Stop à l'éolien industriel

Stop à l'éolien industriel
Un fléau d'une ampleur internationale s'abat, depuis quelques années, sur notre pays. Aidés par nos élus, les promoteurs éoliens se sont accaparés nos territoires et nos vies. Devant le massacre de notre patrimoine, un vent de colère s'élève partout sur l'hexagone. Il est grand temps de dire "STOP" à ce carnage.

vendredi 23 mars 2018

Charente : Les parcs éoliens passent en force 😡

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http://www.sudouest.fr/2018/03/22/les-parcs-eoliens-passent-en-force-4303301-7048.php

Le tribunal administratif vient d’annuler le refus d’autorisation au projet de parc éolien de Baignes-Sainte-Radegonde.

Le vent tourne mal ces temps-ci pour les opposants aux projets de parcs éoliens dans les Charentes. Non seulement leurs requêtes sont très généralement rejetées par le tribunal administratif mais même les décisions préfectorales opposées aux projets éoliens se voient régulièrement retoquées par les juges.


Mardi, le tribunal a ainsi annulé un refus d’autorisation préfectorale à un projet de six aérogénérateurs porté par la société Parc éolien de Baignes-Sainte-Radegonde, refus formulé le 28 novembre dernier. Ce projet, validé par le tribunal, se heurte à l’opposition d’une association locale ainsi que de l’association Protégeons nos paysages en Charente-Maritime et en Charente.



Projet de la Boëme

Mercredi, c’est le cas du projet éolien de la Boëme qui est arrivé devant les juges. Là encore, il s’agit d’un projet de six éoliennes sur trois communes (Mouthiers-sur-Boëme, Fouquebrune et Voulgézac) auquel la préfecture a opposé un refus de permis de construire. Selon les services de l’État, le projet porterait une atteinte grave aux paysages et au patrimoine architectural (églises classées, château de La Rochandry…).

Le rapporteur public a balayé d’un revers de main ces arguments : selon lui, le projet se situe dans une zone agricole de culture intensive, dans un paysage "sans grand caractère" 😡😡😡. Les éoliennes seraient peu ou pas visibles depuis les points les plus sensibles, protégés soit par le relief, soit par des bois. 

Le rapporteur public, dont les conclusions sont très généralement suivies par les juges, a conclu à l’annulation de la décision préfectorale et au réexamen des demandes de permis de construire dans un délai maximum de quatre mois. Contrairement à la demande insistante de la société exploitante, le rapporteur public n’a pas jugé nécessaire qu’il soit enjoint à la préfecture de délivrer automatiquement les permis sollicités. La décision sera rendue le 5 avril.