Revue de presse et autres infos

mardi 1 novembre 2016

DÉVALORISATION PATRIMONIALE

Impact dévalorisant des parcs éoliens sur le patrimoine immobilier

Il est établi clairement que les riverains d’une centrale éolienne voient leur patrimoine immobilier considérablement déprécié.
http://www.ventderaison.com/images/documents/dossiers/etudes_analyses/VdR_devalorisation_patrimoniale.pdf
(Document de 9 pages)

1 INTRODUCTION


Il est établi clairement que les riverains d’une centrale éolienne voient leur patrimoine immobilier considérablement déprécié. Il arrive fréquemment que les EIE ne veulent pas traiter le sujet sous prétexte que cela ne fait pas partie des prescrits. On peut alors leur opposer les prescriptions du Cadre de Référence 15 Annexe B – Forme et Contenu minimum d’une étude d’incidences sur l’environnement 6° Description des effets importants directs et indirects que le projet est susceptible d’avoir sur l’environnement (y compris notamment sur la population, la faune, la flore, le sol, l'eau, l’air, les réserves naturelles et les réserves forestières, les sites Natura 2000, les facteurs climatiques, les biens matériels, le patrimoine architectural et archéologique, le paysage ainsi que l'interaction entre les facteurs précités) comportant une indication précise des méthodes de prévision et des hypothèses de base retenues ainsi que des données environnementales pertinentes utilisées. De multiples reportages en France ont montré le désarroi des voisins des usines éoliennes, qui, ne parvenant plus à supporter les insomnies et le stress, décidaient de vendre, et ont dû vivre l’amère déception de constater que leur maison ne valait plus qu’une partie de sa valeur. On admet actuellement que cette dévaluation se situe aux alentours de 30% dans un rayon de 5km. Si les propriétaires et exploitants des terrains agricoles recevant les éoliennes et même ceux attenants où aucune éolienne n’est implantée se voient octroyer une indemnisation, il n’y a pas de raison qu’il en soit autrement pour les riverains. Cette dévaluation atteint une dimension particulièrement pénible lorsque ces riverains voient leur emprunt hypothécaire remis en question pour cause de réduction de la valeur du bien hypothéqué.

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voir aussi

LES ÉOLIENNES, LES DÉVALUATIONS PATRIMONIALES ET LES MENSONGES DES PROMOTEURS
Un exemple d’une loi d’indemnisation votée par le parlement du Danemark qui a du reconnaître la perte de valeur des biens subies par les riverains d’éoliennes… 
http://www.ventderaison.com/images/documents/dossiers/immobilier/exemple_de_loi_au_Danemark_2012_devaluation_immobiliere.pdf

Les éoliennes font baisser les prix de l’immobilier
Publié le 26/02/2014
La première étude sur l’impact des éoliennes sur les prix de l’immobilier a été dévoilée. Elle réserve quelques surprises.
C’est confirmé. Pour la première fois, une étude sérieuse vient le démontrer : les éoliennes dévaluent les propriétés situées dans leur périmètre. A 2 km, les logements perdent 11 % de leur valeur. A 4 km, c’est 3 %.
UNE ÉTUDE MENÉE SUR 1 MILLION DE LOGEMENTS
L’étude qui nous l’apprend a été réalisée en Angleterre et au Pays de Galles. Les chercheurs de la London School of Economics ont comparé les changements de prix d’un million de logements sur 12 ans, dans des endroits où des éoliennes sont déjà installées, vont l’être ou ont été rejetées par les autorités locales.
32 000 EUROS EN MOINS
Le Daily Mail, qui relaie l’information, a fait le calcul : une maison à 300 000 euros n’en vaudrait plus que 268 000, soit une perte de 32 000 euros.
JUSQU’À 180 MÈTRES DE HAUT ET AUSSI BRUYANT QU’UN MARTEAU-PIQUEUR
La vue d’un parc d’éoliennes (qui peuvent mesurer jusqu’à 180 m) qui serait en cause, ainsi que le bruit des machines, dû aux vibrations des pâles, qui peut atteindre 120 décibels d’après l’Amac, soit le bruit d’un marteau piqueur.
UN PHÉNOMÈNE DÉJÀ RECONNU EN FRANCE
En France, le phénomène est déjà connu. En 2010, la justice avait donné raison aux acheteurs d'une bergerie restaurée située à Tigné, dans le Maine-et-Loire. Ils n'avaient pas été prévenus par le vendeur qu'un parc éolien allait être construit aux alentours. La première chambre de la cour d'appel d'Angers avait estimé que l’éolienne dans le paysage de leur maison l’avait dévaluée de 10 % de son prix. Ils avaient récupéré 18 000 euros de dommages et intérêts et annulé l’achat.