abri de se retrouver un matin avec un monstre de plus de 110 mètres de haut devant ses fenêtres . Mais peut-être faut-il cela pour que les gens se sentent concernés.
Monsieur le préfet, nous en appelons à votre bon sens, serez-vous de ceux qui refusent cette imposture, ou céderez-vous à l’appât du gain ? Car en fait tout n’est qu’une question d’argent, la preuve en est que si l’on baisse le prix de rachat de l’électricité éolienne les investisseurs se feront beaucoup plus rares, voir inexistants !
Nous n’avons  pas voulu, dans cette lettre vous noyer de chiffres, tous plus éloquents les uns que les autres, chacun peut à son aise se renseigner sur le sujet. Nous voulons simplement vous faire part de notre désarroi et de notre écœurement de voir comment se réalisent ces projets, sans concertation et surtout sans réel débat publique sur l’efficacité et l’utilité de ces parcs.
A l’heure où l’on parle de l’amélioration du cadre de vie en essayant de cacher au mieux les fils électriques de nos communes et d’enfouir les lignes à haute tension, on vient nous planter des engins qui dépassent largement les 100m de haut sur tous nos horizons !! Cherchez l’erreur !!!
Bien-sûr  on peut toujours nous dire qu’il y a des  gens qui vivent près des centrales nucléaires ou des déchetteries à ciel ouvert et qui ne se plaignent pas, mais nous avons choisi de vivre à la campagne avec ses avantages et aussi ses inconvénients justement pour fuir tout ça  alors comprenez notre colère lorsqu’on vient nous imposer des éoliennes qui n’ont pour seul intérêt  que de faire faire de gros bénéfices aux promoteurs sur le dos et au mépris des habitants.
Ne dit-on pas que sa liberté s’arrête ou commence celle des autres, dans quel pays sommes nous ?
Monsieur le préfet, vous avez l’autorité pour faire que ce projet s’arrête ou pas, vous agirez en votre âme et conscience, nous vous demandons quand vous prendrez votre décision de penser à l’avenir et à ce que VOUS lèguerez à nos enfants !

Cordialement. Les riverains du projet  du parc éolien  de VRITZ

Lettre Ouverte (31 Mars 2014)
LETTRE OUVERTE: L’industrie éolienne s’installe en France sans débat
Monsieur le Préfet,
Je vous adresse cette lettre ouverte pour vous dire combien WCFN (le Conseil Mondial pour la Nature) partage les sentiments de M. Paul Boultareau, qui fait la grève de la faim à Vritz.
L'industrie éolienne s'installe en France sans débat préalable, arrosant avec l'argent des consommateurs captifs (le tarif d'achat imposé à EDF) toutes les difficultés encontrées. Elle corrompt nos institutions et nos hommes politiques. Elle tue des millions d'oiseaux et de chauves souris – http://savetheeaglesinternational.org/releases/spanish-wind-farms-kill-6-to-18-million-birds-bats-a-year.html – mais fait taire les ornithologistes en leur offrant des contrats alléchants. Les médecins sont également ciblés afin qu'ils nient les problèmes de santé qui affectent certains riverains des éoliennes. En Australie, l'association des médecins elle même a été corrompue, et cela fait scandale: http://waubrafoundation.org.au/resources/ama-statement-responses-concerned-professionals-citizens-impacted-residents/
Economiquement et socialement, c'est un désastre: en Allemagne, l'électricité coûte aux ménages 100% plus cher qu'en France, et le gouvernement d'Angela Merkel commence à faire marche arrière, construisant des centrales à charbon et réduisant les subventions à l'éolien et au solaire. Son industrie perd de sa compétitivité, et des entreprises menacent déjà d'aller s'installer aux USA, ou le gaz de schiste tire vers le bas le prix de l'électricité.
Mais le comble, c'est que l'éolien est une énergie intermittente et incontrôlable, donc sans intérêt car il n'y a pas de batteries assez grandes et bon marché pour emmagasiner l'électricité que les éoliennes produisent quand on n'en a pas besoin (elles produisent surtout la nuit). De plus, quand il n'y a pas de vent, il faut des centrales nucléaires, à charbon ou au gaz: double investissement donc, pour la même consommation d'électricité – un gaspillage monumental. Et au bout du compte, aucune économie de pétrole, gaz ou charbon, car ces centrales thermiques doivent travailler deux fois plus à cause des variations intempestives de la vitesse du vent, qu'elles doivent compenser par des variations de tous les instants dans leur production: http://www.iberica2000.org/Es/Articulo.asp?Id=4540
Voilà pourquoi M. Boultareau fait la grève, et WCFN pense que ses revendications sont justifiées. Il serait grand temps que l'utilité des éoliennes fasse l'objet d'un débat public ouvert, avant de continuer plus avant dans cette voie qui nous conduit droit au mur. Et je ne parle même pas des effets délétères de ces monstruosités sur l'environnement, les animaux de ferme, le tourisme et la qualité de vie.
Source: Mark Duchamp, Chairman, World Council for Nature